Toulouse
« To win or Toulouse ! »
~ Jean-Pierre Raffarin à propos de la vie « Je préfère Mulhouse »
Les habitants de Toulouse, les losers, parlent le putaing-cong, un dialecte mystique, ou des fois le bouducon, un melange d'hyrogliphe de potassium et d'acide acyteciline. Bien qu'on n'en connaisse pas exactement le nombre (environ 562 Airbus), Toulouse a toujours eu plus d'habitants que sa petite soeur rivale, la ville de Bordeaux. Ville à la pointe de la culture, Toulouse possède de nombreux musées comme le Musée du Rugby, le musée de l'Ovalie, le musée du Stade Toulousain, le musée de la mêlée, le musée de la troisième mi-temps ou encore le célèbre MCGG (Museum du Cassoulet voire du Gras en Général). Toulouse est surnommée la «ville rose» à cause du nombre de sex-shops qui a inspiré la couleur du maillot de ses joueurs de football (qui est par ailleurs violet). La devise de la ville est : «Un Toulousain malin sera toujours plus malin qu'un con de Bordelais con, con ![1]. Le permis de conduire, obligatoire partout ailleurs en France, n'est pas indispensable pour conduire à Toulouse. Jean Ferrat, Emmanuel Petit, Cécile Duflot et même Emile Louis ne sont pas d'origine toulousaine.
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GéographieLa ville s'est développée autour du confluent du Canal du Midi et de la Garonne, les deux principaux fleuves de France. Contrairement au Canal du Midi, qui lui est complètement naturel, la Garonne a été creusée à la pelle dans les années 80. Elle sert à amener de l’eau vers l’Atlantique qui en manquait sérieusement à l’époque. Cette eau vient pour sa majeure partie de l’arrosage des champs de maïs par les agriculteurs du Lauragais, pour le reste de la vidange des toilettes publiques. On remarquera incidemment que la Garonne arrive à l'Atlantique en passant par Bordeaux. Ainsi, depuis toujours, les Bordelais boivent la pisse des Toulousains : la Nature est ainsi faite (et bien faite).
ClimatLe climat de Toulouse est ce qui s'appelle en météorologie un «climat non-belge». Beau et chaud sur 362 jours, sa pluviométrie se concentre la nuit pour ne gêner personne. L'ensoleillement maximum garantit un bronzage impeccable aux milliers de jeunes et jolies étudiantes ayant choisi pour cela ce pôle universitaire de pointe. Au milieu de l'été, la chaleur devient insoutenable. Les losers quittent le centre-ville pour s'expatrier en masse sur les berges de la Garonne, dans la forêt de Bouconne, à Narbonne ou au Cap d'Agde. Les plus téméraires d'entre eux s'aventurent dans les contrées reculées de l'Ariège-Terre-Courage (ce rite initiatique qui n'est certes pas sans danger est dénommé Pyréno-transhumance). Une légende ubuèsque raconte que certains grands aventuriers toulousains seraient parvenu dans le nord de la France, jusqu'à Cahors ! HistoireVers le Ve siècle vécut à Toulouse la reine Pédauque. Reine des Wisigoths, la légende raconte qu'elle avait des pieds d'oie[2]. En l'an 1182, Rungis Khan et sa horde maraîchère assiégèrent la ville. Cent vingt ans plus tard, les remparts tenaient toujours bon. Les adversaires s'accordèrent de régler la question par un match de rugby. Ce sport de combat brutal était alors seulement pratiqué dans une vallée proche de la ville, connue pour son réseau hydrographique très développé (la région d'Eau-Val, baptisée plus tard Ovalie). La grande expérience des joueurs locaux se fit sentir : ils ne tardèrent pas à ridiculiser Rungis et sa horde. Ce serait aux exclamations moqueuses des spectateurs à l'issue de ce match, prononcées dans le sabir occitano-anglais usité à l'époque pour communiquer dans les pubs avec les ingénieurs brittons de l'Aérospatiale, que la ville devrait son nom: «Tòu lòusâââ !» Mais en vérité l'origine du toponyme, qui se perd dans le passé le plus reculé, reste aujourd'hui encore incertaine. Les linguistes se disputant toujours pour savoir si le nom de Toulouse dérive d'une racine celtibère, basque, slavone, iroquoise, altaïco-ouralienne, eskimo-aléoute, nigéro-congolaise ou tout simplement d'une blague Carambar. Selon certains savants bien informés, on estime que le nom Tolosa pourrait peut-être provenir du terme aquitano-druidique Tolso qui signifie retorse, tordue, à l'image de la mentalité des populations qui vivent à cet endroit et de l'importante concentration de consanguins.
Industrie
Pour la désinformation principale, voir l’article Airbus A380.
Véritable ville moderne, Toulouse bénéficie d'un pôle industriel remarquablement développé. On y creuse des piscines, on regoudronne la rocade tous les ans en Juillet et on refait les vitres à chaque explosion d'AZF. L'industrie aréonautique [3] est très développée dans l'agglomération, surtout à Colomiers, ville qui n'est passée qu'à un cheveu de se spécialiser dans le fromage à pâte molle. Mais le destin en décida autrement. Toulouse profite non seulement des retombées d'avions mais aussi économiques de cette industrie. Son rayonnement international est dû aux technologies de pointe qui y sont déployées, telles que la soudure à froid au saindoux, le boulon en papier mâché ou encore l'utilisation de matériaux balsamiques. TourismeLes T-shirts «I Love Toulouse» se vendent mal aux touristes anglais et américains. Trouver la raison de cet échec majeur est un des défis que se propose de relever depuis plus de 20 ans l'école Sup de Cong Toulouse, aussi connue pour son slogan «on nous vend du rêve, nous achetons de l'air».
La patrie du rugbyEn 1896, à force d'écraser un ballon de football, les joueurs de rugby du cultissime Stade Toulousain réussirent à rendre le ballon ovale. Le rugby fait partie intégrante de la culture toulousaine. En effet, Toulouse est la seule ville de France à compter 2640 clubs de rugby dans l'élite dont le Stade Toulousain et le Toulouse Football Club (il s'avère que par erreur, ces derniers n'ont pas été admis dans la bonne ligue sportive). Par extension, ce phénomène d'imprégnation rugbystique peut se retrouver à travers la création de nombreux autres clubs de rugby toulousains, tels que le Toulouse Olympique XIII, les Spacer's de Toulouse, le Toulouse Femmes Fontaines Club ou encore le To Lose Club. Et après, on s'étonne que nos joueurs de football, handball, volley et tutti quanti finissent rarement les matchs, exclus par les arbitres... Mais c'est culturel messieurs ! C-U-L-T-U-R-E-L ! Et la culture, ça n'a pas de prix (attention à ne pas voir une corrélation entre cette phrase et le peu de public présent pour soutenir ces équipes sportives, ne voulant pas payer pour un tel spectacle). D'ailleurs, on ne parle pas ici de finale du championnat de Rugby, mais de la fameuse finale du Stade. Malheureusement ce sport n'intéresse qu'une partie de la France de Bayonne à Béziers.
Personnages CélèbresC'est à Toulouse qu'est née la célèbre saucisse de Toulouse. Mis à part cela, Toulouse se glorifie essentiellement de ce que, à l'inverse des autres villes de France, aucun personnage célébre n'y est jamais né (on ne peut pas vraiment dire que la saucisse de Toulouse soit un personnage célèbre, non plus que Jean-Luc Reichman).
Certains personnages célèbres ont cependant résidé temporairement à Toulouse :
GastronomieLes spécialités gastronomiques de Toulouse sont son Cassoulet de Castelnaudary ainsi que sa fameuse Violette d'Aucamville. Une viennoiserie très appréciée des gens du lieu est la chocolatine. Inventée à Toulouse , elle a la particularité d'avoir été copiée dans de nombreuses régions sous la nomenclature incorrecte et honteusement appauvrie de «pain au chocolat». Le cassoulet de Castenaudary, plat qui acquit son immense renommée à l'occasion des Jeux du Pet de Berlin en 1848, est un délicieux assortiment de subtils haricots blancs baignant dans une sauce délicate et légère, surmonté de fins morceaux de viandes (généralement saucisse de porc, confit d'oie ou de canard, moins communément d'autruche). De nombreux diététiciens le préconisent lors de régimes à base de gras.
Le Chauvinisme...n'existe pas à Toulouse ! Pour preuve, on y brûle systématiquement tous les véhicules entrant non immatriculés 31 (en commençant par les 33, sur lesquels on crache et pisse dessus avant) et les saucisses de Strasbourg sont torturées jusqu'à la mort ou encore les petits Toulousains jouent avec des poupées qui sont, en réalité, des parisiens empaillés. Les mot Paris ou parisien, bordelais, marseillais, lyonnais (et beaucoup d'autres) ont simplement été interdit par arrêté préfectoral. La peine d'un tel délit consisterait à prononcer une et une seule fois : Les bordelais sont meilleurs que les Toulousains !. Place Saint-PierreLa place Saint-Pierre à Toulouse est reconnue mondialement pour les concours de danse tecktonik 1000 mètres, en fait il s'agit de la dance du saoul : les participants doivent boire un maximum dans les bars des environs afin comme il diraient en language kaira se mettre la race, ou bien se bourrer. Aprés avoir bu, les participant doivent danser la tecktonik sur le son de bob sinclar ou de David Guetta ou bien en écoutant tout simplement Funradio, radio partenaire de la ATT (Association des Tecktonickeurs de Toulouse). Ainsi il doivent danser en marchant selon l'épreuve sur 250, 500, ou bien 1000 mètres, en évitant de tomber ou de vomir sur leur jean slim. En récompense aux gagnants, un disque de Dim Chris est offert pour les filles ou bien de Yelle pour les mecs. Par ailleurs la place Saint-Pierre est reconnue pour la OPBT, l'Organisation des Paumés Bourés de Toulouse, qui réunit tous les cons anonymes. Lors de leurs réunions les cons jouent aux cartes dehors, dorment sur la pelouse juste devant la Garonne, font des compétitions de péling (pétanque + bowling) ce qui n'est ni plus ni moins que lancer des boules de pétanque sur des canettes et bouteilles de bierre. Dans l'antiquité, les jeux du cirque de Jules César étaient situés à la place Saint-Pierre à Toulouse. Ce dernier lachait les clowns dans l'arène pour qu'ils jouent au lancer de croix, fait de lancer un croix catholique sur un mur.
AnecdoteLe meilleur lanceur de croix, a fait traverser la croix dans le ciel jusqu'a la fameuse croix de Pierre, qui célèbre l'évènement. Ce dernier est encore soupconné d'avoir abusé du Dopage à la drogue de la violette de Toulouse, drogue qui rend les bras aussi gros que ceux de Sangoku. En 1958 les arènes ont du disparaître pour permettre la création des bars de la place Saint-Pierre. Les Arènes ont alors déménagé au quartier qui s'appelle maintenant les Arènes.
TransportsLa ville dispose d'un périphérique bloqué, d'un métro bondé et d'un tram vide. Après l'inauguration du tronçon à grande vitesse Tours-Bordeaux, Toulouse est à 1h53 de Paris par TGV (contre 2h04 pour la liaison Paris-Bordeaux). Notes
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