Mariah Carey
Mariah Carey est une crieuse publique qui a fait son chemin à coups de "aaaaah", de "ooooh", et de « meuuuuuuuuh ». Allaitant le monde entier grâce à ses poumons généreux, satisfaisant les géographes avec ses deux monts Tic & Tac, revenons sur le destin de celle que l’on a si justement appelé La P’tite Alcoolo d’Amérique, une adaptation du célèbre roman de Charles Poivrot.
Un conte de Fesses
Il était une foire, dans une campagne perdue du pays de l’oncle Sam, où l’alcool ne venait jamais à manquer. Pour les hommes, les femmes et les bêtes, rien n’était plus bon qu’une bonne p’tite cuite pour voir la vie en rose. C’est ici que fut conçue en 1970 une petite fille de l’union d’un papillon rose à pois fushia (ou serait-ce rose-bonbon ?) et d’une vache un soir de beuverie. En effet ne dit on pas « Arrosée le matin, ça craint, arrosée le midi, pourrie, arrosée le soir, laisse-moi-boire ? ». MeeeuhRaya, dite Mariah, naîtra le 21 du mois de Mars, soit le premier jour du printemps, et ma foi ça se fête ! On remplira le jour même son biberon de vodka, ce qui marquera le début d’une longue et dure addiction.
C’est à l’âge de 4 ans que Mariah est forcée d’entrer en centre de désintoxication après avoir manqué de s’étouffer en participant, bourrée, à un concours de mangeuse de saucisses (Pourquoi pas de tartes ? Parce qu’il est de notoriété publique qu’il n’y a que des pervers qui me lisent, pardi !). Un coup dur pour la petite fille qui, subissant les hallucinations la montrant se faisant abuser sexuellement par des papillons multicolores, noiera son manque affectif et son chagrin dans sa seconde et nouvelle passion, la bonne bouffe. Les années passeront alors très rapidement, sans grand épanouissement pour la demoiselle. Obèse, perturbée, la petite fuira ce malheureux monde pour New York, parce que rien n’y serait impossible, et que pour mon récit ça fait plus stylé. Agée alors de 18ans, Mariah se rebaptise Mary Carey et se donne en spectacle sur les meilleurs trottoirs de la cité, se faisant bien souvent filmer. Pour les plus passionnés d’entre vous, il vous suffira de taper Mary Carey sur Google pour observer la jeunesse houleuse de Mariah. C’est pourtant dans la rue qu’elle rencontrera celui qui la sortira de la rue, le très riche et connu Tommy Ricola.
On raconte qu’il l’aurait fait monter dans sa voiture, l’aurait amenée dans sa chambre et lui aurait demandé de se déshabiller, comme à son habitude. Se mettant lui-même à nu, les yeux de Mariah se seraient rivés sur son organe génital d’une petitesse impressionnante et aurait poussé un cri aigu, très aigu, connu de tous : la fameuse Aïe-Note. Certes, ce n’était pas avec ça qu’elle aurait mal, mais ce cri de pitié fut causé par ce pincement au cœur…Pauvre homme, va. Dénichant la bonne affaire, l’homme la paiera alors à plein temps, décidant de lancer la carrière de la jeune femme pour la sortir de la rue et sortir de sa propre solitude. Et puis ne dit on pas que « Ricola, c’est bon pour la gorge » ? Nous sommes en 1990, une star bien particulière allait naître.
Un suce, suce, succès incroyable !
Il faut donc bel et bien coucher pour réussir. Et à la vue des 60 000 000 d’exemplaires vendus durant les 5 années de leur union, il est indiscutable que Mariah ne s’en est pas privé. Ses Aïe-Note les plus aigus, produites inexorablement suite à leurs nombreux ébats, atteindront le stade suprême dans la chanson « Eh ! Moche-thon » en 1991, titre qui soulève depuis 20 ans les interrogations des nombreux moutons du monde entier. « Mou…Ton ? », vous dîtes vous. Ne vous affolez pas, je n’ai pas encore perdu l’esprit (quoique). Mouton est le nom que donne MeuuhRayah au public réceptif à ses meuglements, la suivant aveuglement quoi qu’elle fasse en prenant comme référence chaque son qu’elle produira. Comment reconnaître un Mouton ? C’est simple, il réclamera, au fil des années, toujours plus de ballades racontant continuellement le même refrain. Mademoiselle, s’il vous plait, un refrain typique de Mariah Carey ?
La nana aux cheveux bleus dit : | |
«Naaaan l’amour n’est pas fini, ressert moi d’la chantilly, je t’aiiime, moi non plus mais en fait si, que c’est beau, p’tits oiseaux et gros gateau, IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIH » |
Merci.
De quoi devenir chèvre. Une vraie ferme à elle seul, la Mariah, paradoxalement il nous aura fallu 10 ans pour lui demander de la fermer. 10 ans durant lesquels elle nous aura chanté l’amour à la plage, à la maison, en vacances, à la maison, dans le jardin, chez le poissonnier, avec un ado, un homme, un fantôme, entre femmes et enfin avec un certain Jack (les fans comprendront). En 1993, pour des soucis de fortune, Mariah est forcée d’épouser Tommy Ricola jusqu’à ce que la mort les sépare, ce qui à l’époque ne semblait pas très long (cheveux blancs, vue baissante au point de l’appeler « ma belle »… Tout le monde disait qu’il crèverait vite, le vieux Ricola). A présent parmi les plus grandes fortunes de la ville, MeuhRayah put s’acheter elle-même ses hymnes à l’amour mielleux et cul cul afin de faire grimper ses disques dans les Charts et devenir une légende. De cette période en or naquirent ses deux albums les plus vendus au monde, Bouse-In-Box et Des-Vignes. Mais il devient évident que Mariah n’est pas heureuse là où elle est.
Sans doute voulait elle dénoncer par là son emprisonnement dans un milieu restreint et mal-odorant. Le mystère reste entier sur cette phrase, en effet le rappeur Eminem, le romantique ex de Mariah, nous dira des années plus tard que cette dernière adorait par-dessus tout jouer à la fontaine. Le divorce fut prononcé, divorce qui mena Mariah à une longue période où elle retournera sur le trottoir, et sera la proie de dealer qui donneront un nouveau départ à ses délires de papillons. L’inspiration se fait fumeuse, et les albums se vendent de moins en moins. La décennie se termine avec Nain-Beau, un clin d’œil à son petit ami du moment. La pochette représente les 5 couleurs de l’arc-en-ciel. Mariah en dira « Oui, moi j’adore sucer les M&M’s ».
Déboires comère-ciaux, dé-boire de l’eau de vie, euh ! De la vie
Après une soirée à thème Papillon, Mariah dont même les lunettes ne cachaient plus ses yeux défoncés décida de reproduire sa vie sur scène. Julia Roberts avait malheureusement déjà tourné Pretty Woman, elle décida alors de scénariser son histoire en enlevant tout ce qui pourrait y avoir de gênant, de moche, d'osé, disons le carrément, tout ce qu’il pourrait y avoir d’intéressant. Le film raconte l’histoire d’une petite fille qui grandit avec ses amies sans ses putain de parents, qui fugue dans les clubs la nuit et qui signe un contrat avec un jeune homme aux atouts impressionnants, et ensemble ils gagneront des millions et iront au KFC. Les Ramzy-Awards fusent, tout comme Anus au pays des Merveilles le film ne serait regardable que par des personnes ayant consommé de fortes substances illicites (MeuhRayah y apparaîtrait sous des formes grotesques, ridicules, avec des plumes dans les fesses et un air de conne, genre ça : )
Parallèlement, décidée à renflouer son compte en banque, Mariah attaque de plein fouet ce nouveau millénaire en se remettant à meugler dans le micro. On raconte que l’esprit d’une certaine Cindy Sander se serait alors introduit en elle, la rendant en retard de 20 ans, poussant son obsession pour les papillons à son summum et ravivant son gout pour…Le mauvais gout. Cheveux décolorés, album rose-lavande (pour changer, quoi, il faut évoluer dans la vie les enfants) et violet pâquerette, refrains de Dinde affamée. Glitter était né ! Les conséquences furent dramatiques pour le monde entier. Payant les radios pour matraquer son dernier single Papillon de l…Hum, « A l’envers, boy ! », elle causa des envies suicidaires à tout le monde en plein New York. Un bienfaiteur du nom de Ben La-Dèche dirigea alors deux avions de ligne sur les deux tours les plus hautes et habitées de la cité, abrégeant les souffrances de plus de 3000 personnes.
Se faisant toute petite, Mariah parviendra à se faire peu à peu oublier, se cachant dans une grotte en Afghanistan, ce qui mènera à un exploit : la vente de 300 exemplaires de Glitter. Elle y reprendra des formes, et pas que moralement, bien évidemment. Ayant fort besoin de revenir en force, elle s’appuiera fortement contre Eminem, un rappeur en vogue aux États-Unis. Ensemble ils pénètreront dans des mondes (musicaux, « bien sûr ») inconnus, elle sucera sans relâche son style et avalera ses conseils sans broncher. Eminem la serra avec force et passion, afin de lui prouver son attachement pour elle. D’ailleurs, « ça » collait, et pas qu’un peu, selon lui. L’idylle naissante redonna des couleurs à la jeune femme qui repris confiance en elle et attrapa à pleines mains le bâton du berger qu’il fallait suivre. Les médias retrouvèrent la trace de Mariah, reprenant goût à la vie et à toutes formes de substances (oui bon ça va, j’arrête les sous entendus, pff !), dont son bon vieux Whisky, qui entraîna quelques situations cocasses qui feront pour des années le bonheur de Youtube. Le monde découvrait alors une nouvelle Mariah, plus proche de son public, et intéressée par des actions humanitaires et de bien publique :
Mais un jour, on retrouva MeuhRayah dans son trou… À terre… Le ventre baigné d’une substance blanche en quantité exagérée, mêlée au sang de la Diva. Le problème viendrait « d’en bas », quoi qu’il en soit le choc aurait été si violent qu’elle en a perdu connaissance. Cela marque la fin des traumatisants déboires de Mariah, qui allait ENFIN pouvoir rebondir (dans sa carrière, ou au pire sur ses bourrelets).
Eminem=MegaC**illes²
Face à cette situation gênante, Mariah tenta de nier sa relation avec le rappeur. Elle sortit alors l’album Charme-Désuet, qui eut un succès très mitigé. Il lui faudra deux longues et dures années de diète pour enfin espérer rentrer à nouveau dans la robe du succès. Liposuccion, régime sans bouffe, rien ne fut trop bon pour la faire revenir au Top. Elle dira par la suite que la seule raison de ses déboires furent, je cite : « la faute à cette p*ufiasse de latino, J-Lope ». Vous l’aurez compris, après 35 années de pré-adolescence continuelle, Meuuuh-Rayah put enfin passer à la crise. C’est une femme Emanslipée que nous retrouvons en 2005, plus personnelle que jamais, et prête à dévorer le succès à pleines dents. S’étant faîte dépasser lors de son absence par des minettes de 12 ans à la Beyoncé, elle décida de reprendre ce concept de Dinde qui lui appartenait de droit, à la seule exception qu’elle au moins ferait ses featuring avec des hommes car les femmes seraient incapable de la satisfaire hors-écran. Fat-Joe, Jermaine DuPré, Phallus Williams, Sean Poule, tous passèrent à la casserole sous l’impulsion de la Diva.
The Return Of The Noise si bien annoncé fut bien vite réalisé. S’étant tellement dénudée au fil des années afin de vendre ses albums, elle se trouva fort embarrassée lorsque, déjà nue, elle n’eut plus rien à retirer pour attirer l’œil des caméras. Elle se lança alors dans de nouveaux projets, comme participer à des télé-crochets étrangers pour les alimenter en répliques cultes et débordant de champagne.
Mais l’amour manque alors fortement à sa vie. C’est ainsi qu’elle se remet en travail dès 2006 pour pondre un album en souvenir de son amour éloigné et perdu, son rappeur adoré. Elle le mettra fortement en valeur dans E=MC², le titre de cet album qui lui est dédié, et l’invitera à toucher ses seins dans Touch My Boobies, le 1er single. Malheureusement, Eminem restera formel… « Je veux ta fente », dira t il dans sa chanson « Bagpipes from Bagdad ». Leur désaccord viendrait il de là ? Les experts s’interrogent.
L’homme aurait en effet parlé de la bouche, du ventre, des mains, des pieds, des poils, de la cave à vins, et des organes génitaux et digestifs de sa partenaire, mais jamais de ses atouts mammaires. On dit alors que contrariée, elle refuserait de se redonner à lui tant qu’il ne porterait pas attention à ses air-bag. Pour le rendre jaloux, elle se paya alors un Escort-Boy du nom de Nique TaNonne (nom de scène, bien évidemment) et se donnera davantage en spectacle avec lui, jouant à « Barbie habille Ken », « Barbie joue aux cookies avec Ken » et « Barbie fait pouet-pouet avec le derrière de Ken ». Mais rien n’y fera, Eminem restera de marbre face à ce sketch (repris parait il par Florence Foresti dans son nouveau spectacle), et par la même occasion à l’obsession de Mariah pour son corps et leur relation passée.
Fourre The Records
Les fans d’Elvis rugissent encore de colère, oui, c’est déloyal. Ils sont déçus. DE-CUL, euh, DE-CUS. Le King a eu un immense succès, malgré son gros désavantage. Bah oui, lui ne s’est jamais fait greffer de mamelles pour vendre ! Pourtant, malgré la colère compréhensible d’un grand nombre de personnes, MeuhRayah totalise en deux décennies de carrière 18 numéros 1, un record pour une vache-laitière. Pour apaiser les esprits, voici la liste des 18 titres ayant conquis les charts, et de leur signification pour la Diva. Car oui, Mariah écrit avec le cœur, personne n’en doute !
- Vision of Laught, en souvenir de sa première fois avec Ricola.
- Love Takes Taxe, ou le risque pour Mariah de reprendre ses vieilles habitudes.
- Some pay, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle se tapait une 3cm aussi petite que son compte en banque.
- I Don't Wanna Graille, ou le flirt de Mariah, vexée après une mauvaise réflexion sur son poids, avec le mensonge
- Eh ! Moche-Thon, ou la première dispute du couple le moins glamour d’Hollywood.
- I'll Be Bear, un indice sur la technique de réalisation d’une Aïe-Note (voir ci-dessous)
- Stringlover, ou l’avènement de la cochonne.
- Zero (remixé Mc Do), parce que le Coca sans sucre, c’est un don de Dieu
- Chantilly, le titre parle de lui-même.
- One Sweat Day, un jour de forte clientèle
- Always is My Baby, chanson publicitaire pour ses fuites occasionnelles.
- Poney, hommage à son public de moins de 5 ans (soit 70% de ses fans, ou alors, ils le cachent bien)
- My Balls, sorti en 1997, fête la première d’une longue série de chirurgie mammaire pour Mariah.
- Heart-niqueur, ou la totale osmose entre son cœur et ses pensée. Chacun ses priorités !
- Thank Gode I Found You, ou la redécouverte du plaisir pour la première fois après Ricola.
- We Bedave Together, l’un de ses plus gros succès, criant de sincérité.
- Don't Forget a bout d’oeuf, un retour triumphant à sa première passion, manger.
- Touch My Boobies. Nan, en fait y avait même pas besoin de le parodier, ce nom là.
Mariah Carey, c’est aussi 79 records plus fous les uns que les autres. Ainsi, Mariah Carey, c’est entre autres :
- 350 kilos d’écart entre la masse en pleine promotion d’album + effet photoshop, et la masse au repos.
- 7 TOC-taves, allant du tripotage d’oreille aux levers de bras à la moindre occasion, en passant par les gémissements compulsifs.
- 300 retoucheurs photos à plein temps, qui parviennent à transformer - non sans mal - notre dinde internationale en vache rachitique toute gommée.
Prouesses buccales
Qu’on se le dise, Mariah est une exception dans la basse-cour. En effet chacune de ses chansons est signée par un son strident abrutissant le cerveau de son auditeur afin de le forcer de manière subliminale à acheter son opus suivant. Prenant cette particularité comme un don de Dieu, elle l’utilisera alors à la moindre occasion devant les yeux écarquillés de ses Moutons… Qui ayant forcé sur la vodka oublieront instantanément que le même son est produisible par un sifflet, un pneu crissant, ou un lit grinçant tiens. Ou une alarme à incendie. Ou votre femme, sœur, mère devant un acarien et autres nuisibles. Ou celui d’un garçon découvrant pour la première fois sa copine sans maquillage. Ou bien Lorie en train de jouir de l’action sur son corps des 4 Télétubbies simultanément. Bref, revenons à nos Moutons !
Nombre d’entre eux se sont interrogés sur la méthode de fabrication de ce l’on appelle communément une Aïe-Note. A ne pas confondre avec une Ail-Note, cette fois utilisée par Marianne James pour forcer les producteurs de M6 à ne jamais l’oublier. Mais encore une fois nous nous égarons, levons les yeux vers l'Étoile du Berger. Vilains moutons, va. Après la découverte peu conventionnelle de son don, MeuuuhRayah tenta de perfectionner le son produit afin de pouvoir le rendre toujours plus aigu, toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort ! (On nous vole toujours tout à nous, les Français). Quelle est le secret de la réussite ? La Désencyclopédie vous livre le secret ultime de Mariah Carey en exclusivité mondiale.
Vous pouvez essayer à la maison, c’est tout simple !
1. Si comme elle vous êtes issu des milieux bovins, laissez vous pousser les poils. Il en émergera des cuisses, des oreilles, du torse, du dos, des fesses, un pur bonheur.
2. Entraînez vous à faire des gestes gracieux, rapides et (à peine) ridicules qui vous serviront à faire diversion le temps de réaliser notre plan machiavélique.
3. Placez très rapidement vos ongles de préférence très longs sur une touffe de poils et tirer : vos yeux se fermeront immédiatement, et votre bouche produira des aigus qui peut être un jour seront acclamés par le monde entier.
L’appartenance de Meuh-Meuh au monde des vaches facilite bien sûr la poussée rapide et sans engrais de sa pilosité. Facile, me direz vous. Oui mais voilà, avez-vous vu ne serait ce qu’une seule fois notre Diva produire une High-Note sur un plateau télé en bikini ? Et non ! Il faut bien dissimuler sa pilosité. En cas de cuisses rasées, Mariah placera alors sa main dans l’oreille, où le poil afflue, pour un effet pro incontestable. Pour les quelques performances où, manque de pot(-al), cette technique ne serait pas réalisable, elle nous aura que trop souvent répété ô combien elle était croyante pour que l’on puisse réaliser que ses supplications envers le Dieu-Playback ont été entendues. Après tout, avec des boobs pareils, comment refuser ?
Con-clusion, Liens
Qu’elle soit dinde, vache, truie, on l’aime notre Mariah. Elle revient cette année avec Mes Tares Imparfaites à la Poubelle où elle tentera de s’épurer. Sortez le pop-corn, je SENS qu’on va bien s’amuser. SO OH OH OH, OH, OH OH OH OH, Obèse.
Site officiel du chirurgien de Mariah Carey
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