Cervidé
Rôti de cerf à la forestière | ||
cervidé dans son habitat naturel | ||
Classification | ||
Rayon | Boucherie | |
Cuisson | 10 à 12 minutes par livre à 170°C | |
Résultat | Mamma mia que c'est bon | |
Astuce | ||
Saisir à feux vif pour concerver toute la saveur. | ||
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Les cervidés sont une famille de mammifère, dont la tête du mâle est ornée de bois. Les cervidés sont chassés pour leur tête empaillée très appréciée par les fanas d’art-décoratifs douteux qui ont l’exquis bon goût des les accrocher aux murs de leur salon pour en faire profiter tout le monde (ne pas confondre cette pratique avec celle du cloutage de poulet mort sur les portes qui pour le coup, est de l’art-déco de très mauvais goût). Accompagné de sa sauce aux airelles et de son bouquet garnis, le cervidé émerveillera les papilles de vos invités les soirs de réveillon.
Ethologie
Leur grande capacité d’adaptation fait que les cervidés ont explorés de nombreux territoires et se sont établis sur tous les continents.
Au fil des siècles les divers troupeaux éparpillés de part le monde ont évolués en fonction de leur environnement, générant de nombreuses espèces aux mœurs et aux physiques très différents.
Grands navigateurs, ils ont colonisés d’innombrables iles, ce qui explique l’existence d’espèces comme le cerf rouge de Corse, le cerf et le Muntjac de java, les Sikas des iles d'Hokkaido, d'Hondo, de Ryukyu, de Yakushima, le Cerf moluccan (Iles Molucca), le sambar de Basile (dont la femelle est la samba de Brasil) et le sambar noire (iles basiles).
Malgré cette grande diversité, il n’y eu jamais de guerre entre cervidés. De tout temps, ils ont su gérer leurs différents pacifiquement et vivre ensemble, sans préjugés ni haine. Ils sont un modèle d’exemplarité et nous montrent le chemin de l’harmonie et de la paix universelle.
Au vue du nombre impressionnant d’espèces et sous-espèces de cervidés existantes, seront décrites ci-après les taxons les plus communs ou ayant des caractéristiques singulières.
Le Renne
Le renne est peut-être le cervidé qui s’est le mieux adapté aux exigences du capitalisme contemporain. Il a vite compris que si tu n’avais pas de job, tu n’étais rien et plutôt que de rester à brouter de l’herbe comme un con, il partit à la conquête du marché des transports et de la logistique. Les exemples le plus flagrant de réussite sont les multimilliardaires Dasher, Dancer, Dunder, Prancer, Vixen, Comet, Cupid, Blixen et Rodolph dont la société a le monopole du transport des cadeaux de noël |
Le Caribou
Le caribou est un renne mais en plus sympa puisqu’il est canadien.
Les deux espèces sont physiquement très semblables mais l’on peut aisément reconnaître le caribou à son brame particulier. Effectivement le caribou s’exprime avec un accent créole dans un vocable franglophone, le tout desservi par une grammaire du début 18ème qui rend la compréhension très difficile pour une oreille non exercées. Il est très friand de sirop d’érable et cultive la tradition des chanteurs à voix.
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Le Cerf d’eau Chinois
Le cerf d’eau chinois est un cervidé aux mœurs nocturnes qui a la particularité d’avoir une hypertrophie des canines.
Ces deux singularités lui ont valu une très mauvaise réputation et une place de premier ordre dans les superstitions et l’imaginaire populaire. Des légendes de cerfs buveurs de sang ont traversé les siècles et fait fantasmer des générations d’êtres candides. Le thème du cerf buveur de sang a été exploité dans de nombreux romans et films et l’on citera des personnages tel que Dracula, Nosferatu, Lestat et plus récemment Edward Cullen (twiligth), tous de redoutables cerfs d'eau chinois. |
Le Cerf-volant
Espèce d’Amérique reconnaissable entre toutes, le Cerf-volant possède une chatoyante fourrure chamarrée aux couleurs flashy qu’il porte de préférence près du corps pour souligner son corps athlétique.
Malheureusement cette espèce est menacée d’extinction à cause de la surexploitation du réseau de transport aérien et l’on compte par ans des dizaines de milliers de cerf-volants percutés par des avions. Le gouvernement américain conscient de cet état de fait travaille sur un projet de mise en place de panneau de signalisations et feu tricolore pour les réseaux aériens. |
Le Bouckémi Cerf
Hybride née de l’accouplement capriné /cervidé, le Bouckémi Cerf souffre d’une tare génétique appelée complexe de la victimisation.
Que se soit volontaire ou involontaire ces individus sont de par leur nature, destinés à endosser et payer pour les fautes des autres(c'est injuste mais c'est comme ça). Pour illustrer la victimisation volontaire, nous pouvons évoquer le Bouckémi Cerf Alfred Dreyfus, connu de tous pour l’affaire du même nom qui a fait un buzz fin du XIXème siècle. Il qui fut accusé sans preuves solides, d’espionnage pour le compte des allemands et ecopa d'une condamnation de réclusion à perpétuité sur l'île du diable. Des années plus tard, nous apprîmes que ce n’était qu’un coup médiatique pour que son ami Emile Zola relance sa carrière d’écrivain avec le livre « J’accuse ». Maintenant un cas de victimisation involontaire : l’affaire Festina. Le Bouckémi Cerf Richard Virenque accusé à tord (puisqu'il vous dit nom de dieu) de dopage. Là clairement, on a fait porter le chapeau à une innocente victime qui pourtant avait bien précisé qu'il avait été dopé à « l’insu de son plein gré ». |
Mythologie
Parfois compagnon des dieux, parfois dieu lui-même, le cervidé, et plus précisément le cerf, est omniprésent dans les croyances antiques de l’Homme qui divinisait les êtres ou éléments naturels qu’il craignait et dont il voulait obtenir faveurs ou clémence.
Cernunnos (Légende Galo-Indienne)
Des diverses représentations de Cernunnos en train de méditer, est née la théorie que Cernunos et Bouddha ne sera qu’un seul et même être. En effet pour atteindre l’illumination Bouddha avait l’habitude de porter sur la tête une invention de son cru à base de bois de cerf, baptisée le cerf-tête, qui était sensé lui apporter la grande sagesse des cervidés lors de ses médiations.
Le Cerf Eikthyrnir (Légende Nordique)
Le Dieu-cerf Tohil (légendes incas)
Artemis (légende grecque)
Amoureuse de la nature, Artémis était une déesse aux plaisirs simples qui pratiquait une chasse sélective qui visait à maintenir l’équilibre naturel entre les espèces.[1]
Excédée par ses fashion-victimes de sœurs (Athéna et Aphrodite) qui ne portaient que la fourrure parce que ça faisait chic, Artémis fonda l’association PETA et par provocation décréta préférer "être nue plutôt qu’en fourrure".
Athéna et Aphrodite lui dirent qu'elle n'était "pas cape" et pour ne pas perdre la face, Artémis se contraignit à se balader en tenu d'Eve bien qu’elle fusse d'un naturel très pudique. Comme elle était plutôt bien foutue, les hommes ne pouvaient s’empêcher de la reluquer à la moindre occasion ce qui la mettait très en colère et elle abusait de ses pouvoirs divins pour se venger des malheureux pervers.
Ainsi que n’acquis des légendes comme celle d’Actéon, qui mourut déchiqueté par ses propres chiens, transformé en cerf par Artémis, pour le punir de ses penchants voyeuristes ou comme celle des Aloades [2], qui s’entretuèrent en essayant d'attrapper Artémis qui s’était transformée en biche pour échapper à leur harcèlement sexuel.
Le Cerf Inventeur de la Roue (légende douteuse)
Rappelons que le cervidé est d’une nature pacifiste et que n’aimant pas les conflits, il s’est bien gardé de contester cette version officielle des faits donnée par l’Homme.
Histologie
L’histoire du cerf est une épopée passionnante qui nous aide à ne pas comprendre le monde tel qu’il est façonné aujourd’hui. Des premiers autoportraits de l’âge du paléolithique aux films engagés du 20ème siècle, les cerfs ont laissé leur trace et ont marqué dans l’indifférence générale notre histoire de leur message d’amour et de paix universelle.
Cénozoïque
Le Paléolithique
De nombreuses scènes nous montrent le cerf vivait exclusivement de la chasse. Son gibier de prédilection était l’homme, une proie facile dont la seule capacité remarquable était de tailler des cailloux, ce qui notez bien, ne servait à rien à l’époque mais qui nous permis plus tard de distinguer cette période de la préhistoire appellée le Paléolithique des autres.
Pour le Cerf, le paléolithique marque également un changement radical dans sa philosophie de vie. Des reproductions de cerfs broutant paisiblement de l’herbe, caractérise la nouvelle tendance végétarienne du Cerf.
Tendance que nous attribuont une prise de conscience des conséquences désastreuses que pourrait à long terme avoir la sur-chasse de l’homme sur l’écosystème. Deux options s’offraient donc aux cerfs :
- L’élevage intensif et industrialisé de l’homme (mais là il y avait de gros risque pour la couche d’ozone à cause de la génération massive de méthane).
- Trouver un autre moyen de subsistance, en l’occurrence les végétaux.
Ce nouveau mode d’existence s’accordait parfaitement avec l’état d’esprit du Cerf qui a un respect profond pour les êtres vivants et qui a très vite compris que puisqu’il pouvait se nourrir autrement pourquoi massacrer entre autres de mignons petits requins pour manger de la soupe, met insipide et banal.
Antiquité
En bon cervidé Jésus propagea un message d’amour et de paix mais l’Homme qui accusait quand même un retard de 31 millions d’année par rapport au cervidé, rappelons-le, n’était pas encore assez évolué pour saisir la substance du message du Christ. Le résultat en fut désastreux : l’Homme comprit tout de travers et créa une doctrine religieuse bien loin des préceptes d'origine du Christ et la conséquence fût, entre autres, le massacre de millions d’infidèles et d’hérétiques. D’autres cervidés de l’antiquité ont essayé de tenir le même discours de tolérance et de paix mais eux aussi ont été mal interprétés (par exemple Moïse ou Mahomet).
Dans une ultime tentative de montrer à l’Homme le bon chemin, on se rappellera sa phrase « Pardonne-leur ils sont trop cons pour comprendre », le cervidé que l’on appelait Jésus fut crucifié. L'homme était peut-être un rustaux mais il avait sa fierté.
Du coup d’un commun accord les cervidés lâchèrent l’affaire et laissèrent l’homme dans l’ignorance et la barbarie dans laquelle il se complaisait alors.
Le Moyen Âge
Une chose en entrainant une autre les cervidés furent considérés comme des sortes de super-héros de guerre et nous savons de source sûre que lors des festivals de Beltane c’était le déguisement préféré du roi Arthur ainsi que de Merlin dit l’enchanteur. Il est également l’histoire de St-Hubert qui passait son temps à chasser au lieu de prier et qui de ce fait avait un peu oublié dieu. Alors Dieu, qui lui aussi aimait bien se grimer en cervidé symbole par excellence de la sagesse, pris l’apparence d’un cerf et courra tant et si bien que saint-hubert écœuré de n’avoir pu le rattraper, changea de hobby et créa aidé du cerf, une excellent recette de beurre allégé riche en oméga 3 baptisée St-Hubert 41 car c’était le résultat 41 tentatives avant d’obtenir le mélange parfait.
De Nos Jours
Pourtant quelques vaillants défenseurs de la vérité, tente à travers des œuvres engagés, de rétablir la véritable place du Cervidé dans notre culture et notre histoire. Nous pensons entre autre au très controversé « Bambi » de Walt Disney qui dénonce la cervidophobie de l’homme et fait la lumière sur les persécutions subies par les cervidés, ou à « Princesse Mononoké » de Hayaho Myazaki qui nous rappelle que nous sommes des êtres bien fragiles et que les cervidés pourraient devenir les maîtres du monde si tel était leur désir.
Mot de la faim
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Notes
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