Final Fantasy
Cette saga de Square Enix (anciennement Carrémou), est une pure fantasie. En effet son premier épisode est le premier et dernier des Final Fantasy, mis à part Final Fantasy II, Final Fantasy III, Final Fantasy IV, Final Fantasy V, Final Fantasy VI, Final Fantasy VII, Final Fantasy VIII, Final Fantasy IX, Final Fantasy X, Final Fantasy X-2, Final Fantasy XI, Final Fantasy XII, Final fantasy XIII, Final Fantasy XIII-2, Final Fantasy lightning return, Final Fantasy XIV et Final Fantasy XV Autant dire pas grand chose au vu de la capacité de ces jeux à passer inaperçu.
Le meilleur jeu de l'univers
Si Final Fantasy est le meilleur jeu de l'univers, c'est principalement grâce à la qualité de ses graphismes et de sa bande sonore. En effet réalisés grâce au meilleur de la technologie, fournis par Microsoft (cf : Paint et Microphone), Squaresoft a pu réaliser des décors d'une qualité jamais égalée jusque là. Autre particularité intéressante (mais réfutée par Squaresoft pour des raisons marketing évidentes) de Final Fantasy est que tous les héros sont des femmes (cela se voit de mieux en mieux avec l'amélioration des décors, si bien que dans le treizième opus, Square Enix finira par avouer le sexe de l'héroïne). La raison d'un tel choix est simple... originellement la qualité graphique de la NES ne permettait pas de représenter le sexe de l'individu lors des phases de nu accessible grâce aux quêtes secrètes.
Les défis
Le but de ce jeu est principalement d'appuyer sur la croix directionnelle, les boutons a, b, R et L (ou autre suivant la console). C'est notamment pour ca qu'il est considéré comme un grand cru par les grands joueurs de rpg qui se lancent des défis toujours plus fous et passionnants les uns que les autres :
- Finir le jeu sans le bouton a ou x.
- Finir le jeu sans le bouton b ou □.
- Finir le jeu sans le bouton R.
- Finir le jeu sans le bouton L.
- Finir le jeu sans la télé (cependant, il semble que ce défi n'apporte pas réellement de difficultés supplémentaires).
- Finir le jeu sans le jeu.
Gameplay
Tel le yin et le yang, on distingue dans Final Fantasy deux phases de jeu totalement distinctes, et pourtant on ne saurait dire laquelle est la plus passionnante. En effet dans Final Fantasy vous alternerez entre la glandouille et la baston sur une musique déjantée qui sonnera le glas de votre attention.
La glandouille
La glandouille est considérée comme beaucoup de fan comme un art, en effet il s'agit de faire tourner votre joystick de manière aléatoire jusqu'à rentrer en collision avec ces machins verts ou bleus (et parfois rouges) qu'on appelle des PNJ (Pauvres Noobs Javatisant). Ensuite, en faisant preuve d'une synchronisation parfaite vous devrez d'une même traite appuyer sur la touche de validation. Et c'est là que se produit ce que les fans adorent, ce pour quoi ils plantent leur tente devant le marchand de légume (qui vend les meilleurs navets) deux jours avant la sortie du jeu... pour ça qu'ils sont près à abandonner toute vie sociale pendant un mois dans l'obscurité de leur cave... pour ça qu'ils ont installé le LCD HD30000 FULL HD 50" de SONY... c'est... La déferlante de lettre bien sûr ! Dans une orgie de chiffre et de caractères apparait alors sous vos yeux le nirvana de tout joueur de RPG. Cet enchainement de symboles que les joueurs vont examiner pendant des heures à la recherche du moindre indice n'a pas d'égal dans le monde du jeu vidéo... Final Fantasy... plus qu'un jeu... un chef d'oeuvre.
La baston
Passons maintenant à la phase de jeu la plus excitante, celle qui émoustille tous les fans... la baston ! Tout commence par une musique de malade qui à elle seule démontre tout l'intérêt du jeu (c'est pour cette principale raison que les gens l'achètent en tout cas). Dans ces bastons, nous trouverons de tout, mais principalement des monstres de la hauteur du World Trade Center (ça donne plus grand chose maintenant, alors disons de la Tour Sears) vulnérables à des armes 100 000 fois plus petites qu'eux (il faut dire les héros démontrent par maintes reprises leur impressionnante habileté de la main droite à manipuler les petits objets).
Nous avons également tout un assemblage de techniques qui paraîtront très utiles au premier abord (comme pétrification, silence, voire même mort instantanée) mais que vous n'utiliserez jamais pour 3 bonnes raisons :
- Les monstres normaux se font tuer en 2 coups d'épée, donc pas la peine d'utiliser des coups spéciaux.
- Les boss contre qui ces techniques seraient VRAIMENT utiles sont immunisés à tous leurs effets.
- De toutes façons, ces techniques ne marchent qu'une fois sur 10.
Cependant si la lassitude venait à vous gagner, Carrémou a pensé à vous donner la possibilité de faire appel à tout moment à un joker ! Effectivement, si malgré tout le combat semble définitivement perdu, vous pourrez alors, suite à de brèves incantations (10~20 minutes, il faut au moins ça pour appuyer 10000 fois sur la touche carré et lancer la méga super attaque), faire appel à des invocations, créatures venues du ciel, de la terre, de l'eau et du feu.... Après avoir visionné pour la 250000 fois la grandiose mise en scène de l'arrivée de la créature (ah... on ne s'en lasse jamais), vous pourrez ainsi observer une déflagration si titanesque qu'elle a cramé les moustaches de la chatte de la mémé du second (même si entre nous, nous savons bien que vous l'avez fait fuir à coup de chalumeau). Seulement voilà, vous aviez oublié que vous vous attaquiez à un monstre qui absorbe justement le feu... Réjouissez vous, vous venez de gagner un billet gratuit pour recommencer à 0 cette pratique passionnante qu'est... la baston !
Malgré tout cela, on constate quelques défauts à cette épopée sans égal qu'est Final Fantasy.
Incohérence de l'histoire
Le plus gros défaut à cette oeuvre d'art est sans aucun doûte le manque total de logique entre les épisodes de l'aventure. En effet, d'un volet à un autre, l'histoire n'a plus rien à voir et est complètement incohérente par rapport aux événements précedents. Les héros changent de nom et de coupe de cheveux, vous perdez même tous vos précieux objets (particulièrement frustrant). En bref, Final Fantasy I n'a pas plus de rapport avec le II qu'avec le VII. Un point bien navrant.
Le saut
Commun à tous les RPG (Ridiculous Pad Game), cet inconvénient est majeur. Alors que vous vous étalez tranquillement dans les merveilleux décors du jeu en mode Glandouille, vous apercevez un magnifique et pittoresque chalet, digne de celui de Johnny Halliday, et vous vous dites "tiens, je vais aller faire un petit tour dedans, histoire d'emprunter discrètement le contenu des coffres que je pourrais y trouver et de demander des renseignements sur cette petite fille blonde que je cherche depuis 3 heures". Seulement, une petite clôture entoure modestement le chalet de Johnny, et il s'agit là d'un obstacle fatal pour votre avatar vidéoludique, qui est incapable de faire le moindre saut ou enjambement de façon à surmonter cet obstacle. D'ailleurs, votre personnage ne peut pas courir non plus. Mais ces défauts sont justifiés : vous ne croiserez jamais d'événements sportifs tels que des Jeux Olympiques dans le monde de Final Fantasy, tous les habitants ayant développé une étrange rigidité de la rotule et des articulations de la cheville.
Les dÉsinvocations
Thème récurrent dans ce rpg, la dÉsinvocation permet aux personnages de mieux se faire massacrer, un allié massif, lent et apathique integre le groupe pour rendre le jeu plus compliqué. On peut les distinguer facilement, ils sont plus grand et ont des difformités, un bras au milieu du front, une épée plantée dans le.. , ils ont souvent des ailes et on sait jamais où ils regardent. Dans Final Fantasy XII leurs attaques ultimes sont réalisable dans certaines conditions (ex: etre le seul survivant et avoir été empoisonné par une autruche rousse astigmate mangeuse de Szlaszeck au champignon) Chacun d'eux a une histoire, souvent créés par les dieux, ils ont été déchus, pour avoir refusé de bosser, leur vrai passe-temps c'est jouer au Cluedo édition Columbine, aux dominos et au jokari avec des pokémon unijambistes (ben oui, en attendant qu'on les invoque ils essayent de faire passer le temps)
Voir aussi
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