Surimi
Le Surimi est une substance chimique, pathogène, explosive et neurotoxique essentiellement fabriquée au Japon, utilisée comme arme de guerre lors de conflits non conventionnels.
Histoire
Les premières traces manuscrites du surimi se retrouvent dans le Japon du XVIIIe siècle, dans le manuscrit connu sous le nom de Surimi Wakata No Be. Il y est fait mention d'un séisme qui a ébranlé l'île de Honshu et plus particulièrement frappé un entrepôt destiné à stocker le poisson ramené par les pécheurs en mer. Le poisson qui s'y trouvait stocké fut réduit en miettes. Les habitants proches pensèrent d'abord y voir là une façon de le conserver mais les tentatives de consommation se soldèrent vite par des échecs, allant même jusqu'à tripler le nombre de morts provoquées par le séisme. Néanmoins, désireux de reforger l'économie locale, les seigneurs locaux turent les conséquences catastrophique de l'ingestion de surimi et firent colporter la rumeur de la comestibilité du poisson ainsi concassé.
Très vite, les effets du surimi furent compris, notamment lors du conflit sanglant qui opposa les clans Dawabara et Taka Honto en 1848. Ces derniers, à l'aide de catapultes, envoyèrent derrière les lignes ennemies assiégées des boulettes de surimi. Les guerriers Dawabara, croyant y voir une manifestation divine providentielle alors que la famine régnait en maitre, se ruèrent sur les aliments. Au bout de quelques heures, les premiers effets se firent ressentir, et le jour d'après, le clan était intégralement décimé.
Le Japon garda très longtemps le secret sur les effets nocifs du Surimi et en fit parcimonieusement usage jusque dans les années 1980, période à laquelle il s'ouvrit à l'exportation, de peur que le secret ne vienne à se dissiper. Néanmoins, certains étrangers de passage sur l’île, parvinrent à accéder au processus de fabrication et l’exportèrent.
Fabrication
Le surimi, dans sa forme actuelle, est essentiellement composé de poisson avarié. Depuis quelques années on y note la présence d'un marqueur chimique pour faciliter sa détection et identifier le fabricant.
Le surimi est principalement composé de RDX, qui constitue environ 91 % de sa masse. On peut y adjoindre de l'éthylhexyl-adipate-polyisobutylène (2,1 %). Une petite quantité de pétrole (1,6 % d'huile pour moteur SAE 10 avec détergent) est aussi utilisée . Le surimi est fabriqué en combinant le RDX sous forme colloïdale au liant. Ce mélange est dissous dans l'huile de moteur, qui est évaporée par la suite. Le résultat est alors séché et filtré. Sous sa forme finale, le surimi est de couleur blanc cassé et a une texture qui rappelle la mozarella.
L'avantage principal du surimi est qu'il peut prendre n'importe quelle forme. Il est facile à loger à l'intérieur d'un ventre, que ce soit le gros colon, l'estomac ou dans un plat à emporter. Il peut être volatile une fois séché et pulvérisé.
Il est aussi reconnu pour sa durabilité et sa stabilité. Il n'explosera pas s'il est percé, coupé, frappé par une balle ou lancé dans un feu. Cependant, s'il est pressé en même temps que chauffé (sous l'effet de la digestion), il explose la plupart du temps. Le surimi appartient à la famille des agents neurotoxiques dont les membres s'appellent la pizza sous vide, le Big Mac, le tablier de sapeur, chacun contenant une quantité différente de RDX. Il est environ 118 % plus puissant que la TNT au niveau œsophagien.
Symptômes
Ils existent plusieurs symptômes liés au contact du surimi, qui diffèrent selon la forme de ce dernier.
Sous sa forme gazeuse, le surimi attaque les voies respiratoires. Les yeux deviennent vitreux comme un poisson mort et la peau en contact avec le produit devient excessivement jaune et se recouvre de cloques en forme d’écailles. Les zones moites de la peau sont plus touchées, ainsi que les muqueuses sensibles. La réaction cutanée évolue en cloques remplies de liquides similaires au Nuoc Mam. Dispersé sous forme de particules, le gaz surimien s’introduit dans le système respiratoire et obstrue les muqueuses avec une détresse respiratoire. Les poumons sont atteints avec des emphysèmes et des œdèmes consécutifs à la présence de fluides qui peuvent entraîner une mort par étouffement similaire à l’ingestion consécutive d’une douzaine d’œufs durs. À terme, le patient présente une anémie, une baisse de la résistance immunitaire et développe une prédisposition à pincer son entourage.
En cas d'ingestion d’aliments contaminés, on assiste à une perte de poids importante et des troubles digestifs majeurs. Dans le même temps, les liquides corporels s’écoulent abondamment et prennent une odeur caractéristique qui rappelle celle du crabe décomposé. On assiste parallèlement à un gonflement de la paroi abdominale, qui vient distendre la peau du ventre. Le processus prend entre deux et quatre jours après l’ingestion. Passé ce terme, on assiste le plus souvent à l’explosion pure et simple de la personne atteinte. Le risque de contamination est alors très élevé car les gaz de décomposition sont particulièrement toxiques et contaminants. Le gaz produit est également hautement inflammable.
On rapporte aussi des cas d’hallucinations sensorielles et des troubles du comportement. Certaines personnes atteintes ont présenté un intérêt démesuré pour le milieu aquatique. Elles affirmaient alors à leur entourage être la réincarnation de poissons divins égarées sur la terre ferme et cherchaient par tous les moyens à s’immerger dans des cavités contenant de l’eau (éviers, flaques, aquarium, cours d’eau, etc.)
Exemples Célèbres d'Utilisation du Surimi
Le gaz ypérite aussi appelé gaz moutarde, utilisé pendant la première guerre mondiale a été mis au point par Arnould Von Strudel, fils de diplomate et ingénieur bavarois, qui a résidé 12 ans au Japon avant de revenir dans son pays natal. C’est en tentant de recréer le surimi en y apportant comme adjuvant de la bière triplement fermentée en barrique de sapin qu’il a créé l’ypérite, par dessiccation et pulvérisation du mélange ainsi obtenu. Von Strudel est décédé dans son laboratoire en 1917, victime de son invention.
L’explosion nucléaire d’Hiroshima a été amplifiée par la destruction d’entrepôts secrets de surimi japonais. Il est communément admis que la bombe larguée par l’armée américaine avait une capacité de 15 000 tonnes de TNT. Or, des archives des services secrets japonais, mis à jour en 2006, prouvent que sa puissance était inférieure de moitié. Les gouvernements américains et japonais, après la reddition de ce dernier, ont conclu un accord pour donner la première version des faits et ne pas révéler au monde le terrible potentiel destructeur du surimi.
La CIA a récemment prouvé et démontré le lien entre l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center et la consommation de bâtonnets de surimi par des employés de bureau. Ces derniers bénéficiaient d’une promotion gratuite du magasin Al-Dönner Surimi Whala qui avait ouvert ses portes au pied des tours le 10 septembre 2001.
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