Lozère
La Lozère, ou "Département Gardois de Lozère" pour les occupants gardois, est un département qui s'appelait autrefois le Gévaudan : pour la légende de la Bête du Gévaudan. La Lozère est le pays des extrêmes. Département le moins peuplé de France (72.000 habitants), il est, par contre, celui qui possède l'altitude moyenne la plus élevée. Département le plus pauvre, il ne représente pas le millième du revenu national ; il est, en contre partie, celui qui possède l'air le plus riche en ozone. Pas d'industrie en Lozère, hormis l'usine Creusot-Loire, à Saint-Chély-d'Apcher (qui est en fait dans le département du Cantal), dans le nord du département, mais des paysages d'une grande beauté. Les Lozériens sont connus pour leur attachement au sol natal. La vocation du département est d'abord agricole ; longtemps isolé, celui-ci s'est largement ouvert au tourisme malgré des routes restées étroites et tortueuses Mende, par son statut de seule paroisse de plus de mille habitants, est la capitale de la Lozère. La ville est située très exactement au centre du département L'aligot et les fromages comme la Tomme sont des spécialités de la Lozère.
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HistoireLa Lozère est occupée depuis plus de 50 ans par le Gard qui puise en elle toutes les richesses du sol comme les cèpes et les châtaignes. La propagande gardoise s'étend en lozère principalement par la radio "Bleugard - Lozère". Les résistants lozèriens opèrent une véritable guérilla, en crevant les pneus de tout véhicule plaqué "30". On reconnait les résistants lozèriens à la tête de sanglier sur la vitre arrière de leur Renault Express blanche. Un conflit diplomatique a lieu depuis plus de 30 ans sur la question du Mont Aigoual, principale station de ski et centre d'étude météorologique languedocien. La guerre gardo-lozèrienne de 2004 à aboutit sur un statut quo. Le mont Aigoual est resté sous domination et exploitation gardoise malgré les revendications lozèriennes. PatrimoineDevise de la Lozère : En Lozère, les corbeaux volent sur le dos pour ne pas voir la misère, se retournant au dessus du Gard pour chier un coup. On dit aussi que la France c'est les Lozériens et puis les autres !
le Bouffadou
La légende du Bouffadou. En Lozère, on l’appelle l’appareil à rallumer le feu sans se brûler les moustaches. Et, à la veillée, lorsqu’on souffle dans cette longue branche de pin percée qui ranime les braises sans faire voler les cendres, on se raconte la légende de la sorcière Bouffanelle qui inventa ce bâton magique il y a fort longtemps, dans les grandes forêts du Gévaudan. Si elle soufflait dans ce tube de bois blanc, c’était, dit-on, pour faire apparaître un petit bonhomme plein de malice, vêtu d’une culotte rouge, qui se mettait à danser…comme les flammes joyeuses dans l’âtre.
La JasseC'est l'habitat traditionnel du Lozérien caussenard : un tas de cailloux avec un peu moins de cailloux à l'intérieur qu'à l'extérieur. La cavité intérieure permet de loger une famille, c'est a dire 2 adultes 6 enfants et 48 moutons. Le Lozérien caussenard est une sous catégorie du Lozériens, qui habite les étendues désertiques du département, et mange principalement de la craie, la version tendre des cailloux de là-bas. Il en faut pas confondre jasse et buron. Le buron, c'est sur l'Aubrac qui est tout aussi désertique que les Causses, mais qui peut contenir 48 bovins à la place des 48 moutons. Certains disent qu'en Cévennes, il y aurait des clèdes pouvant recevoir une famille et 48 chèvres, mais vu ce qu'ils fument là-bas, c'est difficile à confirmer.
ClimatLe climat lozérien est très typé. Les vieux (Lozériens de plus de 16 ans) ont coutume de dire qu'il y a deux saisons. L'hiver et le 15 août. une autre version dit qu'en Lozère il y 2 saisons : l'hiver qui est là, et l'hiver qui arrive... L'exception reste les Cévennes, situées à l’extrême sud du département (en fait, dans le Gard), offrant un climat très doux, favorable à toutes sorte de culture, notamment celle du chanvre qui s’acclimate parfaitement au lieu. ActivitésLa Chasse aux DoryphoresEn patois, Gardois se dit Doryphore, expression également employée par les amis Audois pour qualifier les conducteurs haut-garonnais, qui comme tout le monde le sait ne savent pas conduire. Le sport officiel du département consiste donc à bouter les Doryphores (envahissorum pléthorum) hors des frontières lozériennes. Le Gardois est une espèce d'humanoïde, proche du touriste, mais contrairement à ce dernier, le Gardois ne vient pas pour faire marcher les commerces mais uniquement pour voler les champignons, parce qu'il est incapable de trouver les siens. Et comme Gardois vient de garder, il ne veut jamais les rendre. La discipline est divisée en 4 catégories : insultes, crevage de pneus, gros-sel, et chevrotine ; les 2 dernières se jouant à l'arme à feu. La saison du Gardois commence fin août et se termine fin octobre, mais aucun règlement n'interdit de pratiquer à d'autres moments si l'occasion se présente. Contrairement aux autres espèces, il n'y a pas besoin de permis pour chasser le Gardois, par contre un garde-chasse pourra appliquer une amende s'il vous prend en flagrant délit de Tolérance de Gardois c'est-à-dire si vous regardez un Gardois voler des champignons sans réagir. Toutefois n'oubliez pas que l'habitant traditionnel pourra aussi bien traiter de Gardois (surtout en Haute-Margeride), un Parisien, un chien, un chat, un arbre voire un agent de police, après avoir bu un ou deux canons de trop (ce qui arrive souvent, tant y'a rien d'autre a faire) ou si vous marchez sur sa propriété. Note : Animaux: Dans d'autres régions vous pouvez visiter des zoos avec des animaux de touts horizons mais en Lozère c'est bien sûr plus particulier. Les seuls animaux qui ont bien accepté de vouloir vivre en Lozère sont les bisons, les vautours et les loups! Les bisons ont préféré le froid de Ste Eulalie à celui de la Pologne, les vautours ont trouvé un coin un peu plus ensoleillé dans les gorges du Tarn où ils font la conversation avec les corbeaux, quant aux loups on les dits présents dans un parc de Ste Lucie mais c'est pour rassurer les touristes, en réalité on sait très bien qu'il en existe encore dans les bois de Lozère mais chut...
Surnoms et Restes de CultureLa Lozère a été rebaptisée le Mordor peu après que Sauron ait élu domicile près de Grandrieu, mais aussi par le mauvais temps et les montagnes rendant l'accès restreint : département à l'altitude moyenne la plus haute de France (si si c'est vrai ! le point le plus bas étant à 500m). Vieux proverbes lozériens : Peu importe la surface du pré, accélère ! suivi en général de Ce coup ci, on s'y met ! Plus de 470 morts seulement sur les routes certaines années par contre on constate une augmentation de plus de 400 pour 100 des effectifs policiers (8 postes dé maï ); les survivants n'ont tout simplement pas le permis. Précisons que la seule tentative d'acclimatation du feu tricolore, à Mende, s'est soldée par un échec : le sol ne convient pas. Bien qu'il n'y ait (presque) plus d'habitants en Lozère, on y trouve néanmoins toute sorte de types de gens ; principalement des fous mais aussi des terroristes basques, corses, d'al quaida, bretons... mais aussi des anciens commandos, des storm troopers etc... tout ceux qu'on veut pas voir en ville quoi. La Lozère possède le seul et unique centre de formation à Starcraft : Broodwar, non officiel. En Cévennes, deux communautés vivent en harmonie, voir plutôt en disharmonie, Les Cévenols, originaire depuis au moins six générations des Cévennes (si vos ancêtres n'y sont que depuis trois où quatre générations vous serez difficilement accepté par les autochtones voir méprisé) et les Néo-Cévenols. Ces derniers sont généralement originaire des grandes villes et ont eus la merveilleuse idée juste après Mai 68, après avoir zigouillé quelques policiers à coup de parpaing, raté leurs exams pour cause de révolte et mis à sac l'éducation nationale, qu'il était temps pour eux de se mettre au vert dans une région reculé et de vivre plus simplement en fabriquant du pélardon (fromage de chèvre dont les cévenols sont très fiers). Bien sur après avoir compris que la vie simple c'est pas aussi simple que ça, voir même très dur, les trois quart sont retournés très vite d'où ils venaient, et la petite communauté restante a préféré la culture du chanvre indien, plus rentable. A la même époque, l'Ardèche a subi le même phénomène.
Mais c'est où ?Oui, merde! C'est où la Lozère ? Si ce mot étrange ne vous dit rien, continuez malgré tout à hocher la tête d'un air connaisseur et ne vous arrêtez surtout pas lorsque l'autochtone vous donnera le nom de sa localité, qu'il s'agisse de Mende, Marvejols ou St Chély-d'Apcher... une explication serait de toute façon inutile, nébuleuse, voire dangereuse (vous risqueriez en effet de vexer notre ami lozérien...). Contentez-vous de jeter un coup d'œil par la fenêtre entre Clermont-Ferrand et Montpellier, ne cherchez pas de route, il n'y en a pas ! Gardez-vous de rentrer en contact avec l'autochtone, ici, la bête rôde encore... La population lozériène est si peu étendue que lorsqu'un Lozérien se retrouve hors de son département il regarde toujours, lorsqu'il croise une voiture immatriculée 48, s'il ne connait pas la personne au volant. La presse LozérienneIl existe un journal local : la Lozère Nouvelle, mais le nom Lozère Morelle (à l'huissier) conviendrait mieux, tant ce journal est à la gloire de cette personne. Pour information, c'est un journal de Curatch (curé en patois). Le sommaire du journal est passionnant :
En effet, M. Chirac a conservé son village qui a la mort de sa femme sera rebaptisé Sainte Bernadette. Depuis que la Lozère Nouvelle publie des photos en couleur, son lectorat s'est considérablement accru. La plupart des analphabètes du département - environ 75% de la population - font l'acquisition du journal afin de voir la photo du bovin qui a remporté le dernier prix agricole. Le papier journal est ensuite recyclé pour envelopper le poisson ou pour un autre usage domestique. A noter que les Lozériens sachant lire couramment préfèrent acheter le Midi Libre, dans l'édition Lozère, qui comporte surtout des images. Pour l'anecdote, il existe aussi un journal clandestin, le Réveil, qui est distribué sous le manteau aux agriculteurs, et aux gros propriétaires terriens. Le journal est entièrement composé en chiffres et en tableaux des cours du bœuf, du veau et de l'agneau sur les marchés régionaux. Et depuis les années 70 un tableau de chiffres supplémentaire affiche les montants des subventions, des fonds départementaux, des fonds régionaux, des fond nationaux et et des fond européens qui sont distribués mensuellement aux membres de la secte des lecteurs du Réveil. A signaler qu'il existerait une bibliothèque en Lozère, mais selon certaines sources elle aurait déjà été reconverti en étable. Affaire à suivre donc.
GastronomieLa gastronomie Lozérienne est entièrement composée de charcuterie et de fromages de pays. Il est d'ailleurs préférable de ne pas demander autre chose dans un restaurant sous peine de graves ennuis. Le repas type Lozérien se compose donc ainsi :
Pour les jeunes enfants, la Tradition autorise de mélanger un peu de lait avec leur biberon de chair à saucisse.
La CoupétadeOu bien Étouffe Chrétien ou Echtouffadou en créole local. Il s'agit d'une sorte de pain perdu dont voici la recette :
Le Rap Lozérien
Notes
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