Désinformation:Scoop : Peu avant sa mort, Adolf Hitler s'était converti au judaïsme

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Scoop : Peu avant sa mort, Adolf Hitler s'était converti au judaïsme

De notre envoyé spécial  Psychoparten,  Combattant sanguinaire, mais humaniste - ‎le 3 juin 2016

BerlinAllemagne — 
Adolf Hitler se trouve peut-être sur cette image
C'est un fait désormais établi par la recherche historique : Adolf Hitler, en 1945, était allé jusqu'à se faire rituellement couper le zizi.
Qu'ils l'exaltent dans l'assemblée du peuple,
Et qu'ils le célèbrent dans la réunion des anciens !
Il change les fleuves en désert,
Et les sources d'eaux en terre desséchée.
(Psaumes 107. 31-32)

Il faut comprendre la détresse du dirigeant nazi. Depuis 1943, la Wehrmacht accumule les revers et la situation semble désormais sans espoir. Et puis, si même la méthamphétamine n'arrive plus à lui inspirer d'heureuses décisions, vers qui se tourner ?

C'est dans ce contexte que le Führer de haute montagne s'est lancé dans l'étude de la Bible. Mais ce qui n'était au début qu'un pis-aller a fini par déboucher sur un renouveau spirituel, puis sur une conversion à la religion de Jacob et de ses fils.

Des idées intéressantes par rapport aux races inférieures

De nos jours, Hitler et ses partisans passent pour avoir créé de toutes pièces le pire système d'extermination jamais conçu, cela au nom d'abjectes idées génocidaires. Pourtant, déjà, du temps de Moïse, le Dieu d'Israël démontrait les mêmes tendances revanchardes et racistes fort croquignolesques. Tenez, prenez ce qu'il dit à Moïse :

Iahvé parla à Moïse, en disant : «Venge les enfants d'Israël sur les Madianites; tu seras ensuite recueilli auprès de ton peuple.» (Nombres 31. 1-2)

Venge ? Qu'entend-il par cela ? Le chef d'État allemand a souhaité poursuivre son étude biblique jusqu'au bout. Bien lui en a pris, puisque la fin de l'épisode s'est avérée être tout à fait à son goût. Pour commencer, les Hébreux foutent une pâtée aux Madianites, exterminent tous les hommes et réduisent en esclavage femmes et enfants. Pensez-vous que le Judenfuhrer aurait félicité son armée pour cela ? C'est bien mal connaître les impératifs de pureté de la race :

Tous ceux des enfants d'Israël dont on fit le dénombrement, selon les maisons de leurs pères, depuis l'âge de vingt ans et au-dessus, tous ceux d'Israël en état de porter les armes, tous ceux dont on fit le dénombrement furent six cent trois mille cinq cent cinquante. (Nombres 1. 45-46)

Moïse, Eléazar, le prêtre, et tous les princes de l'assemblée sortirent au-devant d'eux, hors du camp. Et Moïse s'irrita contre les commandants de l'armée, les chefs de milliers et les chefs de centaines, qui revenaient du combat.
Il leur dit : «Avez-vous donc laissé la vie à toutes les femmes ? Voici, ce sont elles qui, sur la parole de Balaam, ont entraîné les enfants d'Israël à l'infidélité envers Iahvé, dans l'affaire de Phogor; et alors la plaie fut dans l'assemblée de Iahvé. Maintenant, tuez tout mâle parmi les petits enfants, et tuez toute femme qui a connu la couche d'un homme ; mais toutes les filles qui n'ont pas connu la couche d'un homme, laissez-les vivre pour vous. » (Nombres 31. 13-18)

Adolfounet, lisant ces versets, commençait à se sentir des affinités pour ce peuple élu qu'il avait, semble-t-il, mal jugé. Mais ce « laissez-les vivre » le chagrinait néanmoins. Les livres suivants le charmeraient-ils davantage ?

Tu l'as dit, bouffi ! Le Deutéronome complète parfaitement l'embryon de gouvernement totalitaire ébauché dans le Lévitique, et propose de plaisantes méthodes de faire disparaître les ennemis de la race. Mais c'est le livre de Josué qui a réjoui au plus haut point le Reichsführer.

Dans ce tome, après la mort de Moïse, c'est à Josué qu'il revient de mener le peuple de Iahvé à la conquête de son Lebensraum. Oui, mais... certains Hébreux sont un peu mous, niveau volonté de puissance. Que faire pour les convaincre pleinement ?

Mais bien sûr ! La parole de Dieu !

Voici Josué qui harangue la foule :

Et Josué dit: «À ceci vous reconnaîtrez que le Dieu vivant est au milieu de vous, et qu'il ne manquera pas de chasser devant vous les Chananéens, les Héthéens, les Hévéens, les Phérézéens, les Gergéséens, les Amorrhéens, les Jébuséens, les Bougnoules et les Basanés. » (Josué 3. 10)

Et le miracle s'accomplit ! Le peuple fait de grands gestes du bras dans sa direction et crie « Salut Josué ! » L'armée marche vers Jéricho, sorte de Sudètes du Proche-Orient, recrute Rahab, une prostituée du coin, comme espionne, et se prépare à attaquer la ville. C'est alors que le Mein Kampf divin est de nouveau adressé au peuple des fils d'Abraham :

La ville sera dévouée par anathème à Iahvé, elle et tout ce qui s'y trouve; seule Rahab, la courtisane, vivra, elle et tous ceux qui seront avec elle dans la maison, parce qu'elle a caché les messagers que nous avions envoyés. (Josué 6. 17)

Anathème ? Was ist das ? Mais heureusement, la suite explicite le sens de ce terme.

S'étant emparés de la ville, ils livrèrent à l'anathème tout ce qui se trouvait dans la ville, hommes et femmes, enfants et vieillards, même les boeufs, les brebis et les ânes, par le tranchant de l'épée. (Josué 6. 21)

Hitler relisait avec délectation : hommes et femmes. Enfants et vieillards. Même les boeufs, les brebis et les ânes. Par le tranchant de l'épée

Quelle magnifique règle que celle de Iahvé des armées ! Mais une dernière objection demeurait. Hitler savait que même des personnes dévouées au Reich pouvaient fléchir dès qu'il s'agissait d'épurer la race. Alors, comment se faire obéir ? Cela est révélé par l'histoire d'Achan, qui a attiré la malédiction sur son peuple :

Josué dit à Achan: «Mon fils, donne gloire, je te prie, à Iahvé, le Dieu d'Israël, et rends-lui hommage. Avoue-moi ce que tu as fait, ne me le cache point.» Achan répondit à Josué et dit: «C'est la vérité; c'est moi qui ai péché contre Iahvé, le Dieu d'Israël; voici ce que j'ai fait : j'ai vu parmi les dépouilles un beau manteau de Sennaar, deux cents sicles d'argent, et un lingot d'or du poids de cinquante sicles ; je les ai convoités et je les ai pris ; je ne suis pas juif pour rien, quand même ; ils sont cachés dans la terre au milieu de ma tente, et l'argent est dessous.» (Josué 7. 19-21)

Moui... On avoue sa faute et on est pardonné... Mentalité de race esclave que tout cela ! Hitler fronça les sourcils, mais poursuivit le chapitre :

Josué et tout Israël avec lui prirent Achan, fils de Zaré, l'argent, le manteau, le lingot d'or, les fils et les filles d'Achan, ses boeufs, ses ânes, ses brebis, sa tente et tout ce qui lui appartenait, et il les firent monter dans la vallée d'Achor. Là Josué dit: «Pourquoi nous as-tu troublés ? Iahvé te troublera aujourd'hui.» Et tout Israël le lapida. On les consuma par le feu, et on les lapida. Et on les gaza pour faire bonne mesure. (Josué 7. 24-25)

Voici comment nous les traiterons: nous leur laisserons la vie, afin de ne pas attirer sur nous la colère de l'Éternel, à cause du serment que nous leur avons fait. Ils vivront, leur dirent les chefs. Mais ils furent employés à couper le bois et à puiser l'eau pour toute l'assemblée, comme les chefs le leur avaient dit. (Josué 9. 20-21)

Des chandeliers brillaient au coin des yeux d'Adolf Hitler. Mais comment réconcilier sa haine des judéo-bolchéviko-maçonniques et son attrait pour le canon hébraïque ?

Iahvé, un Dieu bien sous tous rapports

En fait, après vérification, Iahvé a, lui aussi, exterminé en masse les Juifs. Tenez, un passage qui montre la relation qu'entretenait la divinité avec son peuple élu :

Et Iahvé lui dit: "Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem, et marque d'une croix le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent." Et il dit aux autres, à mes oreilles : "Passez dans la ville après lui et frappez ; que votre œil n'épargne point, et soyez sans pitié. Vieillard, jeune homme, jeune fille, enfant, femme, tuez-les jusqu'à extermination ; mais de quiconque porte sur lui la croix, n'approchez pas. Et commencez par mon sanctuaire." Et ils commencèrent par les vieillards qui étaient devant la maison. (Ezéchiel 9. 4-6)

Non, contrairement aux apparences, ce n'est pas un dieu particulièrement judéophile :

Le reste reviendra, le reste de Jacob, au Dieu puissant. Quand ton peuple, ô Israël, serait comme le sable de la mer, un reste seulement reviendra ; la destruction est résolue, elle fera déborder la justice. Et cette destruction qui a été résolue, Le Seigneur, l'Éternel des armées, l'accomplira dans tout le pays. (Isaïe 10. 21-23)

Mon œil ne t'épargnera pas, et je serai sans pitié ; car je ferai retomber sur toi tes œuvres, et tes abominations seront au milieu de toi ; et vous saurez que je suis Iahvé. Et en général, quand je dis ça, c'est pas trop bon signe. (Ezéchiel 7. 4-4 et demi)

Le dictateur le plus kitsch du XXème siècle (ex æquo avec Idi Amin Dada) voyait ses objections tomber une à une. Mais enfin, les juifs n'étaient pas les seuls ennemis du Reich. Que propose donc la Bible contre les démocrates dégénérés ?

Eh bien, pour savoir cela, reportons-nous à l'épisode de la révolte de Coré :

Coré, fils d'Isaar, fils de Caath, fils de Lévi, se fit des partisans, avec Dathan et Abiron, fils d'Eliab, et Hon, fils de Phéleth, ceux-ci, fils de Ruben, et ils se soulevèrent en présence de Moïse, ayant avec eux deux cent cinquante hommes des enfants d'Israël, princes de l'assemblée, appelés aux conseils et gens de renom. Ils s'attroupèrent contre Moïse et Aaron, et leur dirent: «C'en est assez ! Car toute l'assemblée, tous sont saints, et Iahvé est au milieu d'eux. Pourquoi vous élevez-vous au-dessus de l'assemblée de Iahvé ?» (Nombres 16. 1-3)

Voici donc le roi que vous avez choisi, que vous avez demandé; voici, l'Éternel a mis sur vous un roi. (1 Samuel 12.13)

Bien. Les mecs geignent pour que toute l'assemblée ait le pouvoir (sacerdotal), comme de vulgaires parlementaires ploutocrates, là où Moïse et Aaron veulent confier tout cela à un Guide. Voyons comment cela se termine...

Moïse dit: «Vous connaîtrez à ceci que Iahvé m'a envoyé pour faire toutes ces œuvres, et que je n'agis pas de moi-même : si ces gens meurent comme meurent tous les hommes, et si leur sort est celui de tous les hommes, ce n'est pas Iahvé qui m'a envoyé ; mais si Iahvé fait une chose inouïe, si la terre ouvre sa bouche et les engloutit, eux et tout ce qui leur appartient, et qu'ils descendent vivants dans le séjour des morts, vous saurez que ces gens ont méprisé Iahvé. »

Comme il achevait de prononcer toutes ces paroles, le sol qui était sous eux se fendit. La terre ouvrit sa bouche et les engloutit, ces connards de bolchéviques, eux et leurs familles, avec tous les gens de Coré et tous leurs biens. (Nombres 16, 28-32)

Bon. Au moins, Iahvé ne fait pas dans la dentelle. En plus, il s'agissait de nomades qui attendaient que la manne leur tombe dans la bouche, bref, de Tziganes juifs (et roux). Finalement, tout n'allait pas si mal pour Adolf Hitler en ce mois d'avril 1945 : il avait enfin trouvé Dieu !

La fin tragique du nouveau David (en moustachu)

Je vis le Seigneur qui se tenait sur l'autel. Et il dit: Frappe les chapiteaux et que les seuils s'ébranlent, Et brise-les sur leurs têtes à tous! Je ferai périr le reste par l'épée. Aucun d'eux ne pourra se sauver en fuyant, Aucun d'eux n'échappera. (Amos 9. 1)

Il appartenait au Führer de guider son peuple ; aussi souhaita-t-il être le premier aryen à se convertir au judaïsme. Une fois les douleurs de la circoncision improvisée passée, il fit venir Goebbels dans son bunker :

— Joseph, où est Rabbi Schlomo Levi ?
— Mort d'épuisement à Dora.
— Et qu'est devenu Rabbi Moshé Cohen ?
— Mort de maladie à Dachau.
— Rabbi Benyamin Dreyfuss ?
— Exécuté à Auschwitz.
— Rabbi Baruch Goldstein ?
— Écrasé par un bloc de pierres à Mauthausen.
— Rabbi Éliézer Bloch ?
— Oh, lui, on s'est vraiment bien amusé avec ! Enfin, maintenant, il repose en paix.
— Rabbi Siméon Lévi ?
— Fusillé à Natzweiler-Struthof.
— Ach ! Mais z'est horrible !
— Mein Führer ?!

En larmes, Hitler revint dans sa chambre, désemparé. Si plus aucun rabbin ne pouvait l'accueillir dans sa nouvelle foi, que faire ? Il décida d'ouvrir sa Bible au hasard et d'agir selon le passage qui s'ouvrirait :

L'effort du combat porta sur Saül; les archers l'atteignirent, et le blessèrent grièvement. Saül dit alors à celui qui portait ses armes: Tire ton épée, et m'en transperce, de peur que ces incirconcis ne viennent me percer et me faire subir leurs outrages. Celui qui portait ses armes ne voulut pas, car il était saisi de crainte. Et Saül prit son épée, et se jeta dessus. Celui qui portait les armes de Saül, le voyant mort, se jeta aussi sur son épée, et mourut avec lui. (1 Samuel 31, 3-5)

Hitler ouvrit son cabinet à cyanure, puis cria :

— Eva ! Viens vite !
— Qu'y a-t-il, mon amour ?
— J'ai des projets ultra-romantiques pour nous deux !


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