Comment écrire un scénario de film porno

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Être ou ne pas être ? Qu'est-ce que le bonheur ? Comment écrire un scénario de film porno ?

Ces questions, tout le monde se les pose à un moment de sa vie, en quête de réponses existentielles qui n'arriveront probablement jamais. Pourtant, ce n'est pas si compliqué :

« Être ou ne pas être ? » -> La solution est « être », c'est évident.

« Qu'est-ce que le bonheur ? » -> C'est quand on est content, ou qu'on sourit.

« Comment écrire un scénario de film porno ? » ... Là, ça se complique.

En effet, chacun d'entre vous a sa propre définition du film pornographique, selon votre sensibilité, vos objectifs dans la vie, et votre façon d'utiliser les concombres.

Pour vous aider, ce guide vous guidera à travers les portes de l’univers cinématographique grâce à des méthodes certifiées garantissant un franc succès à vos scénarios qui seront bientôt labellisés, espérons-le, pornographitchcockiens. Rien de moins.

Les personnages

Des profils hauts en couleur

Lors de vos choix de personnages, je vous conseille d’opter pour des profils teintés d’originalité : il est question d’éveiller les pensées malicieuses de votre public en incorporant dans l’histoire de quoi le sortir de son quotidien, que l’on supposera terne. Pas question donc que les protagonistes soient de vieux beaufs alcooliques, ou vivent d’extravagantes aventures en allant chercher leur Tampax et leur cubi de rouge au Lidl du coin. Vendez du rêve, bon dieu !

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Saviez-vous que...
La masturbation ne rend ni sourd, ni borgne, ni roux. C’est une rumeur fondée de toutes pièces par le Vatican afin de favoriser les attouchements sur mineurs et d’éviter les ampoules aux mains.

Pour les personnages féminins, une seule loi fondamentale est à appliquer : la règle du « non seulement ». La protagoniste doit être non seulement jolie, mais également peu farouche. Elle doit posséder non seulement des amies superbes, mais également des gros seins. Elle doit non seulement être rasée de près, mais aussi de loin.

Surtout de loin d’ailleurs.

À décliner autant que possible au gré de vos fantasmes, tout en respectant une certaine mesure. Censurer vos écrits peut vous paraître paradoxal comme ça, si vous partez du fait qu’on montre tout dans le porno. Ceci dit, apprenez que votre œuvre peut être tantôt à vomir, tantôt répréhensible par la justice française, selon qu’elle parle de nécrophilie ou d’attentats envers une population Yorkshire en les faisant éclater de diverses façons impliquant leur anus. Restez donc plutôt classique. Et puis, évitez les personnages animaliers. On n’est pas chez Disney, vu ?

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Exemple :

Carolina, jeune nymphette de 20 ans, croque la vie à pleines dents (et pas que la vie d’ailleurs... ;-) ). Mutine et malicieuse, elle jongle chaque jour entre son emploi de call-girl au Bitches Naked, et l’université, où elle suit un Master de striptease. Cependant, derrière cette façade proprette se cache une véritable tigresse qui n’hésite pas à braver tous les interdits, comme se prostituer gratuitement, ou fréquenter Patrick Sébastien.



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Contre-exemple :

Micheline, quinquagénaire obèse, exerce à mi-temps sa profession de femme à barbe, à la fête foraine de son quartier. Mais la célébrité ne lui fait pas tourner la tête, et c’est dans le bois de Vincennes qu’on la retrouve ce dimanche, en train d’effectuer des travaux de bûcheronnage. Ses hobbies sont l’haltérophilie, la bière Pils et le vidage de truite.


La présentation des personnages masculins peut quant à elle être plus succincte, puisque personne n’y accordera la moindre attention. Bien sûr, à l’heure où on parle de parité au gouvernement, certains pensent qu’il serait de bon ton d’accorder autant d’importance aux hommes qu’aux femmes dans le porno. L’association « Ni gigolos, ni soumis » milite d’ailleurs à cet effet. Prenant bien tout ceci en compte, et considérant que vous n’en aurez rien à foutre, vous pouvez vous lancer dans des descriptions pseudo-soignées de personnages masculins, pour tromper l’ennemi, genre « Henri est un pénis, avec au bout un corps musclé. Il est gros mais pas trop, et pompier ou plombier, ça dépend. Voila. »

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Saviez-vous que...
Même Louis XVI aurait pu faire du porno.


Dummy.pngTon conseiller dit :
Le petit secret qui change tout :


Inspirez-vous du calendrier des prénoms Russes pour nommer toutes vos héroïnes. Bien sûr, cela peut paraître louche si votre histoire se déroule dans le Calvados, que la totalité des femmes s’appellent Lucia, Nikita et compagnie, mais dites-vous bien que personne ne se posera la question, bien trop occupé à imaginer si oui ou non, leurs mamelons sont plus gros qu’une tranche de mortadelle.


Dimension physionomique

Il s’agit de l’apparence du personnage. Jeunes ou vieux, blancs ou asiatiques,... Pas besoin de vous faire un dessin pour prouver à quel point la physionomie se montrera primordiale. Vous préférez certainement voir un sosie de Pamela Anderson se trémousser nue devant l’objectif, que Jackie Sardou étalée au sol sur une peau d’ours avec des étoiles scotchées sur ses gros tétons velus. C’est la même chose pour les spectateurs.

Pour les personnages masculins, tout est encore simplifié : « Antonio est un bel adonis avec une queue de cheval (pas les cheveux lol ;-) ). » Ni plus ni moins.

Mais les physiques féminins devront être confectionnés avec plus d’attention. Chaque femme remplit en effet un rôle bien particulier. Retenez bien ce qui va suivre, c’est très important. Vous connaissez certainement l’adage spécifiant que pour qu’un homme réussisse dans la vie, il doit posséder une femme belle, intelligente, douée au lit et dévouée aux tâches ménagères, MAIS SURTOUT que ces quatre femmes ne se connaissent pas. Il suffit d’appliquer ce précepte à vos écrits : celle qui a une bouche pulpeuse s’occupera en priorité des fellations, celle qui a une poitrine généreuse des positions où ça ballote, et ainsi de suite.

L’idée est que chaque personnage féminin sera un objet à utiliser dans sa fonction optimale, sans s’embarrasser des états d’âme ou des revendications. Est-ce que vous demanderiez à votre fourchette si elle est bien d’accord pour piquer votre steak ? Ou à votre PQ si cela ne le dérange pas outre mesure de vous essuyer la raie ? Un peu de sérieux...

« Bonjour, puis-je te remplir ? » : hors de question de demander ceci aux femmes. Servez-vous.

Bien sûr, cela peut paraître réducteur, voire machiste. D’aucuns crieront au scandale en lisant ceci, notamment des trucs genre Greenpeace et Isabelle Alonzo. Celle-ci se lancera peut-être souvent dans des diatribes virulentes contre vos scénarios, avec des expressions savantes telles que « dérives sexistes d’un autre temps » ou « discrimination sectaire et démagogique de toute une frange de population à frange ». Mais après tout, vous n’en avez rien à cirer de ce que peut bien marmonner cette vieille sorcière moche à dents de cheval. Passons à la suite.

Dummy.pngTon conseiller dit :
Le petit secret qui change tout :


"Femme à lunettes, femme à quequettes". L’utilisation des lunettes vous permettra de pimenter le tout. Elles donneront un air sérieux, voire sévère, au personnage de votre choix. Celui-ci acquérira alors logiquement l’aptitude de distribuer des fessées, et un déguisement de Catwoman. Pas besoin que la binoclarde soit myope comme une taupe, ni qu’elle louche, cela n’aurait pas l’effet souhaité. Ah, et puis évitez aussi les personnages à mono-sourcil, tant chez les hommes que chez les femmes.


Dimension psychologique

Lol...

Non mais sans déconner. Il est aussi préférable de conférer une dimension psychologique à vos personnages. Bien sûr, cela peut paraître superflu de prime abord, si l’on part du constat que les acteurs joueront avec autant de talent que Lorie atteinte d’une paralysie faciale.

Pas besoin d’en faire trop non plus, sachant que les metteurs en scène sont majoritairement à la limite de l’analphabétisme. Certains savent lire, ce sont les Einstein de la profession. Essayez donc d’éviter au possible les introspections à la Zola ou Voltaire, et contentez-vous de sentiments simples. Heureux, triste, content, en rut. Voici les bases.

Heureuse.
Triste.
Étonnée.
Circonspecte.
Le jeu d’acteur restera assez limité.

Psychologiquement, on peut considérer que chacun de vos personnages féminins sera un adepte de la pensée épicurienne. Souvent délaissée par son mari, elle est à la recherche d’un soutien qui pourra combler son vide intérieur, qui n’est autre que son vagin. Elle se révèle très directe, en ne s’embarrassant pas des règles civiques classiques telles que la séduction, et foncera sans état d’âme sur sa cible masculine, comme un lion sur une pauvre gazelle paralytique.

L’homme se distinguera quant à lui par une naïveté caractéristique et touchante. Voyageant le plus souvent nu sous sa salopette, comme tout un chacun, il se montrera extrêmement surpris lorsque l’interlocutrice avec laquelle il discutait quelques instants plus tôt se mettra à agripper son pénis visiblement dans le but de s’en servir comme brosse à dent. Il demeurera ainsi quelques minutes, confus, interloqué et pantois, jusqu’à ce qu’il décide de l’enfourcher promptement à la manière d’une Harley Davidson.


Dummy.pngTon conseiller dit :
Le petit secret qui change tout :


Le complexe d’Œdipe peut vous donner quelques pistes de scènes. Par contre, hormis si vous souhaitez diffuser votre œuvre uniquement dans le Nord-Pas-de-Calais, il est plutôt d’usage de forniquer avec la mère de quelqu’un d’autre. Celle-ci sera alors catalogué comme MILF (pour Maman à quI j’aimerais bien expLorer la fouFoune... Amis de la poésie bonjour...).


L’intrigue

Introduction

N’y voyez aucun jeu de mot malsain. En porno comme ailleurs, une introduction (à votre histoire) est nécessaire, ne serait-ce que pour donner une raison à tous les personnages que vous avez savamment créés de copuler pour en faire un film.

Dans les faits, contentez-vous de poser les jalons d’un semblant d’histoire. Vous pouvez copier un vieil épisode de Navarro par exemple, avec le crime en moins. En effet, votre trame ne doit pas être trop élaborée, ni contenir du sang, pour des raisons évidentes incombant à ce genre cinématographique particulier. Disons que ça serait tout bonnement crade.

Il faut effectivement garder à l’esprit que le spectateur aura tendance à couper le son pour regarder le long-métrage découlant de votre scénario. D’où l’importance des costumes et des mimiques. Si une actrice arrive avec un uniforme de femme de ménage, regardant d’un air vindicatif un gros monsieur affalé sur un canapé, le spectateur, malin au demeurant, comprendra qu’il s’agit d’une femme délaissée. C’est tout ce qu’il faut savoir.

De l’action

Les scènes d’action doivent faire l’objet d’une attention particulière. À la manière d’un film de Luc Besson, c’est l’intérêt majeur de votre film, alors accordez-y beaucoup de soin.

Tout d’abord, les préliminaires doivent être résumés au maximum. On n’est pas là pour voir des caresses, des poutous et autres trucs de gonzesses, si vous voyez ce que je veux dire. Bien sûr, vous pouvez incorporer une teinte de romantisme, genre un bisou sur la joue, mais rien de plus explicite.

En second lieu, sachez qu’il n’y a jamais trop de « retournements de situation ». Je m’explique : la partie fine ne doit jamais se révéler monotone, et si votre héros pilonne sa dulcinée pendant 20 minutes sans jamais rien varier, à la manière d’un batteur de thrash-métal ou d’un marteau-piqueur sur une route pavée, cela sera assez chiant à regarder. Variez les rythmes et les positions, en vous inspirant respectivement de la samba/salsa/tecktonik, et du catch.

Vous inspirer du catch, ok. Mais avec certaines limites.

Enfin, de manière générale, évitez d’incorporer des scènes sujettes à caution : en effet, la plus large frange du public pornophile n’apprécie que modérément les partouzes scatophagiques à l’intérieur même d’une fosse septique. Et puis vous ne souhaitez certainement pas que les metteurs en scène jettent vos manuscrits sans les lire dès leur réception, en disant d’un air dégoûté : « Ce scénariste, c’est vraiment qu’un gros dégueulasse. Je suis sûr qu’il a encore réussi à carrer une scène de partouze scatophagique à l’intérieur d’une fosse septique... »

Dummy.pngTon conseiller dit :
L’erreur à ne pas commettre :


Trop d’actions se déroulent trop vite. Il faut laisser à votre spectateur le temps de souffler minimum 2 minutes entre chaque prestation coquine. Il ne faudrait effectivement pas qu’il s’use l’instrument à cause d’une pratique trop intense ponctuellement, quand il peut savourer sur la longueur (la longueur du film, bien entendu).


Dénouement

N’y allons pas par quatre chemins. Ou plutôt si : c’est en réalité un gros gangbang qui résoudra tous les problèmes que vous aurez laissé apparaître dans votre histoire.

  • Si votre héroïne a des problèmes de santé, un gangbang lui permettra de se « refaire la cerise ». On peut penser que tout ce qu’elle avalera aura des vertus homéopathiques.
  • Si votre héroïne a des problèmes de couple, rien de tel qu’un gangbang pour tout remettre à plat. Afin de faire renaître la flamme, rien de tel que des inflammations à force de limer.
  • Si votre héroïne a des problèmes avec la justice, un gangbang pourra éventuelle permettre une libération conditionnelle, à la manière des marchés dans les séries américaines.

Cela peut paraître futile, voire totalement irréaliste, de conclure toute la trame que vous vous étiez efforcé de mettre en place par une seule orgie, mais il s’agit de la façon dont notre société fonctionne. Surtout chez Berlusconi, soit dit en passant.

Dummy.pngTon conseiller dit :
L’erreur à ne pas commettre :


Faire mourir la personnage principale. Ça c’est débile. Le mec qui regarde votre film fantasme depuis le début sur Yvana, en imaginant ce qu’elle pourrait donner dans une partouze transgénique, alors pas question de la faire mourir façon Di Caprio dans Titanic. Il risquerait un ulcère testiculaire, par exemple en serrant le poing de colère.


Les dialogues

Deux formes de dialogues sont employées dans le porno : les conversations avant-baise, et celles pendant.

Pour ce qui est des dialogues hors sexe, le maitre-mot sera « sous-entendu ». Dès leur rencontre, les protagonistes iront crescendo dans la salacité de leur propos, mais entre les lignes. Exemples :

L’homme : Bonjour Moizelle, je pratique assidûment le rugby. Ça vous dirait que je vous l’aplatisse entre les poteaux ?

En réalité ici, contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce monsieur ne souhaite pas pratiquer son sport fétiche. Il aimerait bien mieux que la jeune fille se dénude afin d’assouvir ses pulsions du moment. C’est juste dit entre les lignes.

L’homme : Bonjour Moizelle.
La femme : Bonjour Monsieur le plombier. Depuis le temps que je vous attendais... J’espère que vous allez bien vous occuper de ma tuyauterie...
L’homme : Ne vous inquiétez pas pour ça, je suis un professionnel. Je vais vous la ramoner de fond en comble.
La femme (clin d’œil) : Ah, vous m’en voyez ravie ! Je vois que vous êtes équipé d’un sacré outil...

Et voila, le tour est joué. Elle a été conquise par cette séduction très classieuse, ce qui arrive très souvent dans la vraie vie. Bien évidemment. Pas à vous juste.

Ensuite, pendant l’acte, l’homme assume son rôle symbolique de protecteur en prenant bien sûr soin du bien-être de sa partenaire : il l’interrogera à de nombreuses reprises à propos de son ressenti de la situation. « T’aimes ça, hein Salope ? » est l’expression la plus usitée, mais rien ne vous empêche de faire preuve d’originalité, en vous adaptant à la situation par exemple : « Apprécies-tu cela, frivole compagne ? » si votre couple est plutôt aristocratique, « Tu la kiffes ma teub, grosse chienne ? » dans un contexte plus Clignancourtesque,...

« Souhaitez-vous que je vous introduise ce doigt, chère amie volage ? » Ah non merde, c’est l’inverse.

La femme ne se montrera pas contrariante, acquiesçant à tout bout de champ « oh oui oh oui oh oui ouiiiiiii ! », qui ne sera pas sans parfois rappeler un héros d’un tout autre genre, voyageant en voiture jaune et rouge au pays des jouets. Enfin, elle s’exprimera avec des mots crus, laissant entrevoir un passé plus houleux qu’on ne pouvait l’imaginer, avec des expressions très imagées, telles que « Vas-y, défonce-moi ! ».

Dummy.pngTon conseiller dit :
L’erreur à ne pas commettre :


Des dialogues trop bavards. On n’est pas chez Bernard Pivot ici. Si vous avez envie de mettre en avant l’importance de la parthénogénèse chez les colibris islamistes, d’un point de vue consensuel, faites-vous un blog. Mais bon dieu, laissez la magie, le charme et le tact opérer dans chaque discussion.


Le titre

Le choix du titre est primordial, puisqu’il mettra directement le spectateur dans l’ambiance.

Individu lambda : Tu regardes quoi ce soir à la télé ?
Vous : Un vieil enregistrement des Chiffres et des Lettres de 1996.

N’aura pas le même effet que

Individu lambda : Tu regardes quoi ce soir à la télé ?
Vous : Les 12 travelos d’Encule.

Globalement, et vous l’avez constaté dans l’exemple, il est conseillé, voire même recommandé, de s’essayer aux jeux de mots lubriques. Trouvez votre idée géniale en rapport avec le sujet de votre film :

  • Fist club, détournant l’univers de Fight Club : par exemple, si votre protagoniste est schizophrène et couche avec elle-même ;
  • Titanique : un remake de la Croisière s’amuse, pourquoi pas ;
  • Avaletar : sur une planète inconnue, avec des sortes d’humanoïdes bleus... bref, vous avez compris l’idée.

Encore une fois, on reste dans le raffiné, tout en laissant apparaître un léger soupçon chez le spectateur, qui pensera sûrement : « Tiens c’est bizarre comme titre : Les 101 Dalma-chiennes. Mais les enfants aimeront sûrement, qui sait. »

Conclusion

C'est une faciale. Toujours.



Des guides illustrés, sympas, pas chers et aux couleurs chatoyantes
 L'École de la vie dÉsencyclopédique
 Une source essentielle de fiches pratiques pour tous les singes lettrés dans tous les domaines, notamment la fiche toi-de-ma-gueule.

 Voir aussi : Guide zoologique



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