Pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir

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Symbole du stéréotype.svg Cet article décrit un stéréotype, afin de lyncher et exclure encore mieux certains d'entre nous.


« J’adore les spaghetti à la carbonara. »
~ Sacha Guitry à propos des spaghetti à la carbonara
« Merde ! J’ai plus de mascara ! »
~ Une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir à propos de ses préoccupations
« Alors ? T’as embrassé Kevin ? T’as trop assuré ! »
~ Une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir à propos de la vie trépidante de sa bestaaaAAaAAAh <333
« Ajoute les photos de notre soirée sur Facebook ! »
~ Vanessa à propos de ses agréables journées

La pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir est une catégorie de femmes se déplaçant le plus souvent en groupe, son nombre typique étant de quatre. Son influence sur notre monde n’est pas des moindres et a déjà poussé bon nombre de personnes à la folie pure et simple.

Y en a-t-il beaucoup ?

Taux de personnes ayant résisté un certain temps à l’influence des pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir avant d’y céder à force d’en fréquenter (toutes les personnes en fréquentant au-delà de quatre se sont suicidées).

Vous avez déjà croisé une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir. Si, c’est obligé. Ces petites saloperies noyées sous leur maquillage et avec leur foutu sac accroché au poignet qu’elles vous foutent dans la gueule à la moindre occasion… eh bien, elles abondent. C’est là une bien triste réalité, mais il faut l’admettre.

D’autant que le mode de vie de la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir semble se répercuter sur les peu nombreuses mais vaillantes personnes survivant face à cette invasion évolutive. En effet, une étude récente menée par un grand chercheur a démontré que 99,9 % des individus fréquentant au moins une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir sombrent eux-mêmes dans la classe des chieurs notoires ; voyez le graphique ci-contre.


Où en trouve-t-on ?

Vous avez sûrement dans votre voisinage une, ou plusieurs si vous n'avez pas une chance de malade pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir. Leur abondance fait qu’il y en a partout. Leur lieu de prédilection est le collège, mais ne rêvez pas, il y en franchement partout.

Par-dessus le marché, aucun traitement n’existe pour éliminer ces créatures sans finir en prison.

Comment les reconnaît-on ?

On voit bien que ces sacs peuvent contenir tout ce dont une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir peut avoir besoin : mascara, crèmes et autres objets indispensables à sa survie.

Très simple. Comme je l'ai déjà fait remarquer auparavant, la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir se distingue par son maquillage immodérément dosé et son sac qui ne contient que dalle mais qui est à la mode, alors il est forcément génial han. La pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir a également tendance à ne jamais regarder où elle va, mais plutôt les autres pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir avec lesquelles elle anime des conversations.

Certains spécimens ont également une démarche de merde qui consiste à se traîner des pieds afin de se faire les plus discrets possibles. Les pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir qui n’adoptent pas cette manière de marcher ne marchent normalement que par pure obligation : leurs talons hauts qui imitent le bruit des sabots d'un certain animal leur ressemblant les en empêchent. On notera aussi une putain de voix suraiguë dont la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir abuse afin de vous casser les oreilles et de vous prouver leur appartenance au sexe féminin (parce qu’il est vrai qu’une femme ne se différencie que très difficilement d’un homme).

Il est intéressant de constater que la plupart des pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir ont une orthographe déplorable, vous devrez donc vous montrer pragmatique si vous souhaitez engager la conversation avec l’une d’entre elles. Mais étant donné leur faible intérêt, m’est avis que vous n’en arriverez pas à de telles sottises, sauf si vous êtes désespéré.


Searchtool.jpg Parfois, vous n’aurez affaire qu'à une seule pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir. Pour compenser, le destin fera que celle-ci aura un trop gros cul pour vous permettre de vous faufiler. Ceci est l’une des (trop) nombreuses lois que rien ne contredit.


Son mode de vie

La pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir est comme n’importe quelle citoyenne ; elle mange, elle dort. Mais elle prétend se nourrir en suivant un régime très strict afin d'avoir le physique digne d’une célébrité admirée de tous les autres congénères de son âge. Cependant, dans les faits, elle avoue une fois sur dix qu’elle a exceptionnellement désobéi à son régime et, au final, il s’avère que la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir a tendance à mentir assez fréquemment. En effet, une autre étude a montré que les aliments qu’elle consomme ne sont pas des plus équilibrés, nous révélant ainsi l’origine du volume plutôt conséquent du corps d’un bon nombre de pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir. Il est à noter, dans le cadre de l’analyse de la psychologie des pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir, que celles-ci rêvent souvent de leurs passions ainsi que de leurs idoles. Il vous arrivera donc sans doute de tomber sur des pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir en train de discuter à propos de leurs songes, prises d’une euphorie s’expliquant par les aventures vécues lors de leur sommeil.

Ses préoccupations

Ne vous y trompez pas, la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir mène une vie remplie de questions vitales et toutes déterminantes pour son avenir. Après tout, que ferions-nous sans les graves interrogations posées par ces grands individus intellectuels ? Nous ne serions que de pauvres êtres insignifiants, voilà tout.

Me reste-t-il du mascara ? Ai-je eu mon quota d’amis ajoutés sur Facebook ? Aurai-je le courage d’embrasser Kevin ? Aurai-je assez d’argent de poche pour m’acheter des fringues et aller au ciné avec mes copines ? Ma maman me laissera-t-elle regarder la télé ce soir ?

Tant de questions aussi perpétuelles qu’importantes ! Ceci ne fait que souligner l’intelligence de ces créatures. Alors fermez-la et arrêtez d’insulter les pouffiasses qui se traînent en prenant toute la largeur du couloir, économisez plutôt votre salive pour hurler votre rage : elles domineront le monde par la force spirituelle.

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La nana aux cheveux bleus dit :
Merde. Comment pourrions-nous éviter ça ?


Bah écoutez, vu leur nombre, l’idéal serait d’écrire à un supérieur hiérarchique pour lui demander d’abolir ces foutues lois qui nous interdisent de tuer ces nuisibles. Si vous réussissez, empressez-vous d’acheter une arme efficace. Mais étant donné que vous n’arriverez pas à influencer des hommes représentant la loi, il va falloir adopter d’autres techniques.

Traitements adéquats

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Faites attention !
Ce qui suit évoque le comportement à adopter vis-à-vis d’un certain stéréotype. Au vu de l’importance du sujet abordé, l’auteur de cet article réclame votre attention tout entière.

Oui ! Ne désespérez pas, il y a quand même moyen de se débarrasser de ces saloperies. Étant donné qu’on ne peut pas les tuer (ce serait con d’aller en taule, vous ne pourriez pas admirer le résultat de vos gestes), il va falloir adapter et ruser. Heureusement, des moyens d’extermination, on n’en manque pas. À vous de choisir celle qui vous convient le mieux. « Aux grands maux, les grands remèdes », comme dirait l’autre.

Lui soutirer son maquillage

Ben oui, que serait une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir sans son matériel de maquillage ? Je vous le demande. Ce serait un peu comme de l’eau qui ne mouille pas[1], c’est pas possible. Sachez tout de même qu’en faisant ça, vous risquez d’exposer la galaxie à un paradoxe spatio-temporel, car comme nous l’avons dit, une pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir pas maquillée serait problématique pour l’équilibre du monde. Vous violerez une loi encore plus fondamentale que les sciences les plus sérieuses : P - M = -∞. P représentant la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir, et M son maquillage. Le résultat est clair : un trou noir risque d’être créé, entraînant l’apparition d’une infinité de petits chats roses qui chient des arcs-en-ciel. Prudence, donc. Employez cette méthode avec parcimonie.

Prévoyez un sachet de somnifères pour un maximum de sûreté, et un bon briquet accompagné d’une bouteille d’essence.

Étape 1

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Le saviez-tu que...
Si vous portez un string, un jeans avec des dizaines de trous et des milliards de bracelets, le tout agrémenté d’anneaux énormes accrochés à vos oreilles, vous aurez un taux de réussite de 100 %. Ce sera un peu délicat si vous êtes un mec, par contre.

Pour appliquer le soutirage de maquillage, il va falloir trouver le moyen de vous introduire dans l’antre de la pouffiasse qui se traîne en prenant toute la largeur du couloir que vous comptez éliminer, que nous nommerons Vanessa pour plus de commodité. Pour ce faire, essayez de parlementer avec votre future victime, si possible sans laisser échapper quelque remarque désobligeante à son encontre[2]. Après lui avoir montré votre passion pour Justin Bieber et Tokio Hotel, ça devrait être dans la poche.

Si vous êtes un mec, débrouillez-vous pour choper l’adresse de votre proie et allez-y lors d’une de ses séances de shopping. N’oubliez pas une copie papier de cette page pour avoir des trucs et astuces tout au long de votre aventure.

Étape 2

Vous êtes chez votre victime, vous jubilez intérieurement, vous aimez la vie et vous avez envie de hurler votre joie. Oui, mais vous devez vous débarrasser de Vanessa, puisqu’elle est quand même dans sa maison. Proposez-lui d’aller faire les boutiques de fringues du quartier, pendant que vous, vous resterez chez elle pour tester son maquillage. Fière d’exhiber ainsi sa superbe collection, elle ne pourra qu’accepter. Si vous avez bien suivi, vous pouvez sauter cette étape si vous êtes un mec. N’oubliez tout de même pas de donner rendez-vous à Vanessa à 17h maximum, sinon vous devrez attendre qu’elle ait vidé tous les magasins.

Étape 3

Voilà, vous êtes seul(e). S’il y a des membres de la famille de votre victime, ouvrez votre sachet de somnifères et proposez un café à vos chers hôtes. Faites attention à ne pas mettre de somnifère dans votre tasse, vous auriez l’air stupide. Maintenant que vous êtes bel et bien tranquille, allez dans la chambre de Vanessa. Vous la reconnaîtrez sans problème grâce à votre cible elle-même : le matériel de maquillage, qui occupe les trois quarts de la pièce.

Voici votre cible. N’hésitez pas à allumer un joli feu de joie pour aller plus vite. En plus, votre victime préfèrera sûrement crever dans les flammes plutôt que d’abandonner son matériel de maquillage.

Sortez votre matériel de pyromane et arrosez toute la chambre avec l’essence (vous auriez du mal à arroser avec un briquet). Maintenant, cherchez un stylo et une feuille dans le foutoir innommable qu’on osera appeler « chambre », et écrivez un petit mot à votre victime, de préférence en langage soutenu pour la déstabiliser encore plus. Posez la feuille à l’entrée de la pièce. Allumez le briquet[3]. S’il est en panne, courez dans la rue chercher deux pierres et revenez avec pour les frotter comme un taré jusqu’à ce qu’étincelles s’ensuivent. Ou réalisez votre connerie et allez chercher une boîte d’allumettes dans la baraque de Vanessa. Ne vous gênez pas puisque tout le monde dort, personne ne vous fera chier. Bref, foutez le feu. Savourez le spectacle (pas trop longtemps quand même pour ne pas crever d’asphyxie). Sortez de la maison en sifflotant.

Ça chauffe, dites donc !
Je vais faire griller mes saucisses en attendant Vanessa.

Petit bonus

Si vous êtes audacieux, vous pouvez vous planquer pas loin de la baraque pour filmer l’incendie avec votre smartphone dernier cri. Évitez de rire trop fort quand vous voyez Vanessa, les bras chargés de sacs remplis de fringues, se précipiter dans la maison en hurlant. Évidemment, ne publiez pas la vidéo sur YouTube, ce serait un peu suicidaire.


Petit malus

Vous aurez quand même tué des innocents. Les somniférés étant en effet toujours endormis, ils mourront sûrement avec Vanessa, qui n’aura pas pensé à fuir, trop occupée à essayer de comprendre votre lettre. Enfin, j’dis ça, j’dis rien. C’est vrai qu’un peu de cynisme ne fait de mal à personne.

Chanteuse.png La nana aux cheveux rouges dit :
Oh putain, qu’est-ce qui est arrivé à mon matériel de maquillage, BORDEL ?

Mes excuses. Je souhaitais illustrer cette première méthode, j’ai donc dû brûler le tien.

Ruiner sa réputation

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Notes

  1. L’eau étant en effet un liquide qui mouille.
  2. Il est effectivement difficile de retrouver la confiance d’une personne devant laquelle vous n’auriez pas pu retenir un malencontreux : « Mais qu’est-ce que t’es [insérez ici votre insulte préférée]. »
  3. Votre briquet est un briquet électronique, il est donc logique que vous l’allumiez, espèce d’imbécile.
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