Connasse moralisatrice du matin dans le métro
Cet article décrit un stéréotype, afin de lyncher et exclure encore mieux certains d'entre nous. |
La connasse moralisatrice du matin dans le métro, aussi appelée pute moralisatrice du matin dans le métro, est un individu généralement humain, de sexe féminin non utilisé, trop pauvre pour posséder une voiture, et se déplaçant le matin pour aller à son job inutile de secrétaire râleuse, ou de caissière mal payée.
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Pardonnnnn, y'a des gens qui veulent descendre !!! |
La connasse moralisatrice du matin dans le métro refuse la sainte quête du métro-boulot-dodo, et rêve d'un monde dans lequel les gens se parleraient, surtout dans le métro. Pour ça, elle préfère sortir de sa stase métroïque pour inculquer savoir vivre et raison à ses comparses temporaires de voyage.
La connasse moralisatrice du matin dans le métro se nourrit d'esclandres qu'elle déclenche dans le métro, le matin, pointant du doigt toute personne n'agissant pas selon le code de bonne conduite de la connasse moralisatrice du matin dans le métro.
Mais pourquoi, connasse moralisatrice du matin dans le métro, pourquoi es-tu comme ça ?
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Non mais on rêve là ou quoi ? On vous a jamais appris la politesse ? |
Les règles de la normalité définissent un comportement matinal métroïque standard. Véritable religion, reconnue par le ministère des transports et du culte, le comportement à adapter consiste en un mélange d'oubli de soi, avec une patience sans limite, et une acceptation totale de la liberté des 9 autres personnes[1] qui peuplent le même mètre-carré que vous.
Explication scientifique courante
Quelle raison, quel but, quel idéal pousse la pute moralisatrice du matin dans le métro à sortir de ce dogme, et tel un Johnny des temps modernes, refusant l'ordre établi, à être en quelque sorte la racaille du métro ?
Dès sa naissance, la connasse moralisatrice du matin dans le métro a été élevée pour se sentir dans son droit, dans son plein appel de la vérité.
La source intrinsèque du conflit interne de la connasse moralisatrice du matin dans le métro proviendrait[2] justement de son sexe féminin inutilisé. Née humaine, les deux extrémités vulvaires s'étant soudée avec le temps suite à leur inutilisation[3]. De même le cortex associatif préfrontal dorsolatéral du sujet étudié aurait disparu par une absence totale de plaisir coïtal[4].
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Dites donc vous allez arrêter un peu avec vos grossièretés ? |
On trouve la connasse moralisatrice du matin dans le métro sous sa forme quasi-exclusive de sexe féminin inutilisé. De rares exemplaires masculins ont été observés, mais tous à un age très avancé.
Or Dr House énonçait en 1934 : « Ce bouton d'acné ressemble fortement à un cancer, bande de cons ». Cette découverte expliquait intrinsèquement, avant même son apparition, le phénomène fonctionnel de la connasse moralisatrice du matin dans le métro. Sans sexe, et donc sans cortex associatif préfrontal dorsolatéral, la connasse moralisatrice du matin dans le métro est incapable de quelque comportement social que ce soit[5]. Se référant donc sans cesse au guide des bonnes manières, la connasse moralisatrice du matin dans le métro s'insurge de tout comportement s'apparentant plus ou moins à une liberté.
Autre théorie
Cependant l'explication scientifique précédente n'est pas l'unique théorie sur l'apparition de la connasse moralisatrice du matin dans le métro. Une autre théorie, décrite par mon pote René[6], serait qu'il s'agit juste d'une grosse pute qui se sent obligé de faire la morale aux gens qui prennent le métro le matin en même temps qu'elle, parce qu'elle est mal baisée et qu'elle est conne, car n'oublions pas, c'est juste une pute.
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Ohhhhhhh non mais, ohh mais je rêve, on vous a pas appris à être poli ou quoi ? C'est pas possible ça ohhhhhh ! |
Leçons de vie de la connasse moralisatrice du matin dans le métro
La connasse moralisatrice du matin dans le métro nous inculque quelques leçons de vie courante, telle que se pousser quand des gens veulent descendre, ou ne pas parler au téléphone juste dans mon oreille. Cette section s'acharnera avec la hargne d'un caniche à étudier scientifiquement l'impact des connasses moralisatrices du matin dans le métro sur son environnement.
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Pardonnnnn, y'a des gens qui veulent descendre !!! |
Densité connassique de surface
Par un raisonnement trivial, on pourrait considérer que le nombre de connasse moralisatrice du matin dans le métro augment linéairement avec la densité d'une rame de métro. C'est faux[7].
Contrairement à la logique, une étude sociologique [8]les connasses moralisatrices du matin dans le métro se ruent en priorité sur les rames bondées. L'expérience permet de vérifier l'exponentialité de cette bijaculation :
Une étude menée au Japon [9] sur la fréquentation du métro a donné les résultats graphiques suivants : (Attention, l'échelle est logarithmique):
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Densité morale de surface
Le nombre de connasses augmente exponentiellement avec la population d'une rame... mais quid de la moralité : quel est l'impact de l'augmentation de la densité de connasse moralisatrice du matin dans le métro (ou densité connassique) sur la densité morale ?
Nous n'avons pas de réponse, regardez plutôt cette bonnasse à la place.
Comment se débarrasser de la connasse moralisatrice du matin dans le métro ?
Il n'existe pas de manière propre de se débarrasser d'une connasse moralisatrice du matin dans le métro qui n'implique une mutilation quelconque de son anatomie, comme on pourrait en trouver pour le Connard qui s'appuie sur la barre dans le métro. Les deux solutions consistent donc à l'évitement, ou à la destruction de la menace.
La nana aux cheveux rouges dit : | |
Pardonnnnn je voudrais passer ! Ahnonménonhein ! |
Comment éviter simplement la connasse moralisatrice le matin dans le métro ?
D'après le Docteur Maboule[10], il suffirait de ne pas prendre le métro, ou tout du moins de ne pas prendre le métro le matin.
Ceci s’avère faux, étant toujours le matin quelque part. Mais cette solution réduit néanmoins considérablement la probabilité de rencontre de la bête sus-nommée, le métro étant moins bondé aux horaires creux.
Comment ne pas attirer les foudres d'une connasse moralisatrice le matin dans le métro
La rencontre avec une connasse moralisatrice le matin dans le métro est inévitable. La première chose à retenir est que vous avez tort, quoi que vous fassiez.
La nana aux cheveux rouges dit : | |
AHhhhhhh mais dîtes donc, je veux descendre, pardon poussez vous allons ! |
La connasse moralisatrice le matin dans le métro est frustrée par sa vie misérable et le manque total de sexe qui accompagne l'échec de son existence. Il n'existe pas de cas dans lequel votre comportement conviendrait à la connasse. Aucun.
Dès lors, le travail consistera à s'éloigner de la connasse moralisatrice. Toute tactique est bonne pour mettre de la distance entre elle et vous, souvenez vous, il s'agit de votre santé mentale.
Comment réagir aux foudres d'une connasse moralisatrice le matin dans le métro
Ne répondez pas. Jamais. La connasse a seulement la capacité de parler, la destruction de son cortex associatif préfrontal dorsolatéral l'a rendu sourde, et elle s'énervera d'autant plus que la vision de vos lèvres remuantes lui rappellera cet état de fait.
Au contraire, adoptez une attitude physique agressive, seule solution. Lui casser un bras, lui crever un oeil, ou lui écraser le nez la fera taire suffisamment longtemps pour vous permettre de disparaître. Attention cependant, la connasse moralisatrice n'a pas de couilles, ni même de chatte... inutile donc de taper par là-bas. Il est à noter que des théories courent sur l'élimination par explosion des connasse moralisatrices du matin dans le métro. Selon ces théories, les attentas dans les rames de métro serait en fait des tentatives de destruction de connasses en grand nombre, par des personnes qui méritent donc tout notre respect, et surtout notre compassion, pour avoir sacrifié leurs vies pour détruire les connasses du métro.
Élimination concertée de toutes les putes moralisatrices du matin dans le métro par intervention gouvernementale
Seule une élimination totale permettrait de supprimer les connasses.
De manière tout à fait théorique, mon pote René énonce :
Comme vous avez pu le découvrir dans la section densité connassique de surface, plus une rame est densément peuplée, plus elle est peuplée de connasses moralisatrices du matin dans le métro, et ce exponentiellement parlant. Tout à fait théoriquement, il serait possible d'attirer toutes les putes moralisatrices du matin dans le métro simplement en construisant la rame la plus peuplée de la planète, où théoriquement toutes les personnes de la rame seraient progressivement remplacées par des connasses moralisatrices. La rame n'étant alors plus qu'un immondice moral et respectueux de soi-même sans passer par les autres, interviendrait alors le chuck pour la détruire.
Cette théorie est très contestée par Gilbert Bécaux :
En effet, plusieurs choses ne tiennent pas :
- Ceci suppose une action concertée à l'échelle planétaire... Or les Coréens boudent toujours depuis qu'on leur a refusé le droit d'avoir une grosse bombe, et ne voudront pas participer.
- Les recherches les plus récentes tendent à prouver que l'augmentation de densité de population d'une rame tend à générer des putes moralisatrices du matin dans le métro, pas uniquement à les attirer. Ceci invaliderait alors la théorie, puisqu'on générerait plus de connasses qu'on n'en attirerait, pouvant aboutir au cataclysme de la transformation finale, hypothèse selon laquelle le monde serait alors peuplé par des salopes moralisatrice[11].
Références
- ↑ Nous n'avons pas de référence à vous fournir.
- ↑ Voir les études du Docteur Zoïdberg à ce propos
- ↑ Etude issue du très bon livre du Docteur Pataphysique René Fillouchi, «Comme ta maman est conne, tu seras unijambiste toute ta vie».
- ↑ C'est trivial et évident
- ↑ Là aussi, c'est évident !
- ↑ Voir « Mais qu'est ce qu'elles nous font chier ces putes » de Mon pote René
- ↑ Docteur Zoïdberg : « C'est faux ! ».
- ↑ Maïté : « Les poireaux et les citrouilles, ouille, ouille ».
- ↑ Bioman contre les indiens, Edition du soleil cassé, 1732
- ↑ Joue avec ton anatomie, apprends la sodomie, Docteur Maboule, éditions Marc et Guenièvre Dorcel
- ↑ 2012
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