Rue Sainte-Catherine
La rue Sainte Catherine est un élément découvert par le célebre professeur Virgin Cémieu Celafnac. Depuis cette grande découverte, on peut le retrouver dans de nombreuses villes.
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Découverte
Un beau dimanche de juillet 1923, le célèbre savant Virgin Cémieu Celafenac se réveillait de bonne humeur. Tandis qu'il se rendait à la petite épicerie de son village -qui donnait sur la minuscule place Sainte Catherine-, ce curieux savant eu une idée lumineuse : Pourquoi ne pas créer une rue avec plein de magasins pour faire dépenser plein d'argent pour des trucs inutiles ? Cette idée ne lui quitta pas l'esprit pendant des jours et des jours, des nuits et des nuits. Jusqu'au jour où il décida de faire une Expérience stupide comme il l'avait vu l'autre jour sur un skyblog (oui oui en 1923). Il pris du yaourt et mélangea ça avec de l'anis. Une grande explosion eue lieu. Virgin avait créée la rue Sainte Catherine ! Il s'empressa de faire breveter son invention, au bureau des brevets, qui se trouvait dans la même rue que l'épicerie. Plusieurs spécialistes se déplacèrent dans sa petite Bourgade, nommée Bordeaux. Il demandèrent à Virgin s'ils pouvaient réitérer l'expérience à d'autre endroit du monde. En voici une liste inédite:
Bordeaux
Le première rue Sainte Catherine au monde. La principale particularité de cette rue Sainte-Catherine de Bordeaux, outre qu'elle soit paraît-il la plus longue rue piétonne d'Europe, est son revêtement semblable à celui qu'on retrouve dans les patinoires. Il a été vraisemblablement conçu pour faire chuter les vieux et ainsi abaisser l'âge moyen de la population de Bordeaux. Grâce à cette hécatombe de vieux cons réactionnaires, le PS a réussi à battre Alain Juppé aux dernières législatives. Cette rue a été surnommée "Rue du Général de Gaule", du fait qu'elle commence à la Victoire (place de) et se termine à la Comédie (place de).
Montréal
La rue Sainte-Catherine de Montréal est principalement connue pour ses sex-shops et autres night-clubs gays. Et il ne faudrait pas oublier les nombreuses filles de joie.
Lyon
L'assoiffé qui déambule dans les rues de Lyon sait, s'il est du coin, qu'il existe un lieu merveilleux, la Rue Sainte-Catherine, sur les pentes de la Croix-Rousse, tout rempli de bars, lesquels portent des noms aussi charmants et exotiques que le Shamrock, le Café Sevilla, l'Albion, l'Abreuvoir... aussi les jeunes Lyonnais désoeuvrés viennent-ils souvent y épancher leur soif, si bien qu'ils en repartent tout joyeux, en braillant des stupidités, en musique ou non; à ce sujet, on notera qu'il existe dans cette rue un micro-climat, et que des trombes d'eau s'y abattent soudainement, le plus souvent le week-end, vers 2 ou 3h du matin. Signalons en outre une curiosité, le videur-nain de l'Abreuvoir (que l'on n'a jamais vu vider personne), ainsi que l'existence d'un fabuleux bar, le Chambéry, refuge des vieux poivrots savoyards des environs.
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