Infirmière
Infirmier, provient du latin "in-firmus" qui veut dire non fermé.
Origines
Le métier d'infirmier a beaucoup évolué dans le temps, la première apparition remonte au Moyen-Âge, aux environs du hixe hième siècle. Cela coïncide avec la création de la Croix Rouge et ses premières expéditions en Galilée pour aider les populations locales, notamment à se débarrasser des païens, des richesses, des hommes, des femmes, des enfants, des animaux, des maisons, des armes de destruction massive, etc...
A l'époque, être infirmier était une sinécure. Les infirmiers dépendaient alors du clergé et leur but était - comme leur nom l'indique - d'augmenter sensiblement le nombre d'infirmes à l'aide de tout type d'armes redondantes (en particulier le fenouil). Ils étaient bénévoles et ne subsistaient qu'avec les quelques dons forcés (vulgairement appelés pillages) reçus des hérétiques.
Le Moyen Âge étant moyen, pour la profession infirmière comme pour tout le reste, il convient d'en faire un rapide résumé:
Acte Ier: Les Croisades, création du métier d'infirmier.
C'est au hixe hième siècle que le PDG (Pape Directeur Général), qui s'appelait à l'époque Urbain (parce qu'il habitait dans le centre-ville d'Avignon), décide de reprendre Jérusalem, siège social de la société Catho S.A, qui avait été occupée par de jeunes maoïstes consommateurs de méthamphétamine appelés Mao-métamph. A son appel, de jeunes cadres dynamiques tels Godefroy de Bouillon ou Gilles de Bouter se vêtent de la Croix Rouge et partent pour la Judée, accompagnés de quelques assistants. C'est le noble Gilles qui sera d'ailleurs à l'origine du cri de ralliement: "Il faut Bouter les métèques hors de Judée!"
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Ben Laden appelle à la guerre sainte en disant: |
C'est lors de cette croisade capitaliste et des quelques autres ensuite que le métier d'infirmier en tant que fabriquant d'infirmes se développe. Les Croisés créeront même un ordre spécial de façonneurs d'infirmes spécialisés, appelé « ordre hospitalier ». Ces infirmiers d'élite avaient pour tâche de regrouper les infirmes créés dans des camps de concentration nommés hospices.
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Levinas lévine : | Il va falloir m'expliquer où est l'éthique dans tous ça... |
Acte 2ème: Après les croisades, le statu-quo.
Tout au long du haut Moyen-Âge (qui est en bas) et du Bas-Moyen-âge (qui est en haut, chronologiquement), le métier d'infirmier stagne. La médecine n'intéresse plus personne sauf les malades, et encore, et les infirmes sont considérés comme des rebuts de la société, au même titre que lépreux, pestiférés, mendiants et païens. Les infirmiers, s'occupant de ces gens là, sont déconsidérés, et l'on ne retrouve cette profession qu'en tant qu'activité annexe des cas sociaux suivants : prostituées, couturières, bouchères-charcutières, magiciennes (mais elles ne pratiquaient que de manière éphémère car elles étaient très vite brûlées), nonnes. C'est également à cette époque que les infirmiers deviennent des infirmières, la femme ne valant rien (c'est toujours le cas même si certaines prétendent le contraire) et pouvant donc être salie par la proximité des malades, cadavres et autres matières visqueuses.
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L'Église et tous les saints confirment : |
| De toute façon elles nous ont déjà fait jeter hors du paradis en cherchant la connaissance, tout est de leur faute... |
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| Vous n'êtes qu'une bande de phallocrates!!! |
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L'imposteur : |
| Ta gueule, vieille peau! |
A l'époque, la formation consistait principalement en l'enseignement de versets de la Bible ou de prières pour les patients, en fonction de ce qui était considéré comme le plus efficace pour cinq types de pathologies: les malédictions, l'hérésie, la peste, la possession et la lèpre.
Les nonnes douées pour la couture pouvaient choisir l'option « soins au blessés » mais cette option était considérée comme inutile et servait surtout à passer le temps.
Les infirmières devaient également travailler un référentiel de 2 compétences:
1: Évaluer une situation, établir un diagnostic, pratiquer une saignée : Cette compétence vise a diagnostiquer si le patient est possédé, malade ou blessé . Les combinaisons sont variables et les trois pathologies peuvent être diagnostiquées chez la même personne.
Les possessions peuvent être matérielles (certains paysans possédaient des porcs, c’était inadmissible) ou démoniaques/sataniques (usage de belladone, d'ergot de seigle, épilepsie).
Les blessures peuvent être accidentelles (chute, accident domestique d'arc, guerre) ou volontaires (le plus souvent il s'agit d'amputations pour éviter d'aller à la guerre).
Les maladies peuvent être très diverses et sont souvent nommées selon leur lieu de provenance. On retrouvait donc la grippe Espagnole, la lèpre Vénitienne, la peste noire d'Afrique, la fièvre jaune d'Asie, l'homosexualité de Grèce. Il existait trois types de traitements:
- Purgation par le feu pour la possession et/ou l'homosexualité.
- Saignée pour la maladie et la blessure.
- Prière pour les autres pathologies.
2 : Accompagner la personne dans la réalisation de ses soins quotidiens : A l'époque les soins quotidiens se limitaient à l'élimination urinaire et fécale. Les infirmières spécialistes étaient donc employées à mi-temps.
Acte 3ème: Le XIXème siècle, l'évolution
Ce n'est qu'au hixe hi hixième siècle que la profession se radicalise et n'est plus ouverte qu'au nonnes. La création d'une école en Allemagne marque l'avènement de cette nouvelle ère, car cette école permet aux nonnes d'y aller et de faire des choses, plutôt que de ne rester à rien faire au couvent.
C'est à cette époque que la profession devient réservée au bonnes sœurs, si possible jolies, les médecins préférant draguer la jolie petite sœur Marie Purpurine plutôt que Bertha Rumsteak, la grosse charcutière Alsacienne.
Acte 4ème: Le XXème siècle et la grande guerre mondiale
C'est au hixe hixième siècle que se produit l’événement qui marquera la modernisation du métier d'infirmière : La Grande Guerre.
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L'inspecteur Harry balance : |
| Ça va chier pour les cornettes ! |
Ce n'est que pendant la Grande Guerre mondiale que l'on se rend compte que les infirmières ne doivent pas faire que prier, mais respecter des règles pas seulement menstruelles.
Pour résumer un peu:
La Grande Guerre mondiale est un sport d'équipe, avec deux mi-temps de 4 ans et une prolongation de 2 ans. La page de pub dure environ 21 ans, histoire qu'on ai le temps de préparer la mi-temps suivante et de refaire des joueurs. C'est une sorte de coupe du monde de football sauf que le but est de mettre la balle dans le gardien et que les équipes comptaient des millions de joueurs. Dans ce sport les cartons rouges sont fréquents.
La guerre se faisait entre hommes, histoire de garder un équilibre dans les forces.
La première mi-temps commence en quatorze et finit en dix-huit, et la récompense qui ne sert à rien est l'Alsace-Lorraine.
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Notre envoyé spécial Gustave de Kervern explique : |
| A noter qu'à l'heure actuelle une guerre risque bien d'éclater à nouveau entre France et Fritzerie car la France souhaiterait que la Boschie récupère les deux régions et leurs millions de chômeurs, la Schleuland ne veut pas et cela crée des tensions. La solution la plus simple pour préserver la paix étant qu'ils réussissent à les vendre à la Belgique. |
C'est dans ce contexte que les infirmières se retrouvent à l'avant du front: Le lobe frontal. Le front était, en quatorze dix-huit, semblable au front d'un enfant du même âge: criblé de cratères et creusé de rides de fatigue à cause de l'alcool, la drogue, la prostitution, le combat, l’acné, etc ...
Les petites mains des médecins, comme on les appelait alors, ont à cette époque une utilité incontestable. Elles soignaient les blessés, remontaient le moral des troupes (et des médecins), continuaient, bien entendu les prières, et réduisaient ainsi le taux de décès dans les troupes de pas moins de 0,7 pour cent ! C'est lors de ce conflit que l'on remarqua que les infections liées au blessures ou aux membres arrachés, pouvaient être diminuées par un simple lavage des mains .
Cette découverte fut faite par Marie-Parvati Curie, la cuisinière indienne d'un régiment anglais qui, en pratiquant les ablutions rituelles hindoues avant de façonner son fameux poulet Curie, se rendit compte qu'il était moins noir à la fin.
Grâce au lavage des mains le nombres de blessés sauvés atteint le record de 8 pour cent, crédit que s'arrogent naturellement les toubibs.
| House crie en souffrant : | C'est pas une bande de bonnes femmes qui aurait pu être aussi efficace! |
Conseil suivi par les infirmières qui virent leur diplôme valorisé peu de temps après la guerre.
En 1922, la France instaure un « brevet de capacité d’infirmier professionnel » qui tient compte de l'hygiène des mains. La formation passe dès lors de 2 mois et seize minutes à une durée de 2 ans et contient deux compétences de plus à acquérir. Mais nous n'avons pas plus d'information dessus, ni sur son évolution vers un diplôme en 1938 car les Grands Blonds à Croix Gammée ont tout détruits à la seconde mi-temps de la guerre mondiale.
« Lave toi les mimines et mon vieux t'aidera. »
~ Jésus à propos de l'hygiène des mains
La seconde mi-temps oppose toujours les Boches et leurs alliés Ritals et Niakoués aux Gaulois, Rosbeefs et Indigènes Coloniaux mais dure plus longtemps car, incapables de se départager, les deux camps ont entamé des prolongations sous l'oeil arbitraire de la sainte Russie Soviétique du Peuple et des Us states de God bless le Capitalisme. Durant cette guerre, de nombreuse expériences scientifiques d'un grand intérêt ont été réalisées sur l'individu Juif, l'entité Rom, le quidam Résistant ou encore l'organisme Nègre. Cela permit d'énormes progrès en médecine et un gain de temps subséquent.
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Michel Cymes médecin de renom confirme: C'était une putain de bonne idée! Est-ce qu'ils ont mesuré la taille de leurs bites? |
Au cours de cette guerre les premiers hommes infirmiers sont entrés en jeux : Ils étaient envoyés sur le terrain afin de récupérer les joueurs blessés et de les renvoyer au charbon au plus vite.
Leur particularité était qu'ils devaient porter assistance à tout les blessés, même ceux de l'équipe adverse. Cela était certainement dû aux méfaits de ce morceau de drapeau suisse neutre qu'ils portaient sur leurs brassards.
Je passe rapidement les scènes de guerre pour en venir aux débouchés. Cette guerre a permis au métier d'infirmier de se développer, notamment avec les nombreuses découvertes obtenues dans les camps de redressement et rééducation par le travail des Fridelins et des Popovs.
La profession de nos jours
A l'heure actuelle, l'accès à la formation est très réglementé. En effet il faut un diplôme d’État ayant grade licence ce qui nécessite de suivre un nombre de cours incalculable. Cette réforme est plébiscitée par la Sécurité Sociale (abréviation: SS), car elle délaisse presque totalement la pratique pour la théorie, formant ainsi des soignants dangereux qui tuerons un maximum de patients et finirons en prison ou ils ne seront pas payés pour le service rendu à la nation (baisse de nombre de patients = plus de sous pour la SS).
Les études passent donc à 3 ans de durée, et à un système de fac. C'est à dire, en gros, que chaque année réussie fait avoir un bac plus quelque chose, et permet de gagner de la crédibilité européenne ( + 30 points de crédibilité par ans).
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Michel Cymes médecin de renom confirme: Au fait je viens de me rendre compte que j'interviens très peu dans cet article. J'étais juste là pour la blague sur les bites, c'est ça ? |
Autre point important: les cours sont dispensés à moitié par des facultés (parfois même de médecine, le plus souvent de sport), à moitié par l'émission "c'est pas sorcier" et à moitié par l'institut de formation en soins infirmiers. L'infirmier de base avec un niveau bac peut donc être dérouté face à un savoir trop dense et parfois inutile. Les examens sont élaborés par la fac qui considèrent l'étudiant infirmier comme une machine qui n'a aucun intérêt à profiter de sa jeunesse
Troisième point, l'étudiant infirmier se voit matraqué de concepts, de valeurs et de théories, de compétences par ses cadres formateurs. Il n'y comprend généralement rien, ses formateurs non plus d'ailleurs, qui souvent se contredisent entre eux. Mais la différence c'est qu'eux ont leur diplôme. Ils ont donc une excuse toute prête si jamais on leur reproche de ne pas avoir un comportement exemplaire comme ils le prônent auprès de leurs défouloirs étudiants.
Avec cette réforme , lorsqu'ils sont en difficulté devant un groupe d'étudiants, les cadres peuvent jouer un second Joker qui fait taire n'importe quel carabin: Le référentiel de compétences infirmière. C'est un livre plein de lois, de textes, qu'aucun étudiant ne lit. Ils accordent donc le bénéfice du doute à leurs formateurs et ferment leurs bouches.
Les stages sont aussi bien plus compliqués. Il n'y à plus de MSP, ce qui permet à un étudiant qui ne sait rien faire de faire semblant de savoir réaliser les activités demandés pendant ses trois ans d'études et jusqu'à obtention du diplôme. (faites le liens avec la dangerosité et l'économie qui d'ailleurs et au cœur de la nouvelle réforme dans laquelle on ne doit pas utiliser trop de matériel). Il n'est donc pas rare de voir des étudiants en stage de fin d'étude utiliser scalpels et bassines pour une prise de sang.
En résumé, aujourd'hui, le mot d'ordre est l'austérité, et le futur infirmier y contribuera à merveille, c'est l'arme secrète des gouvernements pour combler le déficit de l'assurance maladie.
La profession infirmière
La profession infirmière se résume en deux grands Rôles
Le Rôle sale
Il s'agit de la basse besogne, l'infirmière ne s'en occupe plus après avoir eu le diplôme, sinon elle serait restée aide-soignante.
 "Mais alors, à quoi peut servir une infirmière?" |
Regroupe les soins relationnels, l'éducation thérapeutique, les toilettes, l'aide à la personne et toute les saloperies du genres
Le Rôle prescrit
Il s'agit des soins réellement intéressants. Il est dit prescrit car le médecin ne veux pas le faire depuis si longtemps, qu'il y a prescription. C'est ce pourquoi l'infirmier est fait: Pansements, grosses plaies à nettoyer, fils et agrafes, pose de perfusions, prises de sang ( ou saignées modernes) etc...
A savoir que pendant la grande guerre mondiale, le rôle prescrit était appelé rôle en collaboration, car les médecins étaient allemands.
Concepts et valeurs infirmières
- Éthique:
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L'infirmier dit : |
| J'en ai marre d'imprimer ces foutues étiquettes!!! |
- Valeur:
Cf Salaire
- Concept et abri-bus:
Suite de mots vide de sens servant à rendre le discours sérieux: Cf Brasse
- Empathie/Télépathie/Misanthropie:
Choisissez celui que vous préférez...
- Congruence:
Inutile, de toute façon les patients ne comprennent pas ce que vous faîtes.
- Transfert, contre transfert:
Cf mutation
- Écoute active:
Voir Sony, Bose, casque bluetooth
Spécialités
- Anesthésie ou Ibed
- Psychiatrie ou Imad
- Bloc ou Ibod
- Orthopédie ou Içafaitmal
- Viscérale ou Itube
- Oncologie ou Ishave
- Neurologie ou Ibrain
- Hématologie ou Iblood
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