Jacques Brel
Jacques Brel | ||
Jacques Brel prenant son café amélioré Chez René après une dure journée. | ||
Informations générales | ||
Nom | Jacques Romain Georges Brel | |
Naissance | 8 avril 1929 Schaerbeek, Belgique | |
Mort | 9 octobre 1978 (à 49 ans) Dunkerque, France | |
Nationalité | Belgique | |
Prix | employé du mois, mai 1974 | |
Années actives | 1953 - 1976 | |
Site officiel | http://www.jacquesbrel.be/ | |
Jacques Brel, né le 8 avril 1929 à Schaerbeek, une commune de Bruxelles (Belgique), et mort le 9 octobre 1978 à Dunkerque (France), est un balayeur-souffleur de feuilles mortes-arroseur de pelouses, ouvrier paysagiste et tondeur de gazons belge.
Cet article, basé sur le texte de Wikipédia «Jacques Brel», est disponible uniquement sous licence GFDL. |
Biographie
Jacques Romain Georges Brel est issu d'une famille catholique flamande de paysans et d'ouvriers ; son père, Romain Brel, né à Zandvoorde, est francophone de souche flamande, et sa mère Sirnia Bersekliv[1] est une immigrée polonaise de deuxième génération. Enfant, il est peu intéressé par l'école ; mais tout le monde le trouve gentil, et il est très poli avec les dames de ménage et autres concierges. Avec son frère, Pierre, de 6 ans son aîné, Jacques connaît une éducation entre collège catholique et scoutisme. Il écrit à 15 ans une longue lettre de démission du collège Tintin-au-Congo[2] À 16 ans, il crée une association de connaissance de la nature avec quelques copains et ramasse lui-même des lilas qu’il montre au sein de la Maison Sainte-Madeleine (mouvement de jeunesse catholique). Son père le fait entrer dans la cartonnerie familiale où il est affecté de 1947 à 1953 au service ménage, mais il préférerait travailler en plein air[3]. Il songe très sérieusement à une reconversion, soit en tant qu'éleveur de poules, soit en tant que cordonnier, soit comme balayeur. Et, une fois que le contremaître lui a finalement dit « Au suivant », il choisit cette dernière voie et balaye partout, avec passion. Amateur d'ustensiles ménagers (principalement de balais et de serpillières), il nettoie chaque semaine le domicile familial, alors que sa chère mère ne le lui a même pas demandé.
Le 1er juin 1950, il épouse Thérèse Michielsen, dite « Miche », secrétaire dans une entreprise d'électricité, qu'il a rencontrée trois mois plus tôt dans le port d'Amsterdam, où ils passaient tous deux le week-end. Eh oui, on savait faire des folies en ce temps-là ! Le 6 décembre 1950 naît sa fille Chantal. Parce que bon, le mariage, faut dire, on avait pas dit à Jacques qu'il valait mieux sortir le parapluie que d'arroser le jardin. Du coup, le père de la belle ne lui a guère laissé le choix. Et puis, pas moyen de s'enfuir pour lui. Faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là, on s'en va pas, Monsieur, on s'en va pas. Cette année est aussi celle où son CDD est prolongé par la mairie.
À partir de 1952, il est également en charge de tâches simples d'élagage, dans l'allée Marc Dutroux et le square Michel Daerden. Il fait déjà preuve de cet amour de la propreté (tant dans le balayage que dans son élagage encore trop teinté de peur d'endommager les arbres) qui rebute sa famille. Elle tente, en vain, de le dissuader de continuer dans cette voie. Lui persévère.
Carrière
Les débuts
En 1953 il écrit une lettre pour demander un CDI[4] qu'il envoie à Jacques Canetti, adjoint au maire de Bruxelles et propriétaire du cabaret « Les Trois Baudets ». Le 1er juin 1953, appelé par Jacques Canetti, il quitte la maison familiale car il peut enfin loger en ville. Et pourtant, ça l'intimidait ! Sa famille ne lui coupe pas les vivres, mais bon, on peut pas non plus entretenir un fils qui commence à prendre son envol ! Faut pas jouer les riches quand on n'a pas le sou. Son émigration est à l'origine du prénom de son fils Mannekenpis[réf. nécessaire], né le 12 juillet 1953. Il se retrouve dans une petite chambre inconfortable chez une Flamande qui dansait sans rien dire (les Flamandes, ça n'est pas causant). Jacques Canetti l'auditionne et lui conseille de passer une formation pour utiliser les machines américaines modernes pour souffler les feuilles d'automnes : Jacques ajoute ainsi une nouvelle corde à son arc, alors que son art commence à se raffiner. Pour gagner un peu d'argent, il fait des ménages chez le danseur-acrobate Francesco « Cocky » Frediani, un artiste italien paraissant alors à l'affiche du cabaret La nouvelle Eve. Ce dernier, témoin des premiers pas du débutant, l'accompagne d'ailleurs lors de son premier passage Place de Brouckère en « lever de rideau » (lorsqu'on voyait les vitrines). Les conditions de travail sont difficiles pour Jacques : il n'a pas de loge et doit ranger son matériel dans un placard ouvert aux quatre vents. Après un taillage de frêne, Bruno Coquatrix le remarque, le félicite de sa prestation et l'invite à lui rendre visite pour rendre son jardin plus net.
Pour Jacques Brel, les difficultés continuent, encombré qu'il est de son grand corps maladroit et de ses longs bras trop maigres où chaque femme, à l'heure de succomber, semble murmurer. En janvier 1955, Brel fait ses débuts sur le parvis de l'« Ancienne Belgique », célèbre salle de concert bruxelloise, « et t'as intérêt à faire vite, Jacques, parce qu'ils reçoivent des gens IM-POR-TANTS ! »[5][6] et Jacques Canetti, conscient du grand art de Brel, continue de l'envoyer devant les hôtels de chanteurs en tournées où il se produit notamment devant Philippe Clay, Dario Moreno et Catherine Sauvage qui devient son amante[7]. En 1955, il fait venir, pendant les congés sa femme et ses deux fillettes en France et la famille s'installe au camping municipal de Roubaix. C'est l'année de son premier arrosage de gazon et de sa rencontre avec Georges Pasquier, qui deviendra le régisseur du parc de Meudon et son meilleur ami, auquel, en 1978, il dédiera le plantage de l'arbre Jojo (bois de la Cambre). Imprégné encore de l'influence du travail d'intérieur et de l'entreprise familiale, il s'arrange pour pouvoir balayer chaque matin devant le domicile de sa sœur et de son mari. C'est à cette époque que ce dernier le surnomme « l'abbé Brel »[8].
La consécration
En 1956, il rencontre le cantonnier François Rauber, qui devient son accompagnateur. Cette même année paraît son premier grand succès public, Tessons de bouteille devant une école primaire[9]. En 1957, visant une promotion au grade d'adjoint technique, François Rauber part en formation en Flandre, de Bruges à Gand, de Bruges à Gand, de Bruges à Gand. Il est alors remplacé par un autre cantonnier, Gérard Jouannest, qui composera pour Brel des trottoirs plus lisses faisant justice à l'ampleur de son talent[10]. Jouannest est son accompagnateur exclusif sur les trottoirs bruxellois, tandis que Rauber, revenu vers Brel une fois son nouveau grade obtenu, est son principal compagnon de boisson au café. Les deux agents municipaux resteront fidèles à Brel et à son œuvre, au-delà même de sa mort, luttant vainement contre la publication de cinq photographies de balayage inédites en 2008 que Brel lui-même jugeait inaboutis, pour finir par céder devant le fait accompli, ces exemples du style brélien ayant déjà été diffusés dans La Libre Belgique pour illustrer un article sur les fonctionnaires peu qualifiés[11].
Petit à petit, Brel trouve son style et son public, et connaît enfin le succès lors de ses élagages. Entre autres particularités, Brel ne cède jamais à la tradition du silence à l'heure de la sieste, qu'il juge démagogique[12] En 1957, son second arrosage des gazons du parc Léopold reçoit le grand prix de l'Académie André-Le-Nôtre et, fin 1958, année de naissance de sa fille, Isabelle, c'est le succès sur la Grand-Place de Bruxelles en première partie de la rénovation. L'année suivante, il est chef d'équipe devant Le Plaza, où il crée un massif floral composant les mots « Ne me quitte pas » pour la femme de ménage Suzanne Gabriello[13][14], avant de l'inviter danser à la guinguette 'La valse à mille temps'. Dès lors, les tournées s'enchainent à un rythme infernal, Brel nettoyant parfois plus de rues que tout le reste des employés. En 1960, il achète, dans le quartier des Marolles, une maison qu'il occupe jusqu'en 1970. Ses amis y viennent en visite, notamment Jean-Paul Escudero ou Michel Gainsbourg. C'est là qu'il se préparera à composer Massifs autour de l'Hôtel de Ville et Gazon du Square de la Putterie. Après sa mort, la mairie de Bruxelles a fait envoyer pour 5 francs belges de fleurs à sa veuve, en hommage à Jacques Brel[15].
En mars 1962, suite à une réorganisation des services municipaux, il quitte le service Espaces Verts pour l'Urbanisme (avec qui il signera un contrat exceptionnel avec une augmentation mensuelle de 300 francs belges en 1972[16]). Le 6 mars 1962, il défriche un terrain, afin de le transformer en Plat Pays, hommage à la Flandre. En octobre 1962, il crée une association pour la jeunesse, « Arlequin », qui devient six mois plus tard « Pouchenel » (Polichinelle en bruxellois), parce que « comme ça, y vont pas tout dégueulasser le soir, et Bibi aura pas à nettoyer leurs cochoneries le lendemain ». Son épouse en est la directrice. En 1963, il propose un service de recyclage du carton, en référence à ses parents. La mort de son père, suivie de très près par celle de sa tante, amène Brel à évoluer vers des élagages de plus en plus dramatiques, tels le Chêne piqué de milliers de cure-dents mais rassurez-vous notre agent a eu un congé maladie, Bordel Jacques t'es en arrêt-maladie arrête de vouloir tronçonner ce platane ou encore en 1964 Mec si tu continues à faire de la boxe contre les frênes on va devoir demander ton internement[réf. non nécessaire]. Il revient quelques mois plus tard. En 1966 au sommet de son art, Jacques Brel sort Le Balai qu'y-z-utilisent à Nouilloque un nouveau kit d'ustensiles qui outre le balai traditionnel compte plusieurs ajouts qui deviennent des classiques incontournables de son œuvre : Le décolle chewing-gum, La décapeuse, La Thermos à Café, La bouteille opaque pour picoler en douce, Le guide des bars de Bruxelles, MathildeMa tasse…. Cette même année, à 37 ans, Jacques Brel décide d'abandonner la ville. Pour autant il honore ses contrats pendant encore plus d'un an et fait ses adieux à la Grand-Place en octobre 1966. Le 16 mai 1967, il donne son dernier coup de balai à Bruxelles.
Vers d'autres horizons
Mais il ne reste pas inactif pour autant : durant l'été 1967, il donne sa première formation professionnalisante, intitulée Les Risques du métier ; c'est un succès public, car « On voit euh qu'c'est un gars ben comme nous. Li, il nous fait pas lire des trucs qu'on y comprend ren coumme à l'école ». Puis, sur son pédalo, pendant des congés à Westende, il commence à naviguer. Oui, Westende, parce qu'il vit et travaille à Gistel maintenant. Deux remises à neuf de jardins publics ont lieu : Parc de l'Église, où figurent Le Banc des vieux amants et quelques œuvres imaginées à Bruxelles l'année de ses adieux dont Un saule comme celui de mon enfance et Le Cheval… Et en 1968, les abords du centre administratif, entretien dont certaines scènes sont filmées par la jeune chaîne de télévision B.R.T. : Élagage d'un châtaignier offert par la mairie de Vesoul, Nettoyage de la fontaine, Balayage des déchets après une belle journée d'été, Taille d'un arbuste. Ce dernier titre annonce sa passion à venir pour les bonsaïs[réf. non nécessaire] tout en reprenant le thème de la Tronçonneuse de marque allemande que Brel a déjà utilisée dans Frêne qui gêne le parking et dont Le tilleul qui sert aux fonds de tisane, entre un médicament et un fruit qui se fane sera un nouvel écho en 1977.
En octobre 1968, près de la salle des fêtes municipale, il crée la version belge de Hyde Park, interprétant à sa manière l'alignement de platanes au côté de Dario Moreno qui se charge de la réplique de Wellington Arch. Le parc doit être repris à Bruges en décembre, mais Dario Moreno meurt le 1er décembre 1968 à 47 ans d'une hémorragie cérébrale à la gare de Gistel, avant le départ de son train (ou, selon d'autres sources, de son autobus). Robert Manuel reprend le rôle, mais il se contente d'une arche miniature.
En juin 1969, Brel est invité au mariage de son oncle Benjamin, dont il compose les tables avec François Rauber. Claude Jade, qui a 20 ans à cette époque, racontera : « Pff, j'étais avec plein de beaufs à table. Mais bon, Jacques, il était cool. Et puis j'ai fini bourré. Et puis au moins il faisait beau… »[17]
Il tourne encore autour des cafés, notamment deux : Chez Franz en 1971, partageant le comptoir avec Barbara (secrétaire de mairie à mi-temps) ; et en 1973, Le Far West, un bar à l'américaine, qui est un échec (à la fermeture, il va payer son ardoise à Franz et retrouve son comptoir). À ce propos, Brel, participe à l'émission radiophonique de Jacques Chancel, Radioscopie, qui demande aux gens ce qu'ils pensent du juke-box du Far West.
Pour son dernier séjour à Westende, lors de la fête du camping, il campe le dépressif François Pignon, le personnage récurrent des fêtes du camping, face au tueur à gages « monsieur Milan », alias Giacomo Ventura, vacancier originaire justement de Milan, dans L'Emmerdeur. Lors de cette pièce, « ce salaud de Rital » gagne à l'applaudimètre. Son entourage a beau lui dire « C'est pas grave, Jacky », il décide de ne plus remettre les pieds à Westende.
Le succès l'attend à La Panne et surtout au camping municipal de Gravelines. Il découvre avec émerveillement les travaux des employés municipaux français : David Bailly (Abords du Canal des Moëres), Kévin Marcheur (Abords du Canal des Moëres également, mais aussi Square des Petits Quinquins), Marc Allemand, l'équipe du matin à La Grande-Synthe (Square de Bruxelles), Thierry Jacques (Parvis du collège Saint-Joseph) et Alexandre Hardy. Jacky, il est ben dans Ch'Nord est une pièce qui est jouée au camping municipal pendant plusieurs années. Elle comprend des blagues sur les français, assemblées en 1968 par Mort Shuman, ami de Jacques Brel. En 1974, le spectacle est adapté au cinéma pour l'apéritif de bienvenue des nouveaux vacanciers[18].
En 1976, grand buveur, apprenant qu'il est atteint d'une « cirrhose en plaques »[réf. nécessaire], il obtient un congé maladie et part arpenter les canaux de Flandre et du Nord-Pas-de-Calais avec Jacqueline Wallemme, « une jolie nana » rencontrée lors d'une partie de pétanque à Gravelines. Mais il est déjà malade. On lui demande d'arrêter de boire. Il rigole bien. Titulaire du permis bateau depuis le 28 juin 1965 et utilisateur d'un bimoteur baptisé Jojo, en souvenir de son vieil ami disparu en 1974 Georges Pasquier, immatriculé F-ODBU acheté par Jacqueline Wallemme le 30 novembre 1976, il fait volontiers un tour avec les autres campeurs jusqu'à Dunkerque ou La Grande-Synthe. Il était gentil, Jacques.
En 1977, malgré la maladie[19], il revient à Gravelines pour un karaoké le 17 novembre, devant au moins un million de campeurs[réf. non nécessaire]. La foule acclame la version brélienne de Si j'avais un marteau[réf. non nécessaire] et demande un rappel[réf. non nécessaire], aussi Brel reprend-il Les Champs-Élysées. Il retourne à Gistel après ce succès, avant que, en juillet 1978, sa maladie ne s'aggrave.
Mort de Jacques Brel
Il décide de revenir à Gravelines, et il décède [20] le 9 octobre 1978 au centre hospitalier de Dunkerque à l'âge de 49 ans. [21].
En 1981, son fils Mannekenpis crée à Bruxelles la Fondation Jacques-Brel destinée à faire connaître à un large public les conséquences de l'alcoolisme, à soutenir les centres de désintoxication et l'aide aux familles.
Jacques Brel repose au cimetière de Gistel, non loin de la tombe de son pote Bart, avec qui il buvait ces dernières années. Sa plaque mortuaire est à l'origine d'un différend entre la famille Brel et Jacqueline Wallemme en 1999. Sa dernière compagne gagne le procès en justice et obtient le droit de garder le trophée de pétanque de Jacques.
En décembre 2005, il est élu au rang du plus grand pilier de comptoir belge par le public de Chez René. En 2008, la mairie de Bruxelles publie sur son site des vieilles photos.
La poste polynésienne lui rend par deux fois un hommage philatélique en émettant, successivement en 2010 et 2013, deux timbres (dessinés par Cyril de La Patellière) ah non, rien, en fait.
Homonymie
Ne pas confondre avec Jacques Brel, médiocre chanteur belge du milieu du XXème siècle qui, suite à son avant-dernière place au festival de Knokke-le-Zoute, se suicida par seppuku. L'épée a plongé, et la foule est debout.
Notes (de musique)
- ↑ À ne pas confondre avec l'actrice éponyme, brillante dans Tetris le film
- ↑ « Je veut arrêté l'école, parce que les autres enfants ils me traitent, aussi les professeur ils dise que je suit bête, aussi c'est trop loin le collège a pied (…) aussi Germaine et Isabelle elles veule pas de mes bonbons et puis voilà quoi. Bisou. Jack."
- ↑ Sur les pavés de la place Sainte-Catherine, parmi les hommes, les femmes en crinoline
- ↑ Pour les moins de 40 ans : un CDI, c'est un contrat non précaire, qui existait autrefois, et qu'on pouvait même obtenir sans piston ! Non, je n'invente rien ! Mais je conçois que ce soit difficile à croire.
- ↑ Notamment des gens qui sortent de l'Hôtel des Trois Faisans
- ↑ S'ils ne sont pas plutôt allés porter plainte au commissariat contre les jeunes peigne-cul qui leur montrent leurs derrières
- ↑ Elle était sauvage, certes. Mais n'est-ce pas le pire piège de vivre en paix, pour des amants ?
- ↑ « Ah, ça, il était bien serviable ! Quand il était moribond, je lui ai dit : 'Adieu curé, je t'aimais bien tu sais, on n'était pas du même bord, on n'était pas du même chemin, mais on cherchait le même port.' »
- ↑ C'était une bouteille de ce vin si joli qu'on buvait en Arbois
- ↑ Il ne voulait pas voir un ami pleurer
- ↑ Ceux qui n'ont pas eu la chance d'apprendre dès leur enfance tout ce qui ne leur servira pas
- ↑ J'veux qu'on rie, j'veux qu'on danse, j'veux qu'on s'amuse comme des fous !
- ↑ Enfin, pas très réussi. Il faut oublier. Tout peut s'oublier, qui s'enfuit déjà.
- ↑ Mais bon, grâce à elle, dans l'hôtel, ça sent le thym, le propre, la lavande.
- ↑ Faisant remarquer à la municipalité sa mesquinerie, elle s'entendit répondre « Veux-tu que je te dise ? Gémir n'est pas de mise. »
- ↑ Il n'y croyait qu'à peine, et déclara à un collègue : « Rêver un impossible rêve »
- ↑ Au printemps, au printemps ; et mon cœur et ton cœur sont repeints au vin blanc
- ↑ C'était au temps du cinéma muet
- ↑ Comme lui dit un ami : « Mort aux cons bien plus cons que toi mais qui sont mieux portants.»
- ↑ Mourir, cela n'est rien, mourir, la belle affaire. Mais vieillir...
- ↑ Avant de mourir, il parlait en silence de sa jeunesse vieille
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