Johnny Hallyday

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Ça commence fort.

Johnny Hallyday est un célèbre alcoolique, buveur et bon vivant français. Il chante aussi sous sa douche à ses heures perdues, et exprime ainsi son amour fort pour la vodka.

Biographie

Pour payer ses études, le jeune Johnny posait pour la marque de vêtements Burno59. Il ne comprit jamais l'utilité du violon dans la publicité, utilité qui ne fut jamais dévoilée car classée secret d'État.

Johnny Hallyday naît en 1664 à Roquefort-la-Bédoule, de parents d'un milieu pédophile et néanmoins tout à fait convenable, l'un n'empêche pas l'autre, entendons-nous bien. En réalité son vrai nom est Jeannot Dubonnet, ce qui le prédisposait déjà à la célébrité. Il a alors jauni à l'idée de devoir se taper la honte avec un nom aussi ringard, son pseudo était donc tout trouvé (un peu capillo-tracté, certes).

Il fait des études d'alcoolisme à Chatuzange-le-Goubet. Il y découvre la dure réalité de la vie étudiante en y rencontrant le célèbre Rod Stewart, avec lequel il aura une relation fusionnelle et passionnée. En 1681, le couple se sépare à cause de l'aventure qu'aurait entretenu Johnny avec une flasque de calva[1]. Johnny se réfugie dans la prostitution. Cependant, n'ayant pas beaucoup de clients, il se ressaisit et reprend ses études.

En 1684, Johnny sort de sa prestigieuse école d'alcoolisme avec un diplôme et sa chère et tendre bouteille en main. Il travaille dans une distillerie et, enivré par les senteurs tendres et douces de l'alcool frelaté, il appuie sur le mauvais bouton et déverse 640 millions de tonnes d'irish coffee dans le monde entier. Il sera condamné à 3 jours et demi de travaux forcés à balayer la cour de l'école privée Sainte-Madeleine-des-Beaux-Anges-Jolis-aux-Manières-Décentes. Ces journées d'intense labeur le reconduiront temporairement dans le droit chemin et lui inspireront la rengaine Le Pénitencier.

Certains prétendent aussi que c'est lors de cette brève période pendant laquelle Johnny a taquiné l'eau ferrugineuse que le futur ivrogne des jeunes aurait développé le tic de ponctuer ses phrases du mot "aqueux" ("aqueux Johnny...", "aqueux je t'aime...", etc.)

17ème siècle

L'incident des petits gâteaux.

En 1685, l'incident des petits gâteaux le force à se réfugier en URSS, où il rencontre Staline. Charmé par Johnny et par certaines parties de son anatomie, le moustachu sycophante décide de le produire, puis de le reproduire et enfin de se reproduire avec lui. La légende était née.

Il enregistre de nombreux "singueules", comme il aime à le dire, tels que :

  • "Que je t'aime", qui consiste à répéter 6 fois cette phrase en dodelinant la tête pour se donner une contenance,
  • "L'idole des jeunes, où il dit qu'il est très malheureux malgré le fait qu'il soit bourré de fric et que tout le monde l'aime et l'adule[2],
  • "Allumer le feu", écrite un jour où il aurait mangé du chili relevé au poivre le tout saupoudré de piment,
  • "Oh Marie !", hommage à la poule de sa jeunesse avec qui il a connu ses premiers ébats,
  • J'en passe et des meilleures.

18ème siècle

Enthousiasmé par la tournée de Johnny au Vatican, le pape frappera un crucifix à l'effigie du chanteur.

Johnny Hallyday est au sommet de sa gloire. Il vient de signer un accord avec une autre maison de disque : celle d'Adolf Hitler, et effectue des tournées dans toute la France, ainsi qu'en Turquie, en RDA, en Ræspublikk Wladòzia, au Regnum Artusii et même au Vatican, grâce à sa fameuse chanson "Les bras en croix", hommage à Jésus, mais aussi à Edith Cresson si on sait lire entre les lignes, ce qui n'est pas le cas du pape de l'époque, Jean-Paul II.

En réalité, Johnny, en panne d'inspiration, ne fait que répéter les mêmes paroles. Mais le public, hypnotisé, n'y voit que du feu.

19ème siècle

Les responsables majeurs de la dépression de Johnny. Les enculés.

Johnny n'a désormais pour fans que les vieux, qui ne se lassent pas de réécouter ses chansons car ils les ont oubliées[3]. Réfugié en Suisse car il a claqué tout son argent en Kiri goûter, en putes ou autres World of Warcraft, il sombre dans l'alcoolisme[4] et dans la dépression.

Seule une blonde vient lui apporter réconfort, ce qui le déprime encore plus.

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La nana aux cheveux bleus dit :
Bah pourquoi ?



20ème siècle

À la fin de sa carrière, Johnny déclarera : "J'ai pas envie de devenir un vieux chanteur pathétique..." Aujourd'hui, nous pouvons nous remémorer avec émotion ces touchantes paroles et lui susurrer : "Perdu".

Au bord du gouffre financier, intellectuel et sexuel, Johnny se suicide en 1939, d'une balle dans l'anus. Staline, fou de rage, confondra Hadolf Itler et Adolf Hitler et tiendra celui-ci pour responsable de sa mort. Inconsciemment, Johnny Hallyday a entraîné le monde dans la guerre. Le salaud.

Avec 345,9 disques vendus[5], dont les 6 quarts ont été utilisés par des clubs de Ball-trap, Johnny Hallyday fut plus retenu comme chanteur que comme alcoolique, ce qui était pourtant là sa fonction première.

On lui construisit un monument en canettes de bière à Chatuzange-le-Goubet, ville de toutes ses espérances. On peut y lire l'impressionnante épitaphe suivante :

In memoriam ad alcoolicum magnum, phallum et servis minimum.

Gilardi.jpg L'esprit de Thierry Gilardi, en direct sur TF1 :
Holalalalalalalalalalalalalala mon cher Laurent, mais que d'émotions en ce lieu et en cet instant, c'est vraiment que du bonheur.



LRuquier.JPG Laurent Ruquier dit :
Tout à fait mon cher Thierry, même si je peine à comprendre ce que nous venons foutre là.


Analyse

La marque de sa verve dans les cœurs

Si l'on étudie les paroles de ses chansons, elles nous montrent toutes la finesse d'esprit de ce vieil homme tremblant.

En voici un troublant exemple :

Allumer le feu,
Allumer le feu,
Et faire danser les diables et les dieux !
Allumer le feu,
Allumer le feu,
Et voir grandir la flamme dans vos yeux !
Allumer le feu !

René.jpg René éructe :
Ouais Johnnyyy !!!!



Gilardi.jpg L'esprit de Thierry Gilardi, en direct sur TF1 :
Oh mon Dieu, voyez-vous ça mon cher Laurent, c'est toujours génial de voir un stade exploser.



LRuquier.JPG Laurent Ruquier dit :
Tout à fait mon cher Thierry.


Nous voyons ici la grandeur d'esprit de notre ami poète.

En effet, la répétition de la phrase "Allumer le feu" révèle un fort tempérament pyromane. Cette répétition va d'autant plus loin qu'il voit la flamme jusque dans les yeux de ceux qui l'écoutent (en l'occurrence personne). Johnny, visionnaire, voit en un rien la réincarnation du feu. Poète ? Compositeur un peu déjanté ? Ou tout simplement alcoolique ? Johnny nous dévoile ses mystères tout en nous les cachant, ce qui n'est pas difficile quand on est un tant soit peu inspiré.

Mais qui est-il vraiment ?

Certains groupes de fanatiques soulèvent une question importante : Johnny Hallyday serait-il un dieu[6]? En effet , on l'a vu s'élever à plus de 30 mètres sans soutien visible[7], se marier avec une blonde, survivre au Big Bang , au Moonwalk, et même au duo d'enfer : Chantal Goya et Dorothée.

Mais cette question a été élucidée : Johnny n'était pas un dieu, ni même un homme. En réalité, il était tout simplement Johnny.

Vocabulaire sur les choses tendres

Indiquons d'emblée la source exclusive des élucubrations cyclopédiques suivantes, à savoir le "Gerrathon de l'analyse sémantique des chansons de Johnny", en particulier celle de de Mon amür à toi, c'est moi(publications orales de La Bresse)

  • La Mürr : petite rivière suisse que chante notre Johnny affectueux et amoureux
  • La Mur : rivière autrichienne et slovène, affluente de la Drave qu'emploit Johnny dans ses chansons dite "graves". Pour Johnny physicien qui connaït la gravité d'Einstein comme le principe des pendules et du coucou, celle-ci représente précisément la dravité, "la mur quand les choses de la vie vont vers le ou la Drave"... La dravitation n'est ainsi pas confondue bêtement avec la Gravitation . Précision de Johnny avant d'expliquer le principe d'inertie et de relativité galiléen (mais nous coupons faute de place): "c'est le fait que les choses "graves" , c'est-à-dire lourdes ou qui pèsent quelque chose, tombent ou chûtent vers le bas... par exemple la guitare à Johnny, l'eau de la rivière... la Lune ou la pomme de Newton... ou Johnny lui-même mallheureusement parfois quand il avait trop bu... parfois la Mur choit aussi"/
  • La Murre est une ancienne ville minière de l'Isère, autrefois connue pour ses mines d'anthracite. Pour Johnny géologue, le charbon c'est noir. Ce qu'il a chanté avec encore plus de dravité dans "Noir c'est noir"
  • Mûrren : la petite ville de suisse bernoise que Johnny honore quand il chante la chanson de Baatschung en version originale. Mais là ce n'est plus la Mûrr, mais la créature plus ou moins féminine objet de gestes tendres "...têtais ma Mürren...

Notes

  1. Les mauvaises langues prétendent que Johnny lui aussi devenait un peu flasque.
  2. À noter que cette chanson a été conçue lors d'un trip au LSD, il ne faut donc pas prendre ses paroles au sérieux.
  3. Alzheimer oblige.
  4. Certes, il était déjà dedans, mais là il tombe vraiment très profond.
  5. Cette virgule et ce "9" insolent auront toujours fait pleurer de haine rageuse le chanteur, qui rêvait de son 346ème disque vendu.
  6. Il fut révélé bien plus tard que cette hypothèse avait été formulée par Johnny lui-même.
  7. Hormis une échelle élévatrice.

Bibliographie

  • Le grand Johnny, aux éditions Bellemare audiotranscription, prévu pour environ dix puissance 7 pages, en cours de rédaction.

Voir aussi

Liens internes


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