Salvador Dalí

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~ Salvador Dali à propos du bricolage.
« Je ne suis pas drogué, je suis ma propre drogue ! »
~ Salvador Dali à propos de Salvador Dali
« Dali je ne veux plus en entendre parler, il est encore plus fou que moi ! »
~ Lady Gaga à propos de Salvador Dali
« Il n'y a qu'une seule différence entre Salvador Dalí et moi. Je ne suis pas Salvador Dalí. »
~ Salvador Dali à propos de Salvador Dali
« Il n'y a que deux mauvaises choses qui peuvent vous arriver dans la vie, être Pablo Picasso ou ne pas être Salvador Dalí. »
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~ Salvador Dali à propos de la Désencyclopédie.
« Notamment je hais les articles surréalistes de ce Yoshkill ! »
~ Salvador Dali à propos de sa jalousie pour le talent de Yoshkill.
Mona Lisa Dali, la mère de Salvador.


Naissance

Dali est né avec les marques du génie déjà parfaitement visible sur son visage à l'image de ses grands yeux globuleux déjà sensibles aux excentricités du monde qui l’entoure.

Il a vu sa première lumière dans un endroit tout à fait banal, une écurie où il n’y avait pas de chevaux mais deux girafes roses et des chauves-souris bleues fixées à un plafond de cristal distordu. Le foin était suspendu à deux mètres du sol dans une farandole sans fin symbolisant métaphoriquement le lever du soleil dans le ciel.

Immédiatement, dès la naissance il était flagrant que cet enfant était différent des autres nouveau-nés, il avait une fine moustache pointue, une rareté chez les bébés[1].

Bien que les infirmières fussent unanimement d’accord sur le fait qu’il soit un garçon, les parents avaient de gros doutes. Surtout le père qui ne reconnaissait pas les bijoux de famille qui se transmettaient de père en fils depuis des générations chez les Dali. La mère elle était plus habitué, il y avait des histoires d’hermaphrodites dans la famille même si cela remontait au XVIe siècle. Et puis de toute façon en Espagne (et au Portugal) les femmes moustachus ne sont pas rares.


Enfance

Dali a grandi le plus normalement du monde dans la ferme familiale située dans la paisible petite ville rurale de Figueras en Espagne. Aucun évènement ne vint perturber l’enfant au cours de ses 10 premières années, si ce n’est la paranoïa de sa mère qui pensait que Salvador était la réincarnation de son grand oncle Wenceslao décédé deux cents ans plus tôt d’une overdose consécutive à l'ingurgitation de homards (m’a tuer). Tout cela à cause du fait qu’il avait la même petite moustache tordu que son aïeul à l’âge de cinq ans.

Le portrait psychédélique de Mme Ramona, une des premières œuvres de Salvichou, comme on le surnommait enfant.

Vers l’âge de 10 ans, il se mis subitement à porter un vif intérêt pour la création artistique quand un matin, son réveil sonna. Dali, cependant, ne voulait pas se réveiller. Quand il émergea enfin, le réveil commença à fondre devant ses yeux ! Comme hypnotisé par cette vision flippante, Salvador se leva alors comme un zombie, sortit et commença à dessiner des grands cercles dans les champs de maïs avec un râteau de plage et une paire de ciseau à ongles. Cette œuvre, considérée comme la première du génie de Figueras, a été modestement intitulée Sphères oniriques planiformes sur grappes d'or hirsutes illuminés par le soleil à quatre heures du matin par une journée nuageuse et sans Lune, notons également qu'il s'agit des premiers Crop Circles de l'Histoire. Cette œuvre scandaleuse provoqua immédiatement un tollé retentissant dans une communauté rurale composée de gens de la terre, rigides et conservateurs, aussi imperméables à l’art urbain qu'un tracteur fraîchement sorti d'un labour.

Dans cette terre marquée par un conservatisme confinant parfois à l'obscurantisme ou au fanatisme, ses voisins vinrent faire un sit-in devant sa porte, demandant à ses parents d'enfermer l'enfant diabolique à triple tour. Salvador parvint quand même à déjouer la surveillance parentale et à s'échapper pour réaliser le portrait psychédélique de Mme Ramona dans le propre champ de la paysanne. Cette vieille grenouille de bénitier devint tétraplégique des yeux quand elle découvrit l'œuvre, ce jour-là Dali reçut la plus grande fessée de sa vie. Sous la pression du conformisme social qui commençait à s'intéresser à lui d'un peu trop près, son père l'envoya chez le psychologue tandis que les fermiers de Figueras se lancèrent dans le tourisme en raison de la ruée des ufologues et autres illuminati obnubilés par la théorie du complot d'une invasion extraterrestre imminente à cause des Crop Circles qui apparaissaient spontanément dans les champs.

Grave, grave erreur que d’envoyer ce petit génie excentrique chez un psychologue louche du nom de Sigmund Freud. Non content d’initier le jeune Dali à l’usage de la cocaïne pour le désinhiber, Freud lui a profondément introduit ses théories dans le crâne, lesquelles influenceront énormément ses œuvres postérieures. La base des théories freudiennes consiste à nous faire prendre conscience que nos rêves nous révèlent les gros pervers que nous sommes, que nous désirons sexuellement nos parents ou nous introduire des objets en forme de pénis dans le fondement. Salvador qui auparavant était plus asexué qu'un Schtroumpf[2] vit son complexe d'œdipe se réveiller et il commença à peindre des tableaux de sa mère et de sa sœur telles qu'il les voyait par le trou de la serrure en train de prendre leur douche. Maintenant, Salvador savait quoi faire quand il était en panne d'inspiration, la fameuse impuissance artistique. Très marqué par la thèse du stade anal de Freud, il se mit à porter un vif intérêt pour les formes géométriques et artistiques de ses propres selles.

Toujours par les conseils de tonton Sigmund, devenu son mentor, Salvador essaya de peindre ce dont il était en train de rêver mais il ne se souvenait plus de rien une fois réveillé. Tout ce qu'il parvint à coucher sur sa toile durant son sommeil furent des taches de bave et d'urine. Un jour qu'il était très fatigué à force de mal dormir, il introduit par erreur dans la machine à laver ses toiles souillées et ses peintures. Le résultat étonnant qu'il découvrit une fois la lessive finie donna vie à ses premières aquarelles, d'un genre nouveau et inimitable qu'il appela surréalisme.

Succès

La gare de Perpignan, c'est ici dans la capitale mondiale de l'art cosmique que tout à commencé.

Sur de son talent, Salvador se rend à la Gare de Perpignan. Il prend un look surréaliste de vêtements extravagants, un accoutrement bien flashy le tout assorti d'un tampax usagé dans chaque oreille. Pour encore plus se faire remarquer il imite le cri orgasmique de la mouette sur les quais de la gare et prétend aux gens qui attendent leur train que ce lieu est le centre universel de l'art, et que la simple vue d'un rail, le plonge dans une espèce d'extase cosmogonique assortie d'une véritable éjaculation mentale qui atteint ici sa plus grande et sublime hauteur spéculative, le milieu de la fenêtre du wagon-restaurant[3]. A bord du wagon restaurant, il devint fou, lorsque le serveur lui amena un escargot de Bourgogne, enrobé de chocolat Lanvin.

Autant de folie ne peut être que géniale se dirent les gens, ses tableaux reçurent un accueil triomphant à l’exception de la part d'un type aussi mal habillé que lui et qui chercha à brûler ses toiles. C'était Picasso qui ne pouvait pas supporter qu’un autre ait inventé le surréalisme avant lui, le maitre du cubisme. Violent, il chercha alors à faire le portrait cubiste de Dali, la tête au carré comme on dit. Heureusement Salvador fut sauvé par son ami Freud qui hypnotisa Picasso et le plaça en catalepsie. Quelques heures plus tard un Picasso toujours halluciné peignait Guernica.

Ainsi commença la carrière de peintre reconnu de Dali. Il peignit 2534 tableaux, leur donnant des titres pompeux et d’une longueur incroyable à même de ridiculiser un titre de film d'Audiard. Certains le traitèrent de fou mais Dali se défendait vigoureusement en disant : je ne suis pas fou, Salvador Dali lui est fou et si vous continuez à m'embêter je vais le dire au méchant lion rose qui vit dans mon placard à balais à chiottes !

Son imagination délirante ne semblait trouver ses propres limites que dans celles de sa propre connerie même si tout le monde dans le milieu de l’art savait que l’essence même de la véritable inspiration de Dali était sa relation avec le transsexuel brésilien Amanda Lear, qui a lui aussi été très impliqué dans le monde de l’art. En effet son visage mainte fois retouché dans un centre de chirurgie esthétique est une sculpture New-Age. Salvador vit Amanda comme le chef-d’œuvre surréaliste de sa vie, en particulier à cause de ses lèvres trois fois plus grande que son propre corps.

Finalement chacun trouvait son compte dans cette relation puisque Dalí se vantait ouvertement d'être impuissant [4]. Du coup[5] sa relation avec Amanda était platonique, et cela tombait très bien puisqu'elle était anatomiquement impossible.

Fin de vie

Dali à la pêche aux moules en plein bad-trip se prenant pour le Commandant Cousteau.

En 1983, vieux et en panne d’inspiration, en impuissance créatrice et plein d’idées molles, Dali prend du Viagra spiritique, du LSD. Rongé par la shoote, il commença à perdre la boule pour de bon, se vantant d'être capable de castrer un chien par télékinésie ou d'escalader l'Everest sur les mains. Il développe également un sorte de fixation sur les animaux marins, comme l'illustre son célèbre téléphone-homard. Dès lors Dali n'est plus un artiste, c'est un Has-been et encore je suis de bonne humeur j'aurais du dire Never-been. Il touche le fond et continue à creuser inlassablement, il commence à réaliser des toiles monochromes : blanches avec juste sa signature. Contre toute attente elles s'arrachent pour des fortunes.

Les dernières années de sa vie furent les plus bizarroïdes de toutes. Sur les conseils de sa chère Amanda il a acheté une île dans le triangle des Bermudes, afin de vivre en reclus comme le fit Bernard l'Hermite avant lui et de s'éloigner des succès du cubisme de ce suce-pinceau de Picasso. Une île paisible seulement habitée par les congénères de son bien-aimée : des sirènes inversées (tête de poisson et les jambes d'une femme), et qui lui permirent d'entretenir sa névrose sur les crustacés.

Malheureusement, Salvador Dali n'a pas profité longtemps de ce coin de paradis, il est mort dans un tragique accident provoqué par Amanda : cette dernière a tenté de l'embrasser, mais le poids excessif de ses lèvres a fait ventouse et a fini par écraser le pauvre Salvador causant sa mort par asphyxie. Ce fut le baiser de trop, le baiser de la mort en quelques sortes, il aurait mieux fait d’écourter les préliminaires et de passer de suite à la pompe funèbre, s’il avait su.


Amanda lea.jpg
Amanda Lear nous parle de sa voix sensuelle :
Encore eût-il fallu que je le susse !



Ainsi finit l'un des plus beaux systèmes pileux nasobuccaux du monde.

Analyse de son œuvre

« Dalí est passé de la brillance subversive de sa jeunesse à une vacuité grandissante et à un exhibitionnisme rémunérateur. »
~ Michael Peppiatt


Bon on va pas tortiller du fion bien longtemps, c'est laid, du grand n'importe quoi dénué de talent qui plus est. Et puis c'est si prévisible, les œuvres de Dalí sont facilement reconnaissables : ce sont les seules qui fassent pleurer les psychiatres de joie. Non mais vraiment, peindre des montres, c'est relativement con déjà. Si en plus c'est pour les peindre molles, biscornues, et incapables de donner l'heure, faudrait être bourré, ou alors inspiré par Amanda Lear.

Dali ce n'est que de la médiocrité caché derrière des noms à rallonge qui rappelle les plats de grands restaurants. Plus le nom du plat est long, plus la portion dans l'assiette est petite et le prix lui par contre est exorbitant. les toiles de Dali c’est exactement pareil et en plus elles ne se mangent pas, elles sont totalement indigestes. C'est du hors d'œuvre sans plan principal ou du pareil au même des préliminaires sans coït.

Avec son air con et sa vue basse, Dali avait bien compris comment entuber les Bobos parigots amateurs d'art. Son but non dissimulé était de se faire un bon paquet de blé en peignant des licornes bleues et d'autres conneries innommables. Un coquin, un filou, un renard un point c'est tout.

Franchement plutôt que de peindre des croûtes minables dans les champs, il aurait mieux fait de passer son temps à se pogner en douce devant des photos suggestives de Scarlett Johansson, comme la plupart des adolescents de son âge.

En fait, de son œuvre nous ne retiendrons qu'une chose : sa phénoménale moustache.

Florilège de ses croûtes

Notes et références

  1. Dans la catégorie enfant-ours, on rapporte que Demis Roussos serait né avec une pelouse sur le torse, et Domenech avec son célèbre mono-sourcil
  2. Nous vous rappelons que la schtroumpfette à 50 balais passés est toujours vierge et ne s'est jamais fait draguer sauf par Azrael
  3. Le salaud n'a jamais nettoyé
  4. De là venait d'ailleurs sa propension à peindre des objets mous
  5. Enfin du coup, du mauvais coup plutôt, enfin on se comprend quoi



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