Société des agathopèdes

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« Allez vous faire foutre ! »
~ Sacha Guitry à propos du blocus commercial sur le camembert

La Société Pantechnique et Palingénésique des Agathopèdes, appelée couramment Société des agathopèdes, est une société ultra-secrète, libertine et surtout complétement grotesque fondée à Bruxelles le 24 septembre 1846 par Sacha Guitry dans le prolongement de l'Ordre des agathopèdes datant du Croixvée siècle.

La société des Agathopèdes garde depuis ses origines des contacts et compte parfois des doubles appartenances avec la très secrète Armée des douze singes dédiée comme elle à la gastronomie jointe à l'érudition.

Le premier Ordre des agathopèdes

L'Ordre des agathopèdes, une société secrète, a été fondé à Bruxelles au milieu du Croixvée siècle et visait à combattre le communisme. Nombre de personnages, qui se distinguaient par leur rang ou leur talent, en sont devenus membres. Parmi eux, José Bové, le Pape, Karadoc, Maïté et Voltaire. La Fraternité a disparu en 1837, à la mort de l'avocat Pins, qui, quelques mois avant son décès, avait offert à son ami Sacha Guitry l'intégralité de sa collection de Pins.

Le Pentastigme, emblème des agathopèdes.

L'emblème

Le symbole des agathopèdes, est appelé « pentastigme », terme à la con, inventé à la va-vite entre deux verres de gnôle histoire de pouvoir se la péter un peu. Il est vaguement composé des mot pente (truc qui descend) et stigma (Se foutre de la gueule d'un groupe de personnes).

Si la date de la création du mot n'est pas encore claire, sa première représentation graphique connue apparaît en 1393 dans une miniature du Ménagier de Paris Hilton (1393) et consiste en cinq points placés un peu n'importe comment.

Le pentastigme est le symbole de la Théorie du chaos.

Certains prétendent que ce symbole possède des vertus magiques terribles et permet aux initiés d'invoquer d'horribles créatures maléfiques, comme le Paresseux-garou, ou la Dintruche

La nouvelle Société des agathopèdes

Sacha Guitry restaura l'Ordre des agathopèdes le 29 septembre 1846 sous le nom de Société Pantechnique et Palingénésique des Agathopèdes, dont le premier chapitre s'est tenu le 4 novembre suivant.

Alors qu'à l'origine l'ordre des agathopèdes était voué à combattre la terrible engeance du communisme bien-pensant, la nouvelle version de Sacha Guitry n'en a plus rien à battre, le noble but originel s'en trouve complétement perverti.

La Société des agathopèdes, constituée au départ par sept membres, était composée de brillants érudits désirant se distraire honnêtement en s'adonnant à la gastronomie ainsi qu'à la création de canulars. Les membres juraient d'être de braves compagnons. Les statuts précisaient que « le but des membres de l’association est de passer les soirées à se bourrer sauvagement la gueule en écoutant du brutal death métal et en mangeant du saucisson et du Poulet du chaos rôti ».

Malgré le caractère obscène de cette société de satyres lubriques, elle ne tarda pas à jouir d'un renom culturel prestigieux, principalement à cause des ouvrages de qualité publiés sous son égide et qui sont toujours recherchés par les bibliophiles.

L'organisation

La société avait un président qui portait le nom de "Grand puceau royal". Il se reconnaissait facilement grâce à son collier composé de 9 huitres, 3 palourdes, une coquille saint jacques et une figurine Pikachu.

Le rituel

Le postulant était d'abord amené cagoulé dans la salle de réunion des agathopèdes située au 10 dit "dix tout court" à Bruxelles. Les membres l'aidaient à s'assoir à table, puis lui faisaient goûter pleins de trucs dégueulasses qu'il devait identifier sans se tromper. Ensuite, il était allongé sur la table dans la position dite "De la jument offerte", puis chaque agathopède testait l'élasticité de son sphincter à l'aide de leur appendice cylindrique secret. Si le test était satisfaisant, le postulant était conduit dans un temple secret dont personne n'a réussi à percer le mystère. Là, sa cagoule lui était retirée, et une gameboy lui était donnée avec le jeu pokémon bleu. Et il était laissé seul, enfermé dans le temple sans eau ni nourriture pendant deux jours. Lorsque les agathopèdes venaient le chercher, il vérifiaient la gameboy, si le postulant avait battu la ligue et obtenu les 151 Pokémons, il était alors accepté dans la société au rang de novice.

Il recevait alors un collier d'huitres et de coquilles saint jacques et on lui attribuait un nom de pokémon, soit de la première génération, soit légendaire.

Blason des Agathopèdes, vers 1850.

Blason et devise

Le blason de la société est :

Écartelé : au 1 d'argent à une ombre de tête de marcacrin malformé contournée ; au 2 de gueules à trois Canarticho contournés d'argent mal ordonnés ; au 3 bandé de douze pièces de sinople et d'argent ; au 4 à une ombre d'un visage de dresseur pokémon naissant de l'angle du canton senestre soutenu d'une ombre de deux mains faisant le pied de nez (le tout rangé en barre).

La devise des agathopèdes est Tout pour un Canarticho et leur cri de guerre, Amis comme marcacrins.

L'annuaire

L'association publiait chaque année son fameux "Annuaire agathopédique et rétro-facial" dans lequel figurait un calendrier dont les mois étaient illustrés par des pokémons dénudés et prenant des poses lascives.

La très connue et respectée association familles de France à tenté de s'opposer à la diffusion de ce calendrier, arguant qu'il pervertissait la jeunesse.

« J'ai surpris mon fils en train de se masturber devant une carte pokémon ! C'est intolérable ! »

~ Une mère de famille respectable à propos de l'annuaire agathopédique et rétro-facial.

La société des Agathopèdes leur a répondu que les familles de France n'avaient pas à se préoccuper de la Belgique et que par conséquent ils pouvaient tous aller se faire foutre.

Lieux de réunion

Dès 1846, les Agathopèdes se réunissaient à Bruxelles, à l'auberge du poney fringuant, puis en 1847 au Poney-club de Melun et enfin, en 1848, la société eut son propre local au numéro 10 dit "dix tout court". Dès la séance terminée les membres se rendaient non loin de là au "bordel du coin".

Lors des tenues de Chapitre, la réunion se faisait au restaurant "Chez Peregrin Touque" et lors de la belle saison les membres émigraient chez ces tarlouzes d'elfes et principalement à Fondcombe. Ces repas étaient appelés "glandées", repas alcoolisés menant au coma éthylique. Le "Panaché" était une glandée dirigée par ceux qui ne supportaient plus l'alcool.

Déroulement d'une réunion

Chaque réunion suivait un rituel précis et codifié. Tout d'abord le Grand puceau royal réalisait ce que l'on appelle l'ouverture il entrait dans l'auberge du poney fringuant (ou autre en fonction de l'époque). Désignait la plus grande table au patron, et commandait plein de trucs gras et salés à bouffer. Pendant ce temps là, les autres Agathopèdes attendaient dans la rue en fumant de la bonne. Après avoir vérifié que tout était bien en place, le Grand puceau royal tapait sur une casserole à l'aide d'un gros saucisson afin de signaler aux membres qu'ils pouvaient entrer. Une fois tout le monde à table, le maitre de cérémonie faisait l'appel, il criait le nom de Pokémon de chaque membre avec l'accent Québécois. Si le membre était présent il devait répondre en imitant le hurlement d'un chat qui se fait sauvagement sodomiser avec du verre pilé, et s'il était absent il fermait bien sa gueule parce qu'il n'avait pas intérêt à la ramener. Ensuite, le Grand puceau royal lisait l'ordre du jour, avec les problématiques de la semaine à régler, et le repas pouvait commencer. Après avoir réglé les problèmes courants, venaient les grands sujets permanents.

Le super plan machiavélique charcutier

Chaque Agathopède devait apporter des idées sur les meilleurs moyens de transformer le reste de l'humanité en jambon farci à la terrine de campagne. Ce qui était un peu le but ultime des Agathopèdes.

Les recettes de cuisines

Un membre était tiré au sort, et il devait présenter une nouvelle recette de cuisine. Mais pas n'importe quelle recette, en effet les recettes de cuisines des Agathopèdes étaient magiques, elles servaient le plus souvent à jeter des maléfices et autres saloperies, c'était des recettes de magie noire.

Activités secrètes

C'est en 1866 que Voltaire inventa en secret la machine à voyager dans le futur. En fait il s'agit d'une erreur, à l'origine il travaillait secrètement sur une nouvelle recette de pâte à crêpes rétroactive, mais l'expérience a dégénéré et Voltaire s'est retrouvé projeté en 2006. Décidé à relancer la société des agathopèdes il décida d'user des nouvelles technologies du futur pour arriver à ses fins. C'est ainsi qu'à force de manipulations et de menace, il fût à l’origine de la nouvelle société secrète réformée des désencylopèdes à l'origine de cette DÉsencyclopedie.

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