Histoire de la Chrétienté
Fondé au IIe siècle après Jules César par le fils d'un charpentier Israélien philosophe à ses heures perdues, le christianisme a connu une forte croissance dans les siècles qui suivirent pour être aujourd'hui la deuxième religion du monde après le capitalisme et devant la bière[1]. Malgré une baisse significative du cours de l'hostie face aux valeurs islamiques et bouddhistes amorcée à la fin du siècle dernier, le christianisme se maintient en bonne position sur le marché mondial des âmes.
Le groupe J-Christ® a donné naissance à une centaine de filiales de tailles inégales. Elles ont toutes fait l'objet d'ouvertures de capital qui ont conduit à une prise d'indépendance de chacune par rapport aux autres. Aujourd'hui, ces différentes entités sont toutes franchisées pour fabriquer et commercialiser le J-Christ2000®, la R-SureXion-J3© et la RDMPXion-J0™. Chacune pouvant par ailleurs développer ses propres produits, ce qui ne les empêche pas de se livrer entre elles à une concurrence ouverte.
Le messie
On sait très peu de choses de source fiable sur la vie du fondateur du christianisme. Les enquêteurs qui se sont penchés sur son cas ont pu recueillir quelques anecdotes sur des épisodes de sa vie, mais ces récits ne sont sans doute pas à prendre pour parole d'évangile.
Par recoupements des diverses sources, on est certains de quelques faits. Par exemple, malgré son prénom à consonance portugaise, on sait qu'il était juif car :
- Sa mère le prenait pour un dieu
- Il croyait que sa mère était vierge et il a habité chez elle jusqu'à 30 ans
- Avec l'entreprise de charpentier de son père, il a fait une multinationale qui marche encore 2000 ans plus tard
À part ça, ses biographes insistent lourdement sur une anecdote qui n'a pourtant aucun interêt : une bataille d'eau entre lui et son cousin J.-B. dans le Jourdain. Il passa sa jeunesse à faire les 400 coups à la tête d'une bande de délinquants comme changer l'eau en vodka dans une réunion d'alcooliques anonymes. Fêtard notoire, il devait sans arrêt ressusciter des camarades de beuverie raides morts vautrés dans son canapé les lendemains de soirées trop arrosées.
On raconte même qu'il possédait des super pouvoirs comme de marcher sur l'eau ou guérir les lépreux. Supporter de l'OM, il n'était pas rare que JC soit pris à partie par des ultras pharisiens au cours des déplacements aux Pharc des Phrinces. En général, JC était plutôt du genre peace and love, quand il se prenait une droite, il tendait l'autre joue juste pour voir si l'autre aurait le cran de lui mettre un crochet du gauche. La plupart du temps, ça suffisait pour calmer les petites frappes. Un jour, un petit caïd des quartiers nord de Bethléem osa lui mettre un coup de boule sur l'autre joue pour faire le malin devant ses copains. C'est ce jour là que Jésus distribua un nombre surnaturel de pains.
Suite à une dénonciation au fisc de son expert comptable, Jésus fut arrêté pour trouble à l'ordre public, malversations et proxénétisme.[2] Il passa en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Jérusalem et fut confié à une peau de vache de juge d'application des peines romain qui commua sa peine de 3 coups de pieds aux fesses en une peine de crucifixion publique.
Trois jours après son exécution, Jésus parvint à s'évader de son tombeau. Au jour d'au jour d'aujourd'hui, il court toujours et est activement recherché par un milliard de personnes dans le monde.
La conquête du pouvoir
La promo
Au moment de la sortie en salle de la quadrilogie La vie de Jésus (Directed by St Mark, Screenplay by St Matthew, Casting by St John, Produced by St Luke) l'équipe d'acteurs fut mise à contribution pour la promo du film. Invités sur les plateaux télés pour s'adresser aux Corinthiens, aux Éphésiens et aux Mykonosiens, ils se firent les VRP du christianisme.
À cette époque là, un chrétien était avant tout un juif qui avait vu la Vierge. En tant que tel, il n'avait pas le droit de manger des mammifères non ruminants, du lapin, des coquillages et crustacés, ni de mettre de la charcuterie dans la raclette. Le chrétien du Ier siècle n'avait pas le droit de porter un col roulé, il devait porter un tout petit chapeau en forme de blini qui ne tient pas bien sur la tête et se laisser pousser les poils des oreilles jusqu'à obtenir deux guirlandes entortillées. Tout cela faisait de tout petit chrétien la risée de ses camarades d'école [3]. Cerise sur le gâteau, il n'avait pas le droit d'allumer la lumière, de regarder la télé ou de jouer à la Playstation le samedi.
Saint Paul, responsable marketing chez J-Christ Moyen Orient reçut pour objectif de transmettre le message spirituel du Seigneur à 20% du marché des 15-30 ans du monde romain. Il comprit vite qu'il fallait leur proposer des formules à la carte plutôt que de vouloir absolument leur fourguer le forfait Judéo avec d'office les appels gratuits le soir et le weekend vers un numéro favori, 6h de communication obligatoire avec Dieu et 500 pages de mentions légales listant toutes les obligations et interdits religieux. La version 2.0 du christianisme corrigeait tous ces problèmes de compatibilité avec la vie moderne antique.
Le christianisme dans la Rome antique : un succès en demi-teinte
Le prosélytisme des membres de la secte chrétienne à Rome leur attira une certaine antipathie de la part des autorités politiques. On dira ce qu'on veut sur les Romains, ils avaient certes une propension à soumettre les autres peuples, un soupçon de nationalisme, un je ne sais quoi d'autoritarisme et de culte de la personnalité, mais malgré ces quelques travers, ils n'étaient pas antisémites. Les juifs étaient assez bien tolérés dans la mesure où ils ne proféraient pas des blasphèmes à tout bout de chant du style :
À cause de la méfiance des citoyens romains ordinaires, il était difficile de construire de belles églises en plein sur la place du village. Aussi, les chrétiens se réunissaient dans des endroits un peu plus tranquilles pour prier et s'adonner à leurs rituels. Cela les rendait d'autant plus louches aux yeux des autorités qui accentuèrent la répression.
Plus tard, l'Empire Romain sombrait dans la décadence et les persécutions se firent moins violentes. Les chrétiens finirent par être acceptés par ces chiffes molles de romains et continuèrent leur travail de noyautage de la société. Si bien qu'à la fin, Jéhovah finit par vaincre Jupiter et toute sa famille par chaos.[4]
L'Église au Moyen Âge
Prenant une revanche bien méritée sur la société qui les avait jusqu'alors mis de côté, les managers de l'Église parvinrent à se hisser à son sommet au cours du Moyen Âge. Ils orientèrent leurs activités sur le conseil et l'aide à la décision stratégique, l'approvisionnement en légitimité politique sur le marché de l'Europe de l'Ouest, la haute couture et le tourisme.
Le logiciel dogmatique connut encore quelques mises à jour à l'occasion de séminaires d'entreprise organisés dans des clubs de vacances sur les côtes de la Turquie (Nicée, Constantinople, Chalcédoine, Éphèse). Ces rencontres entre les ecclésiastes du monde entier étaient l'occasion de concours de bouffe autour d'énormes buffets, ainsi que d'échanges de points de vue philosophiques et de maladies vénériennes. Bien sûr, tout un tas de conférences très sérieuses étaient organisées. Mais franchement, vous auriez envie de débattre de théologie avec des vieux barbus quand dehors il fait un temps magnifique et que vous pouvez aller gratuitement taper la balle de golf grâce au parrainage des fournisseurs d'articles de messe ?
C'est vers 1054 et des brouettes que la Jesus Corporation a été pour la première fois divisée en deux Bizness Younits concurrentes. L'Église d'Orient avec comme directeur régional le Patriarche de Constantinople et l'Église d'Occident sous le direction exécutive du Pape. Constantinople ne tarda pas à être prise par les Ottomans, ce qui provoqua la quasi extinction des Orthodoxes à part en Russie, en Bulgarie et en Grèce. À Rome, en revanche tout s'est bien passé. Le souverain pontife devint au cours du Moyen Âge l'équivalent d'une meneuse de revue entouré de danseuses vêtues de robes rouges qu'on appelle couramment des sous-papes. Par contre il semble qu'à partir de cette date, le budget alloué au comité d'entreprise ait été revu à la baisse puisque les conciles n'étaient plus organisés en Turquie, mais plutôt dans des salles polyvalentes de l'agglomération romaine.
L'Église d'Occident se résolut à emêcher l'émergence de courants de pensées déviationnistes afin de prévenir d'autres chimses shmizm schismes. C'était vraiment pas de chance pour les tenants de la philosophie cathare qui commençaient tout juste à révolutionner la pensée chrétienne. L'expérience cathare connut un franc succès dans le Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon avant d'être sévèrement réprimée par la toute nouvelle Sainte Inquisition. Celle-ci s'aperçut très vite de l'intérêt des cathares en tant que combustible pour cheminée.
Vers la fin du Moyen Âge, grâce à l'abondance de combustibles (hérétiques, juifs, sorcières, bergères pucelles habillées comme des garçons, scientifiques allumés affirmant des âneries comme quoi la Terre tournerait super vite autour du Soleil alors que c'est même pas possible), le grand inquisiteur en chef Torquemada fonda un ordre monastique prônant le retour aux chansons paillardes au coin du feu et aux attouchements sexuels sous la tente, jetant ainsi les bases du scoutisme.
L'Église était devenue si puissante que plus personne ne pouvait se payer sa tête, sauf bien sûr les soupapes. En effet, à chaque fois qu'un pape passait l'arme à gauche, cela donnait lieu à des tractations financières, des tentatives d'intimidation et des intrigues politiciennes entre les différentes dynasties de prélats pour déterminer lequel d'entre leurs membres serait appelé à régner.
C'est ainsi que des personnages aussi sympathiques et charismatiques que Alfonso Borgia, Rodrigo Borgia, Lucrèce Borgia ou Joseph Ratzinger ont pu se hisser au sommet du conseil d'administration de la Jesus Corporation.
Guerres de religions
Les pro et les anti-testants
Un truc bien avec le catholicisme, c'est la confession. Vous pouvez commettre les pires horreurs : tuer, voler, convoiter la femme de votre prochain[5] et vous faire pardonner en allant tout raconter à Monsieur le curé. Par contre, ça ne vous dispense pas d'effectuer votre peine de purgatoire. Pour gagner du temps, vous pouvez vous procurer auprès du Vatican une indulgence pour un prix tout à fait raisonnable. Enfin, raisonnable... ça dépend de combien vous pouvez aligner, on est pas chez Emmaüs non plus. Ce système fut même étendu aux péchés pas encore commis. Grâce à la carte cadeau Indulgence, vous avez le droit de coucher avec la femme du voisin jusqu'à 60 fois ou de blasphémer 30 fois.
Une autre formule pour la rémission de vos péchés consiste à effectuer un voyage organisé dans des lieux saints (à Saint-Jacques de Compostelle, au Mont-Saint-Michel, à Jérusalem[6], ou encore à Palavas-les-flots). Il va sans dire que l'Église avait le monopole des hébergements dans ces lieux de villégiature.
Quelques personnes bien pensantes comme Jean Calvin ou Martin Luther trouvèrent à redire sur ces moyens de subsistance du clergé, comme quoi vendre du paradis en petits sachets, ce serait indigne d'un chrétien. Ils décidèrent alors de s'excommunier eux-mêmes et de réformer la religion.
Premièrement, ils souhaitent que Rome se mêle de ce qui la regarde. Sur ce point, tout le monde était plutôt d'accord, par contre c'est sur l'étendue des choses qui regardent Rome que les points de vue divergeaient.
Ensuite, ils marquèrent quelques différences dans le dogme comme la consubstantiation (mode d'extraction de la substance des cons). Ils firent courir le bruit que Marie ne serait pas tout à fait vierge et ils dÉcanonisèrent tous les saints. Par suite, les proverbes paysans perdirent un peu de leur charme dans leur version protestante :
Calvin et Luther étant eux-mêmes des joyeux drilles, ils insufflèrent à la pratique du protestantisme une certaine joie de vivre qui s'exprime par le port exclusif de vêtements noirs, la suppression de la plupart des fêtes de familles (communions, confirmations, extrêmes onctions) et par la lecture quotidienne de la Bible à la place des pages people du journal. Enfin les temples protestants sont décorés avec autant de fantaisie qu'une cellule de garde-à-vue.
À l'opposé, l'Église catholique adopte comme outil de propagande l'art baroque. Pour vous donner une idée, le mouvement baroque est à l'architecture ce qu'est à la cuisine une tranche de foie gras aux truffes confites sur un toast de brioche pur sucre, nappée de chocolat fondu le tout recouvert de crème chantilly à 80% de matière grasse avec des amandes grillées, des pralines et de la sauce caramel au beurre salé.
Vexé de ne plus être suivi par une partie des chrétiens, le Pape lança une fatwa contre les protestants. S'ensuivirent des guerres de religion qui ensanglantèrent l'Europe. Le protestant flambé devint un classique incontournable dans les cartes des desserts des meilleurs restaurants. Un concours de lancer de catholiques par les fenêtres fut organisé à Prague par les disciples de Jan Hus. Le match se termina sur le score de sept échevins défenestrés et la promesse de remettre ça tous les 4 ans pour tenter de battre le record.
Des vacanciers catholiques qui s'ennuyaient ferme à Saint-Barthélémy décidèrent d'organiser une rencontre de paintball avec les protestants. Le fait que ces derniers n'eussent pas été prévenus explique peut-être la large victoire des catholiques qui vinrent à bout de leurs adversaires en une journée. Un vrai massacre. Il fallut qu'un prince protestant saignât ceignît mettât sur sa tête la couronne de France et proclame Lady de Nantes pour que les choses se calment un peu[7].
L'Église Anglicane et les puritains
Le cas de l'Angleterre dans la réforme protestante est à part. Le roi Henri VIII, prédateur sexuel notoire, avait adopté un système d'aide à la prise de décision assez innovant : il n'écoutait que sa passion amoureuse. Dès le plus jeune âge, il avait décidé de se marier, de consommer et d'exécuter une femme chaque année. Le problème, c'est que sa première épouse était parente avec Charles Quint et cette famille était tout sauf une bande de ploucs insignifiants. Dans ces conditions, une séparation à l'amiable était préférable à une décapitation en place publique. Henri VIII demanda une annulation de mariage au Pape pour pouvoir se remarier avec une pimbêche qui lui avait tapé dans l'œil et qui lui refusait ses charmes tant qu'il ne lui avait pas passé la bague au doigt. Comme le Pape lui refusait cette annulation, Henri VIII décida de se passer de Rome pour diriger les affaires spirituelles dans son royaume. C'est ainsi qu'Henri fonda l'Église Anglicane.
Enfin, ça ne s'est pas fait en une seule fois. La fille ainée de Henri VIII, Marie était cathodique. Pendant son règne, deux ou trois protestants ont été exécutés, torturés, brûlés vifs pour marquer le coup. Ses sujets la surnommaient Bloody Mary car elle aimait beaucoup la vodka et le jus de tomate. L'invention de ce cocktail à l'aspect peu avenant et à la saveur âcre fut d'ailleurs la raison pour laquelle Marie Tudor[8] ne fut pas canonisée. Après sa mort, sa petite sœur Élisabeth décida le retour de l'Anglicanisme.
Par contre il n'y a pas grande différence dans le dogme. Finalement, les anglicans sont juste des catholiques qui ont pour pape une vieille dame habillée de robes pastels au lieu d'un vieux monsieur en robe blanche et pourpre.
Les protestants continuèrent de protester. Non plus seulement contre l'Église catholique romaine, mais aussi contre l'Église anglicane. Un nouveau courant religieux fit son apparition en Angleterre : le puritanisme. Non contents de supprimer les saints, ces tristes sires supprimèrent aussi Noël, l'Ascension, le 1er Mai et le 11 novembre ! Bref, guerre civile, révolution, restauration, la routine habituelle.
L'Amérique, le paradis des nouveaux gourous
Pour fuir les persécutions, une poignée de puritains anglais partirent de Plymouth (qui signifie exercer avec la bouche) à bord d'un navire marchand baptisé Mayflower (qui signifie peut fleurir) pour gagner New York, mais ils échouent sur les rives du Massachusetts (qui signifie Massachusetts). Grâce à de gentils indiens qui les aident à survivre en leur donnant à manger de la dinde et de la sauce aux canneberges, ils fondent des colonies avec pour principe une totale liberté religieuse.
À partir de là, ça devient vraiment la fête du culte. Tous les feignants qui ne veulent pas s'abîmer les mains à travailler se mettent alors à fonder leur propre secte église. Il suffit d'avoir une bible, une salle de spectacle et de déblatérer des phrases sans queue ni tête devant un public crédule pour devenir pasteur.
Des dizaines de milliers de congrégations ont vu le jour aux États-Unis (environ une et demie par village) : les Églises Baptistes, Anabaptistes, Mennonites, Presbytériennes, Quakers, Piétistes, Méthodistes, Darbystes, Pentecôtiste, l'Église Adventiste du septième jour, l'Église de Jésus Christ des Seins des Derniers Jours, sans oublier les Témoins de Jéhovah[9], l'Église Kéviniste, l'Église Norrisienne, etc.
Bien entendu, il est mal vu pour une jeune fille pentecôtiste d'épouser un garçon presbytérien ou anabaptiste. Le nombre très élevé d'Églises protestantes et donc leur taille réduite rend quasiment impossible une rencontre amoureuse au hasard d'un banc public ou d'un supermarché. Chez les protestants, on ne peut se rencontrer qu'à l'église (à la rigueur, devant l'église). Ajoutez à cela un peu de discrimination raciale ainsi qu'une ségrégation sociale et géographique entre les riches et les pauvres et vous obtenez un peuple entier de consanguins.
Irez-vous au paradis ?
Dans son infaillibilité, le Saint-Siège a fait une belle bulle pour établir des critères d'admissibilité au paradis. Si vous n'êtes ni admissible ni sur la liste d'attente, notez bien que vous pouvez encore sauver votre âme en vous convertissant au catholicisme. Il vous faudra compter un ou deux ans de préparation au baptême, une bonne journée au confessionnal pour vous faire pardonner tous vos péchés et enfin pour les expier totalement, comptez entre trois semaines et quatre siècles de purgatoire.
Un petit billet glissé par-ci par-là peut faire accélérer les choses. Nous avons évoqué plus haut le système des indulgences, des pèlerinages. Vous pouvez aussi entretenir votre réseau de contacts dans le top management de l'Église et pourquoi pas tenter vous aussi d'obtenir une promotion pour vous élever dans la hiérarchie ecclésiastique ?
Notes
- ↑ en nombre de pratiquants et en chiffre d'affaire
- ↑ Notre Seigneur dans son infinie miséricorde a plaidé coupable du premier chef d'accusation mais il a toujours clamé son innocence pour les deux derniers.
- ↑ les enfants sont tellement cruels
- ↑ ayant prononcé le nom de Dieu dans le vain but de faire une blague (même pas très drôle d'ailleurs), l'auteur de cet article risque de passer un sacré bout de temps au purgatoire
- ↑ mais pas vous mettre en colère ou avoir envie d'une gourmandise, ça c'est vraiment grave
- ↑ Pour un pèlerinage en Terre Sainte, prévoir deux ou trois armes légères, une bonne cote de maille et libérez vore agenda pendant quatre ou cinq ans (source : le guide du croisard)
- ↑ et encore...
- ↑ ton moulain vat tro vitte XD lol xptdr
- ↑ l'auteur de cet article vient encore de prononcer le nom de Dieu en vain, il aggrave son cas
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