FUCK YOUR ASS!

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THE FUCKER IS HERE AND HE WILL FUCK YOUR ASS!

THE FUCKER IS HERE AND HE WILL FUCK YOUR ASS!

Synopsis – En 2087, un vieux et sa femme - qui se trouve par le plus pur des hasards être également très vieille - sont tiraillés entre l'amour qu'ils éprouvent l'un pour l'autre et un robot humanoïde en provenance du futur qui est persuadé que la vieille n'est autre que Sarah Connor.


Gllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.png – Note de la rédaction de Bons Films
Gllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.png – Note du public
Gllaum3.pngGllaum3.pngGllaum3.pngGllaum3.pngGllaum3.png – Note des critiques qui ont tendance à masturber frénétiquement l'espèce de masse flasque qu'ils appellent matière grise


L'avis Bons Films – Remake américain du film de Michael Hanneukeu Mickaël Aneuqueue du seul réalisateur Autrichien a avoir réussi à exporter ses films. « Amour of the death » se détache totalement du film original en proposant une vision radicalement opposée par rapport à l’œuvre de départ. Bien que le film amour d'Ane eu keu[1] aie pour but d'évoquer un sujet universel et qui parle au plus grand nombre à savoir : se faire chier, le remake américain a préféré prendre le film à contrepied en proposant un sujet beaucoup plus parlant pour le spectateur à savoir : se divertir.

Dans Amour d'Anne Roumanoff en fait il ne se passe pas grand chose et résumer le film est plutôt simple :

Chiant


Chiant


Chiant


Chiant


Chiant


Pas chiant du tout et surtout très représentatif de l'amour. Comme d'habitude le seul truc chiant c'est Roumanoff.



Réalisateur du film original qui a crié au scandale et s'est plaint du soit disant viol de son oeuvre. Personnellement j'aurai tendance à dire que c'est plutôt sa tronche le scandale et que de toute façon avec une tête pareille, personne ne risque de le violer.

La dernière image ne faisant pas partie du film, on remarque tout de suite qu'Anne Roumanoff s'est totalement fourvoyé en passant totalement à côté du sujet qu'il a tenté de mettre en scène à savoir : L'amour. Car l'amour c'est au final une gonzesse qui se fait pilonner par tous les trous et dans toutes les positions et certainement pas des vieux qui foutent rien de leur journée. Alors soit, on peut concéder que le film dénonce un fait de société actuel, à savoir que ça sert à rien qu'on nous ponctionne une partie de notre salaire pour que des vieux touchent une retraite à ne rien faire de leur journée à part se faire chier et faire chier les spectateurs en même temps. Honnêtement, autant bosser au black. Au final, Anne Roumanoff passe complètement à côté de son sujet. Je trouve qu'il était nettement plus performant quand il passait chez Drucker. En aucun cas son film ne parle d'amour, ni ne montre l'amour d'ailleurs. Si une certaine partie de la population paie pour aller voir deux vieux se faire chier toute la journée autant aller directement dans une maison de retraite avec un fauteuil confortable et une boite de popcorns, inutile de pondre un film pour ça.

A mille lieux de tomber dans les lieux communs de l'opus original, James Cameron a travaillé d'arrache pied afin de refondre totalement le scénario et proposer une adaptation beaucoup plus profonde et surtout nettement plus juste et nuancée sur bien des aspects. Dès le commencement, le spectateur est immédiatement happé par l'ambiance particulière qui se dégage du film, car bien que le film est censé se passer la plupart du temps en huis clos, James Cameron a eu l'idée de génie de mettre en scène une bataille épique de trente quatre minutes entre des vaisseaux spatiaux. Débauche d'effets spéciaux et dézingage au laser à tout va, le spectateur en a dès le début pour son argent.

On rentre ensuite dans le vif du sujet avec un plan séquence d'anthologie où le vieux qui possède des Nike sans lacets - référence au futur et à l'année 2087 - s'adonne à une partie de Halo 23 : i will rape you guinea pig, symbole de l’inéluctabilité du temps qui passe et de la réussite complète de la franchise des Halo. Il est également impossible de passer sous silence l'arrivée magistrale du robot qui sonne à la porte et qui, lorsqu'elle s'ouvre, nous offre une réplique culte avec un merveilleux accent autrichien : « Sarah Connor ? », référence plus qu'évidente au réalisateur du premier film, car rappelons qu'Anne Roumanoff est d'origine russe.

On constate tout de suite la volonté de James Cameron d'accentuer le côté intrusif du robot venu du futur qui n'hésite pas à rentrer dans la maison et marcher d'un pas sûr et robotique vers la vieille qui se prépare une camomille par induction laser (on est en 2087 n'oubliez pas) pour lui assainir un « Sarah Connor ? » des plus bouleversant. La question est alors posée : Malgré la force de l'amour qui les lient, le couple va-t-il réussir à supporter la présence d'un robot à l'apparence humaine, armé jusqu'au dents et affublé d'un fort accent autrichien qui répète du soir au matin : « Sarah Connor ? ».

« Sarah Connor ? »


Il n'y a maintenant plus aucune issue, et bien que la vieille se raccroche au moments du passé où elle et le vieux s'aimaient d'un amour passionné, le vieux sent que l'étau se resserre, qu'il est acculé, étouffé, tiraillé. Une seule question hante alors son esprit : Comment se débarrasser de la vieille pour enfin pouvoir se taper une pute comme l'actrice porno qu'il a maté hier soir sur canal.

Son salut viendra finalement du robot qui a maintenant pris ses aises et se vidange régulièrement dans le salon. Dans un ultime geste d'amour, le vieux décide d'accrocher une pancarte « Sarah Connor » sur le dos de la vieille, chose qui permet enfin au robot de se libérer de son fardeau et au vieux de se taper Katsuni.

Grâce a son scénario en béton armé, James Cameron nous livre une des plus belle conclusion du cinéma contemporain : Même si on s'aime d'un amour pur, on finit toujours par crever comme une vieille merde, comme par exemple se faire buter par un robot venu du futur qui vous vide son chargeur sur la tronche.

Bref vous l'aurai compris, « Amour of the death » est assurément le film de l'année, voire de la décennie, un « must see » comme on dit dans les Balkans.

Le casting du film « Amour of the death » réuni et prêt à monter les marches du prochain festival de Cannes.

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Notes

  1. Bon désolé j'y arrive pas avec ce putain de nom de merde. Je vais l'appeler Anne Roumanoff, c'est plus simple et en plus c'est populaire.


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