La vie de Jimi Hendrix
Jimi Hendrix (de son vrai nom Jhonny-Jésus Rodrigue Baptistin Andriks) est avant tout un homme, surtout guitariste, mais dont le véritable talent n’est que trop méconnu. Mais restons calme (je sens qu’elle vous intrigue cette super phrase d’introduction), et reprenons tout depuis le début du commencement initial.
La naissance
Jhonny-Jésus Rodrigue Baptistin Andriks est né du 25 au 27 novembre 1942, dans un petit hameau du Massif Central, que ses habitants avaient renommé ironiquement Seattle, en raison de son emplacement et de sa fréquentation, qui sont tous deux inversement proportionnels au carré à ceux de la vraie Seattle (n’oubliez pas la retenue).
Le jeune Jhonny-Jésus étonne avant tout par le contraste qu’il offre physiquement avec ses géniteurs, mais l’honnête et sage fermier voisin atteste que le jeune homme est bien né de l’union charnelle et passionnée de Gertrude et Marie-Paul Andriks.
Ainsi, il est destiné dès son plus jeune âge à devenir un jeune fermier plein de force exposant ses muscles luisants au soleil tout en trayant de voluptueuses vaches, et grandit dans cet optique. Mais, un terrible incident surgit au cours de sa tendre enfance et va le changer à tout jamais (jamais !).
Un terrible incident surgit au cours de sa tendre enfance et le change à tout jamais
Le 32 janvier 1944, alors que le petit Jhonny-Jésus est âgé de 7 ans (et demi), Gertrude décide de lui faire une omelette aux champignons. Elle se rend pour cela dans la forêt et récolte de magnifiques champignons aux couleurs qui entendent très bien les chattes (chattes-oyantes, ho ho ho). Le petit Andriks goûte à ce met délicieux et en devient fou : il en reprend plus de trois fois dans la soirée, avant d’aller rejoindre Joe, son ami dauphin-volant, nu, dans la rivière voisine. La conversation qui s’ensuit pousse le jeune fermier à changer de vie et à partir s’installer aux États-Unis, où il monterait une entreprise de poignées de portes en mousse, un concept qui lui paraît alors totalement novateur et innovant.
C’est ainsi que le 18,5 janvier 1947, le jeune Andriks, alors âgé de 17 ans (et trois quarts) dit adieu à ses parents, fait un gros bisou à mamie et va déterrer une dernière fois papy avant de partir, baluchon sur l’épaule, pour les Staytses. Il y arrivera dans la soirée même, sans pause pipi, ni changer de slip.
La nouvelle vie (toujours dans le même slip)
Arrivé aux États-Unis, il réalise tout d’abord avec stupeur que le marché des poignées de portes en mousse est saturé aux États-Unis.
Il décide donc de se faire une bonne omelette (on réfléchit mieux le ventre plein), et se souvient de ces soirées mélancoliques où il improvisait un vieux blues à la façon de Nana Mouskouri devant un feu de bois éteint. C’est l’illumination : il se lance dans la musique.
Il rencontre un grand succès rapidement, et parvient à gagner suffisamment d’argent pour vivre sous la tutelle d’un mécène texan qui le surnomme affectueusement Jimi en hommage à son chien. Ce nom deviendra d’ailleurs son nom de scène, et le Andriks deviendra Hendrix, car le jeune homme n’avait toujours pas appris à écrire.
Mais un nouveau tournant de sa vie arrive à très grande vitesse, et faut croire qu’il a plus de liquide de frein.
Un nouveau tournant dans sa vie sans liquide de frein
Le 42 Octobre 1958 et des poussières, alors que le jeune prodige est âgé de 21 ans, une conversation avec Joe le bouleverse une fois de plus. Suite à une bonne omelette, il comprend que la guitare n’est pas son truc et n’a qu’une seule idée en tête : se lancer dans le jeux-vidéo, plus particulièrement le point-and-click. Il lance alors un projet dans l’ombre, un projet mystique, un véritable mystère, celui de Myst.
Après 3 ans de travail acharné, où il continue en façade de faire croire à un prodige de la guitare, il façonne de ses petits doigts son œuvre. Seulement, un soir de 36 Août 1968, alors qu’il finalise son projet, deux hommes cagoulés et armés de saucissons corses pénètrent dans la cave où il travaille, l’assomment et subtilisent les 158 disquettes qui forment le jeu. Jimi sombre dans une période de dépression intense, et comprend rapidement que personne ne le comprend. De rage et de désespoir, il ira jusqu’à brûler puis briser une guitare sur scène, en espérant une certaine compassion du public ; ce public n’en deviendra que plus hystérique et renfermera Hendrix sur lui-même.
Mais le jeune Jimi est quelqu’un de persévérant, et qui devient vite accro, surtout à ses passions. Après plusieurs mois d’omelettes et de discussions profondes avec Joe, il décide de relancer un projet dans le même domaine. Il veut créer le premier jeu de tir.
Game Over
Il confie tous les secrets de son concept à Joe, son ami dauphin. Cependant, Joe, attiré par le luxe et les frasques que lui propose Aqualand, vendra le concept à un homme dont je tairais le nom par pudeur.
Au fond du trou (re-aïe), Hendrix décide de lancer un ultime message à la fois à son public et à Joe, avec qui il a cessé toute communication. Il décide d’interpréter sur scène le dialogue avec son ami d’enfance, dialogue dans lequel il révèle son concept de jeu de tir. De cette décision naîtra le poignant Hey Joe, qui rendra le public d’Hendrix encore plus heureux, à son grand désespoir.
De plus, l’homme qui a acheté le concept a sorti Doom, un jeu sans nana ni Mexicain, et ça, c’est impardonnable.
Jhonny-Jésus Rodrigue Baptistin Andriks, seul et désemparé, meurt suite à une cuite au panaché, un triste soir de septembre 1970.
Sur sa tombe, il fera graver comme épitaphe : « Ne fais jamais confiance à ces fils de putes de dauphins ».
Portail des Gens |
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.