Jacques Cartier
Jacques ‘Ti-Poil’ Cartier, né à une date en particulier à un endroit en France (probablement) quelque part au 15e, 16e ou 17e siècle et mort éventuellement plusieurs années après sa naissance à un autre endroit (possiblement), fut un explorateur, un voyou et un ami du Roi Henri IV, . Le pire cauchemar des castors, il fut réputé pour sa grossière incompétence en matière de navigation et sa capacité à centrer l’attention sur lui-même. Il a découvert et volé le territoire qui sera éventuellement nommé «Nouvelle-France» pour le compte de la France, qui, dès le départ au fil des siècles suivants, n’aurait pu s’en battre les couilles davantage. Naissance et enfanceJacques "Ti-Poil" Cartier est né à un moment donné il y a longtemps à quelque part en France ou à un autre endroit en Europe... Vivement impressionné par les choses qui flottent sur l'eau, Ti-Poil s'est rapidement intéressé aux bateaux, et en particulier aux marins, avec leurs pantalons ajustés moulant leurs services trois-pièces. Il ne s'agit pas ici d'une blague à saveur douteusement homophobe: Jacques était tout simplement amateur de vêtements bien ajustés et de la vie de marin, qui permettait aux hommes de passer de longs mois ensemble sur la mer. AdolescenceComme tous les adolescents de son époque, Jacques aimait beaucoup écouter de la musique de chambre jouée à tue-tête par des bardes: une phase de rébellion dérangeante et dispendieuse. Un jour, son père en a eu assez et lui a crier d'aller se trouver un emploi sans quoi il allait le dénoncer pour sorcellerie. Pris de panique et ne sachant que faire, Cartier s'enfui et vit pendant un certain temps en tant que membre d'un gang de cavaliers portant des pourpoints en cuir ornés de clous et de slogans peints tels que: Anges de l'enfer, Vivre sans répit et rendre l'âme en bas âge, Anarchie à Saint-Malo ou Baroque's not dead. Le reste de son adolescence et de sa vie de jeune adulte se déroule exactement comme le scénario du film The Wild One (v.f. L'équipée sauvage, 1953) avec Marlon Brando, en substituant les motocyclettes pour des chevaux. Henri IV et son planÉventuellement, Jacques rencontre le roi Henri IV dans un débit de boisson. D'entrée de jeu, le regard illuminé, ce dernier révèle subitement à Cartier qu'un jour, une autoroute portera son nom. Extrêmement saoûl, le roi paie toute la soirée des tournées de shots pour tout le monde. Il s'approche de Jacques et le traite soudainement comme si il était son meilleur ami, bien qu'il ne l'ait jamais vu ailleurs ou même parlé avant son affirmation précédente au sujet d'une autoroute. Il parle sans arrêt à haut volume à quelques centimètres seulement du visage de Cartier. Il lui demande tour à tour si il comprend les femmes, pleure en révélant avoir l'impression d'avoir raté sa vie, devient belliqueux lorsqu'il soupçonne Cartier de se croire meilleur que lui, puis redevient subitement extrêmement euphorique lorsque des bardes jouent sa chanson préférée, ne laissant jamais à Jacques Cartier l'opportunité de répliquer ou de s'enfuir pendant tout ce temps. Ce n'est qu'après qu'il soit allé s'endormir sur le siège de la latrine que Jacques trouve l'occasion de s'enfuir. Toutefois, Jacques doit retourner au débit puisqu'il a oublié de voler la coupe dans laquelle il avait bu son vin: un projet qu'il caressait depuis plusieurs heures déjà. Au moment où il revient à l'intérieur, Henri IV retourne soudainement des chiottes et, ne réalisant pas que Jacques l'avait abandonné, se met à parler sérieusement avec lui d'un plan, marquant ainsi encore un autre changement soudain d'humeur royale. Le plan (Premier voyage)«Prends mon bateau, rends toi le plus loin possible sur l'océan et après ça reviens ici», dit Henri IV. La réponse de Jacques demeure une perle parmi la pléiade de citations historiques qui font toujours écho aujourd'hui: «OK», rétorque-il sur un ton légèrement indifférent. C'est à un moment quelconque de l'année mille-cinq-cent-whatever que Jacques prend le large avec un équipage de gens peu remarquables qui n'ont pas passé à l'histoire. La Grande Hermine vogue sur les eaux de l'Atlantique avec seulement du plomb à bord, le plomb à l'époque étant utilisé pour tout: manger, se brosser les dents, boire, se laver, les draps étaient fait en plomb, on mettait du plomb dans des pipes pour le fumer etc. Après plusieurs semaines en mer, un des ploucs qui ne passera pas à l'histoire s'écrie «terre à l'horizon». Cartier est alors convaincu qu'il vient d'atteindre la Chine et devient extrêmement irritable lorsque quiconque ose mettre cette croyance en doute, ruinant pour tout le monde l'ambiance du voyage qui jusqu'ici avait été plutôt agréable. Ils débarquent près d'un endroit qui sera éventuellement nommé Gaspé. Cartier se met aussitôt à l'ouvrage: il pointe des choses et déclare que c'est à lui. «Ce buisson est à moi», «Cet arbre est à moi», «Cette plage est à moi», «Ce brin d'herbe est à moi»... Une tâche épuisante mais essentielle pour tout explorateur européen à cette époque. Il continue à inventorier verbalement tout ce qui lui appartient pendant toute la nuit suivante. Ce n'est qu'à l'aube qu'il a accomplit son devoir et qu'il peut enfin parler aux gens en apparence natifs de l'endroit.
Le chef amérindien, bouche bée face à l'implacable argumentaire de Cartier, n'aura d'autre choix que de concéder tout le territoire dans un rayon de 1000 km à la France. Il s'agit là d'une erreur coûteuse qui a toujours des répercussions aujourd'hui pour les communautés autochtones du Canada. Si le chef avait simplement menti en répondant par l'affirmative, Cartier aurait été forcé de refaire tout l'exercice de pointage (cette fois en déclarant les choses comme n'étant pas sa propriété) pour ensuite se voir obligé de repartir en bateau sans qu'aucun européen ne puisse jamais revenir tenter le même stratagème. En 1998, le premier ministre Canadian Jean "face de batte" Chrétien a refusé de s'excuser aux Premières Nations pour l'issue lourde de conséquences de cette rencontre. Il a cependant tenu à remercier longuement les membres de celles-ci en leur rappelant que si ils«[...] n'avaient pas concédé le territoire, Cartier aurait été obligé de passer une autre nuit blanche à annuler toutes les déclarations qu'il avait faites la nuit précédente. Ceci aurait vraiment été épuisant pour Cartier qui, en plus, venait tout juste de faire un long voyage et était conséquemment déjà très fatigué. Ce qui est arrivé cette journée là est donc le dénouement le plus souhaitable qui aurait pu avoir lieu pour tous les partis impliqués. Le Canada vous en remercie». Le dossier est aujourd'hui considéré clos. Deuxième voyage
Après avoir fait une chute de 3 mètres, il réalise qu'il est possiblement au Canada, puisqu'il croit reconnaître la végétation et des gens ressemblant aux « sauvages » qu'il avait rencontrés lors de son premier voyage. Exactement au même moment, la flotte française qu'il était sensé commander arrive sur une large rivière qui coule devant lui. Ils sont tout aussi confus qu'il peut l'être lui-même. Malgré tout, Cartier tente tant bien que mal d'oublier cet incident de nature surnaturelle et se met à l'oeuvre encore une fois en pointant tout ce qui se trouve autour de lui, tout en déclarant une fois de plus que ces choses lui appartiennent. Stadaconé (Ville de Québec)Il demande aux amérindiens comment se nomme l'endroit. Ceux-ci rétorquent « Stadaconé », qui en langue algonquienne veut dire « usine de production de papier laide et puante », ce qui en français de France veut dire « drive-in, cookies, shopping et freezer: oooouuuais! » (traduction nécessaire puisque les français font généralement semblant de ne pas comprendre le français québécois, juste pour faire chier et pour ne pas faire d'efforts). Hochelaga (Montréal)Durant ce deuxième voyage, Cartier irrite profondément les amérindiens en leur demandant à toutes les 5 minutes si il se trouve à proximité de la Chine. À deux reprises, le chef Donnacona menace de retourner le canot en direction d'où ils sont partis si il continuait à faire chier. Ceci incite Jacques Cartier à bouder pour presque tout le reste du voyage. Éventuellement, Cartier, Donnacona, et sa bande de marins peu remarquables arrivent à un endroit que les habitants du coin nomment Hochelaga, qui deviendra plus tard la ville de Montréal. À cette époque tout comme aujourd'hui, Hochelaga est un village plutôt large mais laid et ennuyant, doté d'une population prétentieuse dont les membres entretiennent collectivement l'illusion qu'ils vivent dans une ville de premier plan au niveau mondial. Cartier entâme son pointage et son appropriation des choses se trouvant aux alentours, puis socialise avec les habitants du village et harcèle sexuellement les femmes présentes (ce qui était permis et encouragé à l'époque). Cartier: quel abruti!Après quelques jours, Cartier réalise qu'il ne peut aller plus loin et que la Chine est probablement tout juste un peu plus loin que les rapides que ses bateaux ne peuvent traverser. Il croit même pouvoir sentir l'huile de sésame. Les amérindiens, voulant se payer la tête de Cartier, se mettent tous à le convaincre qu'il est seulement à quelques kilomètres de la Chine. Au cours d'une cérémonie bidon, ils lui donnent des roches et des branches en lui disant qu'il s'agit d'or et de diamants. Les yeux de Cartier s'écarquillent et celui-ci gobe le tout sans poser de questions telle une femme de 47 ans n'ayant plus de relations sexuelles avec son mari depuis plusieurs années, tombant soudainement nez-à-nez avec un jeune adonis, pour elle fort attrayant et plus que disposé à lui soumettre sa longueur. Les amérindiens sont morts de rire en le voyant repartir vers Stadaconé (plus tard connu sous le nom de la ville de Québec). Cartier: imbécile et fierDe retour à Stadaconé, Donnacona l'averti que l'hiver approche et qu'ils ne seront bientôt plus en mesure de repartir par la mer. Cartier rie d'un rire gras et ridiculise les avertissements du chef en se disant confiant qu'aucune averse de neige et aucun froid ne peut être pire que ceux connus en France. Il empoigne même Donnacona par la tête et lui frotte le crâne vigoureusement avec son poing tout en continuant de le ridiculiser. Le lendemain matin, Cartier se réveille en constatant que le fleuve est gelé et que 4 mètres de neige sont tombés au cours de la nuit.
Cartier autiste?Cartier décide de mettre les voiles le 25 avril. Donnacona est là pour lui souhaiter bon voyage. En le voyant saluer poliment la flotte près du rivage, il décide d'aller à l'encontre de toute norme sociale de base et kidnappe le chef amérindien dans le but de pouvoir le présenter à la France comme si il était un petit animal. Cartier expliqua son geste plus tard en rappelant que le but de son voyage était de ramener quelque chose à François 1er et qu'à la toute dernière minute, il avait failli oublié de le faire. Comme si ce n'était pas assez, Cartier et son équipage montre leurs postérieurs dénudés tout en ricanant et en faisant un doigt d'honneur aux amérindiens amassés sur le rivage, qui pris de panique, regardent impuissants les navires s'éloigner avec leur chef à bord. Top ten et décès de DonnaconaCartier arrive en France quelques semaines plus tard. Il part en tournée avec Donnacona à travers la France et vend des médaillons promotionnels en cuivre de l'événement, ce qui lui rapporte une fortune considérable. Le succès est foudroyant. Plus de 20 millions de copies de partitions musicales en France seulement, trois succès consécutifs au Top 10 qui y resteront pendant des mois. Les célébrations sont de courte durée puisque Donnacona meurt d'une overdose de camembert et de pain baguette le 3 février de l'année suivante. En tant dignitaire étranger ayant été kidnappé, Donnacona est enterré avec tous les honneurs qui lui sont dûs sous le pavé d'une rue à Paris. Cartier 3: VOYAGE ULTIMESuite au décès de Donnacona, Cartier demande une audience avec François Ier, qui entre-temps est devenu fan invétéré du duo Cartier-Donnacona nommé Carnaconadonnatier. Cartier est fort mal-à-l'aise de voir toutes les affiches et produits dérivés de son groupe qui sont fièrement exposés dans la salle du trône. « Quel ringuard », pense-t-il. Totalement enivré par son succès artistique et désireux de pousuivre son train de vie de baroque star, Cartier fait savoir au Roi qu'il veut retourner à Stadaconé. Le but est de faire là-bas un concours pour trouver la prochaine star qui saura éblouir la France. François Ier est outré par cette proposition, puisque, pour lui, personne ne pourra jamais remplacer le doigté extraordinaire de Donaconna à la basse et l'émotion dans sa voix unique. Cartier lui fait toutefois miroiter en le Canada, une colonie qui pourrait fournir un lot infini de vedettes de la chanson pour la France.
Cartier accepta ces termes généreux et leva les voiles une fois de plus quelques jours seulement après cette rencontre et après avoir sniffé une track de poudre avec Frankie Boy. Une traversée « rock 'n' roll »Or, la traversée de l'Atlantique s'avère houleuse (ha!ha!). Cartier a rapidement accepté l'offre du Roi, mais, dans son excitation, il a négligé le fait que cela allait le forcer de se réunir avec son pire ennemi (Quel crétin!). Tout au long du voyage, Roberval et Cartier s'insultent mutuellement à partir de leur navire respectif avec des portes-voix faits d'écorce de bouleau. Les deux hommes sont effectivements plongés au sein d'un différend fort amère après que Cartier ait accidentellement incendié le manoir de Roberval en y mettant le feu volontairement. Ce n'est qu'une fois arrivé à Stadaconé que Cartier et Roberval ont finalement pu en venir aux coups: la toute première chose effectuée en débarquant (sous le regard confus des amérindiens). Les peu remarquables de Cartier, les assistants de Roberval et les Amérindiens socialisent candidement autour des deux combattants en pariant sur celui qui en sortera vainqueur. Après avoir battu Roberval deux fois et perdu une seule fois, Cartier est en mesure d'effectuer un « Finish Him » qui met fin une fois pour toutes à la bagarre. Roberval, son coeur battant élevé triomphalement par la main de Cartier, est obligé de reconnaître sa défaite et de déclarer l'incident clos. Quel nul. « Donnie est où, criss?! »Le paiement de l'argent des gageures est financièrement dévastateur pour les amérindiens, qui avaient à tort privilégié Roberval dans leur pari. Plusieurs se voient forcés de négocier une deuxième hypothèque sur leur maison longue. Petit à petit, des tensions non-négligeables s'installent entre les européens et les habitants de l'endroit. Tout cela n'est que le début d'une cohabitation extrêmement difficile pour les deux peuples. Un jour, alors que les français s'affairaient à ériger les fondations du futur studio d'enregistrement près de la rivière Saint-Charles, un des amérindiens réalisa que Donnacona n'était pas revenu avec eux tel que promis poliment lors du kidnapping trois ans plus tôt. Avec cette réalisation vint la frustration, doublée de demandes d'explications. La colère commença à prendre une ampleur inquiétante dans le village. Le manuel des marins français de l'époque était clair au sujet de la procédure à suivre pour passer à travers une telle crise: siffler, regarder en l'air et faire semblant d'être occupé à faire quelque chose qui demande beaucoup de concentration. Les efforts soutenus des français pour faire comme si de rien n'était et pour prétendre avoir un rendez-vous important dans le but d'éviter d'avoir à répondre à une question gênante furent exécutés avec habileté, mais ne donnèrent aucun résultat positif. Bientôt, la grogne fut telle qu'il fallu lever le camp et chercher un autre lieu pour construire les installations. Fondation d'une future plaie urbaine peuplée par des moronsPeu inspirés, Cartier et Roberval remontèrent légèrement le Saint-Laurent et décidèrent sans aucun enthousiasme de s'établir sur un cap laid surplombant la rivière Cap-Rouge. De nos jours, cet endroit est connu comme étant le secteur de Cap-Rouge: une banlieue médiocre de la ville de Québec où les gens les moins intéressants viennent échoir leurs vies ternes au sein d'un grotesque et hideux conglomérat de maisons unifamiliales dépourvues d'âme. Les amérindiens de l'époque appelaient cet endroit «Agg...». Les points de suspension font partie du terme, puisqu'il ne s'agit pas d'un mot complet. Ceux-ci trouvaient le lieu tellement peu remarquable qu'ils ne l'ont nommé qu'à moitié et ne se sont jamais donné la peine de finir la tâche. Bref, Cartier et Roberval se mirent immédiatement à l'oeuvre construisirent un studio d'enregistrement et un studio de danse entouré d'une palissade en bois. Les deux hommes se rendirent toutefois compte rapidement que le plan initial était voué à l'échec puisque les relations tendues avec les amérindiens ont fait en sorte que seuls les candidats les moins intéressants se présentèrent aux auditions. La plupart du talent local avaient dès lors décider de boycotter l'initiative française, privilégiant la mise sur pied d'un label de disque et d'un star-système local. Une aventure moins payante pour les compatriotes de Donnacona mais ultimement plus satisfaisante pour la fierté et l'économie locale. L'hiver de tropC'est donc en écoutant à distance les échos d'événements culturels de première qualité provenant de Stadaconé que les français passèrent un autre hiver rigoureux et dévastateur, enfermés dans leurs studios vides.
HOSTIE D'CANADA À' MARDE TABARNACRISS-CÂLICE !!Peu après, Cartier mis les voiles pour la France, laissant le studio d'enregistrement à l'abandon. Informés à la dernière minute du départ des Français, les amérindiens ajoutèrent l'insulte à l'injure en mettant sur pied un spectacle improvisé dans le but de narguer la flotte de Cartier lorsqu'elle passa devant Stadaconné.
Cartier rencontra Roberval sur son chemin en retournant vers la France. Celui-ci lui ordonna de retourner à Charlesbourg-Royal. « Phoque iou » , répliqua Cartier. « Si tu tiens absolument à ce que je retournes là-bas, force-moi à le faire, sinistre connard de merde »! Une réplique tellement célèbre qu'elle est ensuite devenue la devise du Canada. « Comment ça tu parles comme un français fif du vingt-et-unième siècle ciboire? On est au 16e siècle tabarnac! ». Telle furent les derniers mots hurlés à Cartier par Roberval, qui passa ensuite quelque heures à le pourchasser. Hélas! Sans succès: bientôt son bateau fut à bout de souffle, en panne d'essence et sa pile chargée à seulement 2%. Il fallait donc abandonner pour trouver du foin et de l'eau fraîche, de l'essence et une prise électrique. Si ça n'a aucun sens pour vous, dites-vous bien que vous ne savez pas comment les navires fonctionnaient à l'époque et que moi je le sais. Est-ce que cela est bien compris, bittes-molles?
Retour en France et décèsUne fois revenu en France, Cartier découvrit avec douleur que son groupe de musique était désormais jugé comme étant ringuard. Plus personne ne le reconnaissait dans la rue. Aucun peintre ou dessinateur paparazzi pour violer son intimité. On ne sait que peu de choses sur les dernières années de vie de Jacques Cartier. Il se retire à Moulinsart avec le professeur Tournesol, Nestor et La Castafiore. Avant de mourir, il publie des B.D. illustrant ses trois voyages, soit: Les Bijoux de Donnacona (1545), Les Deux Boules de Crystal (1547) (Crystal étant le nom de la fille de Donnacona) et Traversée de l'Atlantique Nord 714 pour Stadaconné (1549). Cartier meurt éventuellement quelque part au 16e ou 17e siècle en tentant d'aller lui-même régler une panne de courant en grimpant sur un poteau de ligne électrique avec un outil en acier durant un orage. Legs de Cartier au monde civiliséÀ sa demande, ses ossements furent éventuellement transportés par Samuel de Champlain lors de son premier voyage au Canada en seize-cent-quelque-chose. Il fut réenterré sur l'île qui s'appelle aujourd'hui "Oak Island", située sur la côte de la province Canadienne de la Nouvelle-Écosse. Son corps repose à 3400 mètres de profondeur sous l'île dans une voûte dorée qui contient d'autres artéfacts de grande valeur dont: l'arche d'alliance, les manuscripts perdus de Shakespeare, le Saint Graal, l'épée Excalibur, les enregistrements master de toutes les chansons des Beatles, le trésor d'Ali Baba, la fortune de Picsou, le corps de Jimmy Hoffa, l'or des Confédérés et bien d'autres trésors inestimables. Nommez n'importe quel artéfact légendaire qui n'a pas encore été retrouvé: il est sans l'ombre d'un doute dans cette voute gardée par des chevaliers immortels de l'Ordre du Temple.
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