FUCK YOUR ASS!
THE FUCKER IS HERE AND HE WILL FUCK YOUR ASS!
Synopsis – Wouah ! Je ne sais pas comment ça se fait, mais Warner Bros. a invitée la rédaction cinéma de la dÉsencyclopédie pour assister à une preview du film Lego ! Ils ont dû nous confondre avec des vrais journalistes sérieux, c'est pas possible autrement !
– Note de la rédaction de dÉ Bons Films qui a été invitée par erreur et qui a dévalisé le buffet gratuit.
– Note des téléspectateurs qui n'ont pas encore vu le film parce qu'il n'est pas sorti, mais qui vont forcément adorer.
L'avis dÉ Bons Films – Notre avis ? Ils ont dû confondre notre adresse et celle de la rédac de Télérama qui nous est voisine. C'est ce qui me semble être le plus probable, parce qu'aucune société de production digne de ce nom n'aurait osé nous inviter nous ! On est considérés comme des minables dans la sphère du journalisme cinématographique. Même les stagiaires de Télérama nous crachent dessus, c'est dire ! Oui, c'est forcément ça, ils nous ont confondus avec la rédac' de Télérama et nous ont envoyé l'invitation de Télérama à la place !
À part que non, ça n'a pas de sens, les journalistes de Télérama (Oui, je sais, ça fait un peu oxymore) étaient là aussi... Ah merde, j'étais convaincu de mon coup là !
Ouais, bon, je ne vais pas m'attarder là-dessus, ça n'a aucun intérêt. Euh... J'étais censé faire quoi déjà, moi ? Ah oui, vous parler de la preview du film Lego. Bon, comme c'était juste une preview, le film n'était pas complètement fini, mais d'après l'équipe de la Warner, on a vu 75% du produit final. D’ailleurs, c'est pour ça que l'affiche que nous vous montrons en haut de cette page n'est elle aussi finie qu'à 75%. C'est pour une histoire d'uniformisation tout ça.
Enfin bref, passons à l'histoire : au début du film, on rencontre le personnage de Patrick McLego (À prononcer avec un fort accent américain, pour plus d'impact impactant) notre héros en plastique du jour. Il est bien embêté, parce qu'il s'est rendu compte qu'il s'est trompé de montant dans sa déclaration d’impôt et OH PUTAIN ! Je sais pourquoi on a reçu une invitation : ils ont dû en envoyer deux à Télérama !
Bah oui, c'est logique, quand Télérama n'a pas reçu son invitation, leur rédac' chef a dû contacter la Warner pour en réclamer une, et du coup, on se retrouve avec deux invit' pour Télérama, celle qu'on a reçu et celle qu'ils ont demandée, c'était pourtant évident !
Le mystère est résolu ! Bon, ça c'est fait, j'en étais où dans ma critique de film... Euh... Je crois que j'en étais au passage où le héros, Bob McLego infiltre une boîte de nuit new-yorkaise pour tenter de trouver des preuves reliant cet établissement à un trafic international de briques 4x2 rouges. Mais alors qu'il entre dans le bureau du patron, il se fait attaquer par quatre hommes de main russes. S'ensuit une incroyable scène de baston.
Et c'est vraiment durant cette scène qu'on peut voir le boulot exceptionnel des animateurs. Les mouvements du héros, Franck McLego, sont d'une incroyable fluidité et attendez j'ai un gros doute... Faut que je vérifie ça, où est-ce que j'ai foutu cette lettre déjà ? Ah oui, la voilà :
Vous êtes cordialement invitée pour la preview du film Lego se tenant au Pathé de la place de Clichy, le 10 janvier 2014 à 14 heures.
Bisou, le directeur de la Warner Bros.
Merde, mon hypothèse des deux lettres envoyées à Télérama est réduite en miettes... Sauf si le directeur de la Warner utilise le nom « dÉsencyclopédie » pour parler de Télérama, auquel cas, on ne va pas se gêner pour leur coller un procès au cul. Le tout avec beaucoup de super glu pour que ça tienne bien. La dÉsencyclopédie, c'est notre nom à nous et personne ne peux nous le piquer. Et surtout pas pour qualifier ces bons à rien de Télérama !
Voilà, de quoi je parlais déjà ? Zut, j'ai oublié... Ah oui ! Après que le héros, John McLego ait détruit en plein vol la fusée du méchant Mister Plé, ce dernier s'enfuit dans sa voiture personnalisée, la Plé-Mobile. Après, il aurait dû y avoir une grande course poursuite, avec des explosions, des cascades, des flingues et une poussette remplie de canettes qui traîne au milieu de la rue sans aucune raison. Enfin, c'est ce que l'équipe du film nous a dit, mais on ne peut pas en être sûrs vu que cette scène là n'était pas incluse dans la preview qu'on nous a présentée : le décor était toujours en cours de construction.
Du coup, on a eu droit, en lieu et place de la course-poursuite, à sept minutes d'un type, du nom de Robert, en train de construire le décor.
Après ça, on a OH PUTAIN (Bis) ! Je pense savoir pourquoi on a reçu notre invitation ! Ça veut dire qu'on est enfin reconnus comme étant une rédaction cinéma solide ! Ouais, c'est la fête ! On va enfin devenir riche ! OUAIS ! On célèbre ça, faites péter le champomy ! Oui oui, le champomy. Comment ça vous voulez du champagne ? Vous ne m'avez pas compris, j'ai dit qu'on allait devenir riche, pas qu'on l'était déjà... Pour l'instant, on ne peut se payer que du champomy, alors allez le chercher pendant que je finis cette critique et me faites pas chier !
Alors oui, le film, j'en étais où ? Euh... Après cette histoire de mallette perdue dans le métro, non ? Ouais, ça doit être ça, donc après être ressorti du métro, notre héros, Sylvester McLego utilise sa machine à remonter le temps pour retourner dans les années 80 et là, il va devoir gagner un concours de danse disco pour conquérir le cœur de la belle Brigitte McLego et ainsi résoudre le paradoxe du grand-père qu'il a créé en remontant le temps et en tuant son père par mégarde. Sauf que c'est pas vraiment un paradoxe du grand-père, mais plus un paradoxe du père et que du coup pas vraiment puisqu'il est son propre père et que le père qu'il a tué n'avait en fait rien à voir avec son arbre généalogique. Enfin, bref, il gagne et baise sa mère et ainsi se conçoit lui-même.
Ensuite, il retourne dans le présent et tente de désamorcer une bombe thermo-nucléaire qui se trouve à l'arrière d'une bétonnière conduite par le méchant du film. Et là, il se fait attaquer par un des russes de la boîte de nuit du début du film qui n'est pas content que le héros, Lego McLego, ait détruit son trafic de briques 4x2 roug... AH MAIS ATTENDEZ DEUX SECONDES ! En fait si, c'est bien un paradoxe du grand-père, vu qu'il est son propre père et son propre grand-père à la fois à cause d'une boucle de cause à effet !
Enfin, je crois... Je suis un peu perdu dans cette histoire de voyage temporel en fait... Bof, on s'en fout de ça.
Voilà, c'était l'histoire du film Lego, j'espère n'avoir rien oublié dans l'histoire à cause de cette histoire d'invitation. Mais pour résumer, c'est un super bon film. Maintenant vous m'excusez, mais je dois me délecter d'un grand cru de champomy tout en appelant le directeur de la Warner Bros. pour le remercier de notre nouvelle réputation en tant que rédac cinéma.
| width="25%" | |}
dÉ films à voir avec modération - 2024 ™
Portail du Cinéma |
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.