FUCK YOUR ASS!
THE FUCKER IS HERE AND HE WILL FUCK YOUR ASS!
Synopsis – Woody et ses amis Mia la licorne, Alec Buzz l’éclair Baldwin et Barbie™ Soon-Yi sont de retour pour de nouvelles aventures ! Nous les retrouvons dix ans après la fin du précédent opus, chez Dylan, une petite fille avec un nom de petit garçon, qui aime son papa et jouer avec des trains électriques.
Ainsi, quand Woody et Mia arrivent chez Dylan et ses sœurs par un concours de circonstances charnelles filmé en gros plan, c’est avec stupeur qu’ils comprennent que la petite aime uniquement jouer avec le train électrique de son petit frère, et donc délaisse ses poupées et peluches. Par une thérapie tout en douceur, consistant principalement à lui mettre des Crayola dans les fesses, Woody va affectueusement faire comprendre à Dylan que si elle veut grandir, devenir une grande actrice, aller à Paris et tourner plus tard dans des films de Woody Allen, par exemple, elle va devoir devenir belle et féminine et ne pas s’adonner à des jeux de garçon. Et c’est dans le grenier de la maison familiale qu’ont lieu chacune de leurs séances, qui la rapprochent chaque fois un peu plus de son but ultime : faire plaisir à son papa. Une scène qui nous aura particulièrement plu est celle du premier tête-à-tête entre Dylan et Woody. Ce dernier, qu’elle vient de découvrir dans les vieux jouets de sa sœur Vicky partie étudier à Barcelona, lui adresse d’emblée la parole et commence à travailler la fillette psychologiquement, pour savoir si elle aime jouer, si elle apprécie les cowboys, si elle préfère le goût de la vanille ou du chocolat sur un pénis en érection etc. Le moment où ils se retrouvent tous deux nus est simplement magistral : c'est le rapprochement de deux êtres vivants purs, innocents, dans le plus simple appareil photo. Ce, malgré le fait qu'on pourrait déplorer les images de synthèse déployées pour reconstituer le corps de la fillette nue, les studios Disney n’ayant pu récolter l’approbation de la famille de la petite Kelly (la jeune actrice de 8 ans qui joue Dylan, ndldÉ) pour les scènes d’amour, alors même que cette dernière avait été choisie, lors du casting, en raison de son passé tumultueux avec ses oncles et son expérience en la matière. Toujours est-il que dans cette scène, on ressent pleinement toutes les émotions qu’a voulu évoquer le réalisateur. On ne peut pas dire qu'il s'en branle.
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