Ariège
L'Ariège est un département reculé de la France, portant le numéro 09 et faisant difficilement partie de la région Midi-Pyrénées. Les habitants de l'Ariège sont appelés les Arriérés.
Villes
- Capitale : Foix - Sous-capitales : Saint-Girons et Pamiers - Autres patelins : Lavelanet, Carla Bayle, Vals et son église dans le caillou, Saverdun, Massat, Castillon en Couserans, Seix, Salau, Sainte-Croix-Volvestre, Oust, Lercoul, St-Jean-de-Verges, Lescure, Mérins Orlu Montalliou Alzen où les habitants sont tous ZEN ![1]
L'Ariège, hier, aujourd'hui et demain
- Particularités :
- Routes sillonnées par un peuple extérieur en quête d’alcool, de tabac et de gasoil partant sur la principauté d'Andorre - Pays du Cèpe et des Girolles dans lequel les étrangers se font crever les roues en partant à la cueillette - Tranquillité et nature faisant lois et obligent les quelques habitants civilisé à faire une centaine de kilomètres avant d'arriver dans une vraie ville => Toulouse
Longtemps, l'Ariège eut pour devise le fameux cri : « Ariège, Terre Courage ! » C’est qu’il en faut décidément une bonne dose pour y rester. En effet, l’Ariège est une contrée hostile et sauvage où seuls l'Ours et l'Arriéré parviennent à subsister.
En ce qui concerne l'Arriéré, cela ne s'est fait qu'au prix d'une adaptation allant à l'encontre de la Loi Naturelle, telle que décrite par Darwin dans sa Théorie de l'Evolution. Par exemple, s’il est communément admis que l'Homme descend du singe, l'Arriéré lui descend de la montagne. On observe néanmoins quelques communautés de type humanoïde qui y sont toujours restées.
Quant à son collègue l’Ours des Pyrénées, il rechigna tant à occuper les lieux qu’on fut obligé d’importer des spécimens moins regardants en provenance de Slovénie.
L'Ariège dispose depuis le printemps 2010 d'un Parc Régional d'Intelligents Naturels (Réserve PRIN) qui va de Mane à Tarascon.
Géographie humaine
L'Arriéré est de nature égoïste, bourrue et farouche. Il émet un grommellement inquiétant lorsque les citadins (les Toulousains) viennent le visiter (ou pire s'installer dans la communauté) pour lui apporter quelque monnaie sonnante et trébuchante ou quelque idée estimée par eux novatrice. Toutefois, faut-il le préciser, le seul et véritable objectif du Toulousain est de lui chaparder champignons et truites Fario et cela justifie amplement l'hostilité bien légitime que l'Arriéré porte à son proche voisin mais néanmoins ennemi héréditaire, qu'il surnomme Doryphore, car bien trop envahissant à son goût.
Afin de lutter contre l’invasion de Doryphores, l’Arriéré procède à l’éventration de pneumatiques sur les véhicules présentant une plaque minéralogique dont les derniers chiffres sont différents de 09 (zéro neuf) et stationnés à proximité d’un bois ou d’une rivière.
Les outils traditionnellement utilisés sont des couteaux (certains étant des Laguiole provenant des objets trouvés après des apéros géants consécutifs aux matches de « rrruguebi » contre des Aveyronnais), Opinels, fourche, des tire-bouchons ou plus rarement des limes à ongles.
Économie
L'Arriéré est maladivement près de ses sous. Il n'hésitera pas à vous taxer un vieux bout de ficelle ou un quelconque bout de bois, ayant congénitalement à l'esprit que « ça peut toujours servir ». Mais il ne rechigne pas à effectuer tous les jours les quelques soixante kilomètres qui le séparent de la Capitale Toulousaine, pour venir piquer du travail qu'il ne trouve plus chez lui.
(Pourrons nous un jour établir une frontière aux portes d'Auterive pour entraver ce flux d'immigrés des montagnes ? Cela semble fort improbable. N'oublions pas que la « Guerre des demoiselles », exportée jusqu'à Paris lors de l'exode du XIXe siècle, a donné la Commune.)
80% du budget du département est consacré au RSA et autres allocations. Le reste sert a moderniser la nationale 20 Paris/Le Passss.
A Tarascon sur Ariège,(fin de la voie rapide venant d'Amsterdam), commence la route 51 vers le Passss.
Société
Une des rares activités sociales de l'Arriéré consiste à se regrouper avec quelques uns de ses congénères (15 au départ mais très rapidement 14, puis 13, puis 12, etc.) le dimanche dans un champ de patates pompeusement baptisé « terrain » pour pratiquer une activité appelée « rrrugueubi ». Le nombre de participants étant limité à 15 par équipe, les Arriérés qui ne sont pas sur le « terrain » participent à leur manière en apostrophant « l'engculé d'arrreubitre » de noms d'oiseaux tous plus colorés les uns que les autres. Ces échanges verbaux visent également, dans un souci d'équité, les joueurs de l'équipe adverse (souvent des hommes aimant les hommes), leurs entraîneurs (dont ils ont bien connu les mères) sans oublier les arbitres de touche (aux mœurs malheureusement peu vertueuses). Ces manifestations, après que les participants soient allés se faire panser par leurs compagnes, se terminent généralement par des apéros interminables où l'on trinque à l"intelligence, parce-que la santé on l'a déjà".
Population
Un prototype de la population ariégeoise est Fabien Barthez.
La population ariégeoise est composée:
- - de 93,6% de vieux babacools sur le retour (avec une chèvre par couple), voir article sur le babacool ;
- - de 19% de boneheads (skinheads néo-nazis) ;
- - de 38% de vieux paysans au langage incompréhensible à moins de 2,4g d'alcool par litre de sang ;
- - de 15% de Belges qui n'ont pas trouvé l'Espagne ;
- - d'1% d'Anglais qui ont perdu leurs GPS (restés bloqués en Couserans principalement) ;
- - d'1% d'Allemands licenciés par EADS et qui ont décidé, faute de pécule pour retourner en Allemanie, de s'installer dans la forêt de Dun ;
- - d'1% de musicos (comprenons par ce terme toute personne préférant aller s'enfermer tous les dimanches après-midi dans une cave pour produire le plus de bruit possible plutôt que d'aller au rrrugueubi).
- - de 25% de pouch pouch, originaires du Portugal (Se prononce avec la bouche pleine de bacalahau- la morue) qui se sont si bien intégrés que à Tarascon la culture locale c'est le Portugal (Portougalee), musique ,danse, tradition, cuisine, idées (quand il y en a)
Une très bonne ambiance règne entre la communauté baba et la communauté bonehead, la culture et le commerce du cannabis nécessitant le renouvellement annuel d'un pacte de non-agression.
L'Ariège est département notoirement connu pour ses problèmes de consanguinité. Les ravages de ce phénomène se mesurent au pourcentage que réalise Chasse Pêche Nature et Traditions aux élections.
L'Ariege POLITIQUE
Un concept immuable, un slogan, la phrase CHOC des dernieres cantonales : "Du changement dans la continuïté"... Tout un programme... Sans compter la devise de ceux qui ne sont plus dupes : "On fait aller" et qui elle a de l'Avenir ... Mais la base de la pensée politique est essentiellement un matérialisme historique particulier qu'on peut résumer par le slogan : "si une chèvre est socialiste, on vote pour elle".
Une des phrases favorite de l'arriéré est " putiaing cong "
Littérature
Il existe une grande tradition orale de conversation de bord de route, qui consiste à échanger des plaintes rituelles sur la chaleur s'il fait chaud, sur l'absence de pluie s'il n'a pas plu, et sur la pluie s'il a plu. On peut aussi se plaindre des (anciens ou futurs) voisins, des "hippies" (terme dialectal signifiant "qui n'a pas la nuque rasée" ), des vieux, des jeunes, des animaux, des arbres, des écolos, des chasseurs, et bien sûr des Toulousains. La littérature ariégeoise comporte une série de proverbes et d'aphorismes rituels aussi percutants que brefs, dont tous ne sont pas ariégeois :
- « Mieux vaut avoir cent taupes dans son jardin qu'un Ariégeois comme voisin » - Proverbe commingeois.
- « Si tu perds un ami de la montagne, tu ne sais pas ce que tu gagnes » - Proverbe de la Basse-Ariège, concernant ceux de la Haute-Ariège.
- « Là où la mule s'arrête, l'Ariégeois continue » - Proverbe audois. (Variante: « Là où la mule trépasse, l'Ariégeois passe »)
- « L'Ariégeois, il mange la neige » - Proverbe toulousain.
- « Un Ariégeois te serre la main, recompte tes doigts ! » - Proverbe toulousain.
- « Non. » - célèbre aphorisme ariégeois.
- « Je suis contre. » - variante du précédent et cri de ralliement.
- « Rien. » - un autre célèbre aphorisme ariégeois.
- « Hé bé !!! C'est cher hé ! » - phrase rituelle et sacrée que se doit de prononcer un Ariégeois chaque fois qu'il met la main au portefeuille (même pour quelques centimes).
- « Ca ne changera pas, hé ! » - conclusion obligatoire d'une conversation plaintive de bord de route.
- "On a toujours fait comme ça, ça a jamais posé problème"devant les tentatives de raccorder l'eau, l'électricité ou le réseau téléphonique notamment
Musique
Depuis le fameux "Se Canto" de Gaston Febus, il n'y a eu rien ni personne à part Gabriel Fauré (requiem, Pavane etc...) et Christof' ("la Mounjetade", "C'est en Ariège..." cd disponible au Super U de Mirepoix et de Lavelanet) pour renouveler le fantastique Paysage Musical Ariégeois (PMA) en ce qui concerne la musique tout public... En revanche, que l'amateur de "bon gros son qui t'arrache la gueule" (dixit les population locales) tende une oreille vers ce curieux Pays et il tombera sur un univers riche et fourmillant ! (Notion à rapporter à la mesure du département). La communauté des Zicos Ariégeois se scinde en plusieurs branches et a ceci d'intéressant, c'est qu'elle est tributaire du relief : A l'Ouest, en Couserans, ce sont les BabaRastas qui dirigent les débats soutenus par les Electroboyzs et les Punks. Au centre (de Pamiers à Tarascon), ce sont les Rockers qui dictent leur loi talonnés gentiment par les Electroboyzs et à l'Est, les Métalleux ont toute lattitude pour faire régner la terreur même si les Rockers ne sont pas en reste. Quand au Sud (de Tarascon à Ax), ben y'a rien. A noter que les PunksHardCore (les durs de durs) zonnent un peu partout sur le département (normal, ce sont des Punks). Nous allons donc tenter à présent de dresser un rapide portrait des 3 principales communautés musicales sévissant dans les vallées Ariégeoises.
Les BabaRastas :(autres noms: Zbabs, Zbabos, Yèpes...) Branche la plus nombreuse en Ariège si l'on considère qu'ils sont tous plus ou moins zicos (mais "pas vraiment paske tapper sur un tam tam c'est pas faire de la zique", vision commune aux rockers et Métalleux ariégeois). Les membres de leur communauté se déplacent en Van, en vieux camions délabrés, à pieds ou à dos d'âne. Ils sont de tous les combats et on peut les retrouver sur tout évènement musical à porté de Van, de camion, de marche ou d'âne du moment que c'est gratuit (sauf les concerts de métal). Ce désir inextinguible de culture connaît toutefois une baisse de régime durant la période de fin septembre à fin novembre parce que là, c'est la récolte et faut pas déconner. Communauté très liée à José Bové et à la nature, les BabaRastas vivent majoritairement dans les montagnes du Couserans et notamment à Massat. Ils écoutent beaucoup de nouvelle chanson Française, encore plus de Reggae et de World Music et apprécient bien l'électro et le Punkfestif. Vêtus de vêtements aux couleurs flashy où au contraire issus de vieux stocks militaires (ou des fois à moitié à poil), ils sont caractérisés par une débordante énergie qu'ils utilisent soit à ne rien faire, soit à confectionner des petits objets en paille qu'ils iront vendre ensuite au marché de St Girons sous l'étiquette "travail artisanal". Leur gentillesse et leur convivialité sont authentiques et il y en aura toujours un ou une pour vous rendre service si vous avez un souci (surtout si vous avez de quoi rouler un blaz apres coup).
Les Rockers : Branche la plus nombreuse en Ariège si l'on considère que c'est dans ce style de musique qu'il y a le plus grand nombre de groupes qui font des concerts. C'est également la plus diversifiée puisqu'on trouve du gentil Rock qui parle de crise d'adolescence, de devoirs à faire, de flirts terminés (voire de chaussures) comme du Rock moins rigolo chantant le sexe, la défonce, la folie, la mort et la destruction. Le Rocker ariégeois se reconnaît principalement aux bières qu'il transporte souvent dans son sac à dos quand il en a un, à ses cheveux en vrac (parfois longs mais moins que le Métalleux), à ses jeans délavés, à son nombre de piercings (moins élevé que celui du Zbabos) et à ses tatouages. Mais comme dit précédemment c'est dans cette communauté que se trouve la plus grande diversité d'apparence donc rien n'est définitif. Il existe des Rockers à casquette, d'autres à veste en cuir, d'autres à tendance intello... La seule certitude (outre le fait qu'ils jouent tous comme des Ariégeois) c'est le goût général prononcé pour les têtes de mort qu'on peut retrouver sur certains T-shirts. Une communauté dans la communauté répondant au nom de ARRG (Ariegish Rock n Roll Groupment) à même créé les siens avec un franc succès auprès de la population locale. Bref, c'est une communauté sympathique (tant que vous trouvez leur zique géniale) et toujours prompte à prendre une cuite. Si vous avez besoin d'un service et que vous le demandez à un Rocker ariégeois, pensez à ponctuer vos phrases de "bordel de merde, enculé con" et à vérifier si vous avez de quoi payer la tournée de bière après coup.
Les Métalleux : C'est la communauté la plus nombreuse à pratiquer des sacrifices rituels de rats et à se rappeler des anciennes forces occultes qui régnaient jadis sur l'Ariège avant que les Rois de France ne foutent la raclée aux Cathares (et de fait incluent Montségur, Foix et les alentours dans ce qui allait devenir la France actuelle). Les Métalleux ne sont pas sympas et n'ont pas envie de l'être. Ils considèrent que leur "cousins" rockers sont tous des tapettes, que les Zbabos sont leurs ennemis et qu'il n'y a plus rien de bon en musique depuis Black Sabbat (époque musicale à laquelle ils sont restés coincés). Souvent avec des cheveux très longs ou très courts, beaucoup de tatouages qui font peur, habillés de noir et de cuir, ils arborent fréquemment une mine patibulaire (qui fait beaucoup rire les Rockers) en adéquation totale avec le vacarme qu'ils produisent en concert (quand ils arrivent à en faire un). C'est une communauté renfermée sur elle même et qui est en cela la plus ariégeoise des trois principales évoquées ici. Chacun des zicos de cette communauté part du principe que leur groupe est le meilleur de la terre et que, puisqu'il est attendu comme le messie par tout le département, il n'y a pas besoin d'annoncer de concert. Ainsi, on assiste à des concerts de métal où le seul public présent est composé des nanas des zicos quand ils en ont. Le restant de la communauté ne s'étant même pas déplacé pour voir des groupes qui seront de toute façon moins bons que ceux dans lesquels joue chaque membre de la communauté. Le reste du PMA s'en battant ouvertement les c... Enfin, si vous avez un service à demander, faites en sorte que ça ne soit pas à un Métalleux ariégeois.
Les rappeurs : En minorité en Ariège, le rappeur-citadin est mal vu par ses collègues rockers ... Cependant, certains talents purs savent être dénichés au fin fond de leur ghetto ariègeois : Young $MIL est un grand lyriciste reconnu de tous qui nous raconte son vécu et des histoire street, inspiré par les plus grands (Soprano, La Fouine, Soulja Boy et Lil Wayne), Young $MIL est une figure montante du paysage musical ariègeois et du rap Bling Bling en général. Les vistes sur son skyblog (young-smil-officiel.skyrock.com) augmentent, ses fans se mobilisent peu a peu... Le reste des MC's préfèrent s'exiler en ville ou travailler dans l'ombre.
Devise de l'Ariège
Comme il a été dit plus haut, depuis la création de cette contrée hostile jusqu'en 1997, la devise de l'Ariège était : « Ariège, Terre Courage ! » Comme ça n'était pas porteur pour le tourisme, elle a été remplacée par « Ariège, les Pyrénées avec un grand A. ». Il existe aussi la célèbre devise du grand village de Seix "« Soum de Seich Cap de paur »", signifiant "« Je suis de Seix et jamais je n'ai peur »" témoignant de la force et de la fierté de ses habitants les seixois !
Religions, sectes et croyances
L'Ariège est un haut-lieu de la spiritualité. L'Est du département est en plein pays Cathare, qui inclut d'ailleurs la localité de Bugarach. Les Cathares sont passés maîtres dans l'art du méchoui, dont le plus fameux est celui de Montségur en 1244.
Tout près de Tarascon sur Ariège, vous pourrez rencontrer des adeptes du Sakanisme, habillés en spéléologues. Leur temple à 36 entrées peut être parcouru de 1296 manières différentes. 5400 mètres de galeries vous conduiront au saint des saints du temple. Le gourou de cette secte, qui parle couramment le Pascal, vous fera calculer à la main l'inverse de la matrice de compensation (450 équations, 450 inconnues) du réseau en guise de rite d'initiation.
Ariégeois célèbres
- Gaston Loupiac : champion de boules 1923-1924.
- Fernand Payous : a fait découvrir à l'Ariège l'écriture 8000 ans après le reste du monde.
- Raymond-Roger Compte-deux-fois : dictateur de l'Ariège au Moyen-Âge, il cachait des Cathares dans son grenier.
- Bernardo : son nom claque aux oreilles de ceux qui n'arrivent pas à l'entendre parler. Célèbre partout en Asie, où il est le pendant d'Alain Delon comme le Yin est le contraire du Yang. A donné son nom à un syndrome célèbre.
- Fabien Barthez : philosophe chauve, champion du monde de Lavelanet, ayant un double dans l'Univers miroir du nom de Babien Farthez.
- Gabriel Fauré : compositeur à grandes moustaches, qui préféra partir très tôt à Paris afin de fuir l'enfer que lui promettait l'Ariège. Il est hélas mort avant d'avoir fini son célèbre Requiem.
- Fabien Pelous : rrrruguebimanne ; encore un ariégeois parti chercher du travail à Toulouse.
- Jean Broc de Bénagues : inventeur, a mis au point un piège à taïchous en 1865.
- Claudius de Cap Blanc - Métahistorien Champion de la branlette - http://www.affabuloscope.fr/ .Inventeur génial: "… l’imagination c’est comme un muscle, il faut la faire travailler !», à découvrir d'urgence.
- T-Jey (aka Young $mile) : lyriciste contemporain, poète, proxénète
- ↑ All zen ou tous zen en français tg !
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.