Hommes
Les Hommes sont une espèce animale se situant entre le citron, le coing (cf. ci-dessous les raisons), la banane, le membrillo (viril) et la baleine à bosses, pour la sous-catégorie femme.
Tandis que la panthère rose déclare ardemment être la mère de l'espèce, la presse pipole l'avait effectivement accusée d'avoir fort-(bien)-niqué avec son éternel poursuivant (et maintenant, amant) : le chasseur ; cassant ainsi le mythe du dessin animé. 2008 ans après l'affaire, le mystère reste entier tout comme la stupidité des Hommes qui ne se complète encore que dans les encyclopédies à sens inverse.
Membres ordinaires et membre d'honneur
Les hommes possèdent 4 membres qu'ils n'utilisent presque jamais : un président, un secrétaire, un trésorier et un vicieux-président, plus un 5e membre qu'ils utilisent énormément. C'est le membre d'honneur, encore appelé le membre donneur car c'est celui à qui on demande du pèze, puisqu'il se donne sans compter et est parfois très généreux.
En effet, à la différence du trésorier, ce dernier a des ressources en abondance que Platon dit inépuisables, et il en savait quelque chose le salaud ! À la différence des autres, il est un membre très actif, beaucoup utilisé, spécialement quand il se trouve avec une femme, de près ou de loin, et même quand il ne se trouve pas avec une femme, et même qu'il ne trouve pas son chemin ni surtout à se frayer son chemin.
Ce dernier membre est appelé "LE" membre, membrillo en espagnol, ce qui veut dire « chair de membrillo » ou « fruit de membrillo », parce que c'est son membre le plus brillant, et qu'il est succulent. Et dans succulent, n'y a-t-il pas "lent" ? Comme disait Pierre Desproges...
Curieusement cette dénomination espagnole se traduit en français par le nom du sexe de la femme, le coing. D'où son surnom de « membre à tirer dans les coings » (on y arrive, banane !), une expression typiquement espagnole, intraduisible. C'est pourquoi justement on ne le traduit pas et on l'appelle membrillo. Je suppose que vous avez compris même si la confusion demeure en français pour les esprits lents et les cerveaux lents...
Et voilà pourquoi le mélange des genres... à quoi certains se croient autorisés, surtout à wikipedia où règnent les pervers pas pépères, parce qu'ils ignorent les langues étrangères (les pôvres !).
Étonnez-vous alors, du mélange des genres, du mélange des sexes et du malaise des anges, sans parler des genres louches ou mal définis, et des transsexuels tant qu'on y est, si le membre d'honneur porte le nom d'un bijou exclusivement féminin.
Par ailleurs chez de nombreux hommes, le trésorier qui tient serrés les cordons des bourses, prend parfois le dessus sur LE membre, ce qui est regrettable. Dans ce cas c'est généralement dommageable à sa vie et à sa santé mentale, pour son esprit, son intelligence et son équilibre, que l'on sait être instable en ces matières.
Ceux qui sont comme ça sont appelés des serrés du cul ou des sans humour, ce qui est synonyme. On les appelle également des avares, des radins obsédés de la rétention, ou parfois aussi des américains.
Car on voit bien que ces derniers sont à la fois trop économes pour être honnêtes et trop intéressés à l'économie pour qu'il leur reste quelque idée et imagination qui rappelle à leur esprit avachi l'existence de la java du coing et du membrillo. Ils en ont perdu jusqu'à la mémoire, n'osant user de la générosité du membre d'honneur.
Ils sont surtout trop puritains pour oser imaginer se tourner vers la corne d'abondance et la mettre dans le train de leur voisine ou en train, ni pour recourir à l'art du membre d'honneur qui a été méchamment calomnié par Pur-y-Tain. On pourrait nommer encore bien sûr les disciples de Rat-Singer à qui il est interdit de recourir au membre d'honneur hors mariage.
La taille de son membre d'honneur varie selon les individus. Elle oscille généralement entre 16 cm et 23 cm. Il existe cependant des exceptions parmi lesquelles BigFoot qui, lui, mesure 2 cm 53 tout compris pour son 5e membre. Son poids se situe entre 142 et 423 mg mais on s'en fout car on ne le soupèse pas tous les jours et de plus ces données sont éminemment variables. Certains disent qu'elles ont tendance à augmenter si le BigFoot consomme du Big Mac sans modération.
Ses qualités de corne d'abondance, admirables au demeurant, sont également très variables, selon les interdits qui pèsent sur ce membre malotru parfois malmené, si Pur-y-Tain et Rat-Singer sont passés par là pour le casser, qui peuvent aller jusqu'à l'assécher et le ratatiner comme un vieil escargot, pour conserver et poursuivre la métaphore ani-mâle.
Cependant l'homme normal ou sain, c'est-à-dire l'homme seulement et sobrement animal, singe, anti-moine, ni puritain, ni disciple de Rat-Singer, ni saint, ni en odeur de sainteté, qui aime juste les seins et les siens (d'attributs), ressent une envie constante de se sentir admiré pour son membre d'honneur, et on le comprend.
Que ferait-on d'autre à sa place, hein, vieille limace ? L'homme sain est fier comme un dieu, d'avoir quelque chose de plus que celui-ci justement, quelque chose avec quoi il co-a-bite et qu'il a sous la main qu'il a alerte (la main).
Or la main est la preuve qu'il est un ani-mâle, précisément parce qu'elle est à la fois directement reliée au cerveau et à la bite. Il est le plus intelligent de tous les animaux, seulement comparable aux singes mais même supérieurs à ceux-ci, disait Aristote ; ce qui est bien vrai (et c'est également vrai que Aristote l'a dit).
Et c'est ainsi que l'homme, pourvu d'une main, d'une bite et d'un cerveau, contempla son œuvre — lui-même — avec satisfaction. « Et il vit que cela était bon » (dernier paragraphe, conclusion de la Genèse).
Membre et compagne
L'homme ainsi pourvu de tous les attributs que toutes les espèces animales lui envient, est cependant un être insatisfait. Il ressent une envie constante de se sentir regardé, caressé, embrassé, aidé, aimé, cajolé, entouré, chouchouté, pour son membre le plus beau, et enfin et surtout admiré pour son membre d'honneur.
C'est pourquoi il vit généralement en groupe de plus d'une personne. Lorsqu'il est seul, il prend en otage un animal tel qu'un chat ou un chien ou une femme, s'il réussit à en attraper une, et l'oblige à devenir son « ami » .
Certains hommes montrent une préférence pour une femme toutefois, même si la méthode est la même, ani-mâle et sauvage : depuis qu'il vivait dans les grottes, il n'a pas changé d'un poil. Même s'il la prend en otage, au lasso, ou en traître, par derrière, l'homme chasse toujours la femme, comme disait mon prof de français qui le tenait lui-même de Victor Hugo qui lui-même le tenait de son prof de Lettres, qui lui-même... on va pas remonter jusqu'au déluge, ça va comme ça !
Bon d'accord ! N'empêche que cette espèce d'homme, si du moins il réussit à en attrapper une (attraper : un seul pet), de femme, eh bien il l'oblige tout autant à devenir son « amie » de tous les jours et sa compagne : celle qui porte ses pagnes et l'accompagne chez le dentiste, sa co-pine qui partage sa pine et son pain, sa vie quoi et son vit et sa vie-t-alité — car il vit l'essentiel de sa vie au lit, remettant son vit au lit et à sa compagne — ce qui con-siste aussi pour elle en ce cas à s'assoir (sister : verbe synonyme d'assoir son cul) à ses côtés et poser son cul sur la commode car c'est assez commode, selon San Antonio.
L'otage a alors le privilège de partager sa couche et ses draps, ses repas, sa table et son pain. Ils deviennent alors des convives et des cons-vifs, à-bite et a-bitants sous le même toit qui les abrite, des commensaux (qui partagent le même seau) en somme des copains et des copines partageant tout, du pain à la pine jusqu'au plumard, des compagnons qui partagent le même panier (car compagnon signifie = partager le même panier) et compagnons de vie, à la convivialité truculente, qui se sont mis dans de beaux draps justement pour ça.
Bref ils vivent ensemble et peuvent dès lors être complices, (ce qui signifie pliés de rire) pour tous les meilleurs coups. À faire ensemble toutes les conneries, foutreries, glissades, saloperies et déconnantes à la Jean-foutre et à la Vache-qui-rit autrement dit Conne-rit qui font la vie et dont ils ont envie. Mais encore toutes les stupreries, sucreries, forniqueries, vacheries, culculteries, cachoteries possibles, enculage de mouches compris, dès lors qu'ils co-a-bites activement et qu'ils aiment ça.
L'homme n'est pas une femme
L'homme de l'espèce dominante, c'est-à-dire l'ani-mâle à poils doux, a pour caractéristique principale de ne pas être une femme et s'il n'est pas aveugle, — certes il ne l'est pas ! — d'être sourd, à certaines paroles du moins (cf. chapitre sur la surdité dans la Genèse, dont nous donnerons une retranscription dès que possible).
Tout lecteur un peu éveillé l'aura compris depuis le début : nous ne parlons, dans le cas qui nous a occupé jusqu'à présent que des hommes en tant qu'ils ne sont pas des femmes, mais des ani-mâles. Et cette différence, sexuelle en somme, comme disait Lacan est une vérité à maintenir, fondamentalement, malgré ce que vous disent tous ceux qui vous trompent, qui vous mentent et qui vous spolient, travailleurs, travailleuses ! à savoir ces wiki-pédés qui sont une plaie.
Oui, en effet, il faut maintenir ferme et tenir tout aussi ferme le mouvement de va-et-vient qui fait la différence entre le coing et le membrillo, quoi qu'en disent certains pédés, wikipédés et wikipédophiles membres de Wikipédia, merde ! Car ce sont eux les vrais imbéciles et les ennemis au sein du peuple, et même au cul du peuple. Ce sont eux les vrais cons et les faux-cons, les faux-culs et les con-fus et au final des cons-tout-court en ficelle de caleçon et les bites-au-vent mais cons, parce qu'ils sont cons et y'a pas à discuter. Et en plus ils vous mentent, ils vous trompent etc. (déjà dit) ; ils ne disent jamais la vérité, ce en quoi ils sont vraiment des emmerdeurs con-fus et con-fondants qui étalent leur merde partout à travers le monde et c'est pourquoi on les conchie, car ils ne sont que des chiures de mouches qui n'ont jamais rien pris ni compris, ni ne peuvent même pas être considérés comme des cons-promis à quoique ce soit.
Voilà, c'est dit, sciemment, consciemment et con-sciencieuse-ment, ouf !
(« Belle tirade », dit le nain de jardin.)
Donc maintenons la bite et la différence entre qui a-bite et qui n'a-bite pas, vérité largement confirmée par la sentence : « Il est bien vrai que les hommes ne sont pas des femmes, n'est-ce pas Leon ? » (Napoléon, qui savait de quoi il parlait lui, car il n'était pas un pédé de w.... on a compris, ça va !)
Mais comment faire la différence, ventre dieu ?
Un enfant de 4 ans le saurait. Alors, amenez donc un enfant de 4 ans ... si possible du genre pourvu de membrillo, posez-le sur l'étagère à côté de cette petite et laissez-lui le temps d'observation nécessaire avant de lui poser la question tue-mouches : comment distinguer entre un petit soldat et une petite poupée ?
À nous maintenant, chacun son tour : prenons un exemplaire de femme au hasard.
Cette petite par exemple, par un choix dû au plus grand des hasards qui fait bien les choses (difficile de dire le contraire). Posons-la sur une étagère à côté de l'enfant de 4 ans. Examinons les différences de plus près et voyons si on est aussi bon que le morveux qui en a encore la goutte au nez.
Si vous avez bien examiné, maintenant c'est bon. Poursuivons.
Exemple 2 : prenons un exemplaire d'homme, exposez à la chaleur, trempez-le dans l'huile, massez, pétrissez, roulez-le dans la farine, assaisonnez, laissez gonfler, goûtez, si besoin épicez encore, rectifiez, humectez, léchez, entourez la tête de feuilles de choux : voilà un ridicule Homoncule. Tout est à recommencer dans l'autre sens, femme !
Point commun
Malgré ces ratages possibles, il y a entre eux deux un point commun et un plaisir partageable : la pipe. Elle est un signe de distinction chez les gentilshommes et un signe d'originalité chez les femmes de qualité. Cela est avéré par le fait que l'homme aime fumer au lit car derrière un gros dur se cache un tendre sioux, rusé fumeur de pipe, le seul calumet qu'il aime humer et partager avec la femme. Mais une petite pipe bien culottée qu'il aura auparavant préparée, soignée, caressée avec amour. Une pipe, ça se prépare vous diront tous les maîtres pipiers et toutes les maîtresses pipeuses.
Lorsqu'il a le goût de la pipe, l'homme se laisse voir venir de loin : du fait de la fumée, un signe qui ne trompe pas. Car pas de fumée sans homme et pas de pipe sans femme. (on dit généralement pas de fumée sans feu, mais c'est pas vrai, n'en croyez rien)
Et comme dit René Magritte, sonnez trompettes, préparez vos pipes, bourrez-les bien et allez-y les gars, tout en douceur, car la pipe y'a que ça de vrai mais c'est un art !
La pipe, art tout en nuances, demande une certaine expérience, un sens de l'approche, une dextérité, un doigté, et qu'on lui consacre un certain temps. Pas de précipitation ! beaucoup de soin. C'est pourquoi elle est un art assez féminin.
Comme la musique, elle adoucit les mœurs, mais faut savoir y faire, comme disent les grands maîtres ainsi que celles qui sont passées maîtresses en cet art qu'on dit martial parce que majeur (et pas du tout venu de Mars, vous n'y êtes pas). Majeur parce qu'il ne faut pas y aller avec le petit doigt. Et également parce que la partition peut se jouer en mode majeur OU en mode mineur.
Humez-la, caressez-la, prenez-la par le bon bout et une fois en bouche aspirez doucement la fumée. Et vous verrez, la fumée quel fumet ! Un parfum à nul autre pareil, une odeur odoriférante appréciée des animalcules mâles et surtout femelles de l'espèce « homme ».
La pipe est un art de la proche.
Donc ce qui se connaît de loin se connaît encore mieux de près, par l'approche sensible. Noter cependant qu'on ne peut en avoir une connaissance par les cinq sens toutefois : pas par ouïe-dire, celui-là il sert à rien, mais par tous les autres sens, le toucher, le gôut, la vue, l'odorat. Et c'est tout ? ben oui ! mais en plus on peut en dire beaucoup et écrire des romans à son sujet.
En somme, savoir humer la fumée de la pipe, tous ses sens mis en éveil, est un rituel qui reprend et respecte un art venu d'une tradition ancestrale. Ainsi bien étudiée, la tradition mise en pratique évite contre-sens, erreurs et confusions.
D'où la phrase préférée des Surréalistes qui, bien que révolutionnaires étaient sur point respectueux de la tradition de l'art de la pipe qu'ils avaient adoptée : « la fusion oui, la con-fusion non ».
Et en hommage à Bourvil « la pipe, oui ! la fumette, non ! ».
Parmi les hommes, les femmes
Donc parmi les hommes, il y a les femmes, et c'est justement ça le problème, parce que « qu'est ce qu'on serait plus tranquilles sans elles » ! et parce qu'aussi « mais qu'est-ce qu'on ferait sans elles » ?
Ce qui s'appelle un dilemme, un vrai.
En effet, il faut prendre en compte l'autre face, la face cachée du monde des hommes-singes, les femmes-guenons. Il existe aussi, parmi les hommes, des femmes : des êtres qui en sont l'envers, c'est-à-dire l'autre face de l'être, autrement dit le néant si l'on en croit Jean-Paul Sartre. Ce qui lui valut, entre parenthèses, une belle répartie de sa bourgeoise retournée par une telle outrecuidance, la bourgeoise à l'envers, soit la prolétaire Simone Signoret dite Simone de Beauvoir pour passer incognito, qui lui renvoya dans les gencives : « T'as oublié le 2e sexe, patate ». Riposte livresque en deux tomes bien envoyés dans la tronche, qui fut couronnée d'un grand succès de librairie.
Revenons à nos moutons, nos singes et nos bestioles, les femmes. Pour l'envers, certains disent plutôt le renversement selon le point de vue de l'art du renversement sur un sofa, ou du renversement dialectique : comment un homme peut renverser une femme, d'étonnement, ou s'il est fort bon en cuisine, en maître-queue.
Ce qui est réversible : c'est ça la dialectique mon pote, comme on l'apprend aux écoles. Une femme peut être aussi bien renversante que renversée, comme une crème. Elle peut même être aussi bien bouleversante que bouleversée, ou également poilante que à loilpé, à la différence de l'homme qui principalement verse et est déversant, (c'est sa condition) vu que ça découle de sa corne d'abondance.
Abondance du moins pour les pas radins (revoir plus haut pour l'explication).
Quoiqu'il en soit, ces bestioles sont caractérisées par le fait qu'elles ont des fesses des seins, par derrière et par devant et devant l'Éternel, et plusieurs autres choses encore qui n'appartiennent qu'à elles, et que, bien que membres de qualité de l'engeance humaine, elles n'ont aucun des privilèges qui appartiennent au membre d'honneur, ou membre donneur devant l'Esprit sein qui n'est pas si saint qu'on le dit.
Dans les réunions d'hommes en tant qu'engeance, ces membres de qualité font le café et offrent des douceurs et gâteaux au membre d'honneur, pour le gâter, et lui s'en trouve réjoui et en principe aime beaucoup.
De plus, en plus de paradoxes : au sein de l'engeance, et malgré le grand principe de fraternité, dit « liberté, égalité, fraternité » qui s'étale aux frontons et frontispices de tous les plus beaux édifices édifiés dans le royaume de France, elles ne sont pas des frères. Même pas membres de la fratrie, elles sont uniquement l'objet de la concupiscence des frères [voir : péché] comme l'a dit l'évêque qui est un sacré numéro, je ne sais plus si c'est XXII ou XXIII. Maintenant qu'il n'y a plus seulement les papes qui portent des numéros en guise de blaze, on ne sait plus.
Donc sur le versant femelle, la compagne de l'homme qui lui porte ses pagnes et l'accompagne chez le dentiste est un objet de convoitise majeure. C'est la douceur pour le dessert qu'on s'arrache et se dispute. Les frères s'entre-tuent pour elle lorsqu'ils sont encore à l'état sauvage, et même parfois à l'état civilisé même si ce ne sont pas des pédés comme à Wikipédia car eux, ils couchent avec leur ordinateur entre les jambes.
C'est pourquoi, pour éviter l'entre-tuement et l'entre-tuerie, les hommes-qui-ne-sont-pas-des-femmes ont inventé, dans certaines contrées reculées, un moyen fort intelligent pour éviter que le membre d'honneur ne se dresse furieux et tue ses frères : l'empaquetage des femmes dans un sac poubelle afin de faire disparaître toutes ses qualités propres devant l'Éternel qui n'en perd pas une miette du coup, lui qui voit tout.
Cependant ça ne marche pas si bien qu'escompté. D'abord, parfois, il lui reste le regard qui en dit long et c'est encore trop.
On imagine toute la concupiscence — et ce mot dit tout en un mot — la concupiscence que produit un tel regard. L'Enfer !
Et de toute façon, ils ne s'entre-tuent que de plus belle, à force de se la mettre au placard.
Ce qui nous ramène au membrillo, et l'histoire recommence.
Voir aussi
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