Utilisateur:Young-Man/Œuvres complètes
Une brève histoire sur le sport (2009)
Lorsqu'on fouille dans son grenier, qu'on va chiner tous les dimanches aux putesces du coin ou encore qu'on passe son temps à faire les poubelles avec espoir d'y trouver un restant de rosbif à la sauce béarnaise, il est régulier de tomber sur des vieux trucs qui tombent en miettes. Tenez, par exemple ce vieux manuscrit d'une Brève histoire sur le sport, présentée et annotée par le professeur Ernesto "Che" Dugenoux, une vraie pépite qu'un vieux con homme d'un âge vénérable m'a vendu pour seulement 140 euros [1], dimanche dernier au marché aux puces de Knokke-le-Zoutte.
Évidemment, j'aurais pu garder cette source de savoir, ce petit bijou de poésie française pour moi tout seul, tellement je suis beau, intelligent et tellement je vous emmerde tous, même que c'est moi le meilleur. Mais vu que je suis également d'une sympathie sans limite [2], je me suis dis que je pourrais partager mon savoir avec vous...
Et gratuitement en plus ! Et si après j'obtiens pas le Super Grand-Prix Auchan du mec le plus sympa, eh ben je ne crois plus en rien.
Une brève histoire sur le sport
Le début de la brève histoire sur le sport
Le ciel se couvrait étrangement de nuages inquiétants. La liasse sanglante de la terrible hache faisait de son cadeau un parpaing oublié. Mais dans ce morbide enfer, de douleurs et de chants, subsistait, un homme, un seul plein de peines et de moucherons. Alors qu'au loin s'envolait en dansant le méandre des profondeurs,lui, tenait bon, accroupi au madrigal, feignant la peur sous les luttes sodomites du bromure cellophané.
Sevrement instructif des calculaisons hypertropicales du cours central mais chevelu, le casse-frottis perd le temps mais le tampon à banane fait des écluses précises, une giropractosiphylose perdue au cœur des clochers niquedouilles. Et quand bien la ségrégation mytocondriaque serait inachevée, serions nous encore des masses à exiger l'abandon des jus d'iguanes mal-soudés par le présentement prytoconsériles du fieu port d'Amsterdam. Mais alors que tout espoir semblait disparaître, sous le poids des voûtes perdues de la soupe à la grenouille, et que l'homme allait renoncer, se retourner et perdre le déménagement des consciences subtiles, advint un événement inattendu et salvateur que la jouissance terrible des besaces microscopiques forcenées par la tourterelle mignonne mais sédentaire ne tarderait pas à accentuer grandement. L'homme, en voyant arriver ce sauvetage intempestif, prit sa respiration et sauta dans les morcellements volages qui l'engloutirent bientôt sous leurs natures ignominieuses et fallacieuses du camembert de Bretagne.
La fin de la brève histoire sur le sport
Crackers, juin, Gaston Doumergue, , wagon-lit, Renault... Ô...Ô...Ô vous fûtes une joie pour le quinquagénaire pénible de la vieille source modératrice du frileux frelon qui, prenant sa pression sur le style hyper-Bruno de la moche incarnation d'une jeep lenticulaire, nous pond une série de posters sérigraphiés d'Alphonse Daudais.
Et si, au cœur des attentes pré-calculées du jésuite Michelangelo Ford font souffler le valium questionnaire du col de la Croix-de-Fer si je mens je vais en Hispanie car le belliqueux naturel des anguilles sous-traitées en pleurs par le dimanche vil et chahuteur John, Hérald, Kimmy, Préstancia et vengeance du lapon. Oui, pleurs en sous-traitance, mon Xavier, mais n'oublie jamais la cruel cruche du colonel Séraphin: « Vomi ton soulier braguetteux [3], mais ne le choucroute pas ». Car tu fus laid, mais tu fus encore, et tu le fus toujours. Que tu fusses tueuse d'une anomalie pestilentielle des Allemands déboîtés par un édredon kysteux et géré par la fine fleur du castor lapon. Lorsqu'à la fin du 15 février, L'homme fut épris de la quintessence mystique des blasons chiropracteurs, il s'en alla tuer le farouche phacochère à dos de blanquette de semelle. Et ainsi fut mordu le chenil charvin.
Analyse explicative de l'histoire par le docteur Ernesto "Che" Dugenoux, professeur de lettres à l'Université Jean-Baptiste Poquelin de Trouilly-sur-Bellejambe
Développement sur la question de la métaphore
Partie 1
Alinéa A
Entrée en matière
Merci, docteur Dugenoux !
Mais, alors, c'est quoi ce texte ?
Oui, parce que je sais pas si t'avais compris, mais quand au début, je parlais de la beauté du texte, de sa profondeur, quand je disais que c'était une perle sur le collier de la littérature française, etc... C'était pour me foutre de ta gueule ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Hi ! Hi ! Je l'ai eu à 35 centimes chez un vendeur de madeleines ! Ah ! Ah ! Mais tu crois vraiment toutes les conneries qu'on te dit ! Hi ! Hi ! Non mais, franchement, tu t'attendais à quoi ?! Au dernier Racine ? Ouh ! Ouh ! Comme t'as été bien feinté ! Ah ! Ah ! Hi ! Oh ! Si tu voyais la tête que tu fais devant ton écran ! Oh ! C'est à mourir de rire
Ouarf ! T'étais là tout content devant ton ordi (pourri, il va sans dire), et là tu te dis:
Tu commences à lire, tu t'attends à une super histoire, et là tu tombes sur cette histoire pourrave que même le professeur de lettres qui a fait 34 ans d'études il a rien compris ! Ouh Ouh ! Oulah Oulalah ! Ouh ! Ca fait mal aux côtes ! Ouh ! Comme tu t'es fais avoir ! Ouh ! Oh ! J'en peux plus ! T'es un vrai mouton, tu crois tout ce qu'on te raconte ! Ouh ! Ouh ! Hi ! Hi !
Bon assez ri, nous avons quand même quelques questions sérieuses à nous poser !
Où est ce que c'est Trouilly-sur-Bellejambe ?
C'est quelque part par là
Qui c'est qui a écrit cette daube ?
A vrai dire, je n'en sais rien. C'est pour ça que, dans ma veine journalistique, je suis allez interroger le professeur Dugenoux à Trouilly-sur-Bellejambe. Mais le brave homme ne fut pas très loquace. Et je ne suis pas bien plus avancé qu'avant. Par contre ce que je peux vous conseiller c'est de ne jamais aller au bar "Chez Humphrey" à Trouilly, c'est miteux et moche et la bière y a un goût de pissou de zèbre [4], une vraie honte de la terre. À part ça, le village de Trouilly est bien agréable et j'ai passé 2 journées merveilleuses même si ça n'a absolument pas fait avancer mon enquête.
T'es en train de nous dire que tu ne sais rien de cette Brève histoire sur le sport ?
Rien ! Rien ! Tout de suite les grands mots ! On peut pas dire que je ne sais rien. Tiens par exemple, il y avait une signature bien étrange au bas du manuscrit !
Et ça, ça peut parfaitement m'aider à déterminer qui est l'auteur du texte ! Et toc ! C'est qui qui sait rien maintenant ?
Pfff, tu es lamentable mon pauvre, mais allez, puisque tu m'es sympathique, je ne vais pas te laisser dans l'ignorance et je vais te dire qui c'est, l'auteur de cette mauvaise nouvelle [5].
Suite de mes investigations
Riche de mes maigres indices, mais également de l'attente de milliers de lecteurs [6],j'ai décidé de rendre visite au marchand de madeleines qui m'avait vendu ce torchon. Après avoir essayé de l'appeler une onzaine de fois, je réussis à rentrer en contact avec lui. Il me donna rendez-vous le lendemain au parking souterrain du Monoprix.
LE LENDEMAIN
Le lendemain de la veille, je m'aventurais donc dans les souterrains glauques et humides du Monoprix...Une odeur fétide de vieux pneus m'entourait, mais je tenais bon et continuais à chercher le vendeur de madeleines qui décidément manquait de ponctualité. Après 2 heures d'une insoutenable attente, après avoir essuyé les attaques verbales d'une bande de jeunes voyous, après avoir tué accidentellement un pigeon suite à un incident comique mettant en scène une tourte, Michel Debré et un pigeon; ma patience prit fin et je me résolus à rentrer chez moi la queue entre les jambes.
Bon, ben je suis toujours au point zéro, le vendeur de madeleines m'a posé un lapin, tous mes lecteurs me prennent pour une bille et en plus je viens d'apprendre, en faisant une recherche sur Wikipédia qu'Ernesto "Che" Dugenoux est clamsé depuis 45 ans ! Et on m'a rien dit, pas une carte, pas un coup de fil ! Rien ! Quel manque de respect à mon égard...
Remarque, ça me rassure un peu, au moins je sais pourquoi il m'a pas répondu quand je suis allé lui rendre visite à Trouilly...Je croyais qu'il me faisait la gueule...
Le fin mot de l'enquête
Comme l'indique assez bien le titre de cette section, vous allez enfin trouver réponse à toutes vos questions:
- Qui a écrit Une brève histoire sur le sport ?
- Pourquoi est-ce qu'il l'a écrit ?
- Qu'est ce qu'il avait fumé exactement ?
- Que représente sa signature ?
- Quand est-ce qu'on mange ?
Après avoir longuement cogité sur le comment du pourquoi, après m'être longuement interrogé sur la façon de découvrir la vérité, après avoir fini mon petit déjeuner, je décidais de prendre mon destin en main.
Puisque les seuls témoins qui pouvaient m'aider étaient:
- soit morts (Ernesto "Che" Dugenoux,...)
- soit en train de bouder (Le vendeur de madeleines,...)
Il ne me restait alors plus qu'une seule source d'indices fiables : l'Internet. J'écumais alors les forums, blogs et autres encyclopédies participatives, en me faisant traiter de toutes sortes de noms[7] chaque fois que je posais une question trop compliquée. Je suis même allé jusqu’à fréquenter des sites infréquentables, tel que celui de l'Académie Française, mais personne, je dis bien personne ne réussit à répondre à mes interrogations et aux vôtres par la même occasion, personne n'avait jamais entendu parler d'Une brève histoire sur le sport. Dépité, je dus à nouveau me rendre à l'évidence et j'abandonnais les recherches, à nouveau la queue entre les jambes[8].
Je suis donc revenu sur la dÉsencyclopédie avec l'idée ferme de supprimer cet article stupide qui n'aurait jamais du voir le jour, quitte à entraîner des hurlements de désapprobation de milliers de lecteurs[9]. Mais, au moment où je m'apprêtais à appuyer sur la touche Delete[10], j'aperçus avec effroi qu'une espèce de petit salopard avait spoilé le résultat de mon enquête ! Je m'apprêtais à corriger ce petit impudent lorsque je pris conscience que, ce qui à l'origine partait d'une mauvaise intention, pouvait au contraire se révéler hyper utile dans ma quête mystique de la vérité. Oh ! Oui, j'allais enfin découvrir qui était l'auteur de toutes ces métaphores à se rouler dans la bouse. Qui était celui qui m'avait fait courir de Knokke-le-Zoutte à Trouilly-sur-Bellejambe sans passer par la case départ. Qui était celui grâce à qui j'ai pu prendre mon pied en voyant ton air ahuri devant ton écran. Mrrmfh ! Je m'esclaffe rien que d'y repenser.
J'avançais fébrilement le pointeur de ma souris sur l'icône dérouler et là... Je découvris la vérité !
La vérité
NON !? C'était toi ?
Toi en qui j'avais confiance !
Toi, le plus beau ! Le plus grand !
C'est impossible ! Comment as-tu pu pondre une daube aussi infâme ?
C'est faux ! Il doit y avoir une erreur ! Tu n'as pas pu faire une chose pareille.
Oh ! Non ! Jacques dis-moi que c'est une erreur. Je t'en supplie réponds-moi !
Jacques ! Jacques ! Jacques ! Pourquoi ? Qu'est ce qui t'es passé par la tête ?
Jacques ! Jacques ! S'il te plaît, dis-moi que tout ça n'est qu'une odieuse machination !
Ou mieux ! C'est une caméra cachée ! Oui c'est ça !
Ah ! Ah ! Vous avez failli m'avoir, mais on me la fait pas à moi ! Ah ! Ah ! Ahlala ! Vous êtes doué ! J'avais aucun doute ! Tout le monde était dans le coup, c'est ça ? Ohlala ! Que d'émotions ! J'ai eu peur sur le coup ! Ouf ! Ah, j'en vois une là, elles étaient bien cachées, mais j'ai une vue d'aigle, j'ai un regard perçant moi ! Ah ! Ah ! Ouf....
Reviens Jacques, ils sont devenus fous !
Les apparences sont souvent trompeuses.
Notes
- ↑ Voir modalités dans les magasins participants
- ↑ Dans la limite des stocks disponibles
- ↑ Sous-entendu, la défenestration du catapulteur belge à chaussettes
- ↑ Ne me demandez pas comment je connais le goût du pissou de zèbre
- ↑ Mauvais jeu de mot
- ↑ Comment ça t'es tout seul ?
- ↑ Comme« t kon ta dé kestion kon §§§§ lach té komz ^^ »
- ↑ Pourtant, j'ai jamais vraiment compris cette expression
- ↑ Comment ça t'es tout seul ?
- ↑ Je sais, ça marche pas comme ça, mais je romance.
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Je vous en supplie, ne tirez pas ! (2009)
Je vous en supplie, ne tirez pas ! est une suite de mot en français, abondamment utilisé dans les films américain à gros budget où le méchant meurt à la fin. On a remarqué à diverses occasions que cette phrase, prononcée d'un air suppliant et pathétique, parfois suivi d'une allocution du style « J'ai 3 enfants, 1 femme, une petite dizaine de maîtresses et un livreur de choucroute à entretenir », générait invariablement une impulsion nerveuse dans l'index de la personne à qui la phrase est adressée. Ceci amenant souvent l'apparition de maux de têtes franchement douloureux à celui qui a prononcé cette phrase, ainsi que l'apparition d'un troisième œil, pile entre les deux autres. Je vous en supplie, ne tirez pas ! fait donc parti du club très fermé des phrases provoquant un effet inverse, en compagnie du fameux « Ne regardez pas ce que je montre ! » ou encore du très célèbre « N'appuyez SURTOUT PAS sur le bouton rouge !! »
Je vous en supplie, ne tirez pas pas ! à travers les âges
Théorie révolutionnaire
Tous les plus grands historiens qui se sont penchés sur la question[1] sont d'accord pour dire que Je vous en supplie, ne tirez pas ! a été prononcé pour la première fois le 21 janvier 1793 à Paris 8eme , non pas à propos d'une arme à feu comme on pourrait le penser, mais d'un levier censé déclencher un mécanisme comique. Cependant le principal intéressé, que nous appellerons Louis X. pour préserver son intégrité, nie les faits en blocs:
L'intéressé qui préfère rester dans l'anonymat dit: | |
Je ne me suis jamais abaissé, et ne m'abaisserais jamais à prononcer une phrase aussi pleutre, aussi pathétique, aussi misérable que Je vous en supplie, ne tirez pas. C'est tout à fait contre les principes de mon noble rang ! Car moi, j'ai su rester digne devant la mort, pas comme ce salopard de Robespierre[2] qui est mort en pleurant sa maman ! Sa maman ! Je vous le dis mon bon monsieur ! Sa maman ! Je n'étais pas là, mais on me l'a dit ! Alors qu'on ne vienne pas me la faire avec ces conneries de Théorie révolutionnaire ! Et maintenant, je vous prie, j'aimerais me reposer, il me vient des maux de têtes atroces à force de remettre cette histoire sur la table ! |
Après quelques recherches plus poussées,il est admis que monsieur X n'a jamais prononcé ces mots, mais a préféré mourir en sortant une phrase totalement dépourvue du moindre romantisme: « Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des Français. » Pfff... espèce de nul ! Il n'a même pas tenté la moindre évasion tellement il avait les chocottes ! Maximilien R., lui au moins était un homme, un vrai, qui a su mourir avec fierté et honneur pas comme ce connard de Louis X. qui s'est avoué vaincu dès le début.
Théorie pas révolutionnaire
Il apparaît cependant que Je vous en supplie, ne tirez pas ! est apparu bien avant le XVIIIeme siècle. On estime son apparition à en même temps que les armes à feu, c'est à dire aux environs de il y'a vachement longtemps, c'est à dire que, en fait, les connaissances ne sont pas vraiment très fournies à ce sujet, alors je m'en voudrais de vous induire en erreur, après tout c'est juste une bête phrase. Elle a très bien pu être prononcée dans un tout autre contexte avant même l'invention des armes à feu. De toute façon, je suis quasi-persuadée que la première fois qu'elle a été prononcée, elle ne se trouvait même pas sous cette forme, mais plutôt sous celle-ci : Σας ικετεύω, μην τραβάτε, ou encore celle-là אני מפציר בך, לא למשוך. Après-tout, qu'est ce qu'on en a foutre de qui l'a dite en premier, que ce soit une pute égyptienne, un danseur du ventre albanais ou une charlotte aux épinards, ça va pas changer la face du monde ! Merde à la fin ! C'est quoi cette manie de toujours tout vouloir savoir ?! On est pas chez Wikipédale ici ! Non mais, c'est vrai quoi ! Oh ! C'est pas mon genre de péter mon câble comme ça pour un rien, mais y'a des limites quoi ! J'y crois pas ! Y'a des enfants qui crèvent de faim dans le monde et vous, vous prenez le chou pour savoir qui a inventé cette phrase stupide ! Et ben, vous voulez savoir la vérité ? Hein ? La vérité c'est que j'en sais rien ! J'avoue ! J'ai écris un article sur un sujet dont je ne connais absolument pas la moindre petite parcelle de rien du tout ! Et je n'en ais pas honte ! Je suis sur que tout le monde ici a commencé comme ça ! Attendez vous allez pas essayer de me faire croire que Chtoulou s'y connaissait plus en sexe ou que Cauch avait ne serait-ce qu'une infime bribe de notion en cuisine, et pourtant ils ont réussis à faire des articles parfaitement potables sur le sujet, alors je ne vois absolument pas pourquoi moi, j'en serais incapable !
Le redacteur en chef dit :<br\>
Parce que t'es trop mauvais ! |
Alors celle-là ! Je m'y attendais ! Nan mais, y'a rien à dire là. Merci pour les encouragements ! Bravo ! Ça donne vachement envie de se casser le cul à essayer de faire plaisir en écrivant un article sympa.Si c'est pour recevoir des réactions comme celle-là, je préfère encore aller sonner aux portes en compagnie des témoins de Jéhovah[3], eux au moins, ils ont une bonne mentalité, pas comme vous, bande de fascistes immoraux ! Alors là, je dis, chapeau ! Sérieusement ! Je sais pas ce qui me retient de... de... de... de...
Je vous en supplie, ne tirez pas ! au cinéma
Arrivée de Je vous en supplie, ne tirez pas ! dans le monde fermé du cinéma
Grâce à son incroyable énergie dramatique, Je vous en supplie, ne tirez pas ! s'est taillée une place au panthéon du 7eme art, et plus particulièrement du cinéma américain, toujours friand de ces instants tragiques qui font pleurer les ménagères de plus de 35 ans et s'envoler le film au box office.
Cependant, il est important de rappeler que Je vous en supplie, ne tirez pas a été utilisé pour la première fois dans un film bien français, bien de chez nous : Louis XVI, un biopic sur un illustre prestidigitateur parisien, connu pour son fameux tour de la Lame En Folie, réalisé par Jean-Louis Montet en 1963. Le film connut un succès plus que relatif, notamment à cause de nombreuses erreurs de script
, et fut condamné à tomber dans l'oubli pendant près de 20 ans. Jusqu'au jour où il fut visionné par accident par le célèbre producteur américain Johnatan F.Spietzelmann, dans l'avion qui le menait de Los Angeles à Chatuzange-le-Goubet. Comme tant d'autres avant lui, Johnatan trouva le film à chier une marmite. Selon lui la scène du mariage entre Georges Danton et Charlotte Corday est l'une des plus minables de l'histoire du cinéma. Le vol se faisant long, le film passa et repassa encore. Au bord de la crise de nerfs, Spietezelmann décida d'aller se plaindre aux hôtesses de bords, celles-ci étant en train de "servir le café" au commandant de bord et à son copilote, sa demande resta sans réponse. Cependant, à force de voir et de revoir le nanar, le producteur se rendit compte qu'une scène, et une seule, éveillait en lui une émotion autre que l'ennui, le dégoût ou l'envie de se jeter par le hublot. Et c'était bien cette phrase Je vous en supplie, ne tirez pas !, prononcée juste avant que le bourreau accomplisse son officine et décapite Loulou[4], qui provoquait ce sentiment de compassion, d'empathie, presque de tristesse.
De retour à Hollywood, Johnathan F.Spietzelmann s'empressa de parler de sa découverte à son réalisateur fétiche Michael Lonesome-Kahauboy. Séduit à son tour, Lonesome-Kahauboy utilisa la phrase à deux reprises dans son film de 1984: Christina & Jean-Roger, un peu à mauvais escient il est vrai puisqu'elle apparaît pour la première fois lorsque l'héroïne (jouée par Sigourney Weaver) demande l'heure à un passant dans la rue, et la seconde fois lorsque l'héroïne (jouée cette fois-ci par Micheline Bruno parce que Sigourney Weaver avait attrapé froid ce jour-là.) demande l'addition à un serveur dans un restaurant. Il est à noter que dans la version originale, la phrase est prononcée en français et s'apparentait à un S'il vous plaît, ce qui peut laisser croire que Michael Lonesome-Kahauboy n'avait aucune idée du sens de la phrase. Et effectivement, il n'avait aucune idée du sens de la phrase. Mais qu'importe, la déferlante Je vous en supplie, ne tirez pas ! (ou Please, don't shoot me ! en anglais) était en marche.
L'heure de gloire
C'est grâce au film The Revenge Of The Man Who Wants A Revenge en 1988, où elle apparaît à 7 reprises, que Je vous en supplie, ne tirez pas ! acquiert définitivement son statut de grand du cinéma hollywoodien. Ce western moderne, contant l'histoire de Joyce Prunelle (Dustin Hoffman), laissé pour mort sur le bord poussiéreux d'une route bretonne et planifiant minutieusement une vengeance terrible, bat tous les records à la cérémonie des Oscars en décrochant ni plus ni moins que 8 statuettes:
- Meilleur film
- Meilleur réalisateur, pour Antonio Fitzpatrick
- Meilleur acteur, pour Dustin Hoffman
- Meilleur actrice dans un second rôle, pour Anjelica Huston
- Meilleur scénario original, pour Antonio Fitzpatrick et Henry Gesaucribates
- Meilleur photographie, pour Irwin Gerschmeleuleu
- Meilleur chanson original, pour Don't You Dare To Shoot Me de U2
et surtout
- Meilleur réplique, pour Je vous en supplie, ne tirez pas !
Désormais, Je vous en supplie, ne tirez pas ! est sur toutes les langues. Elle fait la une des plus grands journaux spécialisés, et devient la phrase la mieux payée de l'histoire du cinéma. On imprime des T-Shirts à son effigie, et elle est même reçue à la Maison Blanche par le président George Bush Sr. lors d'un dîner de gala. Tous les plus grands réalisateurs se bousculent pour avoir la réplique culte dans leur film. On la voit successivement dans des films d'action (Die, Baby, Die de Gerard Frenzy), d'aventure (Indiana Jones contre les receleurs de Dentiers de Steven Spielberg), des comédies (Christopher, Star du Bahut de Edourado Edouardowa), des films d'horreur (IIIIIIHHHHHH !!!! de Benimore K.Buttercup) ainsi que des films pornographiques (Éjaculation précoce de Gunther Spermastik).
Mais c'est en 1993 que se situe l'apogée de sa carrière, lorsqu'elle tourne, sous la direction de Robert Mitsubishi, le désormais culte: You're Gonna Die, Motherfucker !
You're Gonna Die Motherfucker !
Ce film narre les aventures de Tico (Bruce Willis) et Gédéon (Gérard Lanvin), deux amis qui, un dimanche après la messe commencent à s'ennuyer comme des rats morts. Après avoir trouvé 2 Berettas par hasard en fouillant dans une poubelle, les 2 compères décident de se planquer au fond d'une ruelle sombre et de tuer tous les gens qui passeraient par là, comme ça, pour le fun. Au fur et a mesure que se finit le jour et que tombe la nuit, les 2 hommes se rendent compte que, psychologiquement, c'est pas si facile d’ôter la vie a tant de gens. Pendant tout le film on assiste aux scènes de meurtres, au fond de cette ruelle, et à la lente dégradation mentale de Gédéon, plus faible que son pote Tico qui affichera toujours un flegme à toute épreuve.
Dans ce film très noir, très sombre, très glauque et pas franchement comique, Je vous en supplie, ne tirez pas ! apparaît 54 fois, c'est à dire toutes les 1 minutes 30 en moyenne ! Un record ! Robert Mitsubishi, le réalisateur, offre à la phrase un rôle de composition. Jamais les victimes qui la prononcent n'ont paru aussi vulnérable que face aux gros calibres de Tico et Gédéon, et pourtant on assiste à plusieurs reprises aux doutes de ceux-ci qui, au son de Je vous en supplie, ne tirez pas ! semblent hésiter, prendre pitié et sont à deux doigts de craquer et de laisser s'enfuir leur cible. Toute la trame du scénario tient sur cette fragilité humaine, sur cette pitié naturelle, sur le sentiment de culpabilité qui peut animer le plus fort d'entre nous. C'est une œuvre psychologique profonde et troublée, et quand, dans la dernière scène du film, Gédéon laisse vivre une petite fille après avoir tué son père et sa mère, on prend compte que Je vous en supplie, ne tirez pas ! n'est pas qu'une simple phrase anodine qui ne change rien aux plans du tueur, mais qu'elle prouve une véritable envie de vivre de la part de celui qui la dit, ceci provoque dans la tête du meurtrier l'arrivée de questions du style Oh ! Mon Dieu ! Que suis en train de faire ? Je suis un monstre impardonnable ! . Pour Gédéon, Je vous en supplie, ne tirez pas ! provoque la fin de l'idéologie meurtrière qui l'animait alors que Tico aura su rester impassible jusqu’à la fin du film. L’œuvre s'achève sur l'image de Tico tirant une balle dans le genou de Gédéon pour le punir de sa faiblesse.
Voici 3 scènes reflétant parfaitement l'esprit du film:
Meurtre de Sean Sprutzerwalve
27eme minute du film,Sean Sprutzerwalve, représentant en aspirateur rentre chez lui après une dure journée de travail. Pour ne pas arriver trop tard, il décide de prendre un raccourci, via une sombre ruelle qui fait peur, mais pas à lui, de toute façon, il peut rien lui arriver, il est riche. Tout à coup, Gédéon et Tico se mettent sur son chemin en hurlant Bouïaka !!!
Il sort son arme
Il lui tire une balle dans le pied
Meurtre de Andrew Fliegedauff
58eme minute du film, Andrew Fliegedauff, un jeune garçon de 8 ans rentre de l'école à pied parce que sa maman a oublié de venir le chercher[5]. Il chante une petite chanson toute guillerette: La bite à Dudulle, et vu que la nuit commence à tomber, il décide de prendre le raccourci qui fait peur et qu'il n'aime pas trop. Mais de toute façon, il ne peut rien lui arriver, c'est un enfant, et les enfants ne meurent jamais. Il s'engage dans la ruelle, de plus en plus sombre, il chante Le curé de Camaret pour se donner du courage. Il est presque arrivé au bout de la rue, lorsque tout à coup il remarque un truc bizarre derrière un carton . C'est son voisin, monsieur Sprutzerwalve, celui qui couche avec sa mère[6]. On dirait qu'il est mort. Ah ! Oui, il est mort. Tant pis pour sa gueule ! Soudain un mec l'attrape par le cou et le plaque contre un mur.
Andrew lui fout un coup de pied dans les burnes, Tico le lache et s'écroule par terre. Le jeune garçon part en courant.
Un autre homme l'arrête dans sa course
Gédéon sort son Beretta et le met dans la bouche à Andrew
Il pose le pistolet sur le front de Andrew
On croit discerner une lueur d'hésitation dans le regard de Gédéon, mais...
Meurtre de la famille Bikerwilly
117eme minute du film, John, Sally et leur fille Mathilde rentrent du restaurant Le Humphrey's où ils viennent de passer une agréable soirée.Comme leur voiture est tombée en panne au croisement de la 3eme et de la 47eme, ils sont obligés de finir à pied, ce qui n'altère en rien leur humeur joyeuse.Leur maison se trouve au fond d'une sombre ruelle, et ils s'y engagent donc sans se douter de la tragédie qui va se jouer.
Éclats de rires
Soudain, 2 hommes surgissent du noir
Gédéon lève son arme, mais hésite
Il lâche son arme
Mathilde se met à courir, s'étale dans une flaque d'eau 10 mètres plus loin, se relève en poussant un juron, se remet à courir et disparaît dans la nuit.
Tico ramasse le flingue de Gédéon et lui tire une balle dans le genou
Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur la nana aux cheveux bleus
La meilleure façon de vous montrer la subtile quintessence de Je vous en supplie, ne tirez pas ! est encore la démonstration directe en live, pour ce faire, je vais prendre un sympathique cobaye. Tiens, vous par exemple !
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Qui ça, moi ? |
Oui vous, évidemment espèce de cruche ! Vous voyez quelqu'un d'autre ici ? Bon allez, approchez !
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Oh ! C'est trop d'honneur |
Maintenant, je vais pointer mon arme (un classique Colt M1911 ) vers la tête de mon sujet.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Ah ! Mais vous êtes taré ! A l'aide ! Au fou ! |
Pour obtenir la phrase désiré, il suffit de titiller un peu plus notre rat de laboratoire.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Mais, je ne vous permet pas ! |
Tu vas mourir salope !
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Je vous en supplie, ne tirez pas ! |
Merde le coup est parti !! Normalement j'aurais du réussir à maîtriser mon index, mais, quand je vous disais que c'était un réflexe ... Madame ? Madame ?
Oups ! Je crois que j'ai fait une petite boulette... Hum ! Tututututu ! Je vais partir par là, et on va dire que j'ai rien vu... Hop ! A la proch...
Mr.T dit : | |
Qu'est ce qui se passe par ici ?! |
Ah ! Monsieur Thé ! Et bien je...passais par là, et puis...
Mr.T dit : | |
Oh ! Mais c'est la nana aux cheveux bleus ! Qu'est ce qui lui est arrivé ?! |
Et bien justement...j'étais en train de me poser la question et je...Hum...A mon avis, c'est juste un petit coup de moins bien... N'est-ce pas mademoiselle ?
Voilà ! Sûrement un coup de la grippe A ! Ah ! Ah ! Maladie de merde ! N'est ce pas ?
Mr.T dit : | |
Et ça, c'est quoi ?! |
Hum... Hé ! Hé ! J'espérais qu'on ne s'aventurerait pas sur ce terrain, mais... Je peux parfaitement tout expliquer !
Mr.T dit : | |
Tu vas payer ! Enflure ! |
Je vous en supplie, ne tirez pas !
Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur les Notes
Je vous en supplie, ne tirez pas ! sur le petit sondage de la fin
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Vous allez mourir demain (2010)
Bonjour Roberte, je vous attendais. Prenez la chaise qui est là et installez-vous confortablement. Il reste une bière, et une seule, dans mon réfrigérateur. Vous pouvez la prendre. Je n'en veux plus. Je n'aime plus la bière. La bière me dégoûte. Je hais la bière. Je méprise la bière. Je chie sur sa descendance. Je la retourne contre un mur, je la viole, je la découpe en morceaux, je la jette dans le fleuve. Vous pouvez la boire. Allez-y, faites comme chez-vous. D'ailleurs vous-êtes un peu ici chez-vous. Vous ne le savez pas, mais vous connaissez cette endroit. Vous y avez vécu. Vous ne vous en souvenez pas. Faites comme chez-vous. Vous n'avez pas soif ? Bien. La soif n'est rien qu'une idée fausse de notre cerveau. Ne buvez pas cette bière. Si vous ne la buvez pas, c'est que l'heure n'était pas encore venue que vous la buviez. C'est comme ça. C'est le destin. On ne peut rien contre le destin. Le destin est un monstre qui dévore l'espoir à chaque instant. Asseyez-vous. Prenez donc cette chaise. Cette chaise n'a pas changé de place depuis très longtemps. Personne ne s'est jamais assis dessus. Elle n'attendait que vous. Vous étiez destiné à vous asseoir sur cette chaise. Elle était destinée à recevoir votre fessier musclé. Allez-y. Vous ne pouvez pas affronter le destin. Asseyez-vous. C'est tout. Asseyez-vous. Ce que j'ai à vous dire ne peut s'entendre que le cul posé sur une chaise. Asseyez-vous. Vous êtes assis. Bien. Vous êtes bien assis ? Bien. Vous êtes assis confortablement ? Pas grave. Maintenant, abandonnez-vous à ma voix. Fermez vos yeux. Ce que je vais vous dire va peut-être vous surprendre. Peut-être vous effrayer. Peut-être vous faire rire. Peut-être vous faire pleurer. Écoutez. N'ayez pas peur. Vous allez mourir demain.
Hier
Comment ça vous ne vous appelez pas Roberte ?! Ah ! Ah ! C'est ce que vous croyez. Mais la vérité est toute autre. La vérité, c'est que vous vous appelez Roberte ! Vous croyez que je plaisante ? Et bien, apprenez que je ne plaisante jamais. Ou alors quand ça m'arrive c'est vraiment parce que j'ai trop abusé de cette sale pétasse de bière. Non. Je ne plaisante pas. Malgré ce que vous croyez être la vérité, vous vous appelez Roberte. Roberte Marchemeleux pour être précis. Votre mère était madame Ginette Marchemeleux-Giraublanchard. Votre père était le docteur Ernestin Marchemeleux. Mais ils sont morts à présent. Morts comme vous demain à la même heure. Et c'est vous qui les avez tués. Oui. Vous. Comment je le sais ? Et bien... Disons que je possède un talent certain. Vous ne vous souvenez pas car vous n'aviez que 2 ans et 6 jours. Mais moi je m'en souviens. Car j'étais là. Caché derrière une armoire afin que votre folie meurtrière ne m'atteigne pas. J'ai tout vu. La mort de votre père d'abord, qui tentait de sauver sa famille. Vous l'avez tué. De sang froid. Un coup de couteau dans l'estomac. Simple, douloureux, efficace. Puis votre mère. C'était une belle femme. Mais vous l'avez tué. Vous l'avez acculé à la fenêtre. Et devant vos yeux injectés de sang, la pauvre femme n'eut d'autre choix que de sauter pour échapper à une trop longue souffrance. 36 étages ne pardonnent pas. Et votre sœur. Votre sœur jumelle. Brigitte. Vous avez frappé sa tête sur le montant d'une porte jusqu'à ce que son petit crane frêle explose. Mais vous ne vous souvenez de rien de tout ça. Non. ILS ont tout fait pour que vous ne vous en souveniez pas. Qui ? Ceux que vous croyez être vos parents, qui ne sont en fait que des agents d'une organisation gouvernemental méconnue: Le CROMP[1]. Ils furent les premiers arrivés sur les lieux du drame. Alertés par mes soins. Je ne sais pas ce qu'ils vous ont fait. Sûrement une espèce de lavage de cerveau ou une connerie du genre. Et vous avez oublié. Vous avez pu grandir comme n'importe quel enfant de votre âge. Avec insouciance et joie. Mais les faits, les faits sont là: vous vous appelez Roberte.
Aujourd'hui
Qui je suis ? Est-ce vraiment important ? Non, je ne crois pas... Je crois que la connaissance de mon identité ne vous apportera rien de plus de ce que vous ne possédez déja. Rien. Vous n'avez pas à savoir qui je suis. Qui je suis n'a aucune importance. L'important c'est que vous allez mourir demain. Vous pouvez m'appeler Jean-Philippe si cela vous fait plaisir. Mais sachez tout de même que je ne m'appelle pas Jean-Philippe, que je ne me suis jamais appelé Jean-Philippe et que j’espère ne jamais m'appeler Jean-Philippe. Le fait que vous m'appeliez Jean-Philippe a seulement été instauré pour que s'établisse une certaine confiance de vous à moi. Parce que, pour écouter ce que je vais vous dire, vous devez avoir confiance. Ayez confiance. Quoi ? Vous préférez m'appeler Ignacio ? Va pour Ignacio. Mais dans ce cas, sachez seulement que je ne m'appelle pas Ignacio, que je ne me suis jamais appelé Ignacio et que j’espère ne jamais m'appeler Ignacio, parce que là, ce serait vraiment trop la honte. Maintenant, avez-vous confiance ? Non ? Pourquoi ne pas avoir confiance ? Je ne vous veux pas de mal. Je suis juste un porteur de mauvaise nouvelle. Mais, évidemment, personne n'aime le porteur de mauvaises nouvelles . Tenez, regardez ce qui est arrivé à ce pauvre bouc... Comment ? C'est le canif que je tiens en main qui vous effraie ? Que vous êtes sot. Je m'en sers pour éplucher des pommes. Regardez, je le pose. Non mieux, je vous le donne. Prenez-le. Cela vous aidera à prendre confiance en moi. C'est bon les pommes. Du moins ça l'était... Je n'aime plus les pommes. Je gardais ce canif en mémoire de ces longues soirées passées à éplucher des pommes. Mais maintenant, je n'aime plus les pommes. Je les hais . Je les emmerde. Je les enterre vivantes au fond de mon jardin. Vous voulez une pomme ? Prenez en une . Prenez en même deux si vous le désirez. Je ne vous en blâmerais pas. Je ne vous reprocherais pas votre gourmandise. De toute façon, vous pouvez tout vous permettre étant donné que vous allez mourir demain.
Demain
Pourquoi ? Mais parce que c'est votre destin, Roberte. Vous êtes née pour mourir demain, c'est évident. Je suis sur que vous allez me poser la question de la nécessité de passer de vie à trépas si brusquement. Oui, vous êtes encore jeune et pleine de vie. Vous êtes heureux. Vous ne sentez pas venir votre heure. Et pourtant, elle est là, toute proche. Si proche. Si présente. En vérité, vous la sentez. Si, si. Vous la sentez. Ce léger picotement dans la nuque. Vous essayez de vous persuader que ce n'est qu'une petite réaction allergique à un pollen quelconque. Mais non. C'est la fin qui approche. Lentement. Lentement mais très sûrement. Ce picotement vous le sentez depuis plus d'un an. Mais vous n'y avez jamais prêté attention. Jusqu’à... Jusqu’à ce matin. Oui. Car vous êtes enfin arrivé au crépuscule de votre vie. Cette vie, qui va se finir si brusquement, mais pourtant si doucement. N'ayez pas peur. Je sais ce que vous voulez. Vous voulez savoir comment cela va arriver. Pour éventuellement vous prémunir contre tous les risques. Mais cela ne va rien changer. Je vais vous dire comment vous allez mourir. Je vais vous le dire. Mais ça ne vous empêchera pas de mourir. Non. Je vais vous le dire. Vous allez crever comme un chien au fond du caniveau. Simplement, difficilement, douloureusement. Comment ? Oui, comme un chien au fond du caniveau. Comme un chien au fond du caniveau, pas comme un chien, au fond du caniveau. C'est le chien qui est au fond du caniveau, pas vous. Vous n'allez pas mourir au fond d'un caniveau, voyons. Ce serait dégueulasse. Si vous voulez tout savoir, et j'ai bien l'impression que vous voulez tout savoir, vous n'allez pas mourir en héros. Oh non ! Loin, très loin de là. A des années-lumières de là pour être précis. Vous n'allez pas non plus mourir de façon glorieuse, de façon violente ou même de façon sanglante. Vous n'allez pas être abattu froidement par un policier verreux. Vous n'allez pas être noyé dans une cuve d'huile de friture en ébullition. Vous n'allez pas être éjecté d'un avion en plein vol au dessus d'un massif de cactus. Non. Rien de tout ça. Vous allez mourir, on peut bien le dire, comme un con. Attention. Je n'avance pas que vous êtes con... Mais tout de même. Il y'a devant chez vous un rosier. Vous le connaissez ce rosier. Vous le connaissez tellement bien que vous n'y faites même plus attention. Regardez-le bien ce rosier. Regardez-le. Il a l'air inoffensif n'est-ce pas ? Et bien il l'est. Contrairement au paillasson de votre voisin. Vous ne l'avez jamais vu ? Il l' acheté hier chez Truffaut. Il ne savait pas qu'il allait entraîner votre perte. Vous voulez en savoir un peu plus ? Je ne vais pas vous le refuser. Il va vous trancher la carotide. De quelle manière ? Qu'est ce que j'en sais moi, je suis pas devin !
VOUS ÊTES FOU !!
Moi ? Fou ? Je n'aurais pas cru que vous puissiez penser ça de moi.Pourtant, c'est possible. Mais vous ne pouvez pas savoir. Moi même, je ne le sais pas. Alors, peut-être que je suis fou. Ou peut-être ne le suis-je pas. Mais si je le suis, vous n'en serez certain que demain. Et si je ne le suis pas, vous n'en saurez jamais rien !!
AH ! AH ! AH !
CROMP ?
- ↑ Centre de Réparation des Orphelins Matricides et/ou Parricides
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Cours de français (2010)
Cet article a été écrit par un petit CE1 de la classe de 2nde1 du lycée de Valenciennes. La rédaction de la dÉ s'accorde donc à dire que c'est un peu pourri, mais pour faire plaisir à ce petit élève, faites comme si c'était drôle! Merci d'avance!
La maîtresseCour de francais (sic.)
Un retournement de situation cocasse
Argh !
Galère
Dieux
Foudroiement sur place de la prof
Par un arrêt cardiaque
Sortie
Alerte
CRS
Batte de base-ball
Liberté
Le monstre du ciel
Grrr !
Vengeance
Vengeance part.2
Anne-Marie
Cassage de gueule
Décapitation
Happy ending
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Putes et Prouts (2010) en collaboration avec Yoshkill
Qu'est ce qui distingue un prout d'une pute ? Une multitude de choses. Mais, malgré l'opinion générale qui consiste à ne faire aucun rapprochement entre la prostitution et les flatulences, il y'a beaucoup plus de similitudes entre une pute et un pet qu'entre, par exemple, un teckel afghan et une brosse à toilettes. Comment est-ce possible ?, me demanderez vous avec curiosité. Et bien, grâce à l'aide d'un de mes plus fidèle collègue, je suis aujourd'hui en mesure d'apporter une réponse à toutes vos questions concernant la flatuloprostitonomie, cette science méconnue mais pourtant si intrigante.
Bienvenue dans un monde dont vous ne soupçonniez même pas l'existence ! Un monde de mystères inexplicables, un monde rempli de putes et de prouts !
Putes et Prout
Bienvenue dans le merveilleux monde de la flatuloprostitonomie
Eh oui, bienvenue. Vous êtes sur le point de découvrir une science que seuls les vrais scientifiques connaissent bien. Les faux n'y connaissent pas grand chose. Les faux boudent. Mais vous, je sens que vous êtes un bon, un vrai, alors ça va commencer.
Mais tout d'abord, nous allons poser les bases. Qu'est-ce qu'un prout ?
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
Mdr ! |
Comment ? Aurais-je dit quelque-chose de drôle ?
Bon, alors, qu'est-ce qu'un prout ?
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
Mdr ! |
Bon, ça suffit, merde ! C'est la dernière fois que je pose la question que nous allons étudier : qu'est-ce qu'un prout ? Et qu'est-ce qu'une pute ?
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
OMGOMG DOUBLE-MDR !! |
Bon, je vais pas m'énerver pour ça, là, on est "cool", "tranquille" quoi.
C'est parti pour s'amuser.
Mais on arrête les conneries quand même.
Qu'est ce que c'est donc que la flatuloprostitonomie ?
Parfaitement ! Il est nécessaire d'arrêter les conneries si vous voulez comprendre quelque chose.
La flatuloprostitonomie est, comme son nom l'indique, une science serieuse. Il ne faut surtout pas la confondre avec la flatuloprostitonographie qui n'est rien d'autre qu'une forme d'art dégénéré que nous ne cautionnons absolument pas et qui souille considérablement l'image pourtant si glorieuse de la flatuloprostitonomie. Si vous voulez vraiment vous payer une tranche, allez plutôt vous intéresser à la flatuloprostitonographie et laissez les gens sérieux conférencer en paix !
A cet instant de notre exposé, il est nécessaire d'observer un petit retour en arrière dans l'histoire de la flatuloprostitonomie afin de bien comprendre tous les tenants et les aboutissants de cette science si particulière qui a, au fil des époques, passionné les foules !
Petite histoire de la flatuloprostitonomie
En effet, remontons aux origines, afin de tenter de comprendre un peu mieux la flatuloprostimachin-le-truc, là.
Je pense qu'il est nécessaire de commencer par le commencement : à savoir le Big-Bang, la création de l'univeRs, avec un grand "R".
La flatuloprostitruc au moment de la création de l'univeRs
Il est intéressant de noter que la flatuprostitoscience-machin n'existait pas à l'heure du Big-Bang, l'heure de la création de l'univers, à savoir 21h27 (un samedi soir).
La flatulopro-le-truc-dont-on-parle à la Préhistoire
Pareil là : le truc qu'on étudie n'existait pas non-plus à la Préhistoire.
Par contre à cette époque l'autre prostitruc dont on parlait devait surement exister, enfin, plus probablement, parce-que bon c'est quand même un truc qui fait un peu moins "science", ça fait plus "pipi-caca", donc c'est parfait pour des hommes préhistoriques.
La flatuloprostitonomilogie au Moyen-Âge
Ben oui, comme vous pouvez le voir, j'ai sauté la partie sur l'Antiquité, parce-que bon on s'en fout un peu quand même. Désolé mais je m'appelle pas Ben Hur. Ni Maciste. Et puis c'est un peu trop vague cette époque. Et y a pas non plus écrit "Clovis Cornillac" sur mon front.
Le bandeau laissé par Johnatan Yoshkill (avec une petite image à gauche qui n'a rien à voir) dit clairement : | |
Attendez, cette partie sera complète très prochainement. |
Et pour ceux qui n'auraient pas la patience d'attendre , oui, j'en vois déjà qui sont en train de soupirer. Vous pourriez vous intéresser un peu à des trucs intéressants, cadediou ! Pour ceux qui n'auraient pas la patience d'attendre, je disais donc, vous pouvez passer le temps en lisant le cours poème qui suit. Il est de Gythur Moaœōlssēn, un auteur suédois pour lequel j'ai beaucoup d'affections et traite de la flatuloprostitonomie qui était déjà très développée en Scandinavie au moyen-âge. Après quoi, nous reprendrons le cours normal de notre exposé.
Dans les fjords argentés près de Klojkylvbonsson
Vivait une femme belle, mi-humain, mi-poisson Malheureusement pour elle, loin de la capitale Les temps étaient très durs dans les eaux de cristal Un matin se réveillant, la panse criant de faim Elle résolu de se vendre à qui le voudrait bien. Arrivèrent alors des quatre coins du globe Des pervers, des vicieux et même un prêtre en robe Tous très impatients, dans cette douce froideur De pouvoir de la belle, profiter des faveurs. C'était au plus offrant qu'adviendrait le prestige De pouvoir le premier percer la jeune tige. L'un disait millier, l'autre disait million, Mais la plus forte somme atteignait les billions, Et ce fut à Bernard, fils de Gaston, Digne descendant du trône d'Aragon Qu'adviendrait l'honneur et l'immense bonheur De trouer de sa bite la jeune fille en fleur. Mais alors que très vite, la partie commençait, La sirène lui offrit, un vaginal pet. Mais le brave garçon, loin de s'en offusquer, Prit ça de plaisir et se mit à juter Malgré tout ce que disaient les méchants, les voyous Oui, en voilà un vrai, qui en avait, du goût. |
C'est donc en 756 après la naissance de ce cher Jésus Christ, qui, hasard de l'histoire, fut marié à une prostituée pétomane, que se situe ce que l'on a plus tard appelé la Flatuloprostitutocompagniani, une révolution culturelle qui a vue l’expansion phénoménale d'un mouvement jusqu'alors confiné aux petits cabinets de proctologues de la région bordelaise. Un mouvement qui allait bientôt devenir une véritable science et que l'on allait nommé la flatuloprostitonomie.
Mais... Pour les flatuloprostitonomes se préparaient des heures très noires puisque les membres du clergé voyaient d'un très mauvais œil l'émergence de cette science qui remettait totalement en cause les fondements de la religion chrétienne.
Une période de répression
À partir de l'an de grâce 1121, toute personne soupçonnée de pratiquer la flatuloprostitonomie était invariablement écorché vif, enculé à sec avec un cactus et puis grillé sur la place du marché après quoi son corps était vendu en kebab aux passants. La maison du malheureux ainsi que toute sa documentation et ses écrits étaient ensuite brûlés afin que plus jamais ne resurgisse l'hérétique science. Les plus grands flatuloprostitonomes de l'époque, le suisse Guillaume Gréluf, l'allemand Whilelm Jerlof et l'anglais William Gorlef périrent tous trois dans ces circonstances tragiques.
Cependant, alors que l'Église semblait avoir totalement accompli sa vilaine besogne et que la flatuloprostitonomie semblait[1] avoir totalement disparu de la surface de la Terre, il apparu que les répurgateurs pleins de zèle avait oubliés de mettre le feu à un ouvrage, et à un seul, et pas des moindres: la Vieil put qui pete de Gréluf, qui allait être redécouvert par un groupe de révolutionnaires sans foi, ni lois, ni culottes un demi-millénaire plus tard, posant ainsi les bases de la flatuloprostitonomie moderne.
Une période dont je vais vous parler
Eh oui, c'est à mon tour : j'attaque la partie sur l'époque où les hommes portaient des habits de femmes ou bien des trucs colorés mais pales genre "Révolution Française".
Nous parlons donc d'une époque où la flatuprostolominutie fait son grand retour, notamment grâce à un fameux gang de rap révolutionnaire de l'époque : le Sans-Culotte Crew. En fait, le fait de ne pas porter de culottes a amplement facilité ce grand retour de la proutoputosodomie (le truc de l'article).
Le bandeau laissé par Johnatan Yoshkill (avec une petite image à gauche qui n'a rien à voir) dit clairement : | |
Partie en travaux, qui va avancer, vous inquiétez pas (ne pleurez pas). |
Et pour les connards habituels qui n'ont aucune patience, voici une vidéo amusante pour passer le temps. De plus, il se trouve qu'elle est très instructive sur le plan de la flatuloloprostitutonologie.
Bon, ça y est, je continue ma partie. Mais je laisse le bandeau là-haut qui dit que c'est en travaux, ça fait un bon gag je trouve.
Alors désormais, c'est le moment d'expliquer plus ou moins en détail le retour de la flatuloloprostitutonomie lors de la Révolution Française.
C'est donc une sorte de bande idéaliste révolutionnaire créatrice du rap qui décide tout à coup de se balader sans culotte pour affronter l'autorité royaliste de l'époque. Ces révolutionnaires, le plus souvent des jeunes, profitent de ce changement d'habitude vestimentaire.
Le Sans-Culotte Crew est donc un gang qui va vite exploiter le "port des fesses nues" pour péter et sodomiser avec plus d'aisance. Enfin, vous m'avez compris, c'est un peu comme les hippies au final.
C'est donc la flatoscatoputonimie-sciençologie qui revient en force.
Et depuis la Révolution Française et la perte des royalistes, la flatuprostitutotitulogie tient la route jusqu'à nos temps modernes, malgré l'apparent retour des royalistes (et des vieux) au pouvoir.
Et voilà.
En quoi consiste la flatuloprostitonomie moderne ?
Que peut-on dire de la flatuloprostitonomie de nos jours, si ce n'est qu'elle ne concerne qu'une infime partie d'une élite reconnue à travers le monde. Pour ma part, je pourrais vous en parler pendant des heures, mais j'ai peur que mon trop plein de savoir ne vous embrouille. Je vais donc laisser la parole au professeur Yoshkill qui sera plus à même de vulgariser le sujet. Mais si vous voulez en connaître un peu plus, n'hésitez pas à commander mon livre: De la flatuloprostitonomie. Traité d'une science passionnante., en vous rendant sur mon site internet.
Vulgariser le sujet ? Vulgariser le sujet ? Ais-je bien entendu ? Me prendriez-vous pour quelqu'un de vulgaire, petit fils de pute ?
Visiblement, monsieur Yoshkill ne connaît même pas le sens du mot Vulgariser. Permettez-moi d'en rire [2]. Ce que je voulais dire, mon cher ami, c'est que votre vocabulaire et vos connaissances plus... hum, comment-dire... basiques, permettrait au lecteur lambda de mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette magnifique science qu'est la flatuprostitutotitulogie. Alors que je suis, moi, bien trop spécialisé pour me faire comprendre du connard de base.
Basiques ? Basiques ? Ais-je bien entendu ? Connard. Au fait, bien sur que je sais ce que veut dire "vulgariser". D'ailleurs, va vulgariser ta mère, enfoiré. Et toc.
Hein ?! Quoi ?! Allez-y ! Répétez pour voir ! J'ai pas fait 15 ans d'études post-bac pour me faire ensuite insulter par un pitre dans votre genre ! Non mais ! Ça y connaît que dalle en flatuprostitutonomie et ça se croit tout permis ! Non mais ! Je vais rédiger un de ces rapport sur vous ! Vous n'allez pas faire long-feu dans le monde de la flatuprostotutunomie, c'est moi qui vous le dit. Je vais vous démonter moralement à un tel point qu'a coté de vous, Joy Division ce sera la Compagnie Créole... Ah , et puis d'ailleurs, va vulgariser ta mère toi-même, connard.
15 ans d'études ? Hahaha, le con, il a tellement redoublé qu'il a passé 15 ans sur une maitrise d'Histoire de l'art, ce gros con ! Allez, va te faire foutre enculé ! Sinon, j'aime bien Joy Division. Même si je préfère la Compagnie Créole (dans le même genre).
Tenter de faire passer mes 15 ans de doctorat de flatuprostitutonomie pour une putain de maîtrise d'Histoire de l'art, passe encore. Mais alors mettre Joy Division dans le même panier que la Compagnie Créole, là, monsieur Yoshkill, vous dépassez les bornes ! Sale petite enflure néo-fasciste ! Joy Division c'est la froideur magnifique du centre morne et pluvieux de l'Angleterre. C'est la voix caverneuse de Ian Curtis qui résonne encore dans nos têtes près de 30 ans après sa tragique disparition. C'est des frissons à chaque instant. C'est l'envie de se foutre par la fenêtre à chaque écoute.
Et la Compagnie Créole, c'est quoi ? C'est tout le contraire. C'est une plage de la Martinique vers deux heures de l'après midi en sirotant un cocktail goyave-rhum. C'est l'envie de se secouer le popotin sur l'air de C'est bon pour le moral. Ce sont les accords sautillants de José Sébéloué.
Je pensais ne jamais avoir à sortir la photo que je vais dévoiler maintenant, mais vous m'avez tellement poussé à bout que je ne vois d'autre solution pour calmer ma fureur.
Je ne connais pas assez bien Joy Division, ni la Compagnie Créole, pour savoir qu'ils sont très différents. Il faut dire que je déteste ces deux groupes. Mais quand même, avoue que ça ressemble un peu. (PS : si t'es pas cap d'avouer que ça ressemble un peu, c'est que t'as une petite bite, et alors là, ça expliquerait pourquoi tu te sens obligé de poster des photographies de grosses bites de cyclope, espèce de tarlouze dérangée du cerveau qui mange de la merde au réveillon du Nouvel an chinois). À part ça quoi de beau, fils de pute ?
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
MDR FICE 2 PUTE |
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
MDR KOI DE BO ?? |
Laissez ma pauvre mère en dehors de cette discussion, misérable tâcheron ! Si la pauvre femme fut effectivement contrainte de se prostituer c'est qu'elle ne pouvait décemment nous laisser crever de faim comme des petits somaliens, moi et mes six sœurs. Et mon père, honte à ce vieux salopard, l'avait laissé tomber à peine ma tête sortie de son vagin. J'exige donc des excuses immédiates ou sinon il se pourrait bien que je commence à parler de la votre, de mère !
Oh, il va pleurer... Que je m'excuse ? Oui, d'accord, si tu me lèches les pieds, hahaha ! Ou que je te pète au nez. Oui, je pense que de te faire péter au nez par quelqu'un comme moi est plus qu'un honneur, et comme ça, on évite les embrouilles autour de ta mère la prostituée. Que penses-tu de ce marché flatulo-anti-prostitu-dénigrement ? Tu veux bien que je te pète au nez ? C'est d'accord ?
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
T DAKOR ?? |
Monsieur Yoshkill, vous avez dépassé les bornes. Je vous défie en duel, demain à 8 heures précise sur la plage, à vous de choisir les armes.
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
BATER VOUS AVEC VO BITE LOL !! |
Le mec de la sécurité ordonne : | |
Il faut nous suivre maintenant, monsieur. |
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
TA GEL KONAR !!! |
Le mec de la sécurité ordonne : | |
Monsieur, ne faites pas empirer les choses. |
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
MOA JVAI ENPIRER TA TRONCHE TU VAS VOIR !!!! |
Le mec de la sécurité ordonne : | |
Si vous faites de la résistance, monsieur, je serais obligé d'employer la manière forte. Veuillez nous suivre calmement et aucun mal ne vous sera fait. |
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
LOL, NIQUE TA RACE !! |
Le Comte Yoshoyosh de Yoshoproutoisie s'exclame : | |
AIEUH ! |
Duel au soleil
Course poursuite finale en bagnole
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Bon, c'est l'heure de la poursuite finale en bagnole. |
La poursuite vue du ciel
La nana aux cheveux bleus dit : | |
- Jean De La Fontaine |
Conclusion
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Elle est nulle cette conférence. |
Proutoputonotes en bas de page
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Petit lapin mignon... mort (2010)
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Michelle (2010)
ma belle, sont des mots qui vont très bien ensemble.
ET BIEN NON !!! Non, non et archi non puissance 10 ! On se moque de nous ! Clairement ! L'imbécile de fils de con qui a écrit ces lignes était un putain d'imbécile de fils de con, adepte de l'écriture de lignes. Je m'insurge, je crie à l'ignorance, à la bêtise, à la crétinerie profonde. Je vais même jusqu'à couiner comme un porcinet qu'on étripe pour attirer l'attention générale sur ce que j'ai à dire ! Et d'ailleurs, puisqu'on en parle, voici ce que j'ai à dire:
Michelle est un prénom de vieille gonzesse moche et poilue et puante, un point[1] c'est tout.
Vous allez me dire que ce n'était pas la peine de le dire aussi gros.
Le lecteur de cet article dit : | |
Ce n'était pas la peine de le dire aussi gros. |
Ta gueule !
Le lecteur de cet article dit : | |
Ah... |
Un panel vraiment parlant
Alors ? Convaincu ?
Le lecteur de cet article dit : | |
Quelle horreur ! |
N'est ce pas ? Mais cela ne me suffit pas.Il est temps de passer à l'étape suivante. Mais... Dois-je réellement continuer ? Je ne sais pas... Est-ce que cela vaut vraiment le coup ? Un monstre terrifiant et démoniaque est tapi dans les entrailles du paragraphe suivant, et le réveiller serait une catastrophe pour l'humanité toute entière. Pourtant, je dois vous ouvrir les yeux sur la vérité à propos de Michelle... Allons, du courage ! Je dois le faire, et tant pis si la pérennité de notre espèce doit être remise en cause. Venez, fidèles lecteurs ! Venez ! Nous mourrons peut-être dans d'innommables souffrances, mais au moins serons nous fixés. Venez !
Le lecteur de cet article dit : | |
Je me demande si je ne fais pas une erreur en le suivant, mais bon... Soyons fous. |
Venez !
Un musicien drogué
La preuve par neuf que l'imbécile de fils de con qui a écrit ces lignes n'était plus totalement maître de ce qu'il disait:
Simple cigarette ?
Je ne crois pas non !
Le lecteur de cet article dit : | |
Je voudrais juste préciser que... |
Afin de connaître le contenu exact de ce...bâtonnet, je vais faire appel à la haute technologie.
Le lecteur de cet article dit : | |
Il me semble tout de même important de vous rappeler... |
Messieurs, voici le Zupperview 2587 © !
Une machine hyper sophistiquée qui permet de grossir une image près de 1 milliard de fois !
Le lecteur de cet article dit : | |
Très intéressant tout ça, mais ce n'est pas... |
Au lieu de rester là à nous faire chier, vous voudriez pas donner un coup de main ?
Le lecteur de cet article dit : | |
J'aimerais bien, mais c'est que... |
Appuyez sur le bouton, espèce d'abruti !
Le lecteur de cet article dit : | |
Mais je ne vous permets pas ! |
Appuyez je vous dis !
Le lecteur de cet article dit : | |
Ce que je voulais dire, c'est que... |
Ça y'est ! Ça a marché Voyons voir ce que ce petit bijou nous a révélé...
Et voilà ! Ne vous l'avais-je pas bien dit ? C'est là que repose la clé de l'énigme. Il est certain au vu de cette image scientifique que notre musicien, si doué soit-il, consommait des substances hautement hallucinogènes et psychotropes, quoique cela veuille dire. Il est donc impossible et surtout risible de vouloir accorder le moindre crédit à ses dires. Michelle est un prénom de moche, nous l'avons prouvé par a+b et ce ne sont pas quelques bombes sexuelles, soit disant appelées Michelle qui viendront nous contredire ! Sur ce, je vais vous laisser et vous souhaiter une bonne nuit. Demain je vous montrerais que l'amour n'est pas tout ce dont nous avons besoin et que Lucy n'a jamais pris des cours de parachutisme avec des morceaux de quartz. Arrivederci !!!
Hein ? Quoi ? Je...
Le lecteur de cet article dit : | |
Mmmh ? |
Non mais de quoi je me mêle ? Pour qui vous vous prenez à vouloir faire la loi dans MON article mon petit monsieur ? On veut faire le malin en étalant sa culture, mais on est pas capable de différencier un Paul d'un John. Il est évident que c'est Paul sur la photo.Espèce de cinglé pathologique ! Et puis, même si c'est John sur la photo, c'est de toute façon lui qui a écrit Michelle.N'importe quel teuteu pourrait vous le dire.En plus, Michelle c'est un prénom de vieille tâcheronne.Et les Beatles sont et ont toujours été surévalués par rapport à d'autres groupes qui avaient autant, sinon plus de mérite.Yesterday est loin d'être une grande chanson. Bien loin.Les Beatles c'était juste un pauvre produit marketing.Ils n'arriveront jamais à la cheville des Who. Pete Townshend, lui, c'était un grand compositeur. Et un grand musicien. Ah... les premières notes de l'Overture de Tommy. J'en ai des frissons rien que d'y repenser. Et surtout qu'on ne vienne pas me parler des trois accords moisis de guitare que ce grand bouffon de George Harrison n'était même pas capable de plaquer correctement.Ou peut-être voulez-vous que l'on parle de Ringo ? Cette sacrée brelle de Ringo ? Une poule paraplégique aurait plus de rythme que lui.Jamais les Beatles n'aurait été aussi "grands" si on s'était seulement penché sur leur musique, la seule chose qui devrait vraiment être important, et qui, chez les Beatles, ne cassait certainement pas trois pattes à un canard.
En plus, ta moustache elle craint.
Le lecteur de cet article dit : | |
Que c'est mesquin, que c'est bas. |
Sérieux ! Elle craint du boudin. Ma grand-mère était pas encore dans les couilles de son père que c'était déjà passé de mode.
Le lecteur de cet article dit : | |
Moi qui avait encore un restant d'estime pour vous...Pouf ! La voilà qui s'évapore. |
Le lecteur de cet article dit : | |
Oh putain ! C'était quoi ça ? |
Mon Dieu ! Je crois que nous avons réveillé la...Bête du 2eme paragraphe !
Le lecteur de cet article dit : | |
La bête du 2eme paragraphe ? |
Non, la...Bête du 2eme paragraphe !
Le lecteur de cet article dit : | |
Et qu'est ce que c'est que cette...Bête du 2eme paragraphe ? Ce n'est pas dangereux au moins ? |
Pas dangereux ?! Mouarf ! Vous avez le mot pour rire vous.La dernière personne qui m'a posé cette question, je peux vous dire que c'est la dernière question qu'il a jamais posé.
Le lecteur de cet article dit : | |
Il est...*GLUPS* mort ? |
Ah, ça c'est sûr. Et pas qu'un peu ! Pauvre gars... Il avait de l'avenir devant lui pourtant.Il aura jamais pu le connaître. Tenez, regardez. J'avais mon téléphone portable sur moi et j'ai pu filmer pour mettre sur Youtube.
Le lecteur de cet article dit : | |
Oh mon Dieu, mais c'est affreux ! |
À qui le dites-vous ? Je n'ai plus jamais été le même depuis ce funeste jour.
Le lecteur de cet article dit : | |
Et dire qu'on paye des impôts pour ça... Mais... Mais... Qu'allons nous faire ? Qu'allons nous devenir ? |
Ça, je n'en sait foutrement rien.
Le lecteur de cet article dit : | |
Mais, ne pourrions nous pas fuir vers le 3eme paragraphe ? |
Cela pourrait sembler une bonne idée... Mais des secrets encore plus noirs hantent ce paragraphe.
Le lecteur de cet article dit : | |
Pires que la...Bête du 2eme paragraphe ? |
Bien pires ! La...Bête du 2eme paragraphe, c'est de la blague à côté de ce qui vit dans le 3eme. Moi-même je ne m'y suis jamais rendu, mais toute ma famille, ma mère, mon père, mes douze frères et sœurs s'y sont rendus, et pas un seul ne s'en est sorti.
Le lecteur de cet article dit : | |
Je ne savais pas... Je n'aurais pas dû être si dur avec vous tout à l'heure. |
C'est pas grave, vous ne pouviez pas savoir.Et puis moi-même j'ai pas toujours été très réglo avec vous. Mais tâchons d'oublier ces vieilles querelles et de nous unir pour survivre.
Il faut prendre une décision, la...Bête approche.Et si nous ne bougeons pas fissa elle sera bientôt là à grignoter vos os maigrelets.
Le lecteur de cet article dit : | |
Je ne sais pas... Qu'est ce qui vit dans le 3eme paragraphe ? Il faut que je sache. |
Dans le 3eme paragraphe, il y'a... Une coquille d'escargot !
3eme paragraphe
Michelle, ma belle, sont des mots qui vont très bien ensemble
Le lecteur de cet article dit : | |
Ouaw ! Ça c'était intense ! |
Nous sommes vivants ? Nous sommes vivants... Nous sommes vivants !!! Ouaouh ! C'est le plus beau jour de ma vie ! Dieu bénisse l'Amérique !!!
Le lecteur de cet article dit : | |
Quelle aventure ! Si j'avais imaginé vivre ça avant de venir... Ouaw ! J'ai du mal à reprendre mes esprits. |
Et le combat final contre l'escargot... C'était carrément intense !
Le lecteur de cet article dit : | |
N'empêche... J'ai cru à plusieurs moments qu'on allait y rester. |
Et moi donc... Mais tu vois petit, on a su en sortir vivant, et donc, on a su en sortir grandi, et donc, on est des putains de héros ! C'est qui les héros ?
Le lecteur de cet article dit : | |
C'est nous !!! |
J'ai pas entendu !!!
Le lecteur de cet article dit : | |
C'est nous !!! |
Encore plus fort !
Le lecteur de cet article dit : | |
C'est nous !!! |
WAZUP !!!!!
Le lecteur de cet article dit : | |
Ouais ! |
WAZUP !!!!!
Le lecteur de cet article dit : | |
Ouais !!! |
Un communiqué du CCAN
Madame Celymène Cusséré, présidente-déléguée du CCAN (Comité Contre les Auteurs Nases): | |
J'aimerais me plaindre du manque d'inspiration flagrant dont fait preuve monsieur l'auteur de cet article depuis maintenant quelques paragraphes et qui vient sous nos yeux courroucés d'atteindre son affligeant paroxysme.Je suis donc dans l'obligation de demander à monsieur l'auteur de cet article de bien vouloir cesser toute activité de blague facile et de mauvais goût dont il a semble-t-il fait son cheval de bataille. Mes collaborateurs et moi avons d'ailleurs remarqué depuis quelques temps avec une tristesse non dissimulée que monsieur l'auteur de cet article empruntait la voie pathétique des articles sans imagination aucune, à l'instar de l'un de nos cas les plus turbulents, monsieur André Yoshkill pour ne pas le nommer. Cependant, nous espérons -sans réellement beaucoup d'espoir- que monsieur l'auteur de cet article saura redresser le niveau de son humour et en utiliser à nouveau les traits à bon escient pour atteindre à nouveau le niveau des Grands dont la renommée n'est plus à faire, tel que monsieur Jacques Erw qui nous ravit encore par son humour fin et racé. Sans quoi nous serions obligés de catégoriser monsieur l'auteur de cet article comme irrécupérable et de lui ôter tous les privilèges, fiscaux et autres, auxquels il a droit eu égard à sa situation d'écrivain de génie. |
Le lecteur de cet article dit : | |
J'ai hâte de raconter nos aventures à ma maman ! Elle sera fière de moi ! |
Ta maman ? T'as encore une maman ? Comment s'appelle-t-elle ta maman ?
Le lecteur de cet article dit : | |
Ma maman ? Elle s'appelle... |
Le lecteur de cet article dit : | |
Jacqueline, pourquoi ? |
Une seule petite note en bas de page aujourd'hui
- ↑ Dans ta gueule !
Portail de la Musique |
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.
Spoiler (2010)
Faites-y gaffe ! | |
Tu vas apprendre la fin si tu fais pas-y gaffe !
|
Hello ! Je dis Hello ! car je pratique couramment le bilinguisme. Admire donc mon bilinguisme, cher téléspectateur. D'ailleurs non.Tu n'es pas un cher téléspectateur pour moi. Je ne t'aime pas. Tu pues. Beerk ! Caca ! Tu sens le vomi d'oie séché ! As-tu déjà senti le vomi d'oie séché, cher téléspectateur ? [...] Oh non ! Je suis trop nul, regarde la phrase juste avant. Non, pas Oh non !, mais celle encore juste avant. Ne remarques-tu rien qui cloche ? Si, évidemment. Je t'ai une nouvelle fois appelé cher téléspectateur alors que j'avais précisé juste avant que tu ne m'étais pas cher. Même pas dix euros. Admire mon humour cher téléspectateur. Ne le trouves-tu pas tout simplement hilarant, voire même drôle ? Si, bien sûr que si. Je suis quelqu'un de très amusant. Et je dis ça en toute modestie bien sur. Oui, car je pratique également la modestie à temps plein. Mes trois principales qualités sont donc, tu devrais les connaître si tu as bien suivi, mes trois principales qualités sont:
- Petit un:Je pratique couramment le bilinguisme
- Petit deux:Je suis amusant
- Petit trois:Je possède un humour décapant, mais ça ne compte pas dans le décompte des mes qualités parce que ça ressemble trop au petit deux (voir plus haut si tu ne te souviens plus bien de ce que c'était le petit deux)
- Petit quatre:Je pratique parfaitement la modestie
- Petit cinq:Y'a pas de petit cinq, mais je trouvais que mettre un petit cinq alors qu'il n'y en a pas en fait ferait rigoler mon fan-club
- Petit six:lol
- Petit sept:Je continue parce que c'est bien et que les administrateurs ne m'ont pas encore demandé d'arrêter
- Petit sept:Moi, j'aime pas beaucoup les huit. Sans doute un rapport avec le jour de la mort de ma grand-mère, le 15 avril 2004. Alors je remet un petit sept parce que c'est plutôt rigolo en plusC'est rigolo ?You voted for "Putain, mais ferme ton putain de clapet et viens en au fait !" on 19 September 2024 at 16:57. You can change your vote by clicking a different answer below.10110319There were 25 votes since the poll was created on 19:37, 3 April 2019.poll-id 3394B84E9710CC0924544EF8D76E3125
- Petit neuf:Je vais essayer d'aller jusqu'au petit dix, ça va être trop bien
- Petit dix:Ouais !!!
- Petit mille XD:Allez, on a bien assez ri, revenons au cours normal de mon exposé.
Hello, je disais donc, avant de me faire violemment interrompre par ta méchanceté de téléspectateur cruel et vil. Tu ne m'es pas cher ! Non, la seule personne qui m'est vraiment chère, c'est la chanteuse Cher. Hi ! Hi ! Assez rigolé. D'ailleurs elle n'est pas seulement chanteuses comme certaines personnes voudraient nous le faire croire, elle est aussi actrice et même productrice. Mais pas réalisatrice, c'est beaucoup trop compliqué pour une femme d'être réalisatrice. D'ailleurs Stanley Kubrick a décidé de devenir un homme exprès pour réaliser des films. J'aime pas Orange Mécanique. Ça prouve que c'est une femme. Kathryn Bigelow, elle a un nom rigolo. En tout cas moi je trouve. Y'a peut-être des gens qui trouvent pas ça. Mais moi je suis en train de me pisser dessus tellement elle a un nom rigolo. Oh merde ! Je me pisse effectivement dessus. C'est dégueulasse... Mais ça sent bon. C'est peut-être à cause des Brownies qui étaient vachement savoureux que j'ai mangé hier soir avant de regarder la télé. Je sais plus le film que j'ai regardé mais il était rigolo. D'ailleurs ça me fait penser que je m'étais déjà pissé dessus hier soir. Ma femme me dit que je devrais porter des couches. Mais moi je dis « Non chérie ! », parce que j'ai ma fierté quand même. Attends moi,cher téléspectateur, je vais changer de culotte et je reviens. Tu vas voir, j'ai encore des trucs rigolos à raconter.
Notes en bas de page en haut de page
Ah bah non ! En fait y'a n'a pas ! XD !
Vous allez finir par vous jouir dessus à force d'entendre des blagues aussi rigolotes !
Concept
Coucou ! C'est encore moi ! Je t'ai manqué hein ? Mais ne t'inquiètes pas, cher téléspectateur, me voila de retour avec encore plus de panache, d'humour, de sens critique et une couche. En plus, elle est vachement confortable et ça, c'est que du bonheur. Avant que je devais doive aurais du dusse interrompre mon propos pour cause de fuite urinaire intempestive, tu étais en train de te demander quelle surprise je te réservais... Et bien voici/voilà (biffez la mention inutile) sans plus attendre la réponse à toutes tes attentes et autres supputations. Afin de t'éviter une lecture pénible et déplaisante d'articles tout aussi pénibles et déplaisants sur le site internet pénible et déplaisant nommé la dÉsencyclopédie, moi-même et mon équipe de spécialistes avons décidé de préparer exprès pour toi un dossier qui va te permettre de découvrir la fin de certains articles des plus reconnus sans être obligé de se taper auparavant un quart d'heure de lecture pénible et déplaisante ! N'est ce pas formidable ? Alors, qu'est ce qu'on dit ?
La foule dit: | |
Ta gueule ! |
Allez ! C'est parti les amis !
Petit Loup
En fait, Petit Loup c'est Hitler ! C'est cool hein ?
La foule dit: | |
Mais ta gueule on a dit ! |
Allez, je continue !
Libre arbitre
En fait, le narrateur est un homme qui a été transformé en Sim et qui se retrouve coincé dans le jeu ! C'est fou hein ?
La foule énervée dit: | |
Oh le con ! Mais le con ! |
Cerise
On croit que ça parle de cerises (d'où le titre lol), mais en fait, ça parle d'une bonne grosse paire de couilles ! C'est giga-top hein ?
La foule énervée dit: | |
Tu commences à être lourd là ! |
Qui a inventé l'eau chaude ?
C'est Tomislav Papahut ! C'est démentiel hein ?
La foule très énervée dit: | |
C'est une honte ! On devrait interdire de telles choses ! Mais que fait la police ? Et le gouvernement ? Et dire qu'on paye des impôts pour empêcher ce genre de débordements et finalement ils se produisent quand même. |
Allez les enfants, c'est pas fini ! J'ai encore la race de trucs à vous révéler !
Chirurgie esthétique
Suite à l'opération, Cecilia Sarkozy-Attias-Martin-Ciganer ressemble trait pour trait à Bernadette Chirac ! C'est giga-top-giga hein ?
La foule excedée dit: | |
Mais fout nous la paix, bordel ! Fout nous la paix ! |
Les comptes Facebook des morts
Les amis de la narratrice sont les victimes d'un dangereux criminel qui n'est autre qu'un ancien camarade de classe dont tout le monde se moquait. Après les avoir tué, il pirate leurs comptes Facebook et se fait passer pour eux afin d'appâter de nouvelles proies. Finalement, la narratrice succombe à son tour. C'est hallucinant hein ?
La foule excédée hurle: | |
ARRRGGHHH !!! |
Retournement de situation
À la fin du Gendarme se marie, le gendarme se marie ! C'est mignon hein ?
La foule excédée pousse une huée: | |
Bouuuuuhhhh !!! |
La poursuite du siècle
COROCORE retrouve le spéculum nasal dans un hôpital psychiatrique mais y est finalement interné. C'est formidable hein ?
La foule super-excédée s'égosille: | |
Stop !!! Putain de merde ! |
La Saga de la Dé
Clytemnestre qui est en fait Giselle Danglin est la mère de tous les habitants de Fangeville. C'est elle qui décide de leur destin à travers une BD magique habilement dissimulée sous le nom de Stan le Barbare. Mais finalement rien de tout ça n'a jamais existé puisque Léa barbouille la planche de bande-dessinée de peinture noire. On aura pas eu l'occasion de voir Ingrid Chauvin carrément à poil.
Et Sandrine Lescart termine en prison. C'est abracadabrantesque hein ?
La foule ulcerée hurle: | |
Mais que quelqu'un fasse quelque chose ! |
Peur
Si tu lis trop longtemps le texte, y'a une image qui fait peur qui apparaît ! C'est effrayant hein ?
La foule ulcerée s'égosille: | |
NOOOOOONNNNNN !!!!!!!!! |
Putes et Prouts
Yoshkill remporte le duel et zigouille Young-Man. C'est super hein ?
La foule désespérée hurle: | |
Ta gueule ! On t'en supplie ! Ta gueule ! |
Trop bien ! Je continue !
La voyance chez les dinosaures
On s'accorde généralement à penser que la voyance n'avait que très peu cours chez les dinosaures. C'est excellent hein ?
La foule en colère comprend: | |
Ah, mais je comprend en fait ! C'est un abruti ce mec. |
Allez, j'ai encore plein de trucs à raconter !
La petite voix dans ma tête
Le narrateur n'est pas un maniaque schizophrène psychopathe comme on voudrait nous le faire croire, mais juste un gars comme un autre qui a envie de se faire cuire une dinde. C'est trop bien hein ?
La foule en colère dit: | |
Bon, ça suffit maintenant ! |
Vous êtes toujours là les mecs ? (Et les filles aussi lol) Parce que maintenant je vais vous révéler la fin de Entretien avec des souvenirs ! Vous allez voir, c'est trop bien !
Spoiler
La foule apaisée dit: | |
À la fin, le narrateur se fait lyncher par une foule en colère.Ça fait du bien hein ? |
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