Document : Affaire Julien Coupat - Sur la piste de l’ultra-gauche
Avertissement. Le document qui va suivre contient des informations inquiétantes, voire terrifiantes à propos de la sécurité des citoyens français. Il s’agit du compte-rendu des opérations de gendarmerie concernant l’arrestation des membres de la mouvance anarcho-autonome de Tarnac en novembre 2008, suite aux attentats ferroviaires ayant touché le réseau de transport français, un compte-rendu reproduit sans modifications, rédigé par le capitaine Ange Leonetti et émaillé de notes personnelles qui enrichissent ce témoignage.
Dans les circonstances actuelles (crise, montée en flèche de l’immigration sauvage et de la délinquance des mineurs, victoire de Barack Obama), la lecture salvatrice d’un tel document est essentielle pour appréhender le terrorisme sauvage dans sa niche et l’empêcher de proliférer. Mais nous vous aurons prévenu : il y a des choses qui font peur.
12 novembre 2008, 5 heures 30 du matin
Avec les hommes de la brigade d’intervention spéciale on doit ce rendre sur le plateau des Millevaches près de Tarnac. Objectif : de la mission : arrêter les terroristes qui avait fait explosé les catégnières au sujet des trains. Des terroristes ! Nous avons prit douze hommes entrainés, et aussi des véhicules blinder et des armes automatique. C’est pas une mission de pédés sa !
Note : au cas ou ce compte rendue serait rendu publique : la dernière remarque n’était pas homophobbe au cas ou un pédé voudra me faire un procès pour homophobbie.
6 heures
Notre unité part de la gendarmerie verre environt 6 heures comme préciser si-dessus. Le temps est quand même en soleillé mais on dirait qui va pleuvoir.
Nous avons pas le cœur léger. Les terroriste qu’on va arrêter se sont des bonhommes, des sacrés durs d’extrême-gauche fasson brigade rouge mais probablement an pire. L’enquête des policiés et des RG a bien montrer de quoi ils étaient capables : paraliser le réseau ferroviaire français en faisant explosé les catégnières (note : se sont des janre de fil suspendu en l’ère qui amène les lectricités au train).
Nous savons qu’il y a deux nids à terroristes : l’épicerie du village et la maison des terroristes (où ils vivent à plusieurs comme dans une secte par example). Nos mains tremble avant d’approché de la ousqu’ils vivent. Mais c’est peut-être plus a cause du ricard qu’à cause de la peur, puisque ça fait trois bonnes heures qu’on a pas bus un coup.
6 heures 50
Nous approchons de Tarnac. Comme s’est moi qui commande, je propose à mes hommes de surprendre les terroristes en allant ce mettre en embuscade autour de l’épicerie. Nous garrons les véhicules pas trop loin en laissant des renforts dedans puis nous partons à quatre personnes (groupe réduit d’infiltration : moi-même avec les lieutenants Champier, Bourrique et Crapulot) et nous approchons dicrètement du magazin en employant les tèqueniques d’infiltration de groupes de guérilla.
Nous somme cachés dans les poubelles autour de l’épicerie parse qu’on s’est rendu compte qu’on a oublié le véhicule banalisé à la gendarmerie.
7 heures
L’épicerie est ouverte par deux terroristes. Soit ils ont dormis dedans, soit ils sont passer par une arrière-cour mais comme on s’est pas renseigner de savoir si c’était le cas, on ne peut qu’émettre des hypotaizes a ce stade de l’infiltration.
Les terroristes mettent en place leur couverture : ils sortent sur le trottoir les étalages de légumes, comme si ils tenaient une vrai épicerie.
Description des terroristes : un homme de type européen habillé en vêtement normals mais qui semble adhéré au thèse du terrorisme visible à son port de barbe. Une femme qui la compagne : probablement une putte à terroriste ou bien une femme qui est séduitte par les voyous.
Note : au cours de mes enquêtes, je m’ai bien souvent rendue compte que les femmes était fourbe. Sela est probablement dûe à leur caractère sournois et moqueur.
Avant d’intervenire, nous décidons d’opservé le fonctionnement louche de l’épicerie. Et aussi de laisser dormir un peu le lieutenant Champier parce qu’il manque de sommeille a cause que son bébé lui fait des nuits pas possibles, on sait tous ce que c’est.
7 heures 10
On voit une complice des terroristes s’approché de l’épicerie : femme d’environ 70 ans, suspecte à cause de son cabas qui pourrait contenire de l’arsenal de guerre type pistolets mitrailleurs ou grenades au phosfore. Je décide de ne pas courrire de risque car je pense à la sécurité de mes hommes et donc on intervient.
Je crie « GO GO GO » et nous surgissons de nos poubelles puis nous courrons vers l’épicerie, armes à la main.
Alors que moi personnellement je compte interpelé l’homme, je vois que mes subalternes font le nécéssaires pour appréhender les autres complices. Le lieutenant Bourrique se jette sur la personne de type âgé et l’immobilise avec beaucoup de proféssionalisme en lui fracturant le col du fémur grâce à des tèqueniques de clause-combat.
Pendans ce temps la, l’officier Crapulot met hors d’état de nuire la putte en la plaquant contre le sol grâce à une clé de bras, en lui mettant son pistolet derrière la nuque pour l’empêcher de bouger et en lui crachant dessus (en la traitant de sale putte pour mieux l’immobilisé). Nous nous rendons compte soudain que Champier est resté dormir dans sa poubelle car il n’est pas là : nous sommes trois contre trois, le danger est à son point fulminant.
Pour ma part j’appréhende l’individu de type barbu. Ce n’est visiblement pas le chef de la bande (dont on m’a donné la photo (Note : pour que je le reconnaisse)) mais visiblement un de ses lieutenants. Avant qu’il ait le temps de sortire une arme de sa caisse en registreuse, je lui assène un coup de la crosse de mon pistolet sur la joue et ça le met direct KO. (Note : incroyable comme ils encaisse mal les coups pour des terroriste. Nuls en karaté, nuls en boxe, nuls en clause-combat.)
Je décide de le faire parlé en l’intimidant et en lui criant de balancé le chef de sa cellule terroriste. Pour sa je lui mets des coups de pouin dans le nez et dans les yeux, mais ce salopard ne me répond pas quand je lui demande où sont cacher les armes (Note : ils encaissent male mais il ne parlent pas facilement, aucun n’a pu me donné l’emplacement de leur cache d’arme). C’est alors que Crapulot me dit "chef chef on sait déjà ou on doit arrêter leur chef". Je me dis "ah oui c’est vrai oh la la c’est la fatigue ça".
7 heures 30
Pendant que Crapulot et Bourrique emmènent nos prisonniés dans une estafette pour les menotter, je contacte le capitaine Lentille de l’unité d’intervention scientifique (il était resté dans les véhicules). Une fois sur place, il entame une perquisition de l’endroit.
Lentille, qui est très bon en physique-chimit, nous révèle la nature effraillante de certaines découverte : l’épicerie contenait pas mal d’ingrédient chimiques pour fabriqué des armes. Selon lui, le jus d’orange que les terroristes vendait, (mélangé à du sulfate de polyhydrude et du magnésate de nitroglycérine), pouvait faire fabriquer une bombe artisanale très puissante !!! Les terroristes vendaient aussi des clous et des bouteilles de gaz, probablement pour les déposer sur les voies SNCF afin de faire explosé des trains. Je soulage de soupirement d’avoir pu empéché se carnage !!!
8 heures
Nous repartons à dix dans deux estafette blindée direction le nid des terroristes, un corps de ferme un peu à l’écart de la ville. Les coupables arrêté à l’épicerie sont conduits à la gendarmerie dans une autre estafette par le capitaine Lentille et son second, le lieutenant Saucisse. Bien sûr nous avons posé des séllés à l’épicerie, et aussi éteint l’électricité pour être sûr que les appareils électriques éventuels (comme par example les congélateurs remplis de nourriture) ne fasse courire aucun risque à la population.
8 heures 20
Nous arrivons au lieu-dit des terroristes. C’est une ferme avec des dépendance pour des animaux : chèvres, poulles, chiens, aique-settaira.
Plutôt que de faire une subtil opération d’infiltration comme précédament, nous chouasissons de lancer une vague de choc. Après avoir garer les véhicules dedans la cour intérieure de la ferme, nous décidons d’écarté toute menace en abattant immédiatement tous les chiens des terroristes (risque de morsure, voire d’attrapé la rage si jamais ils étaient enrager). Moi et mes neuf hommes, nous déployons nos pistolet automatiques et nous occupons de la sécurisation de l’opération.
Puis sur une sudgestion du lieutenant Bourrique, nous abattons aussi les chèvres, les poulles, les canards et autre saloperies, car comme il dit, on sait jamais avec les terroristes ce qu’ils font à leur pauvres animaux.
8 heures 35
Effrayés par les coups de feux, les terroristes n’ont pas oser sortire de la maison. Nous lançons des grenades lacrimogène par les fenaitre pour les faire sortire (Note : telles des diables de leur boîte).
Ils sortent alors au nombre de quatre en se tenant le nez comme des chochotte. Nous décidons de les immobilisé un peu mieux grâce à nos tèqueniques de clause-combat : des coups de pouin dans le nez.
J’appréhende le chef, un certain Julien Coupat (Note : se nom m’a fait pensé au mot « coupable » (Note : au cas où il faudrait une preuve je précise)) alors que le lieutenant Crapulot est en train de lui casser le poignet pour le désarmé de sa tasse de café qu’il avait à la main en sortant de la maison. Comme il a l’air de se défendre en prenant un ère choquer, je lui mets des coups de pouin dans le nez et toute suite il avoue ce que je lui demande d’avoué, se qui nous prouve une fois de plusse que 1 : face à la justice, les terroristes n’ont pas de couille et craque toute suite ; 2 : en fait c’est tout.
10 heures
L’opération d’appréhension des terroristes est rondement mené, et les estafettes les conduisent à la gendarmerie où ils seront intéroger pour qu’on comprenne mieux les ressorts de leurs œuvres criminelles. Nous commençons la perquisition dans la maison des terroristes, et pour cela nous cassons tous leurs meubles et leurs affaires au cas où il y aurait des choses de cacher.
Le résultat de la perquisition est effraillant : nous trouvons des armes dans toute la maison. Des couteaux dans la cuisine, des projectile en papier dans un jenre d’étagère (il y a marquer dessus « bibliothèque », je prends note de se mot) mais le pire est dans le cabanon de jardinage : nous découvrons avec effroid, près d’une pile de bois, une hache qui aurait pu servir à coupé les catégnières !!!
11 heures
Eprouvés par le danger que nous avont courut, nous retournons à la gendarmerie, avec le sentiment une fois de plus d’avoir défendue la veuve et l’orfelin. Ce jour-la, nous avons mis hors de circulation de dangereux criminels qui était en plusse des terroriste, et sa, s’est se qui s’appelle servir la France.
Après quand on arrive à la gendarmerie je reçois un coup de fil du lieutenant Champier, apparemment on l’a oublié dans une poubelle près de l’épicerie (Note : je me doutais bien qu’on avait fait quelque chose de travers se matin).
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