Grenouille en papier
La grenouille en papier est un être doué de sensibilité, selon une loi française votée par des ânes.
Une nouvelle espèce
Il était une fois un crapaud et une page d'un bouquin de Voltaire, qui étaient très amoureux l'un de l'autre. La page, en tant que littéraire, était cosmopolite pratiquante, et très attirée (sexuellement) par les différences culturelles et physiologiques du crapaud. Le crapaud, quant à lui, avait juste envie de niquer. Or, leur amour était impossible à concrétiser : Le crapaud avait beau admirer sa dulcinée sous tous les angles, il ne voyait pas où enfiler son pénis.
C'est ainsi que, devant l'impossibilité de satisfaire le grand désir de sa vie, le crapaud voulut quitter la page pour aller se branler ailleurs. La page, remplie de la mélancolie qui nous envahit lors d'une tragique rupture, fut déchirée par la tristesse. Mais qui dit déchirée dit trouée, et qui dit trouée dit pénis dans le trou. C'est ainsi que le crapaud fut heureux, et eut sa copulation.
De par la nature inter-espèces de la fornication, l'enfant qui naquit de cette union fut un hybride. Voyez ci-dessous le schéma cellulaire de la formation organique du nouveau-né :
Légende : -Truc rouge : Chromosome soit énervé, soit tirant la langue à la logique -Truc en haut à gauche : Spermatozoïde qui veut niquer -Rectangle : Feuille blanche A4 à petits carreaux, sans marge sur la gauche et sans trous, ce qui l'empêche d'être rangée dans un classeur -Image : Grenouille en papier enfant, ici trisomique des yeux
Comme vous pouvez le constater, la grenouille en papier est un hybride, car elle possède un organisme de feuille en papier, et un génotype de grenouille. Le phénotype macroscopique de l'hybride est donc une association des caractères des deux espèces mères.
Enfin, quand je dis les deux espèces mères, je ne veux pas dire que la grenouille en papier a deux mères. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, c'est juste une expression ! Déjà, sachez que ce n'est pas possible, c'est contre-nature. Bon, il y aurait à la limite la PMA. Mais il y aurait encore un défilé de la manif' pour tous. C'est ça que vous voulez ? Moi non, je refuse de voir BFMTV passer 4 heures de direct sur ce sujet. Bon, certains me diront que pendant ce temps là, au moins, ils ne parleront pas du FN. Mais qui vous dit qu'ils n'iraient pas demander l'avis de Marine Le Pen ? C'est sûr qu'ils n'iront pas demander l'avis de Bayrou. C'est quand même scandaleux que les candidats qui ne font pas beaucoup de voix n'aient jamais de temps de parole dans les médias. Parce que même si ils avaient de meilleures idées que l'UMPSFN, vu que les médias ne relayent pas leurs pensées, ils ne seront jamais élus. Leurs géniales idées seront à jamais oubliées, et ne profiteront pas à la société. C'est toujours ceux qui convoitent le pouvoir pour leur intérêt et non celui des autres qui sont sur le devant de la scène ! … … Mais je m'éloigne de mon sujet là, …
Les parents décidèrent de nommer leur fille Kenza. Ce prénom d'Afrique du Nord signifiant Amour était d'une beauté évidente pour la page cosmopolite. Le crapaud, quand à lui, pensa qu'un prénom africain était parfait pour symboliser le fait qu'il possède une grosse bite.
Jeunesse de la grenouille en papier
Le crapaud, qui avait eu ce qu'il désirait (un moment de sexe, si vous n'aviez pas compris), s'en alla enculer d'autres pages non-fécondées. La page fut à nouveau remplie de mélancolie, mais sa nature compréhensive lui fit penser qu'il fallait respecter ce terrible choix, pour que l'être qu'elle avait aimé continue d'être heureux.
La grenouille en papier fut donc élevée uniquement par sa mère. Le bébé grenouille grandissait petit-à-petit, et sa mère l'envoya à l'école primaire.
C'est ainsi que la grenouille en papier fut harcelée par ses camarades. La vie à l'école primaire devenait de plus en plus dure.
La grenouille en papier essayait tant bien que mal d'en parler à sa mère. Mais celle-ci ne pouvait se résoudre à penser que certaines grenouilles sur Terre ne seraient jamais ni respectueuses, ni tolérantes envers nos si belles et intéressantes différences. La grenouille en papier se referma sur elle-même.
Elle subissait sans cesse les moqueries, et parfois même les violences, de ses camarades. Elle commença alors à se demander si sa vie avait un sens. Au fond d'elle, elle refusait de se suicider. Elle pensait à sa mère, et à la tristesse qui l'envahirait suite à sa disparition. De plus, elle se disait qu'il était peut-être nécessaire qu'un groupe possède un élément sur qui se défouler. Peut-être que le fait de subir des moqueries, indirectement, empêchait une autre grenouille de subir les moqueries et violences qu'elle connaissait.
Enfin bon, je vous fait pas de dessin : c'était un bouc-émissaire. On pourrait aussi dire que c'est un mouton noir, mais franchement, vu que la ligue anti-raciste voit du racisme partout, ils sont capables de me coller un procès, croyant que c'est une allusion raciste. Mais sérieusement, bientôt ils nous demanderont de renommer la pâtisserie Tête de nègre en Tête de noir sympathique et bien intégré dont il ne faut pas se moquer ; ou encore œil au beurre noir par œil blessé, et pas forcément par un noir. Franchement, c'est pas avec de telles associations, dont les propos paraissent absurdes, que l'on va faire reculer le racisme. Et vous savez, votre but est de lutter contre les préjugés, or avec vos conneries vous allez faire croire au monde que les Français sont tous racistes, ce qui est aussi un préjugé. Ah, et la grenouille en papier est blanche, donc lui attribuer le terme mouton noir, ça ne va pas de toute façon. En plus, les boucs, c'est blanc. Enfin, je crois...
Tournant dans la jeunesse de la grenouille
Pas mal, ce sous-titre. Il permet de ne pas spoiler la suite, tout en laissant du suspens, vous ne trouvez pas ? Euh, il faut peut-être que j'arrête mes monologues, moi...
Donc, un jour, la grenouille fit sa rentrée en 6ième. Elle appréhendait un peu ce moment. Elle allait changer d'établissement, et peut-être rencontrer des grenouilles plus tolérantes. Le changement, c'était maintenant. Ou jamais.
Le directeur de l'école annonça la composition des classes. Trois grenouilles, qui faisaient partie de ceux qui se moquaient de notre grenouille en papier, se retrouvèrent dans sa classe. Mais ce n'était pas ce qui attirait son attention. Il y avait une autre grenouille en papier qui était là. Et elle était dans sa classe. Coïncidence ? Je ne pense pas...
Les trois énergumènes cités précédemment persuadèrent les élèves de la classe de se liguer contre nos grenouilles en papier. Elles passèrent donc la récré ensemble.
Les deux grenouilles étaient intimidées. Elles n'avaient pas l'habitude que quelqu'un leur adresse la parole. Il se passa des semaines, pendant lesquelles il ne se passa pas grand chose.
Mais quand je dis qu'il ne se passait pas grand chose, je crois que je m'exprime mal. Vous devriez me blâmer, m'insulter et m'obliger à écouter un discours de Morano. Car je devrais plutôt dire qu'il ne se passait rien...
Mais un jour, il se passa un truc. Et pas n'importe quel truc. Parce que figurez-vous que ce truc, ce n'est pas vraiment un truc, dans le sens truc matériel. C'est plutôt un truc immatériel. En fait, ce truc, c'est une conversation. Cela peut sembler surprenant à la vue des événements. Alors je préviens :
ATTENTION SPOILER !!!!!!!!!
Ah mais non, on doit mettre ce message partout, sauf en plein milieu d'une histoire ! Donc désolé, je rectifie :
ATTENTION, SUITE DE L'HISTOIRE !!!!!!
Les deux grenouilles se rendirent ainsi compte que leur père était, selon, toute vraisemblance, le même crapaud. Ainsi, leur père, dont leurs mères respectives essayaient tout de même de préserver l'image, n'était en fait qu'un vulgaire Don Juan voulant fourrer son pénis dans toutes les pages qu'il croisait. Cela marqua profondément les deux grenouilles, et créa en elles une blessure profonde.
C'est bien simple, monsieur Le Pen. Regardez, là je vous mets une droite dans l’œil : ça, c'est une blessure physique.
Bien. Donc maintenant, si je vous dis que Marine Le Pen veux vous exclure du FN, qu'elle veux vous foutre en dehors de la vie politique, et qu'elle veut effacer toutes traces de votre passage au parti, vous devriez ressentir en vous une blessure morale.
La vengeance de la fille (on parle de la grenouille, hein, pas des Le Pen...)
Cette révélation fut un choc, pour les deux grenouilles. Notre héroïne était clairement déçue du comportement infidèle de son père. Mais elle ne pouvait s'empêcher de penser que sa vie, et celle de son ami n'avait été possible que par son comportement, aussi critiquable soit-il. Dès lors, elle ne songea plus qu'à une seule chose : elle voulait voir son père. Elle ne savait pas si cela allait la réconforter, ou la rendre plus triste encore. Mais elle avait envie d'avoir le cœur net sur son père. Elle garda ce secret en elle, et ne le dit à personne.
Les années passèrent
Et elle devint majeure.
Et alors ?
Ben elle a eu 18 ans. Et elle a grandi.
Mais à part ça ?
La grenouille, ayant raté sa scolarité (autant par démoralisation à cause du comportement de ses camarades, que par les remarques racistes de ses professeurs, et que par le fait qu'elle avait fait tomber sa calculatrice dans les toilettes, ce qui est embêtant pour les maths), se retrouva au chômage. Mais alors qu'elle faisait la queue chez Pôle-Emploi, elle aperçut devant elle un crapaud qui ressemblait aux photos que sa mère avait gardé, et qu'elle lui avait montré. Elle jeta un coup d’œil sur son dossier, et repéra son nom. Al-aide d'un vieux bouquin de Pages Jaunes, elle trouva son adresse, et se rendit chez lui.
Elle sonna. Puis entra.
La grenouille prit dans ses mains ce que lui tendait le crapaud qui lui servait de père. Elle vit le titre de l'ouvrage, sobrement intitulé Liste des plans Q. Étonnamment, elle n'en était même pas surprise : elle s'attendait à cette éventualité. Elle feuilleta l'ouvrage, et vit le nom de sa mère. Elle vit que le crapaud l'avait larguée au bout de 3 jours. Et elle vit que certaines autres femmes n'avaient pas eu la chance de le garder aussi longtemps. Son père n'était qu'un gros porc.
Le paragraphe qui devait se trouver ici, où l'auteur improvisait une analyse fort instructive sur le paragraphe précédent, expliquant notamment que le père n'était pas vraiment un gros porc vu qu'il était un crapaud, a été censuré pour vous éviter de perdre le fil de l'histoire.
La page, remplie de tristesse et de tout le tralala qui va avec, réveilla son esprit littéraire, que lui avait inculqué sa mère, en répliquant au crapaud :
La grenouille s'enfuit, et échappa de peu au viol. De cette rencontre ne lui resta que de la haine.
La vengeance de la fille (la vraie)
En fait, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la partie précédente s'appelait déjà "La vengeance de la fille". Mais en fait, c'est dans cette partie la vengeance. J'aurais dû changer le titre de la section précédente, mais bon, je dois finir cet article dans 2 jours, donc si je commence à changer des trucs dans ce que j'ai déjà écrit, on s'en sortira plus. Sinon, je vais bâcler la fin. Et franchement, ce serait con de bâcler la fin. Parce qu'une mauvaise fin, ça gâche toute l'histoire. Bon, vu le temps que j'ai perdu à écrire ce paragraphe, j'aurais mieux fait de changer le titre...
Donc revenons-en à nos moutons (noirs). La grenouille sortit de chez son père. Elle était déçue. Mais une curiosité grimpait en elle. En effet, en ayant vu le nombre astronomique de femmes de son père, elle se disait qu'elle avait sûrement un nombre de demi-sœurs et demi-frères assez important. Sachant que son ami d'école était une grenouille en papier, et qu'il avait le même père qu'elle, cela voulait dire que son père avait couché avec d'autres pages. Peut-être avec une seule autre page. Peut-être deux. Peut-être trois. Peut-être dix. Peut-être vingt. Peut-être vingt-trois. Peut-être beaucoup. Peut-être vraiment beaucoup. Peut-être très beaucoup. Peut-être que des pages, et rien d'autres.
Donc peut-être que beaucoup d'individus étaient comme elle une grenouille en papier. Peut-être une seule autre. Peut-être deux. Peut-être trois. Peut-être dix. Peut-être vingt. Peut-être vingt-trois. Peut-être beaucoup. Peut-être vraiment beaucoup. Peut-être très beaucoup..
Elle alla donc dans les écoles, rencontrer les jeunes grenouilles en papier ; aux restos du cœur, rencontrer les grenouilles en papier plus âgées qu'elle (et forcément sans emploi suite à la ségrégation) ; sous les ponts, rencontrer les grenouilles SDF (toujours suite à la ségrégation) ; et au supermarché pour faire ses courses.
Le mouvement prend de l'ampleur
Au début, peu de grenouilles la rejoignaient. Elle réussit tout de même, en se comptant elle ainsi que son ami d'enfance, à réunir sept grenouilles. Elle nomma alors son association "G7" (pour "7 grenouilles"). Peu de temps après, une grenouille s'ajouta au groupe pour former le "G8". Puis le groupe eut de plus en plus de membres, et en deux mois, il devint le "G20".
Le groupe organisa des manifestations pour faire valoir les droits des grenouilles en papier.
Bon, au début, les grenouilles semblaient à nouveau atteintes du symdrôme de la timidité. Mais elles finirent par se connaître, sympathiser, prendre à cœur la défense de leurs droits, et se faire prendre au sérieux.
Tout ceci se transforma rapidement en émeutes, puis en révolution. Le mouvement fut obligé de recourir à la violence pour se faire entendre.
Il y eut des morts. Il y eut des blessés. Il y eut des points de côté. Il y eut des cailloux dans des chaussures.
Réaction du pouvoir exécutif
Le pouvoir exécutif censura les grenouilles lors des premières manifestations. Mais ne les prenait pas au sérieux.
Après les émeutes, les autorités envoyèrent l'armée pour mater les fauteurs de trouble. Les sous-races. Les culs-blancs. Parce que oui, quand les blancs sont contre les indiens, ils les appellent "peaux rouges". Et donc, quand des gens sont contre des blancs, ils les surnomment "culs-blancs". Parce que le papier, c'est blanc, et que les grenouilles sont en papier. Bon, je vous préviens, je refuse d'en revenir à réfléchir sur les couleurs du mouton noir et du bouc-émissaire. Quoi, vous ne vous en souvenez plus ? Mais si, c'était au début de l'article. Non, mais franchement, si vous oubliez tout ce que vous voyez aussi vite, je vois pas ce qu'on peut faire pour vous. Vous savez quoi, ne lisez pas la fin, de toute façon vous l'aurez oublié dans 5 min. Putain, mais je suis con, j'encourage les gens à ne pas lire mes articles. Merde...
Les grenouilles, désorganisées, subirent des défaites. Mais elles se réorganisèrent pour lutter contre le régime. Les rebelles voulaient plus de droits, de libertés, de démocratie, d'égalité, et de réconciliation.
Le pouvoir eut alors besoin d'un homme influent, sans pitié, pour coordonner la police en tant que ministre de l'intérieur. Le crapaud, père de Kenza, fut choisi, car il n'avait aucun amour pour ses enfants (il ne les avait faits que pour baiser), et parce qu'il avait besoin du pognon qu'allait lui apporter ce poste pour se payer des putes. Attendez, je vois que certain d'entre vous froncent les sourcils. Non, ne me dites pas que vous avez oublié qui est Kenza ! Bon, si vous ne savez pas qui c'est, relisez tout l'article, et trouvez quand je l'ai présentée. Je vais quand même pas vous dire où c'est !
Prise de la maison close (1789)
La maison close de la capitale était devenue le symbole du gouvernement du pays, depuis que le crapaud avait pris la tête de la répression. C'est donc tout naturellement que les rebelles avaient voulu s'y attaquer.
Notre grenouille en papier, Kenza (ben oui, Kenza, c'est la grenouille en papier du début, si vous n'avez pas pris le temps de tout relire, bande de feignasse), par cette prise, voulait se venger de son père, ce salopard pervers. Donc oui, si vous vous demandiez quand allait arriver la vengeance, c'est maintenant. Mais, me direz-vous : "Pourquoi la partie s'appelle La Vengeance de la fille, alors que cela ne concerne qu'une seule sous-partie ?". Et bien, je vous réponds que je dois avoir fini cet article dans 11h. Donc je ne peux pas rendre mon récit cohérent si je veux l'avoir bâclé d'ici là. D'ailleurs, j'ai expliqué les raisons plus précisément dans une autre partie (pour ceux qui ont encore le courage de re-relire l'article).
Si son armée s'était, pratiquement en totalité, barrée loin des combats pour rester en vie, le crapaud prit à cœur de défendre ses prostituées, car il ne se voyait pas vivre s'il en était privé. Il était tellement motivé qu'il parvint à décimer à lui tout seul la moitié de l'armée. En même temps, c'était pas trop dur de vaincre du papier. Oui, nos grenouilles étaient en papier, vous aviez quand même retenu ça, j'espère !!
Mais bon, vu qu'il était tout seul, une fois qu'il eut épuisé toutes ses munitions, il décida de tuer les prostituées encore sous son contrôle, de les violer une dernière fois, et de se suicider en se pendant avec son fouet de SM.
Kenza se vengea donc de son père (ouf, c'est enfin arrivé !!). Les grenouilles voulaient à la base traiter avec compassion les prostituées survivantes. Mais un groupuscule terroriste islamique (qui s'était développé grâce au chaos créé par les rebelles), décida de lapider ces infidèles. Leur groupe se développa, et surpassa les rebelles modérés en nombre.
Épilogue
Le groupuscule terroriste créa un califat islamiste sur tout le territoire des grenouilles, organisa de sympathiques soirées (bowling avec des infidèles à la place des quilles, golf avec les couilles des PD, et obligation de brûler vives les pages qui ont refusé de servir d'esclaves sexuelles), et bourra le crâne des gens, qui au bout de quelques générations, finirent par trouver tout cela normal.
Morale de cette histoire
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Un frontiste dit à ses enfants: |
| Et donc, les enfants, cette histoire nous montre qu'il faut virer les musulmans de France avant qu'ils ne nous virent de chez nous, et qu'ils ne créent un califat en France. |
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Un des enfants du frontiste dit : |
| Raconte-nous encore une histoire, papa !! |
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Un frontiste dit à ses enfants: |
| Non, maintenant, il faut dormir. Mais si vous êtes sages, demain, je vous raconterai l'histoire de Blanche-Neige qui fut contrainte de partager son habitat avec 7 immigrés clandestins, que l'on aurait dû renvoyer chez eux. |
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