Petit Loup
Tout a commencé à la fin du 18ème siècle. En 1889 et... ah, non alors, je veux dire 19ème (je confond encore, ma prof d'histoire m'a pourtant donné une astuce mnémotechnique), bon mince, la phrase est franchement moche. Dégueulasse. Pas belle quoi... Je la refais.
Tout a commencé à la fin du 18ème siècle. En 1889 et des pirouettes (et des brouettes). Des mouflettes. En cette date, Petit Loup, ou Le Petit Loup, naissait. Il naissait dans de très pauvres conditions. (Pauvre Petit Loup !) Le Petit Loup était très pauvre. Normal pour un nouveau-né. Mais je veux dire que la famille du Petit Loup était très pauvre.
Petit Loup était né dans une toute petite ville pourrie et difficile de la froide Autriche de l'époque, mais je ne sais plus exactement où elle se situe exactement en Autriche, ça va me revenir, peut-être que je le dirai tout à l'heure. En tout cas, il est né dans de très moches conditions. Vraiment très moches.
Vraiment très très très moche. Ah oui ça, il est né dans de très moches conditions. Dans une auberge, au dernier moment, plouf ! Mais genre une auberge bien dégueulasse hein, alors oui, déjà qu'une auberge c'est dégueulasse, là il est né dans un truc vraiment horrible : très très très très moche.
Le commencement de l'histoire
Le Petit Loup vivait avec ses frères et sœurs. Que des grands frères et des grandes sœurs. Ah, le pauvre, c'était le plus petit ! Pauvre Petit Loup ! Le plus petit ! Je sais pas si vous vous rendez compte, genre le gars « ah ouais mais je suis tout petit, tout minuscule, ouin ouin » et sa famille qui lui répond « ah ouais, ben, t'es tout petit, t'es minuscule, bla bla ». Ah mais c'était l'enfer. Vivre et être tout petit, tout minuscule (le plus petit), il y a de quoi être très triste. Comme en enfer. D'ailleurs, il y avait du feu et de la lave chez Le Petit Loup, enfin, non, il n'y en avait pas, ça n'aurait pas de sens. Arrêtons-nous ici : il y a de quoi être très triste.
D'ailleurs, Petit Loup était très triste. « Ouin ! Ouin ! », dit-il d'un air très triste. « Ouin ! Ouin ! », disait-il d'ailleurs très souvent du même air très triste. Le Petit Loup faisait pitié. Mais il avait une famille.
Son papa (au Petit Loup), il avait un métier de merde. Pas de chance. Mais c'était comme ça : il travaillait à la douane et faisait un métier difficile. Car, oui, Le Petit Loup et sa famille vivaient vraiment dans la merde, à la frontière. Et son papa faisait un métier très difficile.
Sa maman ne faisait pas de métier très difficile. Sa maman avait un cancer du sein, mais à l'époque, on ne pouvait pas le savoir. Elle n'avait pas de métier, et c'est la raison pour laquelle j'ai dit qu'elle n'avait pas de métier très difficile, contrairement au papa, qui avait un métier vraiment très très difficile (un métier affreux et difficile).
Les frères et sœurs du Petit Loup, hélas, moururent très tôt. C'est vraiment une histoire très triste, je suis désolé, mais l'histoire, je l'ai inventée comme ça, donc elle est comme ça. « Ouin, ouin », disait Le Petit Loup. En plus, comme si ça ne suffisait pas, son papa le douanier mourut alors que Le Petit Loup avait quatorze ans. C'est vraiment une histoire horrible. Il ne restait plus à Petit Loup qu'une de ses sœurs, et sa mère. Mais sa mère mourut elle aussi un peu plus tard, alors que Le Petit Loup n'avait que dix-huit ans. De toute façon, ce n'est pas très grave, puisque sa mère était complètement incapable de s'occuper de lui (elle avait de très graves problèmes de santé et d'autres problèmes très graves).
Il restait la sœur de Petit Loup, qui s'en alla. On ne sait pas où. Petit Loup était très triste. Il pleurait. «je pleur ;( ;(», disait-il d'une voix affaiblie.
Petit Loup, l'orphelin
Petit Loup était seul, Petit Loup était jeune et perdu. Le Petit Loup devait avoir dix-neuf ans, quand il alla vivre dans la rue. Un clochard orphelin. Très triste. Il pleurait parfois. Parfois, il ne pleurait pas, mais ce qui est sûr, c'est que Petit Loup était vraiment triste. "Le" Petit Loup était triste.
Il mendiait. Il faisait le trottoir. « Voulé-vou passé une bel soiré, monsieur ? ;) »
— Oui, petit, héhéhé, je suis très content.
— ok alor vené avec moi héhéhé ;) (Petit Loup était en fait très triste)
— Oh, mais... tu es mineur, ça me gêne un peu (le monsieur était en fait très content)
— ne vou en fete pa pour sa lol sa va aléééé vené avec moi (c péyen)
— Ok alors (héhéhé)
Petit Loup avait été obligé d'aller vers la froide capitale et de tenter de gagner de l'argent. C'était vraiment très triste.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Quelle horreur ! |
Oui.
Le Petit Loup s'engagea dans l'armée
Allez, vous le savez sans doute déjà si vous êtes assez malin (sinon, tant pis), mais Le Petit Loup eut tout à coup envie d'aller dans l'armée. Il s'engagea, non pas dans l'armée de son pays, mais dans une autre. Celle d'un autre pays, où il était parti vivre. Je ne sais plus lequel, peut-être que ça va me revenir. En tout cas, Le Petit Loup était très triste, et c'est cette tristesse qui lui donna la force.
En effet, la force. Le Petit Loup était un Dieu de la guerre. Il adorait se battre, et il se battait vraiment bien. La guerre, il la faisait avec autant de talent que lorsqu'il faisait l'amour à un monsieur plutôt âgé. Ah, quel homme ! Il était vraiment très doué ! Pan ! Pan !
Faites attention ! | |
Pan ! Pan !
|
La guerre, c'était vraiment très violent.
Faites attention ! | |
Piou ! Piou !
|
La guerre, c'était vraiment très violent, et Le Petit Loup s'y débrouillait super bien.
Faites attention ! | |
Ziiion ! Rayon laser de 1915 !
|
Mais, même si Petit Loup était fort à la guerre, son équipe avait perdu. Quelle tristesse ! L'équipe du Petit Loup ne savait pas jouer. Ils n'étaient qu'une bande de tocards. Petit Loup s'énerva contre ses co-équipiers après la guerre. Il devint un gros rageux. Mais il avait raison, son équipe puait la merde, ils ne savaient pas jouer. Seul Petit Loup avait du talent, et c'est ça qui le frustra encore plus.
Sa vie était devenue encore plus triste.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
C'est triste ! |
Oui.
Politique
Bon, je suis sûr que vous le saviez, mais Le Petit Loup s'engagea en politique.
Ben oui, évidemment. Il avait quelques potes de la guerre qui jouaient bien (mais ils n'étaient pas nombreux) : Petit Cochon, Petit Cochon Numéro 2 et Petit Cochon Numéro 3 (les trois petits cochons, lol). Il y avait aussi d'autres animaux, mais je ne dis pas leurs noms, parce que c'est moins marrant (Joseph le Gibbon, bof quoi).
Donc, il avait quelques amis, et il décida de monter avec eux un petit coup d'état. Rien que ça. Leur coup d'état était absolument ridicule. « lol ! », se dirent les dirigeants du pays. « Mais osef ! », se dirent Petit Loup et ses copains. Mais non, pas osef finalement, parce-que Le Petit Loup finit en prison.
Quelle vie horrible.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Quelle vie horrible. |
La prison
Petit Loup avait fait de la peinture. C'était un peu un artiste, quelque part. Il se mit à devenir écrivain. C'était presque pareil.
Le monde était vraiment injuste. Le Petit Loup subissait les injustices du monde, et donc il décida de se battre contre elles. Il décida donc d'écrire son livre contre ces injustices (les artistes luttent contre les injustices, ils sont gentils). Il était triste. Il écrivait, dans son horrible cellule, en sanglotant de temps à autres. Pauvre de lui ! Sa vie était vraiment horrible ! Le monde était mal fait ! Le monde était injuste ! (Très injuste) Le Petit Loup se sentait tout triste, et écrivait son livre...
La nana aux cheveux bleus dit : | |
C'est trop sentimental |
Oui.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Snif |
Retour en politique
Après sa sortie de sa prison (la prison très froide et très difficile), Petit Loup décida de revenir en politique, mais ça, je vous le dis alors que vous le savez déjà, ça paraît évident.
Il décida donc de se présenter aux élections (celles pour être le chef du pays). En fait, il vivait en Allemagne. Oui, vous le savez surement, mais moi, je ne me souvenais plus bien de mon histoire, c'est pour ça que j'avais oublié qu'il était parti vivre en Allemagne.
Le Petit Loup était un excellent orateur. Il profita de son talent d'orateur, et de la crise (la crise) pour se faire élire par le peuple allemand, absolument convaincu par ses idées de liberté et de justice. Le discours du Petit Loup était trop beau. Le peuple était en larme (des larmes de joie).
À la prise du pouvoir par Le Petit Loup, ce dernier était devenu content. Il était enfin arrivé à faire passer son message d'amour, de liberté (et de justice) à travers les oreilles du peuple allemand.
La foule criait en son honneur ! La foule reconnaissait sa valeur !
Lui qui était le pauvre Petit Loup à la triste vie de misère (il s'était fait enculer par un monsieur, je sais pas si vous vous souvenez, quand même), il devint le... Guide !
Le Petit Loup boiteux devint Le Guide !
Le Petit Loup perdu devint Le Guide !
Le Petit Loup de misère devint Le Guide !
Quel honneur !
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Et quel bonheur ! |
Sa victoire était glorieuse et sanglante !
Tout le monde criait ! « Heil ! » « Heil ! »
Quelle joie !
Tout le monde lançait du ketchup !
Tout le monde lançait du coca !
Petit Loup le Guide était HEUREUX !
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Heureusement que ça se termine bien ! |
Article cradopoulo ma kif kif maousse costo Cet article a sa place au soleil du Top 10 des articles de 2010.
|
Cet article a été voté dans le "best of" de la Désencyclopédie! |
Portail du Portnawak • Portail de l'Illittérature • Portayl de l'Histoyre |