L'histoire absurde d'un mec absurde qui fait des trucs absurdes

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Une autre de mes œuvres, la tache sur le sol. Mais j'ai pas réussi à emmener mon sol au Louvre.

L'histoire absurde d'un mec absurde qui fait des trucs absurdes est une histoire que j'ai moi-même créée. J'en suis très fier, mais mon chien a sur cette œuvre un point de vue critique, basé sur la manifestation probatile niaise expiré par l'absurdité brandissant l'écusson bifactice.

Proposée à trois éditeurs, mon histoire ne les a pas convaincu. Snif... Le premier m'a dit que le fil narratif ne s'inscrivait pas dans sa ligne de mire éditoriale, le second que je me suis trompé d'adresse et qu'il est boulanger, et le troisième ne m'a rien dit (c'est peut-être parce que je l'avais découpé en rondelles et jeté dans un étang la veille, mais c'est pas une raison...).

Comme je suis chômeur et que j'ai rien d'autre à foutre, je vous fais part de cette histoire, avant d'aller tenter un coup d'état contre notre bien mou président, et ainsi imposer la loi sur la "richesse pour tous". Bonne lecture...

Nuvola apps important.png Faites attention !
L'auteur était sous l'emprise de LSD en écrivant dans cette boite. Faites donc brouter kaki-jujube mamie girafe salon tulipes, sur mimosa berbère.


Partie 1 : 8h sur ma montre... Mais ma montre est-elle l'heure ?

8h00 : Mon réveil sonne. On commence à se disputer. 12 ans qu'on vit ensemble, et il ne m'a jamais préparé une seule fois mon petit-déjeuner ! Et quand je lui prépare une crème, que j'ai moi même fouettée pour qu'elle ne s'enfuie pas, il boude et refuse de manger. Je décide donc de lui faire une infidélité, et d'aller regarder l'heure sur une montre.

J'avoue, je sors avec des vieilles...

Je m'approche de la montre. Je lui demande l'heure pour amorcer la conversation. Elle ne répond pas. Elle est timide, cette coquine. Je lui propose d'aller chez l'horloger en tête à tête. Elle ne répond pas. Je commence à m’énerver, et je la frappe. Elle se laisse faire. J'avais oublié qu'elle était masochiste. Alors que j'allais m'excuser auprès d'elle, je la contemple. Ah, ces belles formes ... Ce cadran galbé... Ce bracelet sensuel... Ces belles aiguilles qui... Mais les aiguilles ne bougent plus ! Putain, le temps s'est arrêté ! Cool, je peux faire n'importe quoi !

Après m'être brossé les dents avec de la mayonnaise, j'ai battu ma fourchette à la partie de pétanque dans le frigo. Elle stipule que c'est parce qu'elle n'est pas dans son assiette. Pour être sûr de gagner la prochaine partie, j'ai joué au frisbee. Une fois l'assiette lancée, j'ai entendu "Aïe !". Mais avec mon chien, ça a fait "Scrotch !". Mon piano a quant à lui fait "SPROCH ARG BLUB !". Il a giclé de sang. Mon piano a dû se faire mal.

Ensuite, je me suis fait agresser par ma poêle, qui réclame plus d'oseille, quand je fais mes omelettes. Puis j'ai disputé un individu qui m’imitait dans le miroir. À sa place, je ferais pas le malin. Il a une de ces têtes de cul !

Je décide ensuite d'aller voir mon patron. Il me dit : "MAIS VOUS ÊTES EN RETARD ! VOUS M'AVEZ FAIT PERDRE 10 CENTIMES EN BOURSE !". Je lui ouvre la bouche, et je lui fait manger une chaussette. Il me dit : "Ah merci, je n'avais jamais aussi bien mangé à la cantine.". Je lui dis : "Je ne suis pas en retard, le temps s'est arrêté.". Il regarde ma montre, il dit : "C'est vrai ! Mais comment pourrais-je arnaquer des clients du coup ?". On se décide ainsi à partir à la recherche du temps.

Partie 2 : La verbalisation à l'impératif

Je décide alors de me déshabiller. Mon patron me demande ce que je fais. Je lui dis que c'est pour avoir moins de choses à porter, et perdre moins de temps. Du coup, il fait pareil. Le macadam devient alors bossu et nous turlupine. Puis vient l'épine qui pine. Mais le carré triangulaire sonna, et la récréation reprit. On se met à courir derrière un enfant en criant "Ah, nous l'attraperons !".

La police nous intercepte. Elle nous interroge : "Alors, on court tout nu derrière un petit garçon ?". On leur raconte qu'on courait après le temps qui s'enfuit devant le poney rose, et pourquoi on était nu. Le policier nous dit : "MAIS VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE !". Je répond : "Ah oui !". Il dit : "VOUS NOUS PRENEZ POUR DES CONS ! VOUS AVEZ ENLEVÉ VOS HABITS POUR GAGNER DU TEMPS, ALORS QUE LE TEMPS S'EST ARRÊTÉ ! CA N'A PAS DE SENS !". Il nous laissa donc jongler en paix avec le nounours vert cerise. Mais on ne se ré-habilla pas, pour ne pas reperdre de temps.

Auto-fellation de la bouteille nue.

Je vis une bouteille. Elle était également nue. Le chien nostalgique nous prit de vitesse, figuration de l'espace-temps-bordel en cinq dimensions. La taupe nous gronda bermuda xénophobe, et Tristan colle la proba. Tristan m'ignorant complètement, partant en suggérant de rantanplan des rimes en "an".

La bicyclette usuelle nous baragouinait des potins d'hier, mais le futur échappe à la fuite du temps. Elle nous suggéra une piste : "Il faut trouver pour être sûr d'avoir cherché.". J'essaye donc de trouver sans chercher. Le problème est que le sinus d'une solution n'équivaut pas à la racine du mot.

Je ne comprends pas si je me comprends.

Là on rencontra un lampadaire. J'essaie d'engager la conversation pour avoir des infos, je lui dis : "Tu es pour moi une lumière !". Mais le lampadaire dit : "Ce sont les patrouilleurs laitue-conviction de la partouze chevaline !".

Là, le filet nous pêche et nous ramène à la surface.

Partie 3 : Et le pêcheur mord à l'hameçon

Nous sommes accueillis par une merguez pantalon sous-fifre. Je demande : "Qui êtes-vous ?". Elle dit : "Je ne suis pas.". Elle nous dit ensuite que le comité de la nouille au plat bossu nous a subliminé pour nous pourfendre. Le tapis volant nous saucissonne en disant : "Je vous conduis vers l'oignon fétide qui saura vous buander de façon psychiatrique.".

Le tapis saucisson plane dans l’abîme. Je me pose alors la question : "Et si tous cela n'existait que par mon imagination ?", "Et si ce que je croyais réel n'était que fiction", "Et si la Terre n'était qu'un pot de fleur ?", "Que se passe-t-il si je me divise par 0 ?", "Pourquoi mon pied vouvoie la tapisserie murale fétide buccale ?"... (On s'est tous posé au moins -2 fois ces questions).

Je repense à mon premier amour...

L'oignon nous accueille chaleureusement ("AH ! ENFIN CE SONT LES PUTES QUE J'AI COMMANDÉ QUI ARRIVENT ! Ah... Ce sont des prisonniers... Mais ça ira très bien aussi !"). Il dit : "Je suis le sage oignon. L'ordonnance du poney rose vous ordonne de vous compter en punition de l'inexacte inaction ! Hormis si vous élargissez notre culture de patates ramollies présentables ! Y a t-il des pommes hautes comme trois pommes ?".

J'ai vu la théorie de la relativité passer sous mes yeux. Mais mon patron eut l'idée géniale du siècle, dans notre univers mais pas notre temps, il répondit : "Ben... Peut-être...".

La pluie nous noya dans une crème épaisse. Il reste orage qui n'est point contenu. Le chat mange le poisson, seulement s'il continue à nager. Le sage oignon nous putréanda de son talent et stipule noctambule, il subira lui-même le supplice de se compter.

La girafe-scorpion épave tourbillonna et effaça le visible de nos yeux. Plus rien n'est.

Partie 4 : Le temps est en retard

Le vide, selon Nino (bientôt 2 ans)

Le tourbillon paroxise la jouissance pagode. On n'est plus, il n'y a plus. L'espace n'est plus qu'un vague parc crevette. Il faut quelque chose. Albert intervient : Il veut une nouvelle théorie cosmique de l'espace-temporel. La pluie n'arrose plus l'éléphant. Mais suis-je moi-même ?

L'horizon n'a plus chemin qui conduit voiture frite casserole. Je ne suis pas. Je ne pense pas...

...

...

...

Combler le vide de l'existence par un pneu...

...

Chanteuse.png La nana aux cheveux rouges dit :
Mais qu'est ce que je fais dans cet article ?


...

Laver le shampooing...

...

Le vent souffle sur la tripologie aromatifaire. L'amour déshydraté force l'avoine mongole. L'Amazone rectifié gratte loupiote girouette en cap. Neurone sur tarte, pièce filante de girolle.

...

Pute la flûte...

...

Le vide est-il la folie...

...

Je ne vois pas. Car il n'y a pas. Tout disparu enquête close maison. Pyramide ovale de clarté, cytoplasme joujou mandibule.

...

La rame est comme eau mousseuse prohibée pragmatique.

...

Le radeau vogue sur un océan sans terre de vers...

...

Oh espoir ! Le temps arrive ! Ultime solution du problème des masses pesticide... Que fait-il ! Un temps en retard a-t-il du temps ? Il faut qu'il recule pour revenir avant le vide. Mais y a-t-il le temps dans le vide ?

Partie 5 : La situation de l'auteur va faire couler de l'encre

Comme je me suis fait tuer par les gardes du président, je suis mort (c'est le principe de se faire tuer...). Du coup, je suis sorti de mon trou en zombie pour avoir une chance de finir l'histoire. Quand je suis sorti, j'ai bouffé un homme, avant que je m’aperçoive que je suis un zombie végétarien.

Hier, j'habitais en face de ma poubelle. Maintenant, j'habite en face de chez moi.

Je rentre donc chez moi, mais mes clés ont été léguées à mes meubles. Je bouffe donc le bois de la porte. Mon aspirateur me prit pour un tas d'épluchures, et la poubelle m'engloba de sa jouissance nécrolo-patisso-narmol.

Le paysan me répandit sur ses champs. La courgette m'a poussé loin des flots. La carotte pelote et le haricot tabasco. Le cultivateur cueille des dromadaires sur les cerisiers. Puis on m’enfouit sous terre. Le ver de terre me caressa de son caryotype pythagorique, et languina banane.

Le magma monta les escaliers et me cracha. Le parachute me quitta et va choucroute. J’atterris sur un aéroport scolaire chenille. Je rampe d'escalier. Jubile le cri poussif. L'asticot transforme papillon des vergers bancals. Je tombe sans chute. La chute des corps est balistique pour taupe qui fuit.

Et là, la foudre de génie ! Un crayon devant moi ! Je le prends sans bras ! Espoir sur moi ! Imagination revenant ! Histoire à continuer ! Mais plus d'encre... BORDEL !

Du coup, l'histoire n'aura pas de fin... Sauf si VOUS la continuez !!!!

Ô grand poête zoophile, quelle fin sort de ton esprit imaginatif pour ce texte ?
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