Helloween

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Helloween, contrairement à ce que son nom équivoque, n'est pas une soupe de poisson. Il s'agirait en effet d'un groupe de Power Metal ou bien de Speed Mélodique, on sait pas trop. Il fut fondé par trois Allemands qui n’assumaient pas le nom de leur ancien groupe, trop ringard.

« Powerfool ? Connais pas. »
~ Réponse de Michael Weiketh par rapport à sa connaissance générale.
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Quelques définitions s'imposent...

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Power Metal : Le power metal est un genre musical "qui fait mal aux oreilles" où les guitaristes ont trouvé comment mettre de l'électricité dans leur guitare et faire ainsi beaucoup plus de bruit qu'une guitare acoustique (pas comme ces glandus de Tryo). Ils ont ainsi appuyé sur le bouton "Power" de leur guitare, à côté du bouton "Bruit", "Larsen", et "Fromage", ce qui a donné le nom de ce genre musical.

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Speed Mélodique : Il apparaîtrait que le Speed Mélodique est un genre inventé par Helloween qui se définit comme tel : Speed (vite vite vite viiiite) et Mélodie (Lalalalalaaaaaanne).

Tout d'abord, il faut savoir que ça va vite.

« La vitesse importe beaucoup, il faut aller vite, il faut aller vite, il faut aller ! »
~ Speedy Gonzales à propos de ses habitudes


Et c'est donc sur cette phrase archiconnue que Kai Hansen a décidé de fonder son groupe favori.

« Helloween ? Mon groupe favori ! »
~ Kai Hansen, corde vocal et cordes doigtaux (un doigtal, des doigtaux) d'Helloween.

Ensuite, il faut aussi savoir que c'est mélodique, ce qui signifie que plus de trois notes différentes s'enchainent en l'espace de moins d'une mesure de 4 temps à la croche. Parfois même moins, mais ce sont des exceptions de l'exception peu courante. Ce mot est l'antagonisme de DragonForce, et fait honte à ces couillons de Slipknot.

Le nom du groupe

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Helloween serait formé de 9 lettres, mais aucun expert n'a jamais affirmé ni réfuté cette théorie. En tout cas, ce qui est certain, c'est la consonance de ce mot :

« Helloween ? Ben j'étais en France et j'demandais mon chemin et on m'a amené au parc national. Et voilà. »
~ Kai Hansen dans son jardin.
« Helloween ? On s'amusait avec Kai à la piscine municipale et on a confondu notre bouée avec celle d'un voisin anglais, qui s'est noyé de désespoir. Et paf ! Et l'eau win ! »
~ Michael Weikath à propos de bouées.
« Je suis persécuté, personne ne me veut, on me traite de Grosskopf, personne ne m'entend, j'en ai maaaaaaarre ! »
~ Marcus Grosskopf, bassiste de Helloween, à propos de la vie en général et de l'importance de la basse dans un groupe.
« Poum poum shack, tala ta poum poumpoum shak shak shpouiiiiiih ! »
~ Ingo Schwichtenberg (enfin une info réelle...), batteur d'Helloween, à propos de son jeu de scène.
« Marcus Grosskopf ? Pff, j'l'aime pas lui, c'est un Grosskopf, j'veux même pas l'entendre, de toute façon on l'entend pas. »
~ Tom Morello, leader du groupe Hokio Tokel.

Il serait évident après cette recherche approfondie de l'avis des membres principaux du groupe qu’on s'en branle du bassiste. Helloween serait donc formé du mot Hello et Formule 1, mais de l'avis général, un chiffre ne sonnait pas bien dans le mot, les membres du groupe décidèrent donc d'un commun accord que le nom serait Helloween et que si on posait des questions, ils devaient donner le nom des complices dans l'ordre suivant :

  1. Marcus Grosskopf
  2. Marcus Grosskopf
  3. Marcus Grosskopf
  4. Et enfin, Marcus Grosskopf

Les membres fondateurs d'Helloween

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Kai Hansen

Sa tendre jeunesse ou I Want Out

Né en 1969, lors de la première guerre mondiale, Kai Hansen commence la guitare seulement à 2 mois fœtal. Il réussit à accorder le cordon ombilical en 6 tons à la fois et commença la longue élaboration du solo de I Want Out, solo qui en disait long sur sa volonté de sortir du ventre de son père. Il naquit en RDA, du côté ouest de la Lemagne de l'est, plus précisément à Berlin, et fit un pèlerinage à Londres à l'age de - 3 mois. Il acquit donc la langue anglaise pendant la période fœtale, juste avant sa naissance. Et celle-ci survint, il n'attendait que ça. Enfin Libre ! Sa chanson I Want Out n'ayant plus de sens, il en abandonna l'élaboration et réclama une guitare dès sa sortie de l'utérus. Ses parents refusèrent, arguant du fait qu'il était encore un petit peu trop jeune pour devenir une star et dominer le monde. Kai bouda pendant presque 3h, puis il décida de faire avec.

Il accorda donc ses cordes vocales et jouait avec pendant plus de 8 ans. Il jouait, jouait sans cesse, et sa dépression le poussa à reprendre le thème de I Want Out, en se justifiant du fait qu'il voulait sortir du carcan familial, et donc de prendre un appart', d'avoir une voiture et un frigo plein de femmes et de bières. Seulement lors de la signature du bail, il fut refusé pour cause de cordes vocales désaccordées.

The Seven Keys, Dr. Stein, et la guitare

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Vexé d’être traité comme un gamin, Kai Hansen, du haut de ses 8 ans moins 3 mois entreprit une mission périlleuse qui consistait à voler une des clés de l’immeuble qu’il avait choisit pour vivre (à côté de l’épicerie pour les bières et de l’école primaire pour les filles). Il raconte son formidable périple dans le double-album+un Keeper of the Seven Keys.

De retour à la maison, ses parents lui offrent pour le calmer une Fender suprême master classe. Kai l’offrit à un mendiant, parce que c’était une guitare classique et que lui il voulait faire plus de bruit que ça. On dit que le mendiant entama une carrière de chanteur et qu’il serait connu sous le nom de Francis Lalane.

Le petit Kai qui a maintenant près de 8 ans et toutes ses dents transforma la cave de sa maison en un super collisionneur de particules dans le but de créer une guitare tellement puissante qu’elle endoctrinerait le cerveau de ses victimes, qui deviendrait alors instantanément de fidèles disciples. Il ne réussit à son dépit qu’à créer une pauvre créature noirâtre sans jambes ni oreille droite mais qui avait manifestement un don inné pour l’orgue. Il y a des fois… Il raconte cette expérience déroutante dans Dr. Stein.

Il se résolut finalement à acheter une ESP qui faisait quand même beaucoup de bruit.

« Bof c’est pratique pour balayer quand même, pas comme cette connerie de Fender ! »
~ Kai Hansen à propos de son balai.

Lors de ses jeunes années (14 ans), ce fut le guitariste rythmique-soliste-chanteur-chœur de Dalida. On n’arrivait pas à distinguer sa voix de sa guitare car il s’amusait, au grand dam de Dalida et de ses techniciens, à chanter avec sa guitare et à faire les solos avec sa voix. Cela entraina quelques divergences d’opinions, et il se fit débaucher.

Il raconta son malheur sur du papier toilette à la maison, pendant qu’il était en train de faire caca, ce qui donnera le futur tube If I Could Fly. Il envoya chaque feuille par la fenêtre de son voisin qui était au 4ème étage, mais garda l’idée bien ancrée dans sa petite tête.

Tandis que ses cheveux poussaient, il réfléchit à sa vie, au sens de la vie, à la vie en générale et à sa guitare. Il conclut qu’il avait besoin d’esclaves pour conquérir le Monde.

A la conquête du Monde

Il passa l’année suivante à distribuer des prospectus contenant ses petites annonces (son expérience marketing lui vient de son père, qui à eu le premier l’idée de vendre un truc pour déboucher les toilettes).

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A la suite de cette très fructueuse annonce, il engagea une boite à rythme qui répondait au doux nom de Ingo Schwichtenberg. En faite, ce dernier fut embauché car Kai avait la fierté de ne pas avouer ne pas savoir prononcer son nom de famille.

« Salut Igno, on se tutoie maintenant, biennevu dans The Kai Hansen’s Band ! »
~ Kai Hansen à propos de sa dyslexie.

Le futur guitariste, Michael Weiketh, passait ici par hasard et fut endoctriné par la fantastique guitare de Kai Hansen. Et aussi par son membre gigantesque.

Marcus Grosskopf, lui, les regardait avec envie depuis un bon moment. Un jour, il débarrassa la table et nettoya correctement la guitare de Kai Hansen. Il fut alors pris dans la formation comme balayeur, avec comme nom de code le surnom de bassiste.

Michael Weiketh

L'enfance, ou le mauvais opticien

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Né d’un père opticien et d’une mère secrétaire, il quitta sa maison à 13 ans, le bel âge, suite à ses dissensions avec son père au sujet de ses opticiens. En effet, son père travaillant à Optic 2000, celui-ci voulait que son fils hérite de son poste. Seulement, Michael préférait l’opticien Atol, et cela créa une tel pression que la croûte terrestre éclata sous eux. Il fallut l’intervention de Jedi Kid pour régler la discorde.

« Un fils ? Quel fils ? Ce connard qui fait du prosélytisme en m’en faisant porter le chapeau ? »
~ Dieu le père à propos d’un agitateur du Ier siècle
« Il est fou Aflelou, il est fou ! »
~ Speaker de la pub d’Alain Aflelou.

Arrivé en Lemagne par mauvais itinéraire, Michael fit la manche au côté de Francis Lalanne. Il jouait de la harpe et de l’accordéon tandis que Francis utilisait sa voix pour égayer la monotonie de la chose. Ils firent ensemble de multiples rencontres, et Michael apprit à Herman Li l’utilité de la corde de Mi grave. Résultat infructueux.

Un jour, un gamin énervé balança une guitare par sa fenêtre, exactement sur Francis Lalanne, et ce dernier l’adopta. Maintenant que Francis faisait du bruit avec les mains et la bouche en même temps, Michael déclara leur amitié révolue et le laissa se démerder tout seul avec sa guitare dans la main gauche, la harpe dans la main droite, l’accordéon entre les pieds et des pelotes de laine dans la gorge en guise de cordes vocales.

La fameuse rencontre

Michael marcha longuement, infatigablement, et se fit accoster par un connard aux cheveux longs et qui lui demandait où était passé son drap tout blanc. Après une longue discussion animée, ils conclurent qu’ils n’avaient rien à se dire et se quittèrent. Cette rencontre marqua la fin du début pour Michael.

Celui-ci marcha encore un peu avant de tomber sur un autre connard aux cheveux longs mais qui lui tapait sur une batterie tandis qu’un gamin le jaugeait de l’oreille. Kai Hansen, le gamin, le gratifia d’un « Hello Sir ! ». « Mais qu’est ce que c’est que ce connard qui se la pète en parlant anglais en Lemagne, lui ?! » s'interrogea Michael Weiketh à propos de son meilleur ami et de leur relation amicale.

Michael : Hallo Burshe !
Kai : Hello Guys !
Michael : Fuck you, asshole !

Et à ce moment décisif, Kai lui adressa un grand sourire :

Kai : Hello, I win !

Ainsi naquit Helloween.

Marcus Grosskopf

Grosskopf, ou l'ennui

Marcus ou le bonheur.

Cette homme plutôt féminin a débarqué sur Terre en l’an 1971. Étant donné que la fascination pour les extraterrestres était passée de mode depuis 1955, il passa complètement inaperçu.

« On s’en fout de toi. »
~ L’épicier, le premier humain à avoir vu Grosskopf sur terre.
« T’es qui ? Nan, nan, répond pas en faite, j’m’en fous. »
~ Un loubard qui passait dans la rue.
« Vos papiers s’il vous plait ! Non en faite, laisse bet. »

Lassé par tant de désintérêt, Marcus traina dans la rue pendant un moment. Il découvrit avec joie l’existence de la bière et de la choucroute et partit donc en pèlerinage dans le pays fondateur des bienfaits naturels du corps, la Lemagne !

Il payait sa nourriture et sa boisson avec l’argent qu’il créait par la pensée (Superbe don vachement utile mais personne ne s’y intéressait car on s’en fout de Marcus) ; Il était tout le temps dans le même bar-tabac, et le tenancier l’appelait familièrement « Hallo, Grosskopf ! » qui veut littéralement signifier « Salut, gros-truc-indéfinissable ».

Après cet événement, il décida d’adopter une forme humain.

Alors qu’il se lamentait d’être si inintéressant, il se mit à repenser aux conditions de son désaveu et de son bannissement de sa planète natale, et il tomba par le plus pur des hasards sur 3 humains en train de faire un slow bien connu de sa planète natale. Il resta ébahi par la virtuosité du guitariste qui reproduisait avec sa voix les chants de son pays. Même si il était assez con pour appeler ce slow Starlight, mais passons.

Il resta là 7 jours et 4 nuits, se faisant virer par la police pendant 3 nuits pour exhibitionnisme. Enfin, il prit son destin à deux mains, le fit tomber, puis il essaya de recoller les morceaux, puis il reprit son destin à deux mains et s’approcha de la formation.

« Le bassiste ? J’sais pas vraiment comment il s’appelle, de toute façon nous on l’appelle pas. Il nettoie ma guitare correctement, alors j’lui aie filé mon expérience raté dans ma cave. Ils se sont tout de suite entendus. »
~ Kai Hansen à propos des instruments de musique de son groupe et des préférences sexuelles de Grosskopf.

Depuis, Marcus suit le groupe pour se rapprocher de ses origines par la musique.

Les Mammifères

Hormis Marcus Grosskopf, les membres d'Helloween seraient tous des mammifères, définis sur le journal d'à côté :

Selon Wikipédia :
Les mammifères partagent des ancêtres communs avec les reptiles et les oiseaux (qui forment avec eux le taxon des amniotes).

Explications demandées...

Anecdotes

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Voici les différentes façons dont s’est formé le groupe à choisit son nom dans différent univers alternatif variable (liste non exhaustive) :

  • Ils se branlaient tout les 4 à Halloween, mais Kai a eu une soudaine peur des A. Elors il se renomme lui-même Kei et eppelle le groupe Helloween. C’est essez emmerdent pour perler quend même.
  • Les trois compères et le bassiste se sont d’abord nommés Les Beatles, mais un improbable clash médiatique leur imposèrent un changement. Il était Halloween et la pizza était une pizze. Inutile de faire le rapprochement.
  • Il paraît que le a n’existe pas en Allemand. Enfin, en Ellemend.
  • Halloween était devenue une fête joyeuse dans un des univers alternatifs, et Kai Hansen dans sa politique du contraire ne voulait pas faire un groupe triste, alors il mit un e.
  • PAAAARCE QUEEEEEE.
  • Il paraîtra dans un des univers alternatif, plus particulièrement en France géopolitiquement communarde, qu’Halloween est devenue une gigantesque distribution de bonbon gratuite. Helloween en est le client.
  • On suppose dans un univers alternatif que Helloween serait un jeu de mot avec Hell et Hallo qui signifie respectivement Enfer et Salut !
  • Dans un univers alternatif, Helloween n’existe tout simplement pas. Triste monde.
  • Dans un autre univers alternatif, Helloween ne s’appelle pas Helloween mais Dalida. Triste monde.


Discographie

Ahh, les citrouilles, les citrouilles !
  • Le mur de Jéricho : en référence à ce connard de voisin qui voulait pas qu’on tag son mur. C’est bien fait pour sa gueule, maintenant son nom est archi connu et en plus il a le nom d’un album.
  • Le Gardien des Sept Clés I : Cet album raconte l’histoire de Kai Hansen quand il dût voler la clés de son/de l’appartement où il vivait/devait vivre.
  • Le Gardien des Sept Clés II : Rien à voir, cet album parle des spécialités culinaires Allemandes.
  • Pink Bubbles Go Ape : A l’origine nommé « I want to be the new king of the pop ».
  • Chameleon : A ce moment là, le groupes avait adopté un chat, nommé Léon. Et voilà.
  • Master of the Ring : Non non, aucun rapport avec un quelque seigneur qui aurait dupé certain possesseur d’anneaux, non non…
  • Le Temps du Croates : périple d’un immigré clandestin.
  • Le Meilleur des Rats : Aventure dans un univers de rats, contée par un raticide. Cela se termine en apocalypse.
  • Indian Juicebox : On y retrouve du Abba, du David Bowie, des Beatles… Sans déconner !
  • Brown Ride : Une brosse à cheveux perdues dans les champs.
  • The Bugs Bunny Chronicles : Les aventures d’un lapin particulièrement facétieux qui se retrouve projeté dans un univers parallèle où Gandhi est un dictateur dans une régime totalitaire.
  • Le Héritages de la Clé des Sept Gardiens : On revient sur les spécialités culinaire de l’Allemagne en ajoutant celle de la Suisse (de part la venue prochaine du batteur Daniel Löble).
  • Le Diable, ce gros farceur : Traité philosophique sur la pratique du jardinage.
  • Les 7 pêcheurs : Manuel très pratique pour pêcher la citrouille.
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