Jamaïque

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Jamaïque
Jam flag.jpg Pot leaf.gif
(Drapeau) (Symbole)

Rastafarian State of Jamaica
Hymne: No Woman No Cry
Bank-ganja.jpg


Un billet de 10 cannas jamaïcains


Capitale Kingston
Création Lors de l'invention de la ganja
Indépendance Sevrage vis-à-vis de la marijuana non effectué
Type de gouvernement République anarchique rastafarienne
Type de Société Société de consommation de drogues
Héros nationaux Doc Gynéco, Serge Gainsbarre, Francis Lalanne, Vincent McDoom
Chef de l'état S.A.S Bob Marley
Principales causes de mortalité Overdose, Famine, Auto-combustion, Cancer des cheveux, Meurtre
Fuseau horaire On ne regarde jamais l'heure en Jamaïque
Code téléphonique Il y a toujours quelqu’un au bout de la ligne
Monnaie Canna[1] Pot leaf.gif
Sports nationaux sprint, bobsleigh, ratonnade homophobe
Passe-temps origami, méditation sieste
Faune typique poux, morpions, puces

Ah la Jamaïque, cette petite île est le pays le plus cool du monde. Là-bas les soucis ou la peur de l’avenir n’ont pas cours. Le stress, l’ulcère, la calvitie sont inconnus. Leurs hommes politiques ne sont pas des vieux schnocks coincés du fion, ils ne portent pas des costards de pingouin à 20000 euros/pièce et ont eu les cojones de légaliser les drogues. Ils ne sont pas obsédés par leur réélection car la Jamaïque est une république démocratique où il n'y a jamais d'élections. Comme personne ne sait lire, il est impossible de rédiger des bulletins de vote et encore moins de les dépouiller (les bulletins comme les jamaïcains d'ailleurs).

C’est une ile volcanique, pourtant il n’y a pas de gros volcans comme en Martinique mais une multitude de petits cônes volcaniques incandescents au coin de la bouche de chaque habitant.

Il y fait toujours beau mais on ne voit pas le soleil car la fumée de ces petits volcans recouvre l’île d’un brouillard épais, d’un smog hallucinogène qui permet à chaque touriste qui s’y rend de croire que ce pays est un magnifique jardin d’Éden qu'il est difficile de quitter.


Les jamaïcains

Un calme Homo Rastanicus pendant la pause déjeuner. Cliché pris quelques instants avant qu'il ne se rende compte que le photographe est un grand blond efféminé avec une chaussure rose.


La Jamaïque est habitée par une sous-espèce d’homme primitif, l’Homo Rastanicus, qui se caractérise par son profil simiesque et sa chevelure abondante et crasseuse. Son langage est primaire, des onomatopées inintelligibles et de courtes phrases répétés à l’infini, à la manière d’un pokémon : Yo man, Cool man, Die Gay SonofBitch. Le tout entrecoupés de quintes de toux bien grasses et de crachats.

L’Homo Rastanicus est généralement pacifique et inoffensif, sauf si vous êtes blancs car ils détestent les blancs. De même si vous êtes homo ou juif, que vous possédez plus qu'un pagne, notamment un iPhone ou que votre copine (ou vous-même) vous trimbalez en mini-jupe. Dans ces cas de figure, les Rastanicus vous détestent et en veulent à votre vie. Ils vous courront après pour vous lyncher et vous rattraperont car ils courent très vite.

Certains anthropologues et linguistes comme Darwin ou Maitre Capello pensent que les Homo Rastanicus et les jeunes de banlieues ont des ancêtres communs et qu’ils sont proches cousins car ils partagent ces comportements barbares, cette pauvreté de langage du niveau d'un trisomique fini au pipi ou cette envie de cramer tout ce qui leur passent entre les mains. Comme des chacals ils vous sauterons dessus en bande d’au moins 30 individus histoire de ne vous laisser aucune chance.





La vie d’un Homo Rastanicus suit un rituel bien précis

  • Dormir (parce qu'il fait chaud)
  • Se défoncer
  • Dormir (parce qu'ils sont défoncés)
  • Casser du pédé To kill battymen
  • Dormir (tabasser de la tarlouze, ça fatigue)
  • Écouter du reggae
  • Dormir (parce que le reggae ça endort)
  • Brûler du pédé To burn chichimen/To fayabun chichimen
  • Dormir (parce qu'il fait nuit)
  • Shooter des pédés à l'AK47 pour se réveiller le matin. To shot battybwoyz
  • Dormir en attendant un hypothétique déjeuner.
  • Imputer la dégradation du tissu socio-économique de la Jamaïque aux homosexuels. Battyboys dead now !
  • Dormir (parce qu'il n'y pas grand chose à faire)
  • Accuser ses voisins de pédérastie
  • Recommencer le cycle

Économie

Si tu n'as pas un fusil à pompe, une boîte à bédo ou une gousse d’ail, fais demi-tour de suite.

La Jamaïque est un pays à la pointe du combat écologique puisque son économie est une économie verte. En effet l’économie jamaïcaine est basée sur une seule chose : la cannabiculture que chaque habitant de l’île pratique assidûment. Dans les rues, les ronds points de Kingston vous ne trouverez pas un arbre, pas une fleur, seulement du chanvre dont les employés municipaux s’occupent avec plus de soins que de leurs propres enfants[2].

Le taux de chômage avoisine les 100%, les seuls véritables travailleurs de l’île sont des saltimbanques haut en couleurs et chevelus : les artistes de reggae, les sprinteurs et les champions de bobsleigh. Il n’y a même pas de croque-mort, ici les morts doivent s’enterrer tout seul, comme la plupart d’entre eux n’y arrivent pas, ils finissent comme zombies vaudous qui déambulent sur l’île. On estime ainsi qu’au minimum 20% de la population de l’île est en fait constituée de zombies, ce chiffre est probablement sous-estimé car il est très difficile de distinguer un zombie d’un rastaman chichonné. Si vous êtes observateur vous remarquerez que les zombies ont les yeux légèrement plus fermés et qu’ils lèvent les bras un petit peu plus haut quand ils marchent; par contre ne vous laissez pas tromper par la bave qui s’échappe, ce n’est pas un critère distinctif.

Il est à noter également que les jamaïquains ne connaissent rien à l’économie, ils n’ont jamais un sou de côté et consomment immédiatement tout ce qui leur passe entre les dreadlocks.

Les activités commerciales de l'île sont entièrement liées au marché noir, la vente de drogues mais aussi de tee-shirts à l’effigie de Bob Marley ou du Che, la vente de cartes postales d’Éthiopie et la confection de dreadlocks minute.


Ce matin c'est l'effervescence chez les spéculateurs de la Bourse des matières premières de Kingston qui recule de 3,98% à 4582 joints. Les plus fortes chutes de la séance sont enregistrés par la cocaïne de Colombie, l'opium en poudre d'Afghanistan, l’héroïne d'Iran et le Red Bull, les cours de la verveine et du pissenlit sont stables. En revanche en raison d'une sécheresse simultanée chez les producteurs jamaïcains et du Larzac, les cours du cannabis s'envolent...

La littérature jamaïcaine

La littérature jamaïcaine est totalement marginalisée puisque personne ne sait lire ou écrire dans ce pays, en fait elle n’a du succès qu’à l’exportation dans les milieux Bobos qui sont attirés comme des mites sur un vieux pull-over par ce genre de livre mystico-exotique.

Le livre le plus important, la bible de la Jamaïque est le roman Un joint dans le vent, écrit par le seul intellectuel qu’ait connu l’île Marcus Garvey. Il a été récompensé du prix Nobel de littérature mai 1968.

Son originalité est d’avoir été imprimé sur des feuilles à rouler OCB. C’est cette particularité qui aurait décidé le jury du Nobel à choisir l’œuvre. Franchement quand on lit le contenu on se dit que c’est le jury du Nobel qui s’est fait rouler mais bon…


Barrot.jpg Olivier Barrot en direct d’Un livre un jour sur France 3 la chaîne de la vraie culture :
Mesdemoiselles, mesdames, messieurs bonsoir.

Aujourd’hui je vous présente un livre qui nous vient de Jamaïque, Un joint dans le vent de Marcus Garvey. Un livre que dis-je un monument incontournable qui nous invite au voyage dans des lieux féériques et enchanteurs. Le livre commence dans un bidonville sordide de Kingston où 3 amies trafiquantes de drogues, Maria, Juana et Macarena sont confrontées à une situation terrible qui les met en danger de mort. En effet elles sont dans l’impossibilité d’allumer leurs joints face aux bourrasques du vent, les fameux alizés des Cannaïbes. 800 pages de pure extase littéraire ponctués de réflexions métaphysiques toutes plus brillantes les unes que les autres, de rebondissements absolument trépidants.

Le livre se terminera quand une des trois amies fera sacrifice de son propre corps pour faire un abri aux rafales et que ses amis pourront enfin allumer le joint. Ce livre est absolument bouleversant, c'est un chef d’œuvre de la littérature dépressive. Si vous avez un peu de temps à perdre je vous le recommande vivement mes chers téléspectateurs. Dégustez-le sans modération avec en fond sonore I shot the sheriff de Bob Marley.

Excusez-moi mais je vais devoir vous laisser car j’ai comme une soudaine envie de déféquer sur le canapé. Et à France 3 ils ont pas un radis pour le changer. Hu hu je suis inspiré ce soir, voilà que je fais des rimes qui vont tout casser sur les WC !

Chers amis de la poésie à demain pour la découverte d'un nouveau livre passionnant: La castration symboligène de Carlos par Françoise Dolto.


SingeSavant.jpg L'auteur de cet article dit :
Moi ce bouquin ça me donne pas le Barrot.

À ceux qui voudraient lire le livre, je vous recommande de vous servir de l’ouvrage de façon plus utile. Roulez les pages et allumez le bout, ça vous fera un magnifique Barrot de chaise à en rendre jaloux Fidèle Gastro.



Garvey écrivit une suite en 1914 Un pétard mouillé qui raconte la déchirante détresse morale de trois jeunes enfants jamaïcains, déjà trafiquants de drogues. Après avoir écouté les chansons de leur président Bob Marley, ils décident de changer d'air et d’aller vivre en Éthiopie pour y faire paître des chèvres dans le désert. Ils embarquent sur une coquille de noix rafistolée avec des fibres de chanvre qu’ils avaient fabriqués grâce aux conseils trouvés dans un Pif Gadget. Pendant la traversée, une violente tempête se déclenche et le rafiot coule. Le livre décrit alors avec forces détails terribles les malheurs de ces enfants innocents qui perdus au beau milieu des flots de l’océan Atlantique ne parviennent pas à allumer leur pétard.

Cette œuvre est d’une grande médiocrité[3], son titre sert d’ailleurs aujourd’hui à désigner quelque chose dont on fait grande promotion mais qui s’avère aussi décevant qu’un album de reprises de NTM par Chantal Goya.

Cette fois-ci le jury du Nobel n’a pas bronché, il faut dire qu’Alfred Nobel a inventé la dynamite alors c’est pas avec un pétard mouillé qu’il allait se faire rouler une nouvelle fois.

Église catholique jamaïcaine

Sainte Marie-Jeanne, la pure et vierge, mère de Jah et de tous les rastas.
« Is this love, is this love, is this love, is this love that I'm feeling ? »
~ Phrase marquant les hors d’œuvre de la prêche du pape Bob.


« Let's come the children to me ! »
~ Phrase marquant le plat de résistance de la prêche du pape Bob.


« Oh yes, yes Baby, suck my dick again ! »
~ L'extase cosmique, phrase marquant le dessert et le café crème de la prêche du pape Bob.
Jah, il existe une controverse entre les rastafariens spaghettistes et les macaronistes sur la nature de l'essence divine de Jah.


L’église rastafarienne jamaïcaine est la religion la plus cool du monde. Elle est très libérale et ne pose presque aucun interdit et c’est parfait puisque de toutes façons ses prêtres sont trop défoncés pour te faire la morale. Et même s’ils te gaulent ils t’accorderont le pardon du seigneur contre un joint.

C'est une religion simple et sans chichi, pas la peine de faire suer le burnous à des générations d'ouailles lobotomisés à qui on promet le paradis s'ils construisent une gigantesque cathédrale. Non ici les fidèles se réunissent par terre comme des clochards pour fumer le calumet en cercle et chanter du reggae.


Les rastafariens adorent Jah, une divinité avec des cheveux rastas que l'ont représente sous la forme d'un plat de spaghetti. Le prophète de cette religion n’est autre que son fondateur Bob Marley et sa femme est sainte Marie-Jeanne, la vierge verte. Pour avoir le droit de fumer sa pelouse, chaque rastafarien s'efforce de mener une existence terrestre pure et sans péchés.

Devant cette apostasie, l’idolâtrie d'une icône païenne aussi grotesque, l’église aurait dû réagir violemment, rallumer les bons vieux bûchers d’antan et sortir les vierges de fer du placard[4]. Et bien non c’est vraiment bizarre que ce cher panzer cardinal de Benoît XVI n’ait jamais excommunié les rastafariens et fait pendre le gourou Marley la tête en bas par ses dreadlocks. Officiellement il tolère cette doctrine parce que Jah signifie oui en allemand et donc que si Jah est allemand il ne peut pas être mauvais[5]. Mais en fait les jamaïcains envoient 1 caisse de marijuana chaque année au Vatican mais chut… La corruption du Vatican est sous nos yeux, c’est le retour des indulgences, paye ton shit contre l’absolution de tes péchés.


Jésus pris un pain de shit de 3 kilos, le rompit et dit à ses apôtres. Prenez, roulez et fumez en tous ceci est mon corps...

Pour rappel, voici les 10 commandements, les 10 dogmes que tout rastafarite doit respecter :

  1. L'avenir tu ne te feras plus chier à penser, Jah l’a déjà prévu pour toi.
  2. De la Ganja de Jamaïque tu consommeras
  3. Les cheveux tu ne te laveras point
  4. Avec des vêtements voyants et colorés et un chapeau à la con tu déambuleras sans but.
  5. Les coiffeurs tu fuiras
  6. De tabac tu ne rouleras point
  7. Les témoins de Jéhovah tu ratonneras sans relâche.
  8. Pôle emploi tu éviteras, l'assistanat et la mendicité tu pratiqueras
  9. Au plus pauvre que toi, du shit tu donneras
  10. Du soir au matin, du matin au soir tu te défonceras

Lois

La Jamaïque est un pays anarchique où l’on jouit donc d’une très grande liberté. Il n’y a en fait qu’une poignée de lois à respecter.


* Celui qui n'a pas un joint dans sa bouche 24 heures sur 24 est punissable en vertu de la loi d’une amende de 100.000 cannas, ou d’une peine d'emprisonnement allant de 2 à 10.000 années. En outre, la loi Marley, promulguée en 1965, a forcé tout le monde à écouter ou à produire exclusivement du reggae, la seule dérogation est l’écoute d’Usain Bolt Thrower, groupe de reggae-Metal homophobe.

* La possession de désherbant, de shampoing, de rasoir, tondeuse à gazon ou de ciseaux est un grave délit mettant en jeu la sécurité nationale. Les contrevenants sont passibles de la peine de mort par fumage.

* Le travail aux blancs est interdit, cette forme d'esclavage sera sévèrement punie.

Jardins suspendus de Jamaïque

Les vrais jardins suspendus de Babylone.

En 376 avant Jah, une civilisation autrefois florissante fut anéantie. Il s’agissait de Babylone qui tomba entre les mains des barbares de la tribu des Capitalistes et fut rayée de la carte. Les célèbres jardins suspendus de Babylone, une des sept merveilles du monde antique, furent rayés de la carte désherbés par des millions de litres de Roundup largués par les bombardiers de l'armée capitaliste.

Les rastas qui y habitaient furent réduits en esclavage, arrachés à leurs terres et amenés dans les îles où on les humilia en les forçant à travailler dans les champs de tabac[6] avec pour unique salaire 3 coups de fouet de l’heure.

Après des siècles de cet esclavagisme cruel, les chefs des Capitalistes Dominique Strauss-Kahn et Laurence Parisot mirent les voiles avec leur tribu en direction de la Chine, où les travailleurs étaient plus nombreux et bien plus productifs. On pouvait les presser comme des citrons[7] pour un salaire encore plus minable.

Les rastas se sont libérés de leurs chaines sans effort et purent reprendre leur vie d’oisiveté en rêvant de la vie de leurs ancêtres à Babylone.

Bien des siècles plus tard, Bob Marley au cours de ses recherches découvrit que Babylone avait été reconstruite et se trouvait en Éthiopie.

Pour habituer ses frères à la vie à Babylone mais aussi pour les inciter à y retourner, il décida de construire une réplique grandeur nature des fameux jardins à Kingston.

Les jardins suspendus de la ganjah de Jamaïque.

Construction

Les travaux ont commencé au son du tam-tam et du reggae. La construction du jardin mobilisa l’ensemble des moyens de production de l’île. Au final la construction a couté plus cher en consommation d’herbes diverses, de marijuana, qu'en matériaux de construction.

Les ingénieurs jamaïcains, intellectuels autoproclamés formés à la grande école de la rue, se retiraient pour méditer tout la journée autour d’un rouleau de papyrus. Quand ils revenaient ils donnaient le fruit de leur réflexion et dirigeaient le chantier. Sous leur conduite habile les jardins furent achevés en seulement 30 années preuve de l’efficacité du travail des rastaman...

Ces jardins ont été construits avec comme unité de mesure le pifomètre, ils se présentaient comme un carré sans angle droit de 500 pifomètres de long sur 300 de large à + ou – 10 %.

Pour irriguer les jardins les ingénieurs eurent l’idée géniale de construire un grand canal partant de la mer vers le monument, l’eau étant distribué par un système innovant de tuyaux en bambou (ils ne connaissaient pas l’existence du PVC). Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est que c’était de l’eau de mer qui en sortait, ce qui a tué toutes les plantes.

Finalement ils se sont emmerdés pour rien puisque il pleut tous les soirs en Jamaïque, il suffit d’attendre l’eau de pluie mais ils semblent bien que les ingénieurs rastas n’étaient pas de brillants météorologues, ils ne vivaient que dans le présent et étaient incapables de prévoir le temps

Dans les jardins furent plantés une grande variété de plantes aromatiques et médicinales aux vertus hallucinogènes.

La campagne de publicité pour la ganja de jamaîque était sans doute too much pour les pudibonds amerloques.

Destruction

Comme son ancêtre babylonien, Le jardin suspendu de la ganja de Jamaïque n’a pas tenu bien longtemps, il n’a survécu que six jours, c’est le temps qu’il lui fallut pour partir intégralement en fumée, consommé par les rastas en manque de Kingston.

Le brasier, l’incendie qui ravagea le jardin fut si puissant que de nombreux reggaeman moururent d’overdose d’inhalation de THC. Il s’ensuivit une famine et une récession terrible pour la civilisation rasta qui failli être rayée de la carte.

L’historien Cannabino Sativa avance une autre hypothèse, selon lui les américains virent ce jardin comme un centre de production d’armes de destruction psychique massive, de décérébration des foules, destinés a être vendus sur le marché américain. Pour protéger leurs concitoyens ils auraient bombardé au napalm les jardins afin de les détruire.

Hérodote le grec rapporte lui que la destruction serait le fait d'un nuage de sauterelle envoyé par Jah pour se venger des dérangements auditifs provoqués par l’écoute à tue-tête d’Usain Bolt Thrower dans les rues de Kingston ainsi que de leurs paroles blasphématoires.



Kingston la verte

Matin calme et ensoleillé au dessus de Kingston.

Kingston est la capitale de la Jamaïque. Avec ces grandes cheminées elle est facilement identifiable. C’est une ville qu’on repère de loin : on peut sentir l’odeur de la marijuana à plus de 50 kilomètres, la brume qui plane sur la ville s’étend sur des dizaines de kilomètres et la nuit les braseros de Kingston permettent aux bateaux de la repérer à 500 km à la ronde comme un puissant phare éclairant les océans.

Kingston est la seule ville du monde qui peut être considérée comme un bidonville à 100% loin devant Rio de Janeiro, La Nouvelle Orléans ou Sarcelles dans le 9-5. En fait le seul bâtiment non construit en tôle ondulée et carton également ondulé est le siège international de Greenpeace.

C’est de Kingston que viennent tous les fameux coureurs jamaïcains. Tout le monde y pratique ce sport car celui qui ne court pas assez vite peut être considéré comme mort. C’est le seul moyen pour échapper aux innombrables criminels et meurtriers de la ville sans compter les violeurs (surtout pour les sprinteuses qui courent dans un petit bikini qui moule leurs formes girondes).

Les plus grands sprinteurs comme par exemple Usain Bolt[8] sont tous des homosexuels, ou du moins à la voile et à la vapeur, ça tombe bien comme ça ils avancent plus vite. Ils doivent courir comme s'ils avaient le feu au cul car aux traditionnels psychopathes se joignent tous les autres jamaïcains qui n’aiment pas les sales payday et qui s'ennuient.

Kingston est jumelée avec Glasgow en Écosse, car ces deux villes se ressemblent étrangement, il y règne en permanence un brouillard à couper au couteau et leurs habitants ne dépensent pas de pognon. À Kingston ils n’en ont pas et à Glasgow ils veulent le garder.

Doctrine de vie

Le respectable et influent Ministre du travail et de la santé Massimo Gargia a longtemps médité comme le font 99,9% des rastas qui habitent l’île. Il en est arrivé à la conclusion que :

  • Ça ne vaut pas le coup de travailler.
  • On risque l’ulcère rien qu’au fait d’y penser.
  • Un hamac est le meilleur lieu de travail possible.


L’auteur de cette article lui aussi se sent empli de la culture rasta, il a donc décidé d’arrêter de travailler sur cet article, finissez-le vous-même si vous n’êtes pas content.


En plus j'ai ramené de mes vacances en Jamaïque de quoi méditer un bon moment dans mon hamac.


Do-not-disturb.jpg


Notes et références

  1. Monnaie universelle et échangeable partout dans le monde
  2. Les fameux orphelins faméliques des rues de Kingston.
  3. L'adaptation de ces deux romans pour le petit écran est actuellement en cours par Arte, la chaine écolo franco-allemande.
  4. aucun lien de parenté avec Margaret Thatcher mis à part le côté frigide
  5. En même temps Hitler était autrichien vous me direz
  6. nouvelle humiliation
  7. Ou des litchis là-bas
  8. c’est pour ça que je trouve qu’Usain Bolt à l’air de courir avec un balai dans le cul


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