Je vous en supplie, ne tirez pas !

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Ses dernières paroles furent Je vous en supplie, ne tirez pas !.

Je vous en supplie, ne tirez pas ! est une suite de mot en français, abondamment utilisé dans les films américain à gros budget où le méchant meurt à la fin. On a remarqué à diverses occasions que cette phrase, prononcée d'un air suppliant et pathétique, parfois suivi d'une allocution du style « J'ai 3 enfants, 1 femme, une petite dizaine de maîtresses et un livreur de choucroute à entretenir », générait invariablement une impulsion nerveuse dans l'index de la personne à qui la phrase est adressée. Ceci amenant souvent l'apparition de maux de têtes franchement douloureux à celui qui a prononcé cette phrase, ainsi que l'apparition d'un troisième œil, pile entre les deux autres. Je vous en supplie, ne tirez pas ! fait donc parti du club très fermé des phrases provoquant un effet inverse, en compagnie du fameux « Ne regardez pas ce que je montre ! » ou encore du très célèbre « N'appuyez SURTOUT PAS sur le bouton rouge !! »

Je vous en supplie, ne tirez pas pas ! à travers les âges

Théorie révolutionnaire

Tous les plus grands historiens qui se sont penchés sur la question[1] sont d'accord pour dire que Je vous en supplie, ne tirez pas ! a été prononcé pour la première fois le 21 janvier 1793 à Paris 8eme , non pas à propos d'une arme à feu comme on pourrait le penser, mais d'un levier censé déclencher un mécanisme comique. Cependant le principal intéressé, que nous appellerons Louis X. pour préserver son intégrité, nie les faits en blocs:

Tirer2.jpg L'intéressé qui préfère rester dans l'anonymat dit:
Je ne me suis jamais abaissé, et ne m'abaisserais jamais à prononcer une phrase aussi pleutre, aussi pathétique, aussi misérable que Je vous en supplie, ne tirez pas. C'est tout à fait contre les principes de mon noble rang ! Car moi, j'ai su rester digne devant la mort, pas comme ce salopard de Robespierre[2] qui est mort en pleurant sa maman ! Sa maman ! Je vous le dis mon bon monsieur ! Sa maman ! Je n'étais pas là, mais on me l'a dit ! Alors qu'on ne vienne pas me la faire avec ces conneries de Théorie révolutionnaire ! Et maintenant, je vous prie, j'aimerais me reposer, il me vient des maux de têtes atroces à force de remettre cette histoire sur la table !


Après quelques recherches plus poussées,il est admis que monsieur X n'a jamais prononcé ces mots, mais a préféré mourir en sortant une phrase totalement dépourvue du moindre romantisme: « Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des Français. » Pfff... espèce de nul ! Il n'a même pas tenté la moindre évasion tellement il avait les chocottes ! Maximilien R., lui au moins était un homme, un vrai, qui a su mourir avec fierté et honneur pas comme ce connard de Louis X. qui s'est avoué vaincu dès le début.


« Maman ! »
~ Maximilien R. à propos de son courage devant la mort

Théorie pas révolutionnaire

Eux aussi auraient dit Je vous en supplie, ne tirez pas ! s'ils en avaient eu le temps.

Il apparaît cependant que Je vous en supplie, ne tirez pas ! est apparu bien avant le XVIIIeme siècle. On estime son apparition à en même temps que les armes à feu, c'est à dire aux environs de il y'a vachement longtemps, c'est à dire que, en fait, les connaissances ne sont pas vraiment très fournies à ce sujet, alors je m'en voudrais de vous induire en erreur, après tout c'est juste une bête phrase. Elle a très bien pu être prononcée dans un tout autre contexte avant même l'invention des armes à feu. De toute façon, je suis quasi-persuadée que la première fois qu'elle a été prononcée, elle ne se trouvait même pas sous cette forme, mais plutôt sous celle-ci : Σας ικετεύω, μην τραβάτε, ou encore celle-là אני מפציר בך, לא למשוך. Après-tout, qu'est ce qu'on en a foutre de qui l'a dite en premier, que ce soit une pute égyptienne, un danseur du ventre albanais ou une charlotte aux épinards, ça va pas changer la face du monde ! Merde à la fin ! C'est quoi cette manie de toujours tout vouloir savoir ?! On est pas chez Wikipédale ici ! Non mais, c'est vrai quoi ! Oh ! C'est pas mon genre de péter mon câble comme ça pour un rien, mais y'a des limites quoi ! J'y crois pas ! Y'a des enfants qui crèvent de faim dans le monde et vous, vous prenez le chou pour savoir qui a inventé cette phrase stupide ! Et ben, vous voulez savoir la vérité ? Hein ? La vérité c'est que j'en sais rien ! J'avoue ! J'ai écris un article sur un sujet dont je ne connais absolument pas la moindre petite parcelle de rien du tout ! Et je n'en ais pas honte ! Je suis sur que tout le monde ici a commencé comme ça ! Attendez vous allez pas essayer de me faire croire que Chtoulou s'y connaissait plus en sexe ou que Cauch avait ne serait-ce qu'une infime bribe de notion en cuisine, et pourtant ils ont réussis à faire des articles parfaitement potables sur le sujet, alors je ne vois absolument pas pourquoi moi, j'en serais incapable !


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Le redacteur en chef dit :<br\>

Parce que t'es trop mauvais !


Alors celle-là ! Je m'y attendais ! Nan mais, y'a rien à dire là. Merci pour les encouragements ! Bravo ! Ça donne vachement envie de se casser le cul à essayer de faire plaisir en écrivant un article sympa.Si c'est pour recevoir des réactions comme celle-là, je préfère encore aller sonner aux portes en compagnie des témoins de Jéhovah[3], eux au moins, ils ont une bonne mentalité, pas comme vous, bande de fascistes immoraux ! Alors là, je dis, chapeau ! Sérieusement ! Je sais pas ce qui me retient de... de... de... de...




Veuillez patienter pendant que l'auteur reprend ses esprits
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Je vous en supplie, ne tirez pas ! au cinéma

Arrivée de Je vous en supplie, ne tirez pas ! dans le monde fermé du cinéma

Grâce à son incroyable énergie dramatique, Je vous en supplie, ne tirez pas ! s'est taillée une place au panthéon du 7eme art, et plus particulièrement du cinéma américain, toujours friand de ces instants tragiques qui font pleurer les ménagères de plus de 35 ans et s'envoler le film au box office.

Cependant, il est important de rappeler que Je vous en supplie, ne tirez pas a été utilisé pour la première fois dans un film bien français, bien de chez nous : Louis XVI, un biopic sur un illustre prestidigitateur parisien, connu pour son fameux tour de la Lame En Folie, réalisé par Jean-Louis Montet en 1963. Le film connut un succès plus que relatif, notamment à cause de nombreuses erreurs de script

Une des nombreuses erreurs de script du film Louis XVI

, et fut condamné à tomber dans l'oubli pendant près de 20 ans. Jusqu'au jour où il fut visionné par accident par le célèbre producteur américain Johnatan F.Spietzelmann, dans l'avion qui le menait de Los Angeles à Chatuzange-le-Goubet. Comme tant d'autres avant lui, Johnatan trouva le film à chier une marmite. Selon lui la scène du mariage entre Georges Danton et Charlotte Corday est l'une des plus minables de l'histoire du cinéma. Le vol se faisant long, le film passa et repassa encore. Au bord de la crise de nerfs, Spietezelmann décida d'aller se plaindre aux hôtesses de bords, celles-ci étant en train de "servir le café" au commandant de bord et à son copilote, sa demande resta sans réponse. Cependant, à force de voir et de revoir le nanar, le producteur se rendit compte qu'une scène, et une seule, éveillait en lui une émotion autre que l'ennui, le dégoût ou l'envie de se jeter par le hublot. Et c'était bien cette phrase Je vous en supplie, ne tirez pas !, prononcée juste avant que le bourreau accomplisse son officine et décapite Loulou[4], qui provoquait ce sentiment de compassion, d'empathie, presque de tristesse.

De retour à Hollywood, Johnathan F.Spietzelmann s'empressa de parler de sa découverte à son réalisateur fétiche Michael Lonesome-Kahauboy. Séduit à son tour, Lonesome-Kahauboy utilisa la phrase à deux reprises dans son film de 1984: Christina & Jean-Roger, un peu à mauvais escient il est vrai puisqu'elle apparaît pour la première fois lorsque l'héroïne (jouée par Sigourney Weaver) demande l'heure à un passant dans la rue, et la seconde fois lorsque l'héroïne (jouée cette fois-ci par Micheline Bruno parce que Sigourney Weaver avait attrapé froid ce jour-là.) demande l'addition à un serveur dans un restaurant. Il est à noter que dans la version originale, la phrase est prononcée en français et s'apparentait à un S'il vous plaît, ce qui peut laisser croire que Michael Lonesome-Kahauboy n'avait aucune idée du sens de la phrase. Et effectivement, il n'avait aucune idée du sens de la phrase. Mais qu'importe, la déferlante Je vous en supplie, ne tirez pas ! (ou Please, don't shoot me ! en anglais) était en marche.

L'heure de gloire

C'est grâce au film The Revenge Of The Man Who Wants A Revenge en 1988, où elle apparaît à 7 reprises, que Je vous en supplie, ne tirez pas ! acquiert définitivement son statut de grand du cinéma hollywoodien. Ce western moderne, contant l'histoire de Joyce Prunelle (Dustin Hoffman), laissé pour mort sur le bord poussiéreux d'une route bretonne et planifiant minutieusement une vengeance terrible, bat tous les records à la cérémonie des Oscars en décrochant ni plus ni moins que 8 statuettes:

Antonio Fitzpatrick à la remise des Oscars

et surtout

Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur le Hollywood Walk of Fame

Désormais, Je vous en supplie, ne tirez pas ! est sur toutes les langues. Elle fait la une des plus grands journaux spécialisés, et devient la phrase la mieux payée de l'histoire du cinéma. On imprime des T-Shirts à son effigie, et elle est même reçue à la Maison Blanche par le président George Bush Sr. lors d'un dîner de gala. Tous les plus grands réalisateurs se bousculent pour avoir la réplique culte dans leur film. On la voit successivement dans des films d'action (Die, Baby, Die de Gerard Frenzy), d'aventure (Indiana Jones contre les receleurs de Dentiers de Steven Spielberg), des comédies (Christopher, Star du Bahut de Edourado Edouardowa), des films d'horreur (IIIIIIHHHHHH !!!! de Benimore K.Buttercup) ainsi que des films pornographiques (Éjaculation précoce de Gunther Spermastik).

Mais c'est en 1993 que se situe l'apogée de sa carrière, lorsqu'elle tourne, sous la direction de Robert Mitsubishi, le désormais culte: You're Gonna Die, Motherfucker !

You're Gonna Die Motherfucker !

Affiche française du film


Ce film narre les aventures de Tico (Bruce Willis) et Gédéon (Gérard Lanvin), deux amis qui, un dimanche après la messe commencent à s'ennuyer comme des rats morts. Après avoir trouvé 2 Berettas par hasard en fouillant dans une poubelle, les 2 compères décident de se planquer au fond d'une ruelle sombre et de tuer tous les gens qui passeraient par là, comme ça, pour le fun. Au fur et a mesure que se finit le jour et que tombe la nuit, les 2 hommes se rendent compte que, psychologiquement, c'est pas si facile d’ôter la vie a tant de gens. Pendant tout le film on assiste aux scènes de meurtres, au fond de cette ruelle, et à la lente dégradation mentale de Gédéon, plus faible que son pote Tico qui affichera toujours un flegme à toute épreuve.

Dans ce film très noir, très sombre, très glauque et pas franchement comique, Je vous en supplie, ne tirez pas ! apparaît 54 fois, c'est à dire toutes les 1 minutes 30 en moyenne ! Un record ! Robert Mitsubishi, le réalisateur, offre à la phrase un rôle de composition. Jamais les victimes qui la prononcent n'ont paru aussi vulnérable que face aux gros calibres de Tico et Gédéon, et pourtant on assiste à plusieurs reprises aux doutes de ceux-ci qui, au son de Je vous en supplie, ne tirez pas ! semblent hésiter, prendre pitié et sont à deux doigts de craquer et de laisser s'enfuir leur cible. Toute la trame du scénario tient sur cette fragilité humaine, sur cette pitié naturelle, sur le sentiment de culpabilité qui peut animer le plus fort d'entre nous. C'est une œuvre psychologique profonde et troublée, et quand, dans la dernière scène du film, Gédéon laisse vivre une petite fille après avoir tué son père et sa mère, on prend compte que Je vous en supplie, ne tirez pas ! n'est pas qu'une simple phrase anodine qui ne change rien aux plans du tueur, mais qu'elle prouve une véritable envie de vivre de la part de celui qui la dit, ceci provoque dans la tête du meurtrier l'arrivée de questions du style Oh ! Mon Dieu ! Que suis en train de faire ? Je suis un monstre impardonnable ! . Pour Gédéon, Je vous en supplie, ne tirez pas ! provoque la fin de l'idéologie meurtrière qui l'animait alors que Tico aura su rester impassible jusqu’à la fin du film. L’œuvre s'achève sur l'image de Tico tirant une balle dans le genou de Gédéon pour le punir de sa faiblesse.

Voici 3 scènes reflétant parfaitement l'esprit du film:

Meurtre de Sean Sprutzerwalve

Sean Sprutzerwalve

27eme minute du film,Sean Sprutzerwalve, représentant en aspirateur rentre chez lui après une dure journée de travail. Pour ne pas arriver trop tard, il décide de prendre un raccourci, via une sombre ruelle qui fait peur, mais pas à lui, de toute façon, il peut rien lui arriver, il est riche. Tout à coup, Gédéon et Tico se mettent sur son chemin en hurlant Bouïaka !!!

Une ruelle tout ce qu'il y'a de plus rassurant
Sean Sprutzerwalve : Oui ? C'est pourquoi ?
Tico : Tu vas mourir, fils de pute !
Sean Sprutzerwalve : Oh ! Comme ça ? Je ne veux pas le croire.
Gédéon : Et comme ça, tu le crois ?

Il sort son arme

Sean Sprutzerwalve : Tiens ? V'là aut'chose ! C'est un vrai ?

Il lui tire une balle dans le pied

Sean Sprutzerwalve : Ouïe ! Mais c'est que ça fait mal ces petites saloperies !
Tico : Tu vas mourir, fils de pute !
Sean Sprutzerwalve : Si tôt ? Mais j'ai à peine 41 ans !
Gédéon : Rien à battre !
Tico : Tu vas mourir, fils de pute !
Sean Sprutzerwalve : Ah...En voila une chose que c'est ballot !
Tico : Grrr !
Gédéon : Ouais ! Grrr !
Tico : Ouais !
Gédéon : Ouais !
Tico : Ouais !
Gédéon : Ouais !
Tico : Ouais !
Gédéon : Ouais !
Sean Sprutzerwalve : Hum...Vous attendez quoi au fait ? Parce que j'ai pas que ça à faire.
Gédéon : Ben...En fait vous étiez censé nous supplier, ou quelque chose comme ça...
Sean Sprutzerwalve : Ah ! Excusez-moi, je manques totalement à mes devoirs ! Hum Hum ! Je vous en supplie, ne tirez pas !


PAN !
Sean Sprutzerwalve


Meurtre de Andrew Fliegedauff

Andrew Fliegedauff

58eme minute du film, Andrew Fliegedauff, un jeune garçon de 8 ans rentre de l'école à pied parce que sa maman a oublié de venir le chercher[5]. Il chante une petite chanson toute guillerette: La bite à Dudulle, et vu que la nuit commence à tomber, il décide de prendre le raccourci qui fait peur et qu'il n'aime pas trop. Mais de toute façon, il ne peut rien lui arriver, c'est un enfant, et les enfants ne meurent jamais. Il s'engage dans la ruelle, de plus en plus sombre, il chante Le curé de Camaret pour se donner du courage. Il est presque arrivé au bout de la rue, lorsque tout à coup il remarque un truc bizarre derrière un carton . C'est son voisin, monsieur Sprutzerwalve, celui qui couche avec sa mère[6]. On dirait qu'il est mort. Ah ! Oui, il est mort. Tant pis pour sa gueule ! Soudain un mec l'attrape par le cou et le plaque contre un mur.

Ah ! Ah! Même pas peur !
Tico : Tu vas mourir, fils de pute !
Andrew Fliegedauff : Ouoh l'aut eh !
Tico : Ta gueule fils de pute, tu vas mourir !

Andrew lui fout un coup de pied dans les burnes, Tico le lache et s'écroule par terre. Le jeune garçon part en courant.

Andrew Fliegedauff : Lol ! Apprends à te battre débile !

Un autre homme l'arrête dans sa course

Gédéon : Et tu vas où comme ça ?
Andrew Fliegedauff : J'vais niquer ta mère ! XD
Gédéon : Ma...Oh ! Espèce de petit con ! Tu vas payer !
Andrew Fliegedauff : C'est sur que j'vais payer ! Parce que c'est une pute ! Lol !
Gédéon : Mais ta gueule ! Pauvre merde !
Andrew Fliegedauff : Lol, il se dit ta gueule à lui-même.

Gédéon sort son Beretta et le met dans la bouche à Andrew

Gédéon : Alors, on rigole moins, hein ?
Andrew Fliegedauff : Beurk ! Il a un goût de caca ! Tu te l'ai mis dans les fesses ! MDR

Il pose le pistolet sur le front de Andrew

Gédéon : Vas-y, dis encore une blague ! Rien qu'une, et j’explose ta putain de cervelle de moineau de merde !
Andrew Fliegedauff : Oh non, je vous en supplie, ne tirez pas ! PTDR !

On croit discerner une lueur d'hésitation dans le regard de Gédéon, mais...


PAN !
Andrew Fliegedauff


Meurtre de la famille Bikerwilly

La famille Bikerwilly

117eme minute du film, John, Sally et leur fille Mathilde rentrent du restaurant Le Humphrey's où ils viennent de passer une agréable soirée.Comme leur voiture est tombée en panne au croisement de la 3eme et de la 47eme, ils sont obligés de finir à pied, ce qui n'altère en rien leur humeur joyeuse.Leur maison se trouve au fond d'une sombre ruelle, et ils s'y engagent donc sans se douter de la tragédie qui va se jouer.

John Bikerwilly : Pas mauvais leur bœuf Spinoza
Sally Bikerwilly : Par contre le poulet...Une infection ! J'en chies des bulles !

Éclats de rires

John Bikerwilly : Ah ! Ah ! Ah !
Sally Bikerwilly : Ah ! Ah ! Ah !
Mathilde Bikerwilly : Ah ! Ah ! Ah !
John Bikerwilly : Assez ri !
Sally Bikerwilly : Nous ne sommes plus qu'a quelques mètres de notre foyer adoré, j'espère qu'il ne va rien nous arriver d'ici là !
Mathilde Bikerwilly : Moi aussi, j'espère

Soudain, 2 hommes surgissent du noir

Tico : Vous allez mourir, bande de fils de putes !
John Bikerwilly : Oh mon Dieu ! Des bandits de grand chemin !
Tico : Hein ?
John Bikerwilly : Prenez notre bourse, mais ne nous faites pas de mal.
Mathilde Bikerwilly : Maman, j'ai peur.
Sally Bikerwilly : Ne t'en fais pas ma chérie, papa négocie avec les vilains messieurs.
Gédéon : Mais non, on en veut pas de votre argent, tout ce qu'on veut c'est vous zigouiller.
Tico : Vous dérouiller !
Gédéon : Vous tuer quoi !
John Bikerwilly : Morbleu ! Mais vous êtes des monstres !
Gédéon : J'en ai bien peur oui.
John Bikerwilly : Tuez-moi moi, mais je vous en supplie, ne faites pas de mal à ma femme et à ma fille.
Tico : OK !
PAN !
La famille Bikerwilly
Sally Bikerwilly : Oh mon Dieu ! John !
Mathilde Bikerwilly : Oh mon Dieu ! Papa !
Gédéon : Bon,bon,bon... à la suivante de ces mesdames.
Sally Bikerwilly : Mais, vous aviez promis de ne pas nous faire de mal !
Tico : Ouais, mais j'avais croisé les doigts.
Sally Bikerwilly : Crotte !
Mathilde Bikerwilly : Ouah ! Comment ils nous ont bien feintés maman !
Sally Bikerwilly : Bon...Je me sacrifie, mais seulement si vous promettez de ne pas faire de mal à ma petite fille !
Tico : Mais oui, mais oui...
PAN !
La famille Bikerwilly
Tico : A ton tour, ma jolie !
Mathilde Bikerwilly : Raah ! J'étais sur qu'on aurait pas du vous faire confiance une 2eme fois !
Tico : Vas-y Gédéon, j'ai épuisé mon barillet, fini le boulot !
Mathilde Bikerwilly : Je vous en supplie, ne tirez pas !

Gédéon lève son arme, mais hésite

Moment de faiblesse pour Gédéon.
Gédéon : Je...
Tico : Vas-y ! Tire !
Mathilde Bikerwilly : Je vous en supplie, ne tirez pas !
Tico : Tire !
Mathilde Bikerwilly : Je vous en supplie, ne tirez pas !
Tico : Tire !
Mathilde Bikerwilly : Je vous en supplie, ne tirez pas !
Tico : Tire ! Bordel de Dieu de mes couilles de merde ! Tire !
Gédéon : Je...
Mathilde Bikerwilly : Je vous en supplie, ne tirez pas !
Gédéon : Je ne peux pas, je ne peux plus !

Il lâche son arme

Gédéon : Cours, petite fille, cours !

Mathilde se met à courir, s'étale dans une flaque d'eau 10 mètres plus loin, se relève en poussant un juron, se remet à courir et disparaît dans la nuit.

Tico : Putain, mais t'es trop con !
Gédéon : Euh...Je suis désolé. Un petit moment de faiblesse.
Tico : Un moment de faiblesse ? C'est tout ce que tu trouves à dire ? Un moment de faiblesse ? Tiens ! Regarde ce que tu mérites pour ton moment de faiblesse !

Tico ramasse le flingue de Gédéon et lui tire une balle dans le genou

Gédéon : Aieuh ! Mais ça fait maleuh !



THE END

Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur la nana aux cheveux bleus

La meilleure façon de vous montrer la subtile quintessence de Je vous en supplie, ne tirez pas ! est encore la démonstration directe en live, pour ce faire, je vais prendre un sympathique cobaye. Tiens, vous par exemple !

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La nana aux cheveux bleus dit :
Qui ça, moi ?



Oui vous, évidemment espèce de cruche ! Vous voyez quelqu'un d'autre ici ? Bon allez, approchez !

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La nana aux cheveux bleus dit :
Oh ! C'est trop d'honneur



Maintenant, je vais pointer mon arme (un classique Colt M1911 ) vers la tête de mon sujet.

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La nana aux cheveux bleus dit :
Ah ! Mais vous êtes taré ! A l'aide ! Au fou !



Pour obtenir la phrase désiré, il suffit de titiller un peu plus notre rat de laboratoire.

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La nana aux cheveux bleus dit :
Mais, je ne vous permet pas !



Tu vas mourir salope !

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La nana aux cheveux bleus dit :
Je vous en supplie, ne tirez pas !



PAN !

Merde le coup est parti !! Normalement j'aurais du réussir à maîtriser mon index, mais, quand je vous disais que c'était un réflexe ... Madame ? Madame ?

Oups ! Je crois que j'ai fait une petite boulette... Hum ! Tututututu ! Je vais partir par là, et on va dire que j'ai rien vu... Hop ! A la proch...

Mr-t-laser.jpg Mr.T dit :
Qu'est ce qui se passe par ici ?!



Ah ! Monsieur Thé ! Et bien je...passais par là, et puis...

Mr-t-laser.jpg Mr.T dit :
Oh ! Mais c'est la nana aux cheveux bleus ! Qu'est ce qui lui est arrivé ?!



Et bien justement...j'étais en train de me poser la question et je...Hum...A mon avis, c'est juste un petit coup de moins bien... N'est-ce pas mademoiselle ?


Voilà ! Sûrement un coup de la grippe A ! Ah ! Ah ! Maladie de merde ! N'est ce pas ?

Mr-t-laser.jpg Mr.T dit :
Et ça, c'est quoi ?!



Young-Man m'a tué


Hum... Hé ! Hé ! J'espérais qu'on ne s'aventurerait pas sur ce terrain, mais... Je peux parfaitement tout expliquer !


Mr-t-laser.jpg Mr.T dit :
Tu vas payer ! Enflure !




Je vous en supplie, ne tirez pas !

Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur les Notes

  1. C'est à dire pas des masses
  2. Que nous appellerons Maximilien R. pour préserver son intégrité
  3. J'aurais pu mettre un lien ici, mais ç'aurait été trop facile.
  4. Grâce à l'effet spécial le plus poussif qu'il m'ait été donné de voir
  5. La connasse !
  6. La salope !

Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur le petit sondage de la fin

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