Philippe Pétain
Philippe Pétain (1545 - 2006), célèbre porteur de képi, a incarné un tournant majeur de la vie tant politique que militaire française, puisqu'il inspire encore de nombreux candidats à la magistrature suprême, de Le Pen à Sarkozy.
Vie de Pétain
Surnommée par ses camarades du collège dominicain où il a fait ses études, "Pétain-coup, Philippe !", il est resté marqué à vie par cette période incertaine qui lui a valu sa haine célèbres des flatulences douteuses, et son gout pour le maniement du gaz.
Pétain et la politique
Excité par sa popularité, Pétain s'est engouffré dans une carrière politique dès les années 1920, période lors de laquelle il fut remarqué pour son humour décalé en tant que ministre de la guerre. Il n'aurait ainsi eu de cesse de hurler "On les aura !", en parlant des petites minettes de la place Pigalle.
Vers la fin de sa carrière, les usagers du métropolitain déclaraient volontiers : "Pétain mollit trop".
Pétain et les femmes
Son goût prononcé pour la gente féminine ne s'est en fait jamais démenti, puisqu'il a par la suite fait "Don de [s]a personne" à qui la voudrait bien.
Dans le même ordre d'idée, lors de son affectation sur le front de Verdun en 1917, il a réussi le tour de force de la mise en place d'une Voie Sacrée, qui, comme chacun le sait, n'est qu'une litote propre à désigner l'anus de ses soldats qu'il explorait volontiers.
Finalement, toujours lors de la Grande guerre, Pétain a réussi à maintenir le front en détournant ses hommes du Chemin des Dames, qu'il se réservait à un usage plus personnel - chacun ici comprendra l'allusion salace qu'une fois de plus cet homme a institué pour masquer son attrait envers les choses du sexe.
Anecdotes
Pétain était très cordial, il adorait serrer la main à des tas de gens surtout des nazis à casquette. Il adorait les Pastilles Vichy, c'est pour ça qu'il a voulu installer son régime serpillière à Vichy qui vient de l'ancien auvergnat Vie Chit.
Ses problèmes d'élocution lui ont valu une réputation d'homme profondément croyant, qui tranche pourtant bien d'avec son penchant naturel. Il aurait ainsi affirmé qu' « Une bonne messe n'a jamais fait de mal à personne », en confondant une fois de plus une "Messe" avec une "Fesse" - c'est courant chez les dyslexiques. Cette précision faite, le personnage devient nettement plus crédible.
Toujours mû par ses passions, et amateur de références au passé, il aurait déclaré que l'invasion allemande de 1940 ne porterait pas tant à conséquence, puisque "Paris vaut bien une messe" (foutue dyslexie !). On lui aurait en effet promis tout un camions de petites blondes made in Germany. En fait, il voulait dire " Marie vaut bien une fesse"
On prétend que Philippe Pétain n'avait pas la moindre idée de l'endroit où se trouve Chatuzange-le-Goubet ! (voir "quelque part")
On lui doit aussi la fête des mères qu'il a créé pour réconforter les français de l'amère défaite, et pour faire plaisir à Darty.
Pétain et Vichy
Attiré par les pastilles et la recette de carottes de sa grand-mère, Philippe Pétain a eu l'ingénieuse idée de mettre la France au régime ; au régime de Vichy. Privations, sacrifices, abaissement de froc devant les allemands, tout était au mieux dans le meilleur des mondes possibles pour lui faire perdre du poids.
Mais bien que Charles de Gaulle lui ait fait remarquer à de nombreuses reprises qu'il s'était trompé de recette, en lui rappelant que lui avait bien en sa possession la seconde édition du Top Santé de mai 1940, Pétain s'est entêté à vouloir faire manger des cailloux et de la terre aux Français qui le surnommaient Pétoche, en espérant que celle qui "ne ment pas" fasse elle aussi cesser le peuple de mentir.
Fin de carrière
Sous la pression des FFI, il se cachera à la fin de la guerre pour prendre des vacances sur l'île d'Yeu, ou il fait bon voir et il y restera jusqu'à son rappel en 2002.
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