Chinoir
Cet article décrit un stéréotype, afin de lyncher et exclure encore mieux certains d'entre nous. |
Ils sont des peuples pour lesquels on aurait bien aimé que certains finissent le travail. Et pourtant, comme ils existent encore, il faut en parler. C'est entre autres le cas du peuple chinoir, bâtard et parasite mais gentil et souriant quand même, qui apporte au jour le jour et à notre morne monde le divertissement par la condescendance envers nos semblables, ainsi qu'un sujet qui ne fera jaser personne.
À titre liminaire et pour entamer ce siècle avec panache[1], rien de tel que d'y inscrire toute la bienvenue du Chinoir parmi l'humanité, car c'est manifeste : aujourd'hui il en fait partie, même s'il se dÉstine à épuiser naturellement ses ressources, et ce jusque dans l'humour[2].
Il est en plus bien plus intéressant à étudier que le Japonègre, qui ne sait faire que des sushis à la banane.
Informations exactes
Localisation
À la lecture du titre de cette sous-partie, il est fort possible que beaucoup s'attendent à y trouver une information cruciale pour leur permettre de s'ériger des repères spatio-temporels satisfaisants, pour une dissertation ou un mémoire de thèse. C'est en partie vrai, et pas seulement parce que nous les Européens nous avons le sens de la logique et savons compter sans boulier ou awalé. Mais parce que chez nous on aime les choses bien faites.
Pour autant, de la même façon qu'ils nous déçoivent comme la Vie chaque jour un peu plus, les informations à leur sujet sont rares. On sait seulement que les Chinoirs ne possèdent pas d'habitat à proprement parler. C'est déjà une information en soi, et nous espérons ainsi satisfaire la curiosité de nos lecteurs. Car rappelons-le, c'est un vilain défaut.
Ne pas passer sa souris sur la petite chatte. |
C'est un vilain défaut, mais nous n'en sommes plus à un près. Donc continuons.
Les Chinoirs ne possèdent donc pas de pays, il n'en feraient rien d'intéressant à part des murailles ou des déserts, et il y en a suffisamment. Ils sont donc un peu partout.
Pour autant, les sujets qui nous intéressent - un peu - n'ont pas un flux migratoire considérable. Faut-il le répéter : ils sont gentils et souriants, par conséquent ils ne veulent que très rarement déranger les vieux dans les campagnes ou voler le travail des éboueurs. Pourtant en le croisant dans la rue pour lui demander ce qu'il pense des immigrés, le pékin moyen ne vous répondrait jamais en des termes élogieux.
C'est aussi ce qui ferait, si on avait les crédits pour ça, qu'on pourrait être tenté de comprendre l'incongruité de la population chinoire au sein de trucs qui concernent l'exode des peuples[3] ou le dumping social etc...mais y a pas les sous.
Histoirette
« Il fut un temps...? »
Légendaire cette réplique, n'est-ce pas ?
Tout comme l'est la destinée du Chinoir et son inclinaison à vivre sa vie avec autant de panache qu'un rugbyman en fin de troisième mi-temps. Insipide, il l'est, mais l'est plus encore la trace, ou plutôt la rognure d'ongle, qu'il laisse perpétuellement derrière lui sous le tapis de l'Histoire, sur lequel personne ne s'essuie les pieds avant d'entrer.
Pour faire et couper court, voici ce qui arriva[4].
À l'origine des temps, que tout prêcheur sciencepotiste placera judicieusement quelque part pendant la Grèce Antique, l'Homme était ici. Mais, juste après avoir été ici très longtemps, il voulut aller là et créa le cheval et le bateau pour être sûr d'y arriver vite et vivant. Tout naturellement, il découvrit ensuite des choses et d'autres pour au final décider de s'installer un peu partout (on y arrive). Mais, avant, il eut besoin de bras pour galérer et de jambes pour labourer. Et pour arriver à ses fins l'Homme remit son courage à demain et lança ce qui devint très tendance dans la bouche des piètres orateurs : l'exploitation de l'Homme par l'Homme.
Nous entendons déjà les faux cons et les vrais espiaigles déverser leur logorrhée futile sur ce qu'il y a de bien et de mal et tout[5] dans le fait de parler de mal et de bien mais, comme nos trois lecteurs tiennent à rester discrets, ils n'auront pas la parole ici.
Donc, sans être bien ou mal, l'exploitation de l'Homme par l'Homme fit son apparition par nécessité : pour créer des bateaux, puis des avions, puis des iPhone.
Grande époque du commerce triangulaire d'or
Pour rester confus, il est possible de décrire le commerce triangulaire d'or de manière complexe et sinueuse. C'est ce que nous allons faire.
Le commerce triangulaire d'or est le nom donné aux flux économiques entre les continents africain, américain et asiatique, dans le cadre du commerce illégal d'opium et des négros qu'il faut pour le fumer.
Actifs depuis prés de 200 ans, les réseaux aurotriangulaires vivent le rêve américain : ils gèrent aujourd'hui toute entière la chaîne de commercialisation d'un bout à l'autre, du transit des stocks de drogue aux flux migratoires des consommateurs potentiels. Avec le temps ils se sont peu à peu diversifiés pour verser dans le trafic d'armes et d'héroïne, et contrôlent aujourd'hui la vente de crack sur tout le continent américain.
On pourrait croire que l'existence de ce deep market générant plus de 5.000 milliards de dollars annuels serait sans conséquence sur l'économie mondiale. Pourtant il n'en est rien. Mais il fallait choisir (toujours à cause des sous) et c'est son impact démographique qui nous intéresse ici.
Mais quel rapport avec le Chinoir?
Comme tout ce qui n'est pas à notre image, comme Dieu c'est-à-dire blanc, au nez aquilin, catholique apostolique, qui cotise et n'a jamais ni plus ni moins que deux enfants virgule trois, les restes du Monde sont mauvais..
Et quelle meilleure illustration pour comprendre l'horreur humaine du Chinoir que le parcours mirifique dans la drogue de leurs ancêtres communs ? De par sa nature et ses fondements, le Chinoir est donc simplement l'opposé, le contraire, le négatif de la société occidentale, qui dit non à la drogue, non à l'exploitation des hommes entre eux, et non à l'immigration.
Le terme chinoir est employé pour la première fois à 1$10 de l'heure par le socio-anthropologue Cheikh Anta Diop, afin de décrire la dynamique des migrations causées par les objectifs maléfiques de ces deux peuples, qu'aujourd'hui tout le monde a encore du mal à accepter.
Et de la même manière que Christine Boutin, Africains et Asiatiques ainsi détestés de tous se sont alors reproduits entre eux, créant le Chinoir éponem.
Place du pardon dans l'inconscient collectif chinoir
Le Chinoir demande autant qu'il l'accorde le pardon, cette notion toute chrétienne qui permet d'accepter l'inacceptable. Il fait ça tout le temps et c'est sa principale occupation. C'est d'ailleurs tout à son honneur, un peu comme dans le film le Majordome, quand ce noir qui s'appelle Cecil rencontre Barack Obama, ce qui ne prouve pas que les opposés s'attirent, bien au contraire.
L'honneur, le Chinoir en a à revendre, du moins en avait-il jusqu'à épuisement de son stock, vers le début du XXième siècle. Aujourd'hui il n'a plus rien, mais on le pardonne. Car il n'est pas le seul à avoir le monopoly du cœur.
Le pardon est donc extrêmement important pour les descendants du peuple sino-africain : il rythme leur vie, de leur naissance pour laquelle ils bénéficient d'une amnistie généralisée par les Droits de l'Homme, à leur mort, qui survient souvent bien avant d'avoir fini la récolte de coton. Sans pardon, pas de seconde chance.
Et sans seconde chance, pas de Terminator 2[6], par exemple.
Informations sur le mode de vie chinoir
Le Chinoir a un mode de vie bien à lui, que personne ne lui envie, contrairement à ses ressources naturelles, que tout le monde lui envie par contre. Le Chinoir est donc un être ambigu, mais il abandonne l'un et l'autre bien volontiers pour s'intégrer.
Le Chinoir dans le monde
Aujourd'hui, le Chinoir fabrique des Smartphone pour nos travailleurs occidentaux, et vient le soir nettoyer et vider les poubelles de leurs open spaces. Il est donc un élément déterminant de la chaîne alimentaire de la vie, dont il faut quand même quelqu'un pour débarrasser la table après manger.
Alors qu'un milliard et demi de Chinois, et autant d'Africains, restent bien au chaud dans le cocon douillet de leur pays d'origine, le Chinoir s'est quant à lui rendu indispensable aux quatre coins du monde, apportant le meilleur de ces deux peuples que tout oppose (à nous).
Mais nous allons voir que malgré tout, il n'est pas toujours heureux.
Le Chinoir ne vit que pour s'exploiter
C'est cela, le Chinoir s'exploite. Il a souvent migré, à travers l'Histoire, sur sa propre Terre afin de dilapider ses richesses pour le compte d'autrui. Car c'est plus fort que lui.
Par exemple : face à une bonne brouette, un Chinoir livré à lui-même n'aura pas les atouts nécessaires à la mise-en-branle de l'outil occidental. Ce n'est que si on lui explique, et privé de liberté, d'écran plat, de Mao Tsé Toun ou de manioc qu'il pourra interagir et s'épanouir pleinement main dans la main sans se soucier du lendemain, comme les garçons et les filles de son âge.
Ainsi contraint, il transportera des bananes par brouettes pour nourrir les fabricants d'écran plat de Mao Tsé Toun et permettre aux consommateurs d'être libres. Tout sourire, il proposera gentiment de s'abstenir de décider ce qui conviendrait très bien au premier dauphin venu.
Alors globalement, il souffre en silence et retrouve très vite sa politesse ancestrale et son sourire plantain.
Le Chinoir ne meurt que pour être triste
C'est le plus marrant. Niak niak.
…
Non, c'est faux. C'est même plutôt triste.
C'est pourtant vrai : on pourrait croire qu'il vivrait vieux, comme le destaing, mais il meurt en général rapidement de tristesse et par contradiction. Pourtant soumis aux lois, risquant peu mais risquant bien, clopin clopant, tradala hoûdi, il devrait dans sa tranquillité paisible prospérer et faire beaucoup d'enfants... Il en fait, beaucoup même, mais ne prospère jamérimée puisque toute sa vie reste dictée par l'inculture. Le temps lui manque pour s'éduquer car il faut vivre, vivre pour mourir, mais ne pas mourir vieux pour laisser la place à ceux qui, avé César et l'aide de Dieu, vont mourir et te saluent.
Être chinoir, ce n'est pas vraiment la franche rigolade. Et pourtant, certains en rigolent comme pour justifier leur existence, en tentant d'être plus souriants et plus gentils qu'eux, alors que c'est tout ce qu'ils ont !
Reproduction
Comme tout mammifère, le Chinoir fait des enfants. Sa démographie repoussante et ses multiples enjeux écologiques, vus rapidement un peu plus haut par manque d'argent, l'ont d'ailleurs poussé dès le début à mener avec sagesse une politique stricte de contrôle des naissances. Un mâle chinoir n'est donc, comme le dispose leurs saintes écritures à eux, autorisé à engendrer qu'un enfant unique par famille, à la condition expresse qu'ils soient de plusieurs mères.
Mais une petite équation vaut mieux qu'un long discours.
Des écoles de pensées très intelligentes ont été concertées, dans la limite de notre budget, et tout porte à croire que le désire ardent du Chinoir à vouloir que cet enfant unique soit un mâle (comme son père) le pousse à opter pour des méthodes de reproduction tolérées par les saintes écritures et leurs interprêtres. C'est pourquoi les petits naissent le plus souvent d'une part touze et d'autre part de père inconnu, ce qui fait du peuple chinoir une société matriarcale[8].
Si cela ne présente que peu d'intérêt, cela en présente un néanmoins : son rôle sur la scène international brille avec autant d'éclat qu'un trou noir dans un cercueil, comme toutes les sociétés de ce genre.
Pénissologie
Pourquoi la pénissologie ? Parce que sinon ça ferait péni[z]ologie voyons. Pour le Chinoir, cela revient au même et le sujet est de taille. D'ailleurs, le Chinoir a un sexe de grande taille, ce qui est étonnant. D'une part car tenant du Chinois il devrait en avoir un au moins à moitié minuscule. D'autre part car tenant du Chinois il devrait vraiment avoir un tout petit sexe, quoi.
Ainsi faite cette révélation nous plonge dans le noir total et c'est douloureux : ceci explique cela.
Le Chinoir manque un peu de pouvoir et d'argent
Cela explique explique beaucoup de chose, et en particulier son mépris pour les droits des autres hommes et les siens et bref : si ça c'est pas le mépris des droits de l'Homme en général que le grand Cric me croque et je ne m'appelle plus Bernard Minet[9].
Bref, si cela explique beaucoup de choses, et en particulier son mépris pour les droits des hommes[10], cela explique aussi sa propension à la délinquance.
Alors on le met en prison, où là aussi il reste bien gentiment jusqu'à ce qu'on l'appelle.
Pourquoi parler du Chinoir
Mais alors, pourquoi parler du Chinoir en fait, car il est comme la femme : le sujet parler de lui-même et ça nous gonfle. Mais il y a pourtant une raison d'en parler, et elle concerne en tout premier lieu les gens qui ne sont jamais contents : mais une photo vaut mieux qu'un long discours.
Dans la vie, on n'est jamais trop contents.
Postérité
Le Chinoir vaut donc en général mieux qu'un long discours. On retiendra surtout que dans l'imaginaire collectif, c'est un être complexe.
Et certainement complexé.
Explicage
- ↑ dans 20000 ans on n'y verra que du feu
- ↑ Nous ne nous rabattrons pas sur l'humour juif pour autant.
- ↑ et de tous les peuples, môssieur
- ↑ ce fut le serpent qui creva
- ↑ le triptyque de ceux qui n'expliquent pas vraiment les choses
- ↑ ou d'Evil Dead 2
- ↑ Un article que je vous recommande !
- ↑ et ce, quoiqu'on en dise
- ↑ Qui sait ?
- ↑ mais sinon les droits de l'Homme ça va
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