Grande Guerre de 1985
La Grande Guerre de 1985
La Grande Guerre de 1985 (connue sous l'autre appellation « le bordel là, chez les pécores »), eut lieu en 1985 (bah ouais faut suivre aussi) et finit en 1985 (La précision, c'est important). Elle opposa les habitants d'Albefeuille-Lagarde à leurs voisins de Labastide-Du-Temple, deux villages situés dans le département 82 (allez, c'est le moment de sortir ta carte de France, couillon.)
16 avril 1985 H-5
Le matin du 16 Avril 1985 (comme dans le nom de la sous-partie dis-donc !) sur les coups de 9h, Gontrand Gustave, arrive à la boulangerie de Labastide-Du-Temple (z'aurait dû faire plus long comme nom, là c'est pas assez chiant) et prétexte vouloir acheter une baguette de pain. Ce que la boulangère lui vend. Il repart. Gontrand n'a aucune importance dans l'Histoire mais il paraissait nécessaire de faire remarquer qu'on sait où il était ce jour-là sur les coups de 9h.
À 9h15, à Albefeuille-Lagarde, un type débarque sur la place du village, et vole la vache du maire. « L'enflure, ça s'faisons point des coups pareils » s'exclame alors le maire, Georges Profond. Après avoir interrogé les vieux pochtrons qui étaient au bar à 9h15, il découvre qu'un jeune natif de Labastide (c'est toujours le même village hein, j'ai juste décidé qu'on allait pas se farcir un nom à rallonge toutes les 10 minutes) serait l'auteur du vol (Paraît que mes parenthèses sont tellement longues qu'on pige rien après, t'en penses quoi toi ? Non remarque on s'en fout de ton avis, t'es jamais que le con de lecteur). Le maire décide alors, à 9h30, de réunir tous les hommes valides en âge de combattre.
16 avril 1985 H-3
10h18 : Les hommes valides sont enfin réunis au bar-tabac d'Albefeuille-Lagarde (en fait ils étaient déjà tous là, mais Paul se sentait pas bien, trop de glaçons dans son Pastis, fallait qu'il dégobille pendant 2h, faut se méfier avec les glaçons). Ils décident alors de partir en guerre contre les habitants de Labastide, qui de leur côté se préparent aussi à la guerre (comprendre : ils picolent en s'appuyant sur leurs fourches) après l'arrivée de Marcel Mipoivre au terrain de pétanque, chevauchant la vache du maire d'Albefeuille-Lagarde. Dans les 2 camps, on sert de l'alcool, afin de se motiver. (Faut dire que dans le 82, même si on décide qu'on va pas en branler une de la journée, on boit, alors quand on a une raison de picoler en plus...)
16 avril 1985 H-1
Il est 16h23 (Non, regarde pas ta montre... Mais qu'il est con...) À Albefeuille-Lagarde, on attache Paul à son âne, et les autres hommes tentent tant bien que mal de tenir debout afin d'enfourcher leurs vaches. À Labastide, on change les fourches de places car elles commencent à s'enfoncer dans le sol. Chaque homme, dans les deux camps, tient à la main une bouteille de Pastis ; pour la route d'un côté, pour l'attente de l'autre (moi j'en tiens une mais c'est pour l'écriture).
16 avril 1985 H-de la marave
Il est 15h17 (Quoi « ça colle pas avec les heures données avant »? Si t'es pas content t'as qu'à raconter à ma place ! Maintenant tais-toi et lis !) lorsque les troupes s'aperçoivent enfin. Les hommes des deux villages sont là, tous les 8. Après un bon quart d'heure à s'insulter mutuellement, l'attaque est lancée. Pierre Scizeau, de Labastide, jette une pierre (Ouais bah hé, c'est pas moi qui fais l'Histoire, il aurait pu lancer un caillou, Pierre, mais c'est pas le cas, Pierre jette une pierre !), cette pierre atteint Paul au visage, malgré que Jacques ait sauté devant lui pour s'interposer.
En retombant, Jacques se tord le pouce. Les deux armées, impressionnées par tant de violence, cessent de se battre. (Tu croyais quoi, que ça allait péter de partout ? Bah sache que la violence, c'est pas que physique, t'oublies qu'ils se sont insultés pendant un bon quart d'heure à grands coups de "sacripant", "vaurien", et autres joyeusetés !) La vache est rendue, toujours vierge. La paix revient entre les deux villages.
L'Après-Guerre
Aujourd'hui encore, on peut voir, sur les mairies des deux villages, une plaque, sur laquelle sont inscrits ces mots « 1985 : Plus Jamais ». Afin que les nouvelles générations se souviennent, et ne volent plus de vaches. Quant à ceux (Non, pas "qu'entassent", ça voudrait rien dire, réfléchis un peu, suffit pas de lire bêtement sans comprendre. L'Histoire c'est pas une histoire de glandus. Bon, par contre, elle peut être racontée par un glandu, parfois ça arrive, heureusement qu'il reste des gens sérieux qui la relatent telle qu'elle devrait être frelatée.) Merde, j'en étais où ? Ah oui, donc : Qu'entassent qui ont combattu, on lit encore aujourd'hui l'horreur dans leur regard ahuri, et l'on comprend, que plus jamais ils n'ont été les mêmes par la suite. Paul par exemple, boit son pastis du matin sans glaçons.
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