Shoah de Schrödinger
La Shoah de Schrödinger est une expérience de pensée imaginée en 1935 par le physicien Erwin Schrödinger, puis réalisée en 1939 par le physicien quantique Adolf Hitler, afin de mettre en évidence des lacunes supposées de l'interprétation de Copenhague de la physique quantique, et particulièrement mettre en évidence le problème de la mesure.
Rappelons un peu le pourquoi du comment de cette expérience particulièrement perturbante, d'un point de vue sexuel
Tout d'abord, il est intéressant de noter que le grand Erwin S. ne pensait pas que le juif puisse être à la fois vivant et mort, pour lui cette idée était stupide, et donc invalidait obligatoirement l'interprétation de Copenhague qui, elle, supposait cette possibilité. Il inventa donc cette expérience en se disant qu'une fois qu'il la présenterait au monde, le monde comprendrait à quel point cette hypothèse des états superposés était ridicule... Bon, y'a eu un léger problème, on va dire une faille dans son raisonnement, c'est qu'il partait du principe que les gens ne sont pas des débiles profonds... grossière erreur.
En effet, à la fin de la présentation de son expérience, il fait une longue pause grave, avec ce regard, vous savez, genre eh ouais les mecs... eh ouais ! Il attend, donc, que les gens s'écrient : « Oh mon Dieu ! Mais cette idée absurde veut donc dire que l'interprétation de Copenhague c'est de la merde en boite, une grosse bouse de vache qui pue, un clochard qui se vomit dessus ? », sauf que là, t'as un connard qui se lève, qui applaudit au ralenti - comme dans les films - puis de plus en plus vite, en hurlant à la foule : « Putain, mais alors on peut être à la fois vivant et mort ! C'est une découverte magnifique !!! Bravo Erwin S. ! BRAVO L'ARTISTE !!! »
Et maintenant, tout le monde croit que cette expérience démontre comment on peut être dans deux états à la fois, comme le juif, mort et vivant. Je suis même certain que toi, cher lecteur, tu pensais la même chose jusqu'à il y a deux secondes, avant de te faire traiter de débile profond, de connard et de con (à part toi Stephen Hawking, qui ne rates jamais un des mes articles, ou toi Erwin S., qui me lis depuis le ciel). Ne te vexe pas, car jusqu'à la rédaction de cet article, moi aussi j'étais un débile profond, un connard et un con, mais grâce à moi, maintenant tout a changé, et nous ne sommes plus que des connards, ouf.
Une « expérience » qui sent le sapin
Pourquoi la Shoah de Schrödinger ?
Un débat s'ensuivit alors entre Schrödinger et l'homme par qui l'interprétation de Copenhague fut établie, Albert Einstein. Bon, en fait c'était Niels Bohr mais, franchement, on s'en bat les couilles de Niels Bohr. Celui qui nous intéresse c'est Albert Einstein. En plus, il ne me semble pas que Bohr était juif, attendez une seconde... Alors, selon une encyclopédie libre dont je tairai le nom, son père était luthérien et sa mère juive, donc il devait certainement être bouddhiste. Mais le fait est que Bohr, c'est d'abhord un type chiant, qui arbohre l'ennui avec des abhords bohrderlines, donc on va dire que c'était Einstein, puis Zweistein et enfin Dreistein, mais aussi Einstzwei et Einstdrei, Zweistzwei et Zweistdrei ainsi que Dreistzwei et Dreistdrei.
J'ai dit : Pourquoi la Shoah de Schrödinger ?
Oui oui, j'y viens, une seconde ! UNE SECONDE SALOPE !!! Pardon, c'est la faute à la Tourette. Einstein, disais-je, restait convaincu que l'hypothèse de superposition des états était possible, même si invraisemblable et bucolique. Alors il vint vers Erwin, colla son visage au sien (pour l'intimider) et lui tint à peu près ce langage :
Et pendant ce temps, dans la salle, un autre physicien quantique, grand fan des travaux d'Einstein, réfléchissait à une manière de donner raison à son mentor. Ce physicien, vous l'avez compris, s'appelait Joseph Staline. Mais comme il était nul, il demanda à son collègue Adolf Hitler, en train de dessiner Erwin à poil, de faire le boulot à sa place, ce qu'il accepta, avant de glisser le dessin à Einstein, qui rigola. Lol, qu'est-ce qu'ils s'amusaient, à l'époque, les physiciens quantiques, pas comme maintenant...
Ça me dit toujours pas : Pourquoi la Shoah de Schrödinger ?
Une seconde, une seconde... UNE SECONDE JOLIE FLEUR DES ILES !!! Désolé, mon pharmacopsychiatre teste un nouveau traitement. En fait, je comprends parfaitement votre interrogation, pourquoi la Shoah de Schrödinger, n'est-ce pas, pourquoi pas plutôt un végétal ou même un animal (soyons fous - d'ailleurs, je suis fou.) ?
Le réponse est toute simple, Erwin S. voulait un exemple édifiant, pour frapper telle une masse s'abattant sur le crane d'un gladiateur myope et dyslexique et analphabète, alors il prit ce qu'il y avait de plus beau en ce monde, de plus fragile et de plus précieux, une petite boule de poils, toute douce, qui passait ses journées à boire du lait et à ronronner : un juif.
Principe de l'« expérience »
Mécanismes quantiques, probablement
Récapitulons : Nous souhaitons arriver à ce résultat :
Cependant, vous ne croiserez pas fréquemment un juif dans une grande boîte avec du poison, une source de radioactivité et un compteur Geiger. Voilà pourquoi Erwin S. nous décrit comment procéder avec ruse et imagination :
1) Tout d'abord, il faut vous munir d'une grande boîte : |
2) Mais également d'un juif : |
3) Pour le faire entrer dans votre grande boîte, appâtez-le avec quelques centimes jetés au fond de la boîte (le bruit l'attirera) : |
4) Bien entendu, il fallait au préalable installer dans la boîte une source de radioactivité ainsi que le compteur Geiger. Si vous n'y avez pas pensé, faites attention, le juif risque de vouloir sortir. Vous devrez donc ruser à nouveau, en jetant une autre poignée de centimes au fond de la boîte, immédiatement après avoir ouvert la porte pour déposer le dispositif. Assurez-vous d'avoir jeté assez de pièces pour avoir le temps de tout mettre en place : |
4bis) Si vous ne savez pas où vous procurer la source de radioactivité, je vous conseille de vous rendre au Würzburggasse 30, 1130 Wien, Austria, le siège de la Österreichischer Rundfunk, la meilleure activité Radio de toute l'Autriche, mdr, que je suis drôle. |
5) Enfin, nous avons besoin de poison, alors là, si vous avez du cyanure, c'est bien, sinon, n'importe quel flacon de Mort-aux-Juifs trouvé dans le placard fera amplement l'affaire : |
5bis) Mince, j'ai encore oublié de préciser qu'il fallait mettre le poison avant l'entrée du juif. Bon, ce n'est pas grave, vous connaissez la procédure... : |
Et voilà, le tour est joué : |
Comment est-il possible d'être dans plusieurs états à la fois ?
C'est pas possible, on a dit.
Quelle solution ?
Pourtant, malgré l'avis d'Erwin S., Einstein restait convaincu, et avec lui Joseph Staline, et donc Adolf Hitler. Ce dernier décida donc de réunir ses meilleurs collaborateurs pour étudier la question, ce qui donna lieu à une parade des idées les plus saugrenues et saturnales.
Théorie de la décohérence
Au début, le neveu d'Adolf Hitler, Mamadou Hitler, se distingua par une attitude confiante, et lança cette idée :
Mais tout cela n'était pas très cohérent, c'était même décohérent, on l'appela donc la théorie de la décohérence, la théorie de la décohérence, la théorie de la décohérence, la théorie de la décohérence, la théorie de la décohérence, la théorie de la décohérence, ...
Approche négationniste
Bien sûr, il y avait ceux qui proposaient de simplement tout nier en bloc. De dire que ce qu'Erwin S. avait exposé n'avait jamais existé et qu'Einstein avait - de fait - raison. Mais l'Histoire les jugea durement, comme vous le savez tous.
Théorie des univers parallèles
Un imbécile alla même jusqu'à proposer la création d'une porte vers un univers parallèle, pour aller refiler le problème à Hadolf Itler. Mais franchement, ce n'était pas très sympa, il devait certainement avoir ses propres problèmes à résoudre, comme la Shoah de Schrödinger (là, ça se voit pas trop, mais j'ai inversé les "S" de "Shoah" et de "Schrödinger").
Adolf décida donc d'ouvrir une porte, mais que pour y balancer cet abruti. Malheureusement, il s'agissait de la porte du canapé, l'abruti en profita donc pour faire une sieste.
La solution finale
Mais un jour, Adolf eut un éclair... au café, son préféré, et il le mangea.
Le lendemain, Adolf eut un flash... dans son emballage d'origine, ce qui le mit de très bonne humeur.
Et un jour, Adolf réalisa... une maquette de la Tour Eiffel, ce qui le mit dans un état de rage incontrôlable.
Quand soudain, il se rendit... au supermarché pour acheter des patates.
C'est alors qu'il repassa en tête ses activités de la semaine :
Un éclair, un flash, une maquette et des patates... Un éclair, un flash, une maquette et des patates... Un éclair, un flash, une maquette et des patates... Putain, mais j'ai rien glandé de la semaine moi ! Et dire que nous sommes dimanche et que je n'ai toujours rien trouvé, dimanche... dimanche... « manches »... 10x manches... fin de la semaine, une solution de fin de semaine, une solution hebdomadaire ? Non... Une semaine finale ? Non... Une solution finale ? Non... Ah si, merde, putain je suis pas concentré moi, avec ce flash que je meurs d'envie d'ouvrir, mais qui perdra sa valeur si je le fais... Bordel, quel dilemme, je l'ouvre ou pas ? Je l'ouvre ou pas ? Je l'ouvre ou... PUTAIN, MAIS OUI, LA VOILÀ LA SOLUTION FINALE !!!
Et voilà, il l'avait trouvée, bravo.
Une pilule de cyanure dure à avaler
Amer était Schrödinger
Comment ça « T'as pas expliqué la solution finale, espèce de perforation anale de régurgitation de sans domicile fixe » ? Ben, c'était clair non ? Le truc avec la figurine de flash là... le dilemme et tout.... Non, parce que là j'suis dans une autre partie, j'peux plus vraiment expliquer un truc d'avant. Comment ça « J'me casse si c'est comme ça » ? Et l'article alors ? On rigolait bien tous les deux, et toi maintenant tu te casses ? Comment ça « Oui » ? Oui comme dans « Oui, j'me casse », ou comme dans « Oh oui c'est bon, vas-y, plus fort, mets le son plus fort j'adore cette chanson » ? Bon, très bien dans ce cas, je vais expliquer. Comment ça « Ah super, merci beaucoup » ? T'insinues que je suis paranoïaque, c'est ça ? Ouais, fais gaffe...
Pour simplifier l'explication, lisons cette lettre qu'envoya Adolf Hitler à Erwin S., le jour même de sa découverte :
Cher Joseph, Les nuits de Gsdtrudeförnasritsch sont si longues sans toi, Je me languis de sentir tes testicules frapper vigoureusement les miennes à chaque... |
Attendez, ça c'était le courrier à Staline, pardon, ce doit être celle-ci :
Cher Erwin, la face d'urine, Je viens de découvrir quelque chose qui va te mettre sur le cul. J'ai passé des mois à chercher ce qui était incorrect dans l'interprétation de Copenhague, avant de réaliser - en observant ma figurine de flash dans son emballage d'origine (trop la classe ce flash, moi aussi je possède sa rapidité, me répète tous les soirs Éva en soupirant) - que ce qui était incorrect, c'était ton raisonnement, pas l'interprétation ! En effet, cette dernière explique bien que les états sont superposés tant et aussi longtemps qu'il n'y a pas d'observateur, or, en disant que le juif est soit mort, soit vivant, « ce qui se vérifie en ouvrant la boite », tu passes à côté du rôle de l'observateur, qui est celui qui fait pencher la balance et, sans qui, les états superposés sont réels. Donc, pour bien t'humilier devant le monde entier, je vais prendre 6 millions de juifs, les mettre dans une immense boite, et les placer en états superposés. DTC. |
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—Adolf Hitler |
Balèze l'Adolf ! Mais la réponse d'Erwin S. ne se fit pas tarder :
Cher Adolf, la face de... D'ENCULEUR DE MOUCHES À MERDE, PETIT TROU DU CUL, Ah tu veux me faire ça ? ESPÈCE DE PUTE ! Tu veux jouer au con, c'est ça ?!? Viens me le dire en face, sur Skype, si t'as les couilles !!! |
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—Erwin S. |
Les Ricains ne comprenaient rien
Ouais mais alors là ça décale tout du coup, non ? Ouais, voilà ouais. Bon, mais alors je mets la discussion Skype et les Ricains ici, sinon on va être décalé jusqu'au bout, OK ? Quoi ? Ouais, c'est la fin après... mais bon... Oh ça va, hein ? Ça va !
Voilà comment débuta réellement la sEconde batAille du mondE et le génocide juif.
Ultime pied de nez de bouche d'oreille
30 avril 1945 : Adolf renonça à une énième tentative d'explication auprès de ces abrutis de Yankees, Erwin la tête de pine qui sent l'urine de gouine avait raison, leur stupidité l'avait condamné. Mais Erwin la tête de pine qui sent l'urine de gouine ne s'en sortirait pas comme ça.
Ah il croyait que c'était les Hommes qui décidaient de qui avait raison et qui avait tort, décidément, il ne comprendrait jamais le rôle de l'observateur, pas même dans sa vie de tous les jours. Les faits décident de qui a raison, pas les Hommes, et Adolf décida d'avoir raison pour l'éternité.
Ainsi, après avoir mis en scène son suicide, grâce à un cadavre de sosie conservé dans du formol (qui ne le quittait jamais), il prépara une petite pièce secrète, juste en dessous du bunker, une pièce que personne ne découvrit jamais, et donc que personne n'a jamais ouvert...
Annexes de l'Autriche
Bibliographie
Adolf Hitler : Mon combat contre les absurdités la théorie de la Shoah de Schrödinger, traduit de l'allemand par Jean-Marie Lèchemoilescouilles, de l'œuvre originale : Mein Kampf apfelstrudel und ein cerveza por favor Shoah de Schrödinger. Paris : Jean Moulinette, 1945 et ½.
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