Vaginal ou clitoridien ?

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« Ma femme est clitoridienne. Moi je suis vaginal. »
~ Sacha Guitry à propos de la raison de ses infidélités
« Alors, mademoiselle ? »
Question.png
Saviez-vous que...
une bouchée de cet article est conseillée à tous les repas ?

Les gens se posent souvent la question, et nous, les non-gens, aussi. C'est une question écrite dans le ciel, et le ciel est l'entrejambe de Dieu, avec ses fausses couches tonitruantes et les pluies de merde qui les confirment. Et sans doute sa réponse est-elle inscrite dans le centre de la Terre, ce sommet de mystère entre nos jambes qu'attaqua Jules Verge en sous-marin.

D'où le très vif intérêt d'en savoir plus sur Gérard. Beaucoup plus.

Et d'abord, qui est Gérard ? Gérard est ce que d’aucuns appelent un habitant du pôle Nord qui se trouverait être notre être le plus cher au monde[1]. Nous aimons Gérard de cet amour qui fait fuir et veut tout prendre en photo.

Gérard

Mais plus l'être sous investigation est important à nos yeux, plus on devient gynécologue, c'est-à-dire, plus on a tendance à chercher la petite bête. Et là, l'immensité de la tâche s'est imposée en notre âme et conscience. Nous sommes donc partis à sa rencontre. Et quand on cherche, on trouve, comme l'a déjà prouvé Christophe Colomb.

Gérard, photographié lors d'une pause igloo

D'abord, il fallut que nous traversâmes l'épais cercle arctique qui ceint le pôle Nord tel un abdomen trop enrobé. Ensuite, Gérard roupille dans un igloo, empaqueté amoureusement dans un sac de couchage en fourrure de bœuf musqué frappé du sceau qualité "Espèce menacée en voie de disparition". Et même si notre tentative de l'attirer hors de son igloo avait abouti, Gerard est enveloppé d'un manteau généreusement adipeux. Ne nous attendons pas non plus à ce qu'il nous tende la main, par ailleurs nichée douillettement dans une triple mitaine avec laquelle il serait impossible au commun des mortels de taper normalement sur un clavier IBM. Du fait de sa distance, Gérard a tout de la silhouette d'un bleu froid qui se projette sans éclat sur la paroi de son frigloo. Tout porte donc à croire qu'une tentative de pêche à l'information impliquerait vraisemblablement un acte d'une violence rare.

Mais ce que les gens ne savent pas

C'est que Gérard a un passé[2]. Ce n'est ni un être creux, ni une tomate pleine. Mais un être plein d'anatomie et de spiritualité religieuse. La preuve, le jour où il eut un accident et faillit y laisser son sexe, Dieu est intervenu à titre informatif :

Dieu (à titre informatif) : Gérard, tu as failli y laisser ton sexe.
Gérard : Nan mais je t'en prie, dis-le plus fort. Je crois que les gens n'ont pas bien entendu que je suis bi-transexuel bi-zoophile bi-concombro-tentaculo-phile et vierge à 40 ans[3] !
Écho céleste : Nan mais je t'en prie, dis-le plus fort. Je crois que les gens n'ont pas bien entendu que je suis bi-transexuel bi-zoophile bi-concombro-tentaculo-phile et vierge à 40 ans !
Gérard : Mais c'est quoi ce bordel de couille sans nom ?
Écho céleste : Mais c'est quoi ce bordel de couille sans nom ?
Dieu : Les gens t'entendent aussi Gérard Alphonse Delacroix, et pas un peu grâce à l'Écho céleste.
Écho céleste : Les gens t'entendent aussi Gérard Alphonse Delacroix, et pas un peu grâce à l'Écho céleste.
Dieu : Et Gérard, les couilles ont toujours un nom.
Gérard : Faut toujours passer vous voir quand on a failli y laisser son sexe ?
Dieu : Non mais c'est mieux, car je suis l'unique borne de recharge de l'univers parallèle. D'ailleurs tu peux te débrancher. (Gérard se retire) Tu vois, les gens ont tort. Je ne suis pas mort et mes voies sont pénétrables. Mais où vont-ils puiser toutes ces théories ?
Gérard : (se met à pleurer) JE NE SENS PLUS RIEN DANS MON SEXE ! OOUUIINNNN ! Dieu aidez-moi !
Dieu : Mais je suis là Gérard.
Gérard : (hurle de désespoir lorsqu'il entend ça)
Dieu : Mais Gérard, as-tu pensé au clitoris ?
Gérard : Tu crois que ça m'aide de dire ça ???
Écho céleste : Ta gueule, on parle pas comme ça à Dieu notre seigneur à tous, l'Éternel devant l'éternel, le seul qui ait le droit de s'auto-nominer au best-of.
Dieu : Laisse faire, il est jeune et impétueux. Gérard, tu es aigri et vert. Pense avec ta tête...
Gérard : ... et jouis avec ton clitoris, je sais, je connais la rengaine par cœur. Dommage que vous l'ayiez pas mis dans la Bible.
Dieu : Je l'ai mis dans la Bible pour les nuls, mais personne ne m'a reconnu sniff. Pourtant je mets à contribution la même prose divine, la même grammaire divine et la même orthographe divine. Étrange. Du coup, les gens n'ont pas pris avec toute la gravité et le sérieux nécessaires le décret divin pour la prise en considération du clitoris d'égal à égal avec le vagin. Tout est expliqué en sermo vulgaris dans le chapitre de la Genèse où je démontre en prenant à témoin le vagin du pape que le vagin dans toute sa grandeur papale naît du clitoris comme Dionysos de la cuisse de Jupiter. Dans ce passage de la Transfiguration, je ne me reconnais plus. Ce n'est pas moi qui écris, c'est le Saint-Esprit !
Vagin-pape.jpg
Le clitoris du pape dit :
Que le vagin soit ! Hymen.
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Le vagin du pape dit :
Proute !
« C'est pissant, j'en ai chié de rire, vraiment ! »
~ Télérama
« À ce niveau d'effets spéciaux, la chatte c'est un transformers !! »
~ Les Inrockuptibles
« Et pourtant l'hymen, ça déchire ! MDR »
~ Le Monde
« Le Saint-Esproute ! PTDR »
~ Le Figaro Littéraire
Dieu : Si l'on parle de "sexe faible", je tiens à préciser que ce n'est pas parce que la femme est inférieure à l'homme ou quoi que ce soit. C'est juste que je l'ai ratée. Lorsque j'ai proposé mes Tables de la loi à Adam, celui-ci m'a dit : « J'ai rien demandé moi ! Laisse-moi jouer tout seul avec mon zizi ! » « Adam, Adam... » « Non je n'adandrai rien de ta part ! Tu peux mettre ça dans la chatte d'Ève ! » Le vagin a été en conséquence bien plus large que prévu, surtout qu'à la base les Tables de la loi sont conçues pour servir d'étagères pour les Livres saints. Je précise pour la mob féministe que ça n'a rien d'un complot de mecs, qui aurait eu lieu entre Adam et Dieu le poto qui joue au foot comme un mauvais épisode de Franklin, puisque, ne l'oublions pas, Dieu n'a ni sexe ni compte à rendre (attention je n'ai pas dit qu'il n'a pas raison). Pour moi le sexe féminin est le sexe noble, non dans le sens où c'est un punching bag, mais dans le sens où il en faut de la noblesse, pour exister à travers un foirage. D'ailleurs, pour le clitoris au départ, je projetais un pénis gros comme les seins, mais malheureusement le projet est tombé à l'eau.
Désolé les filles, ce pénis est pris.
Gérard : C'était déjà pris par les singes nasiques ?
Dieu : Non c'est pas ça, le vagin et le clitoris étaient sur un bateau. Le clitoris est tombé à l'eau, et devine lequel est res...
Gérard : C'est bon, j'ai compris...
Dieu : Gérard, il est désormais temps que tu redescendes sur Terre. Valentin et Gabriel t'escorteront durant le voyage retour. Tu connais Valentin et Gabriel ?
Gérard : C'est qui ?
Dieu : Ce sont mes couilles.
Gérard : Très drôle.
Écho céleste : Alors toi je vais...
Gérard : C'est marrant, toi quand tu parles on dirait vraiment que ça résonne dans une grotte.
Écho céleste : Sale... Espèce de... Gros...
Gérard : Sale... Espèce de... Gros...
Écho céleste : Père il se moque de mon bégaiement ! C'est immoral !!
Dieu : Si, je t'assure que c'est vrai, Gérard. C'est dans la Bible d'origine avec toutes les autres conneries. Mon fils Jésus dit : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. Buvez-en tous, car ceci est mon sang. Et ça ce sont mes couilles[4]. » Au fait, Gérard, tu connais Jules Couille ?
Gérard : Encore une de vos inventions ?
Dieu : Jules Couille ? Non. C'est une découverte de Jules Verge. Il l'a découverte quand il avait 5 ans ! mdr
Écho céleste : MDR dans ton cul
Gérard : Dieu, vous êtes si bon et drôle. Pourquoi vous ne vous joignez pas à moi, Valentin et Gabriel le temps de la descente sur Terre ?
Écho céleste : Dans ton cul dans ton cul
Dieu : Non, moi je vais juste m'asseoir par Terre.

À son retour sur Terre, vingt mille lieues sous les couilles de Dieu donc, Gérard a souffert d'une sérieuse névrose traumatique qui le fit se coucher sur le dos, de peur que s'il mourait sur le ventre, son fossile ne vienne à comporter la trace patente de son échec. Il s'est mis dans la peau d'un bœuf musqué, puis il a construit l'igloo autour de lui, puis le pôle Nord, puis l'épais cercle arctique autour, puis la Terre et ses multiples couches atmosphériques, puis le cosmos vide pour que même sa voix castrato ne nous atteigne pas. Du coup, Gérard s'est marginalisé. L'être tant aimé de nous n'a jamais voulu assumer ce qu'il était, ou plutôt si : il a assumé en lui l'homme viscéralement angoissé par sa sexualité. Lentement mais sûrement il s'est soustrait à notre regard, tel un gastéropode s'enroulant fœtalement plusieurs fois autour de son sexe honteux. Pourtant on voit parfaitement dans le jeu des faux prudes. On sait par exemple que le désespoir qui accompagne la perte de l'usage des deux bras trahit chez le néo-paralytique un intérêt massif dans la masturbation, ou que dans son cloître en colimaçon sur lui-même le gastéropode se suce.

Prendre le problème par le bon bout

Du coup, de Gérard, on n'a vu que la face. Peut-être la réponse se cache-t-elle à l'ombre des grands paravents chinois auriculaires qu'on devine sous le capuchon, tapie derrière les paupières bridées au trait rieur, ou aplatie sous l'œdème patatoïdo-nasal.

Si l'on avait accès au vagin de Gérard plutôt qu’à sa face, on pourrait se faire un jugement plus pointu et moins superficiel. Les gens, vous pouvez voir cela comme un art. Oui, un art.

Dans l'ensemble, on voit trop bien que c'est une belle chatte, avec la verdure tout autour, le trou bien planté au milieu. Les lèvres en boudins laissent deviner un vagin de pompier, mais calin comme un 10h du matin. On voit qu'elle n'a pas été astiquée comme le crâne d'une cantatrice chauve depuis longtemps, mais une œuvre de génies ex-æquo... Vous avez là un beau bébé, madame. Clitoridien, n'est-ce pas ?

Un art qui requiert des lunettes :

Glasses.jpg

De nettoyer ces lunettes avec la lingette optique adéquate :

Serviettes hygieniques.jpg

Lingette que l'on enduira de son produit naturel :

 

Non je déconnais. Pas de photo pour vous, les Dutroux ![5]

Et le vagin ?

Traditionnellement, le vagin a fait cavalier seul, par exemple en équitation. Il se produit aussi dans le théâtre, où ses monologues sont devenus célèbres et où ses proutes font toujours mouche, même (surtout) pendant les répétitions.

« Vagin, je ne te hais point. »
~ Chimène

Le vagin a été historiquement vorace, bouffant notamment les bras de la Vénus de Milo et le nez du Sphinx de Gizeh. Depuis toujours on l'associe à la maturité[6] : Isabella Rossellini, Madonna, Catherine Deneuve, Claire Chazal... sans oublier les deux mastodontes que sont Maïté et Mimie Mathy (qui, rappelons-le, n'est pas le sobriquet de Mireille Mathieu), bien que par "mastodonte" on entende moins aujourd'hui "monument du PAF" que "fossile de dinosaure de l'ère de la télé analogique". D'ailleurs, un récent sondage vient de rappeler que ces deux-là occupent toujours des places de choix dans le classement des personnalités les plus aimées des Français morts depuis au moins 15 ans.

C'est que le rapport de poids entre Mimie Mathy (qui, rappelons-le, n'est pas le sobriquet de Mireille Mathieu) et Maïté n'a pas toujours été dans le même sens. Maïté, avant de devenir le fossile de dinosaure de l'ère de la télé analogique qu'on connaît, était encore plus petite que Mimie Mathy[7]. Encore un petit bout de chou clitoridien, Maïté braillait pendant la découpe sadique-anale d'un pauvre lombric qui n'avait que commis le crime d'être trop long : « Moi quand je serai grande, je serai vaginale !! *SLASH* », et quand vers 1940 elle s'orienta vers la charcuterie, elle clôtura avec style la trilogie charcutière de la vache, du veau et vagin. Peut-être sous la lunette déformante de la jalousie le lecteur pourra-t-il entretenir des doutes quant au fait qu'elle parvint d'abord à quadrupler, puis à octupler la corpulence de l'Ange Gardien préféré des Français. Mais comment expliquer sinon que le physique de l'Ange Gardien des Français — une forteresse Maginot quoi — nous paraisse aujourd'hui si désavantagé à côté d'un haut fourneau ou d'un fourgon ?

Déclaration d'intention

Megaphone.jpg
Gérard, nous savons que tu es vaginal ! Rends-toi, tu es cerné !
Siegfried : Ça y est, j'ai délivré le message. Un mec qui s'appelait Gérard est venu me chercher des noises, disant que sa femme venait de le quitter à cause de moi blabla, mais à part ça, ça va. À quoi s'attaque-t-on maintenant, patron ?
Altarus : Attends attends, je lis la carte. Je t'ai dit ATTENDS. Mais... mais attends que je te dis... Bon... Je t'ai vu là, tu n'attends pas, tu ne veux pas attendre ! Tu n'as pas la position de quelqu'un qui attend ou qui a envie, et désolé, mais là tu n'attends pas, tu boudes.
Siegfried : Mais...
Altarus : Mais quoi !!! Mais quoi !!! Il n'y a pas de "mais quoi", ATTENDS, c'est tout !!
Siegfried : ... j...
Altarus : J-j-j !!! Pas bouger le chien, attendre ! Moi pas être clair ?
Siegfried : Mais j'ai même pas bougé !
Altarus : Même ! Bon... Hum... Alors... j'étais en pleine lecture, attends. Alors se lance dans quoi ? On va se lancer daaanns... euh attends ! AH ! VOILA ! Ça me dirait bien de prendre une Galaxie.
Le serveur Starbucks : Très bien, monsieur.
Siegfried : Une quoi ?
Altarus : Une Galaxie. C'est le nouveau Frappuccino de Starbucks. Attends je lis sa fiche... sa nébuleuse crémeuse saupoudrée de poussières de glace en fusion, et ses entrelacs de caramel fondant sur lit de comètes au cacao plongées dans un chaudron lacté au soja... 55€. Bon le nom vient probablement du prix.

Des gens cosmopolites, dont le célèbre duo de présentateurs télé portés disparus Altarus & Siegfried, se sont attelés à notre tâche. Comme beaucoup d'autres pèlerins, ils attendent la prochaine percée décisive et le prochain bond quantique des bonds quantiques sur Gérard en sirotant des boissons galactiques. Ils ont établi leur camp devant son igloo, sur la terrasse du Starbucks local d'où les Américains complotent leur projet américain de faire le jour sur le sexe de Gérard. Antennes de la civilisation, on répond, sans trop montrer ses cartes, aux demandes des équipes de télévision en relai 24h/24, tous à la ruée eux aussi vers la vérité sur l'homme sur l'homme.

Mais Gérard n'a fait aucune apparition en près de 15 ans, à tel point que tout ce beau monde se demande — chacun à sa façon bien entendu — s'il est encore en vie. À sa place, il est sorti de l'igloo des choses plus farfelues les unes que les autres. Des lapins, des grenouilles circoncisées, des jeux de tarot, des Kinder Surprise noués dans un ruban, et des Rubik's cubes.

Des Rubik's cubes ?

Altarus : Oui, je vous dis pas le temps que ça nous a pris pour tous les résoudre !
Siegfried : (l'air tout fier) 127 jours exactement. Heureusement que pendant qu'on testait les combinaisons on avait des Kinder Surprise à manger et les jouets à l'intérieur pour bricoler et jouer.
Altarus : Il faut se résoudre au fait que l'énigme Gérard sera forcément résolue à travers ce qui sortira de cet igloo (allume une clope, réchauffant un peu plus l'Arctique). D'ailleurs, des hystériques nous ont sermonné sur le fait qu'on harcelait un homme. Déjà quand on prenait nos libertés avec les femmes, ils chantaient "Ouais vous feriez tout de suite moins les malins si c'était un mec en face genre O.J. Simpson", genre on a peur d'un bouffeur de donut de Springfield. Et là, s'il en sort un vagin, hein ? Ils n'ont plus aucun argument, ces cons.
Siegfried : Oui, que fait-on si c'est un vagin qui sort, patron ? On dit que c'est vaginal ou clitoridien ?
Altarus : Tu m'en poses de ces questions ! Remarque, moi je t'ai jamais rien demandé à part ton nom et ton âge. Parce qu'après on a tout de suite couché, si je me souviens bien.
Siegfried : C'est vrai. Même aujourd'hui vous ne savez pas si je suis vaginal ou clitoridien. Mais la question me turlubite : que fait-on s'il ne sort rien ?
Altarus : Ben on attend.
Siegfried : Non mais je veux dire : à tout jamais ?
Altarus : Et alors ? Le grand Marcel Proust disait : "Savoir qu'on n'a plus rien à espérer n'empêche pas de continuer à attendre." Parce qu'on peut toujours attendre d'en savoir plus. Le principal problème de l'Homme moderne, c'est que le corps attend l'esprit ou l'inverse. Du coup l'un ou l'autre est toujours en phase de déprime, quand la solution est juste de VRAIMENT attendre. Tu comprends ce que je veux dire ? Attendre sans attendre quoique ce soit de quiconque, dans une attitude "je t'attends mais c'est pas grave si tu ne viens pas. Non non, il y a malentendu, tu peux rester là où tu es, je te jure que je ne te frapperai pas et que je ne lancerai pas d'objets sur toi." Et il n'en faut pas beaucoup. Toute difficulté peut être résolue avec une once, un doigt, un soupçon de patience. Et tu sais pourquoi ?
Siegfried : Non, mais tu vas me dire.
Altarus : Parce qu'il apporte ce petit rien qui fait toute la différence, ce petit coup de pouce du destin indispensable à la réussite de tout projet, ce que j'appelle le facteur rikikix.
Siegfried : On peut passer à autre chose ?
Altarus : Voilà, ce que tu viens d'avoir, c'est un zeste d'impatience que je ne cautionne pas. Qu'est-ce que j'ai dit qu'il nous fallait ?
Siegfried : Un zoupzon de patience.
Altarus : Exactement. Ni trop, ni trop peu. Tu veux obtenir une overdose, mais à une infinitésimale dose près, comme lorsque tu veux feuilleter un magazine en société et que tu humectes ton index d'un doigt de salive, ni en trop petite quantité pour adhérer à la page, ni trop avidement pour ne pas en mettre partout et définitivement dégoûter les gens qui te regardent. Tu veux les dégoûter, mais à une infinitésimale...
Siegfried : Seigneur, on en finira donc jamais !
Altarus : Attends, on a des invités de marque ! On en reparlera, je sais que tu attends ça avec impatience.

La filière eugénique du vagin

Les laboratoires Firm Edge ont mis au point une procedure d'amélioration du vagin, afin d'en faire un vagin surpuissant capable de bouffer les bras de Maïté, la Vénus de Rion-des-Landes. Cette recherche, menée de front par ses deux ingénieurs stars Sacha Totem et Paul Tabou, répond au désir de ses fondateurs de redresser le mythe du clitoris.

Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; tout le Gérard est occupé par le vagin... Tout ? Non ! Car le clitoris résiste encore et toujours à l'envahisseur.

Dans ce mythe, les clitoris seraient nos amis. Tout un nid pullulant et papillonnant de gentils clitoris qui couchent et se reproduisent ensemble. Plus il y en a, plus on est heureux.

Alors, heureuses ?

Les Anglais ont un petit nom tout prêt : clit. D'ailleurs chez eux, on ne dit pas "vaginal ou clitoridien ?" Non, on dit :

Twat or clit ?

Twat or clit, la question 2 calories. En Angleterre, on voit les grandes choses en petit, et inversement. Leur petite île sans autre intérêt que celui de flotter, s'appelle la GRANDE-Bretagne. Écoutez donc le Grand-breton : « Great Britain ? It’s a rock !.... it’s a peak ! it’s a cape ! Fuck, it's a cape ? it's a peninsula ! »

Wimbledon, tournoi du Grand-HLM
Paul : Il faut remettre le clitoris à sa place : la cuisine.
Siegfried : Psss, vous êtes à l'antenne !!!
Paul : Oh, pardon !
Altarus : Sacha et Paul, vous êtes mondialement connus principalement grâce à l'ouvrage de Freud Totem et tabou.
Sacha : Oui nous avons connus Freud à la grande époque viennoise. Qui a plus contribué à faire connaître l'autre, personne ne sait. Moi j'ai écrit Totem et Freud, Paul a écrit Tabou et Freud, et ensemble Freud et Freud.
Altarus : Dans son ouvrage, on lit que Freud voyait en vous des bastions de névroses galopantes. Il vous inscrit dans une économie psychique hypostasiant en symboles des contrefaçons de la pulsion de plaisir et de mort.
Paul : Moi je me souviens surtout qu'à l'époque on voulait lui refaire le vagin.
Sacha : Ce type n'a jamais su faire la part des choses entre ce qui est divin et ce qui est divan.
Altarus : Pourtant c'est lui qui est mondialement connu.
Sacha : C'est ce qu'avait insinué Gérard quand il nous avait payé une visite à notre cabinet et nous avait dit qu'on "n'était pas des Freud". On lui a rétorqué : "Très bien, mais qui c'est qui est mort ? Hein ?" Et qui c'est qui chante et danse quand je joue à l'accordéon "Danse souterraine avec les limaces et les vers de terre" ?
Paul : Finalement c'est cool que le pépère ait pu faire son trou avant de crever dedans.
Altarus : Bon retournons au thème principal. Vous êtes des pionniers de la reconstruction vaginale.
Paul : Oui j'ai personnellement développé au fil des années un talent extrêmement spécial. Je peux goûter à n'importe quoi et affirmer si c'est vagin ou clitoris.
Altarus : En exclusivité, je vous propose une petite expérience en direct. (Une assistante bande les yeux de Paul puis lui fait lécher une pizza)
Paul : Miam miam ! Vagin.
Altarus : Non, pizza !
Paul : Ouais mais non, vous l'avez laissée mariner dans une chatte de babouin avant le test, c'est pas possible autrement. Moi quand je dis miam miam, c'est vagin, point barre. Sinon j'aurais pas dit miam miam, j'aurais dit BZZZZ BZZZZ.
Altarus : Oh mon Dieu, mais que...
Fouponouye.pngFouponouye.pngLa paire Fouponouye et Némo Kreveete dit :
Bonjour Terriens.
Sacha : Pas de panique ! Ce sont des extra-terrestres ! Nous avons un accord d'échange technologique avec eux. Bzz bzz est en fait notre signal de prise de contact. En échange de leur technologie de clonage, on leur fournit le jus de clitoris dont leur vaisseau spatial a besoin pour les rapatrier chez eux. Désolé de vous avoir dérangés, les xénomorphes !
Fouponouye.pngFouponouye.pngLa paire Fouponouye et Némo Kreveete dit :
Au revoir Terriens !
Fouponouye.pngFouponouye dit :
On a bien entendu le signal, pourtant.
Fouponouye.pngNémo Kreveete dit :
L'affaiblissement de notre énergie vitale[8] nous joue des tours, Fouponouye.
Fouponouye.pngFouponouye dit :
Il faudrait peut-être convenir d'un changement de signal. Cela fait déjà 37 fausses alertes dans la même révolution terrestre, et une fois on a failli se faire avoir par ce micro-ondes. À chaque fois le déplacement nous coûte du jus de clitoris, surtout quand il s'agit de traverser ces gros cercles polaires particulièrement épais aux extrêmités.
Fouponouye.pngNémo Kreveete dit :
Peu importe, Fouponouye. Nous nous avons toujours. Être toujours là l'un pour l'autre, il n'y a que cela qui compte.
Fouponouye-kreveet.png

Et pendant ce temps-là...

Sacha : L'amélioration du vagin consiste en trois points : (1) un système d'ouverture pratique indiqué par des traits hachurés, (2) une fonction auto-cuiseur avancée, et (3) comme le vagin savait déjà uriner, s'auto-ablutionner, suer et revenir comme un oignon, une capacité à déféquer régulièrement sans nuire à l'élasticité et à l'étroitesse indispensable à la prise de plaisir complète la panoplie.
Altarus : Proposez-vous des alternatives ?
Sacha : Oui bien entendu, nous proposons également la procédure d'amputation standard. Dans tous les cas, la satisfaction du client est extrême et insupportable.
Paul : Tu voulais dire la souffrance, non ?
Sacha : Ta gueule.
Altarus : Que permet d'obtenir concrètement cette méthode alternative ?
Sacha : Eh bien un trou en lieu et place du vagin.
Altarus : Vous vous êtes occupé pendant quelques jours de Gérard. Que pensez-vous de son vagin ?
Sacha : Oh, tout le bien possible.
Altarus : Ne donne-t-il pas envie qu'on l'aide ?
Sacha : Le premier qui l'aide je lui donne 10 euros de ma poche.
Paul : C'est du vagin ça, mon bon monsieur !
Sacha : (tape sur une table avec des couverts) Du vagin ! Du vagin !
Paul : Tout est bon dans le cochon, tout est bien dans le vagin.
Altarus : Pour les laboratoires Firm Edge, est-il important que Gérard soit plus vaginal que clitoridien ?
Sacha : Non, on veut juste qu'il nous montre un petit bout rose de son vagin comme Paris Hilton.
Paul : Moi je dirais vagiridien. Et puis, vagin ou clitoris, capote ou pas capote, devant ou derrière, on s'en fout comme de l'an quarante.
Sacha : Qu'est-ce que tu racontes ? C'est super important pour la fille.
Paul : Ah ouais ? Alors explique-moi quel est l'intérêt de choisir entre devant et devant ?
Siegfried : C'est vrai, ça. Moi personnellement, je n'ai jamais su l'intérêt de choisir entre avaler et cracher. (Tout le monde le regarde) Quoi ? QUOI ?? ARRÊTEZ DE ME REGARDER COMME ÇA ! J'ai l'impression d'être un derrière de cheval que tout le monde il regarde en se bouchant les narines et les oreilles et en faisant la grimace tellement qu'ils peuvent pas s'en empêcher de regarder tellement c'est monstrueux et dégueulasse et ça pue qu'ils peuvent pas se détourner quand même que c'est trop bon et ça fait trop du bien plus ça nous sort des trous du nez par là où ça passe Vercingétorix.
Sacha : (brisant le silence pesant) Des fois c'est vrai qu'on sent la différence. Par exemple certains idiomes nous font vraiment prendre conscience du truc.
Siegfried : Rooohh les chochottes, mais ça ne se voit pas les idiomes. On ne les sent pas passer. La notion même, basée sur une certaine culture de la transparence, exclut qu'on s'en formalise ou alors on contrevient à la prescription du concept de contenu ou de signification métaphysique.
Paul : L'idiome en question est "grosse chatte".
Sacha : Eh bien vous pouvez ne pas le croire, mais avant, il n'y a pas si longtemps, on disait "gros con".
Siegfried : Pas vrai ?
Sacha : "Con", "vagin" et "organe femelle de copulation" signifient tous en fait "chatte". Et donc dire “gros con” ce n'est rien d'autre que dire "grosse chatte".
Siegfried : Je ne savais pas. C'est instructif.
Sacha : C'est pour ça qu'on dit "gros con mal torché", "gros con bouffeur de bites", "Tout est con dans le vageon". Ou au théâtre par exemple, "gros con qui suce ton père, je ne te hais point."
Siegfried : Ah oui je comprenais pas le triangle physiologique entre Chimène, Rodrigue et le père de Rodrigue. Je mourrai moins con.
Altarus : Et Gérard, en avait-il un gros, de con ?
Paul : Gérard est un gros con.
Sacha : Nous avons amélioré son con.
Paul : Le clitoris.
Sacha : Non, le con.
Paul : Ben on avait opéré le petit bout d'abord.
Sacha : Non, l'autre. Le bon.
Paul : Ah.
Sacha : Et ça, en haut à droite derrière le premier rang à hauteur du prof, c'est le con.
Paul : Oh.
Altarus : Et l'opération a-t-elle été concluante ?
Sacha : Comment dire... Le vagin de Gérard n'habite pas dans un igloo au milieu de nulle part pour rien.
Paul : On trouvait qu'il n'y avait pas assez de clitoris. Questions de proportions métaphysiques.
Sacha : Voilà.
Paul : On a donc cloné Gérard avec la technologie alien. Et là on s'est aperçu d'un truc.
Altarus : Quoi ?
Paul : Gérard est pas seulement vaginal ou clitoridien.
Sacha : Il est aussi clitoridien ou vaginal.
Altarus : Bigre.
Paul : Chassez le naturel, et les chevals vaginals reviennent au galop.
Sacha : Chevaux. Un cheval, des chevaux.
Paul : Ouais bon ça va, Môssieur monte sur ces grands CHEVÂÂÛÛX vaginals.
Sacha : (lève la main pour couper court) Tuu tuu tuut. Je préfère qu'on soit propre dans notre français.
Freud 1938.jpgSigmund Freud dit :
Le vagin triomphe toujours. Si on regarde l'exemple Mimie Mathy, il faut bien voir que la petite n'existe plus en tant que telle. La raison pour laquelle toutes les fois où on la voit à l'écran sont des gros plans, c'est parce qu'il s'agit en fait du ventre de Maïté avec le visage de Mimie Mathy peint dessus.

Le déballage ?

C'est pendant ce grand débat que nous avons pénétré dans l'igloo de Gérard puis dans son sac de couchage chaud et douillet.

Sacha : Mais c'est Gérard qui rentre dans l'igloo ! GÉRARD !! EH OH ! VAGINAL OU... Merde il a disparu dedans. Il faut déjà sortir le plan B ! Vite les gars, chopez-le, déshabillez-le et qu'ça saute !!
Paul : Tu parles de quel Gérard ?
Sacha : Celui de droite ! Mais putain tu as raison, il y en a au moins 20 des Gérards ! Mais d'où sortent-ils ? Eh vous !! Halte !! Que faites-vous ? Vous n'avez pas le droit ! Ils sont en train de sortir le vrai Gérard de force. Paul ? PAAAUUULL ??? J'ai l'IMPRESSION que tu as oublié de me dire quelque chose, toi !
Paul : J'avoue... j'ai cloné 27 fois Gérard.
Sacha : Putain ! (se tape le front)
Paul : J'ai paniqué, ça arrive, oh ! Ah et dans ma panique j'ai aussi cloné Raël.
Sacha : Bordel, on est FIRM EDGE, pas CLOWN-AID ! Maintenant il va aussi falloir cloner la soucoupe volante pour le renvoyer dans l'hyper-espace avec pour message diplomatique "Non merci". Bravo !!!
Paul : Ah non je décline, j'ai assez donné. C'est toujours moi qui fait le clone ici !

Le déballage

Siegfried : Qu'est-ce qu'on fait, chef ??
Altarus : J'en ai trop marre, quoi qu'on fasse y'a toujours un problème. On attend.
Siegfried : AAAAAHHH !!! OHH OUUUUIIII C'EST BON AAAHHHHHHH !!!!
Altarus : Quoi ?... Ah ! tu vois ! Tu jouis, faquin ! Hé ! Et je n'ai fait qu'attendre ! Que cela te tienne en respect, catin !
Siegfried : Euh, allo, Ironie appelle la Terre.
Altarus : Tu ris, lemming ! Alors rafraîchis-moi la mémoire. Qui a réussi, sombre maraud, à vaincre l'animal le plus capricieux d'entre tous à prendre par derrière, j'ai nommé le porc-épic ?
Siegfried : (la tête basse) Toi...
Altarus : Précisément, fils de sagouin. Et la seule façon d'y arriver est... est... est ?... D'attendre. Eh oui. Attendre. Attendre de s'élancer le moment exact où l'animal, insoupçonneux, entrouve négligemment les cuisses.
Siegfried : C'était quelque chose ! AAAAAHHH !!! AAAHHHHHHH !!!! L'ENCULÉ IL M'A EMPALÉ AVEC SA PIQUAILLE !!!!!! AAAAAHHHH MAIS JE PISSE LE SANG !!! VITE PASSE-MOI UN GOBELET IL FAUT QUE JE REBOIVE TOUT CE SANG SINON JE VAIS CREVER COMME JACK SHEPHERD AAARRRHHH
Altarus : PLUS UN MOT, HISTRION !!! Toi qui n'es pas capable ne serait-ce que de me citer UN SEUL cas où l'attente n'est pas LA solution.
Siegfried : Très bien. Chez moi par exemple, je suis en train d'abattre une cloison. Je pense, sans fausse modestie de ma part, qu'il ne va rien se passer si je me contente de croiser les bras.
Altarus : Mais, dis-moi, qui vit de l'autre côté de la cloison ?
Siegfried : (narquois) Moi, pourquoi ? :)
Altarus : Et cette personne, que fait-elle pendant que la cloison se fait abattre ? Qu'est-ce qu'elle fait ? Bah oui : elle attend ! Et pendant ce temps où tu attends, puisque c'est de toi dont il s'agit, la cloison tombe toute seule ! Eh !
Siegfried : Crévindiou de crebleu !
Altarus : HÉ ! Bon maintenant que je t'ai fermé la gueule, on va peut-être pouvoir enfin parler à tes clones.
Siegfried : (à lui même) Je suis pourtant sûr qu'il y a un cas où attendre ne suffit pas. Il m'a bien roulé... mais où ?

Nous, les non-gens, sommes là pour Gérard. Nous avons été clonés dans l'unique but d'aimer l'être qui nous est le plus cher.

Gerard-kick.png
Altarus : Était-ce vraiment nécessaire de lui donner un coup de pied dans les ovaires ???

C'est purement par politesse. On n'entre pas sans s'essuyer les pieds.

Altarus : Ah, suis-je bête. Quelle violence quand même.
*fap fap fap*
Sacha : Merde, j'arrive pas à bien voir s'il est vaginal ou clitoridien. Et toi Paul ?
Paul : Non, la main dans l'énorme moufle cache tout. C'est chiant, si près du but ! TOUT ÇA POUR ÇA.
Sacha : *fap fap fap*
Paul : VINGT-SEPT CLONES PARFAITS pour qu'au final ils se mettent tous ensemble entre nous et Gérard. Sacha ?
Sacha : *fap fap fap*
Siegfried : Patron, ils sont en train de mettre en place une tournante. Patron ?
Altarus : Oui ?
Siegfried : J'ai une idée... Et on se mêlait aux Gérards ? On n'aurait plus qu'à attendre notre tour blablabla...
Altarus : Attendre... mais... brillante idée !... Comment n'y avais-je pas pensé plus tôt ?!

Et pendant ce temps-là, très, très haut dans le ciel :

Dieu : Ah mes petits Valentin et Gabriel, je le savais, et je l'avais dit EN PLUS ! Ce qui compte ce sont les SENTIMENTS ! Les sentiments font que les gens trouveront toujours le moyen d'être compatibles les uns avec les autres ! Vaginal, clitoridien, clitoridien, vaginal, peu importe le mode d'enculage ! Fermons les yeux sur les détails, dépensons sans compter, éjaculons à perte, balançons le jus de clitoris par les fenêtres ! HAHAHAHAHAHA BZZZZ BZZZZ
Écho céleste : BZZZZ BZZZZ
Lecteurs.jpgLe comité contre le progrès dit :
Cet épisode malheureux qui vient d'arriver à Gérard est la démonstration que le clonage est le drame de l'homme qui s'aime trop. Le Narcisse doit constamment et littéralement veiller à ses arrières si on le clone. Alors les branleurs, votez contre le clonage et quittez la secte raëlienne !

Et les putes dans tout ça ?

Freud 1938.jpgSigmund Freud dit :
Oh mais les Gérards sont bel et bien des putes. Vous avez peut-être même déjà enculé l'un d'eux sans le savoir, suite à cette coutume de passer à l'acte sans avoir vu le visage de l'autre ou de lui enfiler un sac de papier brun sur la tête. Alors faites gaffe, et surtout vous mademoiselle. Peut-être qu'en vous se cache un Gérard...

Notes

  1. Si madame vous avez un jour envoyé votre fils, votre mari ou votre chien au pôle Nord et que vous le regrettez, eh bien sachez que nous l'avons retrouvé, et qu'il s'appelle maintenant Gérard.
  2. Ainsi qu'un vrai prénom et une vraie nationalité, mais ça on s'en fout.
  3. Cette fois son vrai âge.
  4. La suite authentique de ce passage est : « Même si les Romains me clouent à cet endroit précis, j'arriverai malgré tout à ressusciter. Même pas mal. »
  5. Je me suis fait insulter de Dutroux : si vous voulez témoigner sur ce thème dans l'émission Toute une histoire sur France 3, veuillez composer le 08 47 87 87 87 (coût d'un appel local).
  6. Oui, cela correspond bien à la section "Mature" de ton site préféré.
  7. Qui, rappelons-le, n'est pas le sobriquet de Mireille Mathieu.
  8. L'énergie vitale d'un xénomorphe est directement corrélée à celle de son vaisseau-mère.


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