Pedro Alonso López
ATTENTION : CET ARTICLE A ÉTÉ JUGÉ NON CONFORME À LA CONVENTION DE NEW YORK RELATIVE AUX DROITS DE L'ENFANT DE 1989. |
Pedro López, c’est un pédophile. Mais pas de la catégorie des gentils pédophiles, comme Mickaël Jackson ou Frédéric Mitterrand, non. Pedro Alonso ne raconte pas d’histoire à un enfant avant de lui toucher le zizou, ne lui offre pas de glace pour le séduire, ne l’embrasse pas quand il l’encule à sec. C’est un…méchant pédophile. Peut-être même le plus méchant. Demandons aux enfants.
Les noms de ces enfants ont été changés, pour garder leur intimité (presque) intacte.
(Re)naissance de Pedro Alonso
Pedro Alonso est né López et en Colombie, pays des neiges éternelles dans ton nez.
Après avoir été mis à la porte de chez lui pour une obscure histoire de touchage de sœur à l’âge de 8 ans, Pedro Alonso devint un jeune homme très excité. Et très excitant aussi, certainement, puisqu’il n’a pas eu très longtemps à attendre avant qu’un homme ne se décide, un jour, à lui apprendre l’amour charnel. Il fut au départ réticent, puis inconscient, mais à son réveil l’homme attendait son Pedro Alonso, à qui il était allé acheter des croissants par courtoisie. Ce dernier mangeait un croissant fourré au chocolat quand l’homme prit la parole :
La ligue des ombres
Pedro López, c’est pas un mec qui encule les mouches. On l’appelle « le monstre des Andes » et ce n’est pas pour rien. Si Ra's, son maître, l’a rebaptisé ainsi, c’est pour qu’un destin exceptionnel embrasse (enfin) la vie du jeune López. Mais ce qu’il est aujourd’hui, il ne le doit qu’à son bon sens et à son goût des jolies petites choses cromeugnonnes.
À la fin de son initiation, Ra's al Ghul avait fait appeler Pedro :
À la suite de ces révélations, trop dures à supporter, Pedro Alonso s’enfuit loin de Ra’s, qui paraissait un peu trop con. Le jeune initié tenta alors de trouver d’autres réponses, par lui-même, et se tourna vers l’école publique. Mais comme le veut la tradition, il s’y fit rapidement violer par tous les trous et perdit tout espoir d’un jour pouvoir s’asseoir tranquillement. « Pedro Alons-y », finit-il par concéder. Ce jour-là il choisit de devenir méchant, et épousa définitivement la ligue des ombres à part entière.
Mais pourquoi est-il si méchant ?
À cette période de sa vie, il vivait un tournant : fallait-il faire aux autres ce qu’ils ne voulaient pas qu’on leur fasse ou devenir auto-entrepreneur ? C’est en prison, où il ne toucha pas 20000 euros il faut le dire, qu’il prit sa décision.
Se remettant constamment en question, Pedro Alonso avait décidé d’aller en prison. Là-bas, les petites filles ne courraient pas les rues et il pensait pouvoir échapper à son destin. Mais ce dernier le rattrapa vite, sous la forme de quatre sexes de 25 cm.
Légitimement excités par le galbe glabre de son postérieur, des codétenus décidèrent eux-aussi de rempiler, niveau tradition colombienne, et au hasard d’un corridor mal surveillé élargirent les horizons de notre ami. Comme il trouvait d’un fort mauvais goût qu’on le force à pratiquer une fellation juste après la sodomie, cet épisode de son histoire s’acheva par la mort de trois des quatre agresseurs. Le juge déclara qu’ils étaient presque à égalité, et après avoir déboursé une compensation financière de 11 pesetas Pedro Alonso se retrouva à nouveau libre.
#PremierViol
Dehors, il passa de longs jours à arpenter les rues. Il ne tarda pas à comprendre ce qu’avait tenté de lui dire Ra’s al Gul : s’il ne violait pas au plus vite les enfants qu’il croisait, ces derniers allaient devenir de véritables adultes. Et il savait ce que les adultes non-violés réservaient à leurs enfants…enfin, non, il ne le savait pas, mais se sentait suffisamment équilibré mentalement pour comprendre qu’un enfant indemne ne deviendrait jamais un homme bien comme lui, ni n’atteindrait son niveau de pragmatisme. La réalité de la vie toute dure, il décida donc de commencer à œuvrer pour la postérité.
Il commit son premier viol en freelance, vers 20 ans, après avoir immigré au Pérou où les petites filles étaient plus jeunes. Plus rien n’allait jamais l’arrêter.
#FirstKiss
Difficile de juger avec le prisme de l’actualité toute l’action de Pedro Alonso. À l’époque, déjà, des parents avaient essayé de l’assassiner, ne comprenant pas où il voulait en venir. Mais c’était sans compter sur l’intervention d’un prêtre du missionnaire, et la charité de l’Église Catholique, toujours prête à venir en aide à ceux qui sont dans le trou des besoins. L’homme d’église le sauva des griffes de ses assaillants et le remit sur le droit chemin.
#PremièreClopeAprèsLamour
Après l’épisode du prêtre, il travailla si durement que les autorités pensèrent que quelqu’un construisait une cabane en petites filles, tant comme leur virginité ces dernières avaient tendance à disparaître brusquement. Cette hyperactivité, très classique chez les surdoués, le sauva donc pendant un moment. Moment qu’il ne perdit pas à faire carrière ou à finir Xenoblade à 100%, mais pendant lequel il continua de faire le métier qu’il aimait.
Le combat contre la ligue des ombres
Mais Ra’s al Gul ne l’entendait pas de cette oreille : tirer du plaisir du fait de sauver le monde des dangereuses petites filles n’était pas admis par le code de la ligue des ombres. Il résolut donc de donner à Pedro Alonso López une bonne leçon, pour changer.
À deux doigts de la fin
Son ancien maître connaissait son point faible et lui envoya un agent de la ligue des ombres infiltré, Catarìna : 3kg550, des mensurations idéales qui eurent tôt fait de faire tourner la tête de Pedro Alonso. Tirant partie de sa diversion, Ra’s al Gul en profita pour déchaîner contre lui la ligue des ombres. Au moment où Pedro Alonso allait faire avaler à Catarìna son propre hochet, Ra’s et ses sbires débarquèrent dans le terrain vague rituel et commencèrent à en profiter aussi. C’est alors que Robìn, le frère de Catarìna, survint à la demande de sa sœur pour protéger le couple : cette dernière, tombée amoureuse du héros, permit ainsi à la situation de se renverser.
Retournement de situation
Après un combat sans merci il ne restait plus face à Ra’s al Gul que Robìn, gravement blessé, Pedro Alonso et Catarìna. Mais le premier était l’homme le plus fort de la ligue des ombres, et l’affronter allait se montrer difficile.
Aussi quand il commença son ultime tirade selon laquelle l’amour triomphe toujours etc., Pedro Alonso en profita. Il entreprit d’arracher des petits bouts de Catarìna et, tels des shurikens, de les jeter sur Ra’s al Gul. Il s’y prit à huit reprises avant d’atteindre, avec un morceau d’humérus, ce dernier à l’œil gauche, qui se trouvait justement être son œil du tigre.
Sans œil du tigre, ne pouvant plus se battre, Ra’s al Gul s’enfuit. L’ennemi en déroute, Pedro Alonso fêta sa victoire en finissant avec Robìn de dépecer Catarìna, trop heureuse d’avoir aidé l’amour à triompher, elle aussi.
Le dark knight
Par la suite, Pedro Alonso prit Robin comme acolyte. Mais si le monstre des Andes n’était pas dépourvu de sens moral en soi, il l’était en Robin. Après bon nombre de maltraitances débridées, ce dernier finit donc par partir pour mener sa propre vie de super-héros. Sa fracture du péroné et Pedro Alonso le poursuivirent jusqu’à la fin de ses jours, une semaine après.
Après ces épisodes douloureux (pour tout le monde), Pedro Alonso renoua avec l’errance. Il décida de fonder sa propre ligue et d’apporter au monde la lumière nécessaire en ces temps de trouble. Il se remit donc à parcourir la cordillère en quête de viols plus originaux à commettre, avec des instruments ou dans des lieux sordides, tout en pensant tristement au fait que certaines petites filles lui échapperaient quand même, finalement. En souvenir de Catarìna et de leur brève idylle, il continua à réunir le plus de membres possibles au sein de sa nouvelle Justice League, et après avoir atteint 221 petits petons gauches, il devint le héros légendaire que connaît aujourd’hui l’Amérique du Sud.
Pas le héros dont le continent avait besoin, non. Mais celui qu’il méritait.
Les enfances de Pedro Alonso
Sa vie continua paisiblement. Et continue encore. En les volant, le monstre des Andes aura vécu pas moins de 300 enfances. Par le truchement du viol, il est donc resté le plus grand enfant d’Amérique du Sud. Il n’est pas en prison, non, pas même recherché : il erre, quelque part, répandant de-ci de-là des centilitres de bien-être, aidant le monde à trouver un sens. Il a payé pour ses fautes en faisant quatre ans de prison en Équateur, et tout le monde semble oublier que c’est un autre homme qui en est sorti. Un homme plus décidé que jamais à combattre les vilaines petites filles, toujours plus nombreuses, et à dévaster leur anus étriqué comme leurs idées préconçues sur l’amour et le respect de l’enfance. Pour notre salut à tous.
Pedro Alonso López est peut-être un mauvais pédophile, mais c’est aussi le meilleur des êtres humains.
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